Apres La Copine, Ce Sera Au Tour Du Copain...
Je dut remplacer au dernier moment un collègue au pied levé. Il avait prétendu devoir aller au chevet dune tante souffrante. Mais je nétais pas dupe. Il avait tout bonnement, envie de profiter en famille de la foire foraine établie depuis peu au parc des fêtes de notre ville.
En prévision dune longue permanence, javais amené avec moi de quoi me faire patienter des heures. Un peu avant midi, javais appelé Gille. Une connaissance d'affaire. Javais passé pas mal dheures chez lui à effec des rénovations. Et il était temps à présent pour lui, quil passe à la caisse. Nous avions convenu pour la transaction, un rendez-vous pour laprès-midi sur mon lieu de travail.
Jétais dans la salle quand Gille fit son apparition. Comme il était très pressé, il sest empressé de me donner ce quil me devait. Pour quil ny est pas de différend entre nous, il a insisté pour que je les compte devant lui. Quatre mille deux cents francs, le compte y était. Alors que je fourrais la liasse en sécurité dans ma poche, je croisais le regard envieux dun jeune homme assis dans un coin.
Pendant que je laccompagnais jusquà sa voiture, Gille mexposa un nouveau chantier en prévision. Ne pouvant pas men dire plus, il me demanda de lappeler au cours de la semaine suivante, pour plus de précisions.
À mon retour je souriais tout seul, en pensant à la somme que javais en poche. Je croisais deux jeunes filles qui traînaient dans les coulisses. Sans aucun doute, elles crurent que le sourire leur était destiné. Elles me regardèrent, les yeux pétillants despoir. Puis elles séchangèrent un clin dil complice et se mirent à pouffer, satisfaites de leur succès apparent.
Quelques heures plus tard, on vint minformer que la répétition était terminée. Je profitais de ce que les personnes quittent les lieux par petits groupes, pour ranger le matériel. Une fois seul, il était temps pour moi de verrouiller les issues. Je massurais par la même occasion que plus personne ne traîner dans les lieux.
Jai tout de suite pensé à une étourdie. Cétait fréquent chez nous. Je linterpelai à haute voix, linvitant de bien vouloir sapprocher de la sortie. Comme rien ne bouger je réitérais ma demande. Sans plus de succès, d'ailleurs.
Ma patience ayant des limites, jai décidé daller rendre une petite visite à mon importun. Pour lui faire part de mon mécontentement, à ne pas répondre à mes assignations.
Je parcourais la distance en moins de temps quil me fallait pour lécrire. Et là surprise, il ny avait pas une, mais deux personnes. Une fille, un garçon, tout deux assis sur le bord de la table. Le garçon était Incliné sur la fille, les bouches jointes en un baiser vorace. Alors que la main du coquin fouillait lentrejambe de la jeune fille. La jupe étant remontée me permis de loucher sur les jambes habillées de nylon noirs.
Jéprouvais soudain une certaine difficulté à respirer, quand la main fureteuse tira le collant vers le bas, découvrant un système pileux dun noir anthracite dans lequel il avait infiltré un doigt. la chipie sagrippa à son poignet, en commençant à se tordre avec une sorte de pleurnichement
Je commençais à avoir chaud. Pourtant dans le genre dexhibition, je croyais avoir tout vu et ne plus guère pouvoir en être ému. Mais là cétait différent. Cela devait tenir à la fille. Il émanait delle quelque chose dintensément pervers. Javais la bouche sèche.
Avec une impression de soif intense. Mes yeux sécarquillèrent en suivant la main conquérante du jeune homme. Si la gamine, le visage à demi enfoui dans le blouson du garçon, pouvait à la rigueur ne pas se savoir observée, ce nétait pas le cas de son compagnon.
Comme pour mieux exhiber sa copine, il écartait largement les cuisses de sa compagne, tirant sur le textile fibreux pour dégager au maximum les boucles sombres, modelant le renflement du pubis. Soulignant du bout de lindex la coupure des lèvres. Docile, la gamine basculait sur la table, ses pieds chaussés de baskets en appui sur le bord du plateau, les genoux grands ouverts, mais les yeux fermés.
Ma longue expérience du genre mapprenait que tout cela nétait pas innocent. Il se tramait quelque chose.
Sans me quitter des yeux, le garçon avait interrompu son manège, pour sauter sur ses pattes et avançait jusquà moi. Ce fut seulement à cet instant que je le reconnus. Cétait tout bonnement le jeune type qui avait insisté à la transaction, entre moi et Gille. La gamine, les yeux grands ouverts, avait légèrement tiré sur sa jupe,
mais gardaient les jambes écartées. Elle avait une petite moue, gourmande et ine.
- Quen pensez-vous ? Cela vous a plu. Me questionna le jeune homme.
- Il serait malhonnête de ma part de dire le contraire.
- Vous voulez vous la faire . Je suis préteur
- Ça peut se faire
oui
pourquoi pas
Si ta copine est daccord
- Oh vous savez ma copine Magali est toujours partante pour une bonne baise, surtout si elle peut ramasser de la monnaie au bout. Vous savez les temps sont durs.
- Si jai bien compris le message. Si je veux consommer, il faut que je paye.
- Oui
vous avez tout pigé. C'est tout de même ma
- Bon arrêté ton discourt, le coupais-je. Dis-moi combien ?
- 300 balles.
- 300 balles. Ce n'est pas donné, dis-moi. Et jai quoi pour une telle somme.
- Tout ce que vous voulez
- Ta copine est-elle une grosse cochonne ?
- Eh comment ! Vous pensez même pas ce quelle est capable de faire.
La lumière crue accentuait les traits du jeune homme. Je sortis de ma poche la liasse de billets, en soutirai trois de cent francs que je tendis au garçon. Il fixait les billets, tout en faisant la moue.
- Quest-ce quil tarrive ? Tu en fais une tête
le compte ny est pas .
- Jaurais dû en demander plus, si javais su.
Jeus un gros rire et lui frappai lépaule.
- Il y en aura un petit un bonus si ta môme est vraiment une bonne cochonne, assurais-je.
Je mapprochais delle. Une âcre odeur de sueur fouetta mes narines. Je me grisais de cette délectable fragrance caractéristique aux jeunes filles. Magali me toisa avec un sourire dune infinie perversité. Je pris dans ma main sa cheville et fis tomber sa basket. Elle se laissa faire, soumise à mes fantaisies. Son pied était adorable. À travers la transparence de son collant je distinguais ses ongles
délicatement vernis. Sa plante de pied était légèrement rosie par la transpiration. Une petite callosité était visible sur le côté.
Je portai ce superbe peton à mon nez, que je glissais entre ses orteils. Lodeur était très, très entêtante. Mais pour moi très, très supportable. Je bandais dur. Je donnai linstruction au copain douvrir le clic-clac.
Avec la force des bras, mais aussi parce quelle nétait pas très lourde jai pu passer ses jambes de chaque côté de ma tête. En appui sur mes épaules. Dans une posture de 69, debout. Mon nez à hauteur de sa fourche odorante. Dans laction sa jupe sétait retroussé delle-même. Une odeur salée s'en dégageait. Mes oreilles bourdonnaient. Jai enfoui ma figure entre ses cuisses chaudes et plongeais mon nez dans sa toison aux poils collés par la transpiration et la mouille plaquait par les mailles du collant. Elle se laissa aller. Creusant son ventre pour que son sexe sécrase contre ma bouche. Je nentendais pas ses gémissements, seuls les bruits de ma respiration.
Tout en dévorant son minou, je remuais mon bas-ventre davant en arrière. Une invite muette pour quelle soccupe enfin de moi. Mais rien ny fit. Elle restait inactive. Je mis ça sur le compte de la position renversée. Il avait fallu que je renouvelle à plusieurs reprises ma danse du bassin pour quelle comprenne, et sattaque enfin à la fermeture Éclair de ma braguette. Jai poussé un gémissement étouffé quand elle a entouré mon membre de ses doigts. Comme jai tressailli quand elle ma frôlé les couilles, avant de reprendre ma verge.
Avec une émotion intense, je me suis senti encore gonfler dans sa main.
Nous avions pris la pose un petit moment. Moi lui suçant l'entrejambe à travers le nylon, elle à me branler. Son poignet avait trouvé le rythme approprié pour une bonne masturbation. Je mentendais respirer plus fort. Machinalement elle ralentit sa manipulation.
- Non
, haletais-je, narrête pas
sil te plaît.
Elle eut une très brève hésitation, puis sa main reprit du service, plus fort et plus vite. Jai attendu de sentir les premiers picotements annonçant une éjaculation éminente, pour léjecter de mes épaules.
Elle se retrouva aplatie, les quatre fers en lair sur le clic-clac. Jen profitais pour la débarrasser de son collant. Sans perdre une seconde, comme un mort de faim, je me suis jeté sur elle. Collant ma bouche sur son sexe odorant. Avec ma langue, jai goûté son sexe nu. Il sen dégageait un goût plus acide que la moyenne. Après avoir exploré tout autour de la fente, je mintéressais à louverture. Plongeant la pointe de ma langue dans ce sillon acidulé et odorant.
Après en avoir apprécié le contenu, je remontais lentement en dessinant de petits cercles comme laurait une petite tornade.
Arrivée vers son bourgeon j'ai abandonné mes cercles pour lui lécher à petits coups. Elle se mit à gémir, à crier presque. Jusquà ce que je labandonne pour taquiner son anus.
