Série Insolite. Épisode 12 : « William ». Le Sacrifice Sexuel. Partie 3/13
Je mappelle William, lors de la seconde partie mon histoire, dans la série insolite N°11, je vous avais expliqué la séparation avec ma femme la rencontre avec Agnès et mon candauliste qui me fit perdre ma petite chérie. Comme je vous lavais déjà dit, étant à 44 ans déjà directeur de lagence régionale dune multi nationale, je me rendais régulièrement au siège de la société à Paris, où jétais très estimé pour mes compétences mais aussi mon envie de réussir. André G le PDG mavait pris sous son aile et voulait que je le remplace à la tête du groupe lorsquil prendrait sa retraite.
Cet homme surnommé le macho, avait un charisme incroyable, à 62 ans, il en paraissait dix de moins, tellement il avait la forme. Il dirigeait lentreprise dune main de fer, cependant son plus gros défaut était quil adorait les femmes, toutes les femmes, la sienne bien sûr mais surtout celles des autres. De Sophie la directrice administrative, à Évelyne son assistance personnelle, en passant par de nombreuses secrétaires ou employées, il nhésitait pas à utiliser son pouvoir pour baiser toutes ces femmes qui se laissaient séduire. Toutefois sa favorite était Pascale la DRH, une femme divorcée de 53 ans, complètement dévouée à son travail.
En 2011, le poste à Strasbourg que convoitait Agnès mon ancienne maitresse, ne lui fut pas attribué, jen étais désolé, cependant je navais rien pu faire. À Lyon un poste similaire se libérait, sachant que je partais pour trois jours à Paris, elle était venue me demander, avant mon déplacement à la maison mère, dappuyer sa candidature. À Boulogne Billancourt, javais appris que la candidature dAgnès fut rejetée uniquement par Pascale la DHR. Dès mon arrivée, ne voulant pas quelle puisse refuser une nouvelle fois la mutation de ma petite protégée, jétais allé directement la rencontrer dans son bureau.
Je savais que Pascale était la favorite du boss, je navais aucune intention de la prendre à rebrousse poils, je devais au contraire me montrer assez diplomate afin quelle puisse donner son aval auprès dAndré le PDG.
Enfin ! Tu te décides à venir me voir. Jattendais ce moment depuis bien longtemps.
Me voyant rester là scotché, ne sachant plus quoi dire, elle reprit la parole : « André ma beaucoup parlé de toi et de ton célibat. » Me dit-elle dun ton sensuel et lascif. Cela voulait en dire plus quil nen paraissait, je parvins à me remettre de mes émotions et lui dit : « En fait jaimerais que tu maides sur le dossier dAgnès F de Strasbourg, elle désirerait le poste qui se libère à Lyon, peux-tu appuyer sa candidature ? » Dis-je en poursuivant le tutoiement. Elle se plaqua à moi, passa ses bras autour de ma taille et me fis une bise sur mes lèvres en me disant quelle regarderait cela : « Je nai pas le temps ce matin, pourrions-nous en reparler ce soir chez moi ? »
Pascale était pressée, elle sortait du bureau en minvitant à la suivre et me refit une nouvelle bise en sexcusant : « On dit 20 heures, je tenvoie le chauffeur à ton hôtel. » Lorsque je sonnai à son appartement, quelle fut ma surprise de voir André G, le boss lui-même mouvrir la porte en me disant quil mattendait avec impatience. Dans le salon, une quatrième personne était présente également, je reconnus immédiatement les formes généreuses dÉveline son assistante personnelle :
Installe-toi William, ici les préliminaires, les femmes le font entre elles. À poil les filles ! On commence sans plus attendre. Avait-il ordonné à ses deux maitresses.
André avait apporté deux bières, installés sur les fauteuils, devant nous se trouvaient les deux femmes habillées de façon très sexy. Lodeur de leur parfum envahissait toute la pièce, elles commencèrent leur strip-tease lascif, tout en sembrassant et en se léchant la langue, la scène était très chaude, cela mexcitait déjà beaucoup. Une fois nues en bas et escarpins, Pascale et Évelyne sembrassaient en sortant leur langue, javais une grosse érection, je navais pas fait lamour depuis deux mois et cela me réveilla les sens. Je regardais à présent les deux femmes en position 69, en train de se sucer la chatte. Les deux coquines collaient leur langue et samusaient avec leurs doigts en gémissant, elles se tortillaient de plaisir.
