La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°963)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°962) -
Je me précipitais hors du lit, et me prosternais à Ses pieds laissant couler mes larmes. Cette position et mes larmes étaient pour moi le meilleur moyen de Le remercier le plus sincèrement quil métait possible. Cétait à mon sens plus expressif que des mots, et Sa caresse tendre sur ma tête, ma joue et mon épaule me confirmèrent que mon message de reconnaissance et de dévotion était bien passé
. Pour le dîner, jeus le droit de prendre mon repas sous la table, entre les pieds du Maître Vénéré et de Wangdak. Je fus sollicitée deux fois par les Dominants, pour leur servir de vide-couilles en les suçant et avalant leur sperme chaud... Mais contrairement à ce que javais vécu au marché dans la journée, cela se fit dans la douceur, avec dinnombrables tendres et douces caresses sur mon cuir chevelu du temps que je moccupais de leur vit bien planté dans ma bouche. Et même si cela restait des exigences, je ne pouvais que fortement apprécier leurs gestes emplis de tendresse. Et jétais tellement heureuse dêtre à ma place, que cétait un honneur plutôt quune épreuve de devoir mabreuver de leur précieux nectar. Cétait pour moi une récompense, et cela navait rien de la dégradation et de lhumiliation subie plutôt dans la journée. Après le repas, alors que les deux Dominants étaient passés au salon, le temps dun cigare et dun petit digestif, jeus la chance de pouvoir les accompagner et de servir de repose-pieds au Châtelain, prosternée, cul et chatte lui étant présentés. Régulièrement, javais droit à une caresse ou une petite claque sur les fesses, parfois à lintronisation dun doigt dans mon anus afin den vérifier sa souplesse. Oui la journée avait été longue et pénible, mais la récompense valait largement les peines endurées. Le salon faisait face à une grande baie vitrée, donnant sur un petit lac, couvert de nénuphars en fleurs blanches et roses.
- Demain, je mabsente avec Sangmo, je Vous laisse la maison toute la journée. Mes chiens et chiennes sont à Votre disposition si Vous le voulez. Faites comme chez Vous, mon ami !.
- Je vous remercie, cher ami ! Je prendrai soin de votre maison et vos biens. Maintenant, je vais me retirer avec Ma chienne. Je vous souhaite une très bonne nuit.
Le Maître Vénéré se leva et après une amicale poignée de main à son ami, il se tourna vers moi et claqua des doigts. Je me redressais à genoux afin de Lui présenter ma laisse des deux mains, paumes plates vers le ciel, placées au niveau des yeux, tête baissée. Il la saisit et nous montâmes les escaliers pour rejoindre Sa chambre. Une fois enfermée, Il me laissa dans la chambre, prosternée, et alla dans la salle de bain. Il en revint nu, magnifiquement nu ! Javais la tête au sol, mais tournée vers la pièce dont Il sortait. Mon bas-ventre réagit immédiatement. Ma vie ne tournait quautour de Lui, je ne vivais que pour Le satisfaire. Sa verge était déjà dressée et pointait fièrement vers le plafond. Sans un mot, Il sapprocha de moi, qui ne bougeait pas dun cil, me contourna et se plaça derrière moi. Après une caresse sur toute la longueur de ma colonne vertébrale, qui me fit frissonner léchine dorsale, Il présenta Son sexe à lentrée de ma caverne déjà humide, et senfonça dun coup sec et précis. Jexpirai fortement, comme si javais attendu ce moment toute la journée. Il me besogna de très longues minutes, se ménageant, se maîtrisant pour retarder au maximum Son éjaculation. De mon côté, je contrôlais de mon mieux ma respiration pour ne pas jouir, nen ayant pas reçu lautorisation. Mais jétais tellement excitée, trempée, si heureuse en pensant que jallais passer de divines heures en Sa compagnie, que javais du mal à ne pas me laisser envahir par les vagues de plaisir successives qui essayaient de briser ma volonté.
Il se releva et claqua de nouveau des doigts. Je passais donc à quatre pattes, fis un demi-tour sur moi-même et me mis à genoux, face à Lui, tête baissée. Il me releva la tête, et immédiatement, sachant ce quIl attendait de moi, jouvris la bouche. Il y fourra Sa queue et je la nettoyais méticuleusement, recueillant avec délice le mélange du Divin nectar du Maître et de ma cyprine de chienne en chaleur. Malgré Son éjaculation, Son sexe gardait une belle vigueur. Il mordonna de monter sur le lit. Je passais la moitié de la nuit dans ce lit à satisfaire le Maître. Il me posséda par tous les trous, parfois attachée, parfois bondagée. Quand Son sexe avait besoin de repos, car malgré tout Il restait un être humain, cétait avec des sexes factices quIl me pénétrait. Ce fut sur Sa dernière enculade, quIl mautorisa à jouir. Pendant quIl investissait mon fondement, Il avait mis en action un uf vibrant dans ma chatte. Et après ces quelques heures à jouer le funambule sur le fil du plaisir, quand jen eus le droit, jeus un des orgasmes les plus fulgurants de ma vie, tellement fort que ça en expulsa luf, sous les contractions incontrôlables quil me provoqua. Et lautre moitié de la nuit commença, dans Ses bras, la tête au creux de Son épaule, et je my endormis, comme la petite chienne la plus heureuse du monde
Le lendemain matin, je me réveillais avant Lui. Je descendis du lit et me mettais en position dattente par terre. Quand je Lentendis bouger annonçant Son début déveil, mon cur commença à battre plus fort. Je me réjouissais déjà de savoir que jallais passer la journée avec Lui. Et jétais impatiente de pouvoir répondre à Ses prochaines exigences. Dailleurs lune delles ne tarda pas à se faire connaître. Le Maître une fois bien réveillé, sassit au bord du lit, une verge matinale bien droite comme un i entre Ses jambes.
- Maintenant que tu as eu ton petit déjeuner, va me chercher le mien, je vais le prendre ici. Tu as évident lautorisation de ramener le plateau en bipédie. Va ma chienne ! Va !
Je quittais rapidement la chambre à quatre pattes, mais me pressais un peu moins dans lescalier pour ne pas tomber et me blesser. Il fallait que je prenne soin de moi pour le Maître. Je ne mappartenais plus et je devais faire attention, non pas en tant que personne se préoccupant delle-même, mais en tant que bien appartenant à Monsieur le Marquis dEvans. Je me dirigeais vers la cuisine. La cuisinière-soumise de Wangdak sy affairait. Restant en quadrupédie, je lui demandais si elle pouvait me préparer un plateau pour le Châtelain.
- Il attendra comme tout le monde que jai fini de faire ce que jai à faire. Je ne Lui appartiens pas, je nai pas à Lui obéir !
Je restais abasourdie devant une telle insolence ! Comment pouvait-elle parler dun Dominant ainsi ? Et dun ami du Maître à qui elle appartenait qui lui avait confié sa maison et ses biens ? Jessayais de la convaincre de changer davis, mais elle préféra sasseoir sur une chaise, prendre une lime et se faire les ongles. Je restais quelques minutes immobile et décidais finalement de me mettre sur mes deux pieds et de préparer le déjeuner moi-même. Je ne connaissais pas les lieux donc je mis du temps à trouver le café et les filtres, à trouver les verres, les ufs, etc
La soumise navait absolument rien préparé, je devais donc tout faire. Trouvant certainement que je mettais beaucoup de temps à rapporter un petit déjeuner qui aurait dû être déjà prêt et quil ny aurait eu quà mettre sur un plateau, le Maître descendit, passablement énervé.
- Eh bien que se passe- t- il ici ?
Sa voix était glaciale et me fit frémir. Immédiatement, je métais prosternée. Je nosais pas répondre. Je ne voulais pas accuser la cuisinière de négligence, ni répéter ses paroles insolentes. Elle navait pas bougé, saisie de sêtre faite surprendre en train de se chouchouter au lieu de travailler.
- soumise Zao ! Que fais- tu assise ? Pourquoi est-ce soumise Aphrodite MDE qui semble être en train de préparer le petit déjeuner, alors quà lheure quil est, il devrait être prêt et tenu au chaud depuis longtemps ?
Zao (je connaissais enfin le nom de la cuisinière) ne répondait toujours pas.
- Bien, puisque cest ainsi, tu seras sanctionnée plus tard, par moi dabord, et je ne pense pas me tromper en pensant que Wangdak en rajoutera une couche quand il rentrera. Ma soumise, dépêche-toi daider cette chienne de bas étage à préparer mon repas et monte-le- moi rapidement. Quant à toi, tu as intérêt à avoir un comportement exemplaire, dit-Il en donnant un coup dun martinet qui était posé sur une commode sur les jambes de la cuisinière, la faisant se lever. Un second coup sur les fesses cette fois-ci, la fit se mettre en position prosternée. Le Maître quitta la pièce, lair plus que mécontent.
Zao mit du cur à louvrage et le petit-déjeuner fut rapidement prêt. Je mempressais de remonter le plateau. Je trouvais le Maitre assit contre la tête de lit, un dossier ouvert devant Lui. Quand je mapprochais du lit, Il posa Son dossier sur la table de nuit et fit un signe de la main pour que je dépose le repas sur Ses jambes. Tandis quIl mangeait, je me mettais en position dattente. Parfois, Il laissait tomber des morceaux de biscottes sur le tapis sur lequel je me trouvais, et que jattrapais du bout de ma langue avec délices et reconnaissance. Quand Il eut fini, Il posa Son plateau sur la petite table, prit la badine qui sy trouvait. Après mavoir contournée, Il men appliqua une vingtaine de coups sur le cul pour le faire rougir avant de me baiser encore, mais cette fois bestialement comme une vulgaire chienne de rue en chaleur, sans avoir droit de jouir. Il déchargea rapidement au fond de ma caverne trempée. Il se releva, claqua des doigts pour que je Le nettoie. Puis Il me fit mettre à genoux en mattrapant par les cheveux en tirant vers le haut. Dès quIl relâcha Sa prise, je baissais la tête.
- Ma chienne, je tai dit hier que tu aurais droit à une douche chaude aujourdhui. Je vais te regarder la prendre, et ensuite tu devras me laver
(A suivre
)
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