- Ça te plaît, nest-ce pas .
- Oh oui monsieur
Sa voix nétait plus quun souffle.
Jancrais ma langue aussi loin que je le pouvais dans son sexe, la fis frétiller. La ressortais pour mieux lassaillir de nouveau. Perquisitionnant lintérieur, alors que mon index sinsinua lentement dans son rectum.
- Oh monsieur
plus vite, ordonna-t-elle, dune voix éraillée par lexcitation.
Ma langue ne servait plus à rien dautre quà lui donner du plaisir. Jen avais plein la bouche de son goût.
- Oh ! Oui
ronronna-t-elle. Que c'est bon monsieur...
Elle maintenait ma tête prisonnière entre ses cuisses. Mexhortant à lécher jusquà ce quelle jouisse. Quel fut mon plaisir de lentendre jouir. Cest pour moi une récompense formidable, de faire prendre son pied à une femme. .
Le copain vint nous rejoindre sur le clic-clac. Sallongeant le long du corps de sa copine. Il sétait débarrassé de son pantalon et slip. Il se trouvait que la queue du gamin était à une portée de bouche. Elle sentait lexcitation d'homme. Je ne sais pas ce qui ma pris. Jai ouvert en grand ma bouche et je lai enfourné. Son gland entre mes lèvres souillait de sécrétion. Je le goûtai de ma langue. Ce nétait pas désagréable, au contraire. Tout juste un piment de plus. Je lhumectais de ma salive. Commençant à tourner la langue autour. Passant en dessous, à la lisière de la hampe, et petit à petit, je sentis la verge grossir, enfler, me remplir la bouche. Je menhardissais à aller plus loin. Sentant le gland contre mon palais.
Javais transformé ma bouche en sexe. Jadmis à cet instant que je trouvais du plaisir à contrôler ainsi celui dun de mes semblables. Sachant très bien quelle caresse pouvait accen la bandaison. Le gamin soupirait, me pistonnant la bouche. Je serrais la hampe avec mes lèvres, comme laurait faite une chatte de pucelle.
Je lhumectais encore et encore de ma salive. Je sentais un goût saumâtre memplir la bouche. Soudain, il mattrapa la tête. Balançant davant en arrière son bassin. Javais une idée de ce qui allait marriver. Alors je reculais la tête, remplaçant la bouche par la main. Et je le masturbais. Je sentais au travers son érection des contractions saccadées. Puis le foutre fusa. À gros bouillons. Polluant le dessus du clic-clac.
Réflexion faite, tous deux avaient joui, il était temps de penser au mien. Javais payé pour ça, non.
- Dans quel trou tu veux ma queue, jeune fille .
- Dans mon cul, répondit le jeune homme.
- Pardon, répliquais-je. Pas très sûr davoir bien entendu.
- Je veux que vous menculiez ! Me supplia-t-il.
Il se mit sur le dos, leva les jambes en les écartant, offrant son anus boursoufflé. Je me mis entre ses jambes, à genoux et je demandais à la copine :
- Aimerais-tu me guider...
- Ho ! Oui
super.
Elle se saisissait de mon sexe et le guida vers l'entrée lubrifiée de son pote. Il était prévoyant le coquin. Pendant que je moccupais à faire plaisir sa copine, lui sétait enduit le cul de gel. Je mettais enfoui lentement, vainquant peu à peu la résistance naturelle des muscles. Quelle sensation. Lui aussi savourait. Pour preuve il ronronnait :
- Ouiiii... Ho ! que c'est bon.
Là, je commençais à aller et venir dans son fion. Javais l'impression de ne faire qu'un avec lui. Des frères siamois. Relié grâce à ma queue.
Je ne devais pas lécrire mais c'était formidable. La copine ne ratait pas une miette. Jaccélérai petit à petit mon roulis. Le coquin ondulait sur ma queue, en geignant, en criant.
Je me démenais en lui à une cadence infernale, cherchant à le pénétrer le plus profondément possible. Je sentis une bouche embrasser mes testicules pendant que je me reculais, sortant ma queue au bord de lorifice, pour mieux menfoncer ensuite. Magali me gratifia dun bon anulingus. Il nen fallait pas plus pour que le refrain de lorgasme finit par monter timidement en moi. Dabord ce fut une chaleur. Puis des picotements. Ça montait, ça grimpait, ça arrivait, et brusquement, le plaisir m'emporta. Jexpulsai ma semence en gueulant. Il tendit le cul au maximum pour recevoir mon plaisir. Il grognait comme une femelle.
Pour moi, ce fut si fort que jeus une brève syncope. Je me laissais tomber sur le côté, et glissai hors de lui, le cur battant, la tête vide. Épuisé. Gravé dans ma mémoire comme une faiblesse un peu
honteuse
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