Mon Cousin

Tout commença lors de vacances d’été dans notre maison de famille. Chaque été nous nous retrouvons dans la maison de mes grands-parents avec mon oncle et mes cousins. Nous sommes le 13 juillet, j’ai 18 ans et nous venons d’arriver dans cette vieille bâtisse mes parents, mon frère et moi. Il fait déjà très chaud et nous ne sommes pas mécontents d’être enfin dans ce havre perdu au milieu de nul part.

Mes cousins sont déjà là et nous attendent dans la piscine. Ma grand-mère affiche son joli sourire et se réjouit déjà de pouvoir profiter pour 3 semaines de l’ensemble de ses s et petits-s même si la maison va être complète. Il est convenu que mon cousin, Paul, et moi partagions la même chambre et le même lit ce qui ne nous dérange pas vraiment. Il a 3 ans de plus que moi et j’ai toujours eu une profonde admiration pour lui. Il s’est toujours montré protecteur et bienveillant avec moi, cherchant en permanence à m’apprendre quelque chose si bien qu’une grande complicité s’est nouée entre nous. Bien qu’ayant des traits similaires et un profil très hispanique : le teint mate, les cheveux et yeux très noirs il est beaucoup plus carré que moi et il lui apparait déjà des poils sur le torse.

Les premiers jours se résument à des diners, des jeux, bronzage et piscine. Les journées passent très vite et nous avons peu de moments pour être seuls. Le soir, j’aime les longues discussions au lit avec mon cousin. Il m’interroge sur le lycée, me raconte ses aventures, ses copines. Nous n’avons jamais eu aucune pudeur entre nous et j’aime quand il me raconte les détails les plus intimes de ses aventures coquines. Je n’ai en revanche que très peu de choses à raconter hormis quelques petites masturbations et baