La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°964)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°963) -
Il saisit ma laisse et nous allâmes dans la salle de bain. Il me laissa quelques secondes pour aller chercher le fauteuil. Sur un signe de Sa main, je passais derrière la vitre de la douche à litalienne. Sur son ordre, avant de me laver, je me mis à trois pattes, levant la quatrième, et je vidais ma vessie. Quand ce fut fait, sur Son autorisation, je me relevais et jallumais leau et en réglais la température sur 38°c, comme lexigea le Maître. Je me mouillais intégralement le corps et les cheveux, ainsi que la fleur éponge qui était attachée à un crochet. Jy mis un peu de gel douche. Je pris mon temps pour la faire glisser dabord sur mes bras, puis sur mes seins, mon ventre, mes cuisses, mes jambes, mon dos. Je fis mousser mes mains, je tournais le dos au Maître et je me lavais les fesses, que jécartais pour nettoyer ma rondelle à lextérieur, puis je laissais un doigt puis deux me pénétrer pour nettoyer lintérieur, tout ceci en me cambrant exagérément pour faire ressortir mon cul. Puis je me retournais, écartais au maximum mes cuisses pour me laver le pubis et le sexe, dont jécartais également les lèvres pour me nettoyer au maximum, sans toutefois que cela devienne des caresses, ce dont je navais pas obtenu lautorisation. Puis je me rinçais. Quand jeus fini, je me prosternée sur le carrelage de la douche, montrant ainsi que javais fini. Le Maître se leva alors et me rejoignit derrière la paroi.
- Tu es déjà au sol, donc tu vas commencer par me laver les pieds, et tu remonteras au fur et à mesure, te redressant petit à petit, sans jamais me regarder, évidemment. Soit heureuse et honorée de ce que je vais exiger. Tu vas me laver avec tes mains et pas avec la fleur éponge.
Quel cadeau, Il me faisait ! Jallais avoir le droit de Le toucher sur tout le corps directement avec les mains ! Mon cur bondissait de joie, au point que javais peur quil ne sorte hors de ma poitrine.
Quand je fis Son visage, Il arrêta mes mains. Je restais immobile, dans lattente. Au bout de quelques secondes, Il me murmura lordre de Le regarder pour le reste du lavage. Avec une grande émotion, je levais les yeux vers Lui, complètement hypnotisée face à Son magnifique regard. Je passais mes mains sur Ses joues, Son nez, Son front, en faisant attention à ne pas mettre de mousse dans Ses magnifiques yeux bleus. Je Lui lavais également les cheveux, Lui prodiguant au passage un massage du crâne. Il sortit de la douche, et attrapa un peignoir quIl me tendit en exigeant que je le passe pour ne pas que jatt froid. Puis, Il me tendit une serviette pour que je Le sèche. Son sexe était toujours en érection, mais Il mempêcha de mattarder dessus. Il préféra subitement me pousser contre le meuble à vasque, me fit magripper aux rebords, et me sodomisa à grands coups de reins, me pénétrant jusquà la garde et activant ses hanches puissamment pour littéralement me saillir telle une jument de haras.
- Bien, maintenant tu vas remonter dans la chambre et me ramener les vêtements que jai préparé pour mettre aujourdhui. Tu es autorisée à revenir debout. Je ne veux pas que tu les abîmes ou les froisses ! Exécution !
Je partais donc en quadrupédie, attrapais respectueusement et précautionneusement les affaires posées sur une chaise, ainsi que Ses chaussures rangées en dessous, et redescendit au salon. Je magenouillais devant Lui. Je commençais par Lui mettre Ses chaussettes, puis je passais Ses pieds dans Son boxer, et Son pantalon. Puis je Lui mis Ses chaussures. Il se releva alors pour que je puisse remonter Ses vêtements jusquà Sa taille. Je fermais la fermeture éclair et le bouton du pantalon et je fermais la boucle de la ceinture. Je Lui passais Sa chemise, en gardant la tête légèrement penchée pour ne jamais avoir à croiser Son regard.
Environ une heure plus tard, Il fit appeler la cuisinière. Il lui précisa quIl ne pouvait accepter le comportement quelle avait eu en début de matinée et quIl allait donc la sanctionner. Il lui annonça cent coups de fouet, là, dans le salon. Sur les murs il y avait des anneaux fixés sur des rails, escamotables pour que lorsquune personne vanille, elle ne puisse deviner les activités, jugées anormales par la société, du maître des lieux. Alors que Monsieur le Marquis était en train dattacher Zaō, on sonna à la porte.