Ce fut André qui avait interrompu leur petit jeu sexuel en se levant et en disant : « Ça suffit, venez me sucer. » Elles sétaient levées à leur tour et dévêtirent leur maitre sans discuter ses ordres. Lui aussi était en érection, je fus très surpris de la grosseur de son sexe. Je navais pas honte du mien, avec mes quinze centimètres, mon pénis était dans une bonne moyenne, cependant le phallus du boss était digne dun acteur porno, il était assez impressionnant avec une longueur dau moins vingt centimètres et très épais. Accroupies devant lui, Pascale et Évelyne soccupaient du sexe et des bourses de leur patron, le suçant, le léchant, lui malaxant les testicules sans avoir un seul regard sur moi.
Je voulais participer, mais moi aussi jattendais les ordres, je nétais pas très à laise je ne connaissais que très peu de choses dans les soirées libertines organisées par André et je ne voulais pas le contrarier : « Allez William mets-toi à poil et viens tamuser un peu, sauf si tu ne veux que regarder. » Il ordonna à Pascale de soccuper de moi, elle me suça quelques instants, je lavais embrassée, javais malaxé sa forte poitrine légèrement tombante et métais installé derrière elle.
Tandis quAndré baisait encore sauvagement son assistante qui criait de plaisir. Il appela Pascale pour la remplacer pendant que je finissais ma bière. Le boss la ramonait fortement, la tenant par la taille. Il se retira et éjacula sur le visage dÉvelyne qui présentait sa langue. Les deux femmes sétaient remises dans leur position favorite afin de reprendre du plaisir. Après seulement quelques minutes, André était de nouveau en pleine érection, il les baisa tour à tour pendant que jessayais de reprendre des forces, javais des difficultés à bander. Tant bien que mal, jy était parvenu grâce à Évelyne qui sut avec sa bouche me donner la force nécessaire pour la satisfaire pleinement.
Le lendemain soir, après la soirée travail, passée au restaurant, jétais monté à larrière assis à côté dAndré. Gédéon le chauffeur arrêta la voiture une première fois devant chez Évelyne qui en descendit puis reprit la route. Soudain le patron me demanda comment javais trouvé la soirée de la veille et me dis en posant sa main sur ma cuisse : « Je pensais que tu serais bien plus performant. Préfères-tu les hommes ? Moi ça ne me dérange pas, si tu veux. » Finit-il par dire en montant un peu plus sa main. Je ne savais plus où me mettre, le boss me faisait des avances, javais essayé dans ma jeunesse avec mon meilleur copain, nous avions trouvé cela marrant, cependant une fois que nous avions connu des filles, nous nétions pas allés plus loin.
André passait à présent sa main sur ma braguette et caressait sans pudeur mon sexe. Le pire, était quil me faisait de leffet, je fus surpris de bander sous la main dun homme et jétais encore épuisé de la veille. Je me retrouvais dans une situation plus que délicate, si jamais je lui refusais que marriverait-il pour la suite de ma carrière ? Ce fut la raison pour laquelle, je ne lui retirai pas sa main et lui répondis : « Pourquoi pas ! Mais il se fait tard, vous nêtes pas un peu fatigué ? » Il se mit à rire aux éclats et se moqua littéralement de mes performances sexuelles, ce qui mavait blessé, surtout vexé car avec ce que je venais de lui dire, je pensais quil me testait.
Pendant les cinq minutes qui restait de trajet, André mavait pris la main pour que je la pose sur son sexe, je navais pas refusé et jessayai de ne pas le décevoir. Gédéon arrêta la voiture, nous étions arrivés devant mon hôtel. En descendant je voulais dire un simple « bonne nuit » mais je vis André descendre à son tour en disant au chauffeur daller se garer sur le parking et de lattendre : « Tu nes pas contre que je monte avec toi. » Mavait-il demandé. Je ne savais plus comment faire, jétais très gêné et en même temps je me voyais mal lui refuser après lui avoir caressé le sexe.
Javais bredouillé un : « Euh...non » et cinq minutes plus tard, nous étions sous la douche où il navait pas hésité à me préparer, jétais comme un adolescent jappréhendais linstant. Arrivé dans la chambre, il ne tarda pas à mordonner dun ton autoritaire : « Suce-moi » Javais immédiatement obéi en me mettant à genoux devant son phallus quil avait libéré en ouvrant la serviette de bain quil tenait autour de la taille. Le souffle un peu coupé et le cur battant la chamaille, japprochai mes lèvres de cette verge de 20 cm dure comme du bois. André était exceptionnel, il avait déjà éjaculé trois fois la veille et à 62 ans, il bandait encore comme un taureau. Javais glissé son membre dans ma bouche et je mappliquai à le satisfaire.
Ma peur sétait estompée, je fus surpris dapprécier sucer ce beau calibre que je faisais coulisser entre mes lèvres. Après une petite dizaine de minutes de suçage, léchage et de jeu de langue sur son gland, André éjacula de gros jets de sperme sans me prévenir. Je recrachais sa semence, jétais écuré, toutefois il me félicita pour ma fellation, il avait bien apprécié ce moment. Il me poussa sur le lit à plat ventre et vint derrière moi et se mit à me lécher lanus en me triturant les fesses. Javais moi aussi aimé sa langue et son doigtage, jétais stupéfait, il était une nouvelle fois en pleine érection alors que mon sexe était loin de bander.
Il était parvenu à me lubrifier et à détendre ma rondelle et jen avais retiré un certain plaisir. Il me prit par surprise, il entra son gros phallus dans lanus : « Non ! Aïe ! Ouille ! Oh Non ! » Criais-je, lorsque son gland me pénétra puis face aux assauts de cette longue queue. Il croyait que mes cris étaient dus au plaisir mais ce nétait pas tout à fait le cas, même si à certains moments jappréciais de le sentir en moi. Pendant ses va et viens puissants, je me mordais les lèvres et serrait fortement loreiller. Il avait tout de même compris que je nétais pas très à laise.
Il me fit changer de de position, ralentit la cadence et fut un peu plus doux, tout en me disant de me laisser aller aux plaisirs et quil aimait me baiser le cul. Me voyant gémir et pousser quelques petits cris inaudibles, il avait même fini par me dire tout en allant et venant dans mon rectum : « Je vois que tu aimes ça ! Hein William ! » Je navais pas voulu lui répondre non, je dis un petit « oui » pas du tout convaincu. Pendant quil menculait, il me branlait avec insistance et face à ses coups de reins et de ses coups de poignets, javais fini par éjaculer une petite quantité de sperme.
Toujours à quatre pattes sur le lit, me prenant en levrette, plus je me détendais, plus jappréciais sans toutefois prendre un réel plaisir, il était bien trop gros et cela mirritait lanus. Enfin mon calvaire pris fin, il se retira et me demanda davaler sa semence. Heureusement pour moi, il ny en avait plus beaucoup et sans me forcer, javais tout englouti sans respirer. André était une bête de sexe, je nen revenais pas. Il se rhabilla rapidement et me remercia :
Jadore les jeunes comme toi William ! Toujours prêt à se sacrifier, ça prouve ta détermination à réussir dans la vie.
Merci Mr G ! Lui dis-je du bout des lèvres.
A demain William ! Rassure-toi, les hommes ce nest pas mon truc. Je ne te redemanderai plus. Au fait ta petite Agnès, je la trouve bien mignonne. Pascale a donné son aval, je la reçois la semaine prochaine pour finaliser sa promotion. Je pense quelle est à ton image, motivée pour réussir. Je me trompe ?