- Va ouvrir, Ma chienne, et dépêche-toi ! Et à quatre pattes évidemment !
Jinspirai profondément. Je nhésiterai jamais à obéir à un ordre du Maître ! Même si je risquais fort de me retrouver en face dune personne ne faisant pas partie de notre monde D/s. Quand jouvris la porte, le facteur qui se trouvait derrière resta un instant interdit.
- Bonjour, entrez-donc ! Jen ai juste pour une seconde.
Le facteur rentra sans un mot, ahuri, mais il ne me quitta pas des yeux. Le Maître savança dans son champ de vision et claqua des doigts. Je me déplaçais donc jusquà Lui, dépassant lhomme, éberlué certes, mais aussi excité à voir la bosse qui se formait dans son pantalon. Sur un signe de Sa main, je me mis à genoux, les fesses sur les talons, les mains sur les cuisses, paumes vers le ciel, tête baissée, un sourire radieux de petite chienne heureuse et apaisée sur les lèvres. Il me caressa le dessus de la tête, comme Il laurait fait de Son chien animal.
- Je vois que ma petite chienne ne vous laisse pas indifférent. Wangdak nest pas là de la journée. Je suppose que cest lui que vous vouliez voir. Mais que diriez-vous de profiter dune chienne-soumise docile avant de reprendre votre tournée ? Je suis de mon côté occupé, cela éviterait de la laisser désuvrée.
Le pauvre facteur ne put prononcer une parole. Il ne put quacquiescer dun mouvement de tête, avec un regard denvie. Sur linvitation du Châtelain, il nous suivit dans le salon, où encore une fois il fut médusé en voyant la cuisinière nue, attachée au mur, bras et jambes en croix. Sur un « Amusez- vous bien », le Maître se tourna vers le mur après avoir saisi un fouet. Je me prosternais, cul face au facteur, prête à lui servir de vide-couilles, lui présentant sans la moindre pudeur mes orifices. Et alors que commençaient à tomber les coups de fouet et que résonnait la voix de la cuisinière comptant les coups, lhomme, dont les instincts reprirent le dessus sur sa stupéfaction, sortit son vit déjà dressé de son pantalon et me pénétra sans demander aucune explication ! Il était si excité de la situation quil me besogna la chatte au rythme des coups qui tombaient sur le dos, le cul et les jambes de Zao. Comme si le Châtelain sen était rendu compte, Il ajusta la cadence, et le dernier coup tomba au moment où le facteur sortie Sa queue de ma grotte pour méjaculer sur le dos en des jets de spermes chauds. Le Maître détacha la cuisinière et la renvoya soccuper du déjeuner, tandis que le facteur commençait à me remercier.
- Ce nest pas Ma chienne quil faut remercier, mon cher ! Elle ne fait quobéir aveuglément aux ordres que je lui donne !
- Je mexcuse Monsieur, et vous remercie de mavoir prêté Votre chienne. Bon sang ce que cétait bon !
- Je vous en prie. Mais sachez tout de même, pour information, que lon ne sexcuse jamais à soi-même !
- Je mex
je Vous prie de mexcuser alors ! Bon il faut que je reparte. Mais jespère que je verrai souvent des invités tels que Vous ici quand je devrais my arrêter ! Ne Vous inquiétez pas, je ne dirais pas à Monsieur Wangdak comment Vous vous occupez quand il est absent. Bien le bonjour !
Et il sortit. Le Maître laissa éclater Son rire à la dernière réflexion du facteur, se disant « sil savait ! »
Peu de temps après, le déjeuner fut servi. Jeus droit à nouveau à avoir ma gamelle posée à Ses pieds et jy mangeai avec bonheur. Le reste de la journée fut calme. Nous passâmes beaucoup de temps à travailler. Mais régulièrement, je servais de vide-couilles à Monsieur le Marquis soit à son bureau ou durinoir, soit dans la salle de bains afin de laisser le trop plein durine sortant de ma bouche sévacuer dans la douche à litalienne
Nous fîmes deux promenades dans les jardins, et à chaque fois, Il sasseyait une demi-heure sur un des nombreux bancs en forme de phallus creux, et Il semblait méditer. Pendant ce temps, javais droit à me coucher en chien de fusil à Ses pieds. Et ce fut pour moi des moments intenses de bonheur. Je ressentais puissamment mon appartenance à Monsieur le Marquis dEvans et un bien être indescriptible me saisissait, me faisant Lui rendre grâce silencieusement pour la chance et lhonneur quIl mavait fait de me prendre sous Son joug
(A suivre
)
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