Javais remercié André de sêtre personnellement donné la peine de soccuper du dossier de ma petite protégée. Cependant je me doutais bien que lavenir dAgnès ne se jouerait pas uniquement avec ses compétences professionnelles. Cet homme était un vrai prédateur, je venais den payer le prix et ce nétait sans doute pas assez pour lui. En rentrant à Strasbourg, javais mis en garde Agnès après lui avoir annoncé que sa demande était sur la bonne voie : « Tinquiète jai prévu dy aller avec Jérémy. » Quelques jours plus tard de retour à Paris, Agnès vint dans mon bureau et me sauta au cou et membrassa dune dizaine de bises sur les joues. Elle était folle de joie, non seulement le PDG acceptait sa promotion mais il faisait intégrer Jérémy dans le service informatique à lagence de Lyon.
Je ne métais pas permis de lui demander dans quelles circonstances elle avait obtenu ce résultat, néanmoins jétais très heureux pour elle, même si je perdais là un bon élément. À chacun de mes voyages à la maison mère, André me posait toujours la même question : « As-tu enfin une maitresse ? » Il se désolait pour moi, il me tarabustait en disant que le sexe était pour lui indispensable dans la vie, il donnait léquilibre nécessaire à un bon dirigeant dentreprise. Il tenait beaucoup à ce que je prenne du plaisir dans les bras dune de ses nombreuses femmes quil avait à sa disposition.
André avait une liste incroyable de maitresses dans lentreprise, si de nombreuses employées qui se donnaient à lui, étaient mariées et trompaient leur mari afin de préserver leur emploi, certaines couchaient avec lui par pur plaisir. Discrètement, il me les désignait, lorsque nous faisions la visite dans les bureaux et me donnait de nombreux détails, tout en leur attribuant des notes sur leurs performances sexuelles. Pour moi, si le physique de ma maitresse devait me correspondre, il était important que jeusse quelques sentiments pour elle, afin dêtre pleinement satisfait.
Sachant que jallais probablement prendre un jour la direction de la société, je ne voulais pas mamuser avec lune dentre elle. Je nétais pas comme le boss, je ne désirais pas mélanger le plaisir sexuel avec le travail. Depuis notre soirée chez Pascale, il avait demandé à son assistante Évelyne, de me tenir compagnie pendant les soirées passées à Paris. Par respect et pour ne pas le froisser, je navais pas refusé, dautant plus quétant du même âge, nous nous entendions très bien. Nous navions pas de sentiments forts lun pour lautre, cependant Évelyne me plaisait bien.
Côté sexe, elle navait rien à apprendre, cétait une vraie amazone prête à tout pour satisfaire lhomme que jétais, elle me mettait à plat en moins de deux et jen avais pour un mois pour récupérer. André avait très vite compris mon problème de candaulisme, Évelyne étant friande du sexe de Gédéon le chauffeur, le boss lavait invité à une de nos soirées intimes. Dorigine africaine, celui-ci avait un pénis encore plus grand et plus gros que celui dAndré et lorsque ma verge remplaçait la sienne, dans le vagin ou dans le rectum, javais limpression quÉvelyne ne la ressentait pas, je me faisais un complexe sur la grosseur de mon sexe.
Je me contentais donc de les regarder comme je le faisais en matant ma femme baiser avec ses amants, sans avoir ce petit piquant dêtre cocu. Je dois dire que cela mavait tout de même bien plu, de les voir baiser pendant des heures. Lorsque jétais prêt, je mapprochais dÉvelyne, elle sortait le grand jeu, après avoir déballé ma verge raide de mon slip, elle glissait mon pénis entre ses lèvres pour une longue et délicieuse fellation. Pour moi, cétait un plaisir intense, je voyais dans ses yeux quelle aimait entendre les petits cris de satisfaction que je poussais lorsque je déversais entièrement mon sperme dans sa bouche.
Voilà comment, pendant trois ans, une fois par mois, je satisfaisais André avec mes relations sexuelles et cela métait complètement suffisant.
Pourtant en 2014 tout alla changer, lorsque je rencontrai pour la première fois, Sarah lhôtesse daccueil.
Mais cela est une autre histoire quelle vous racontera dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme William, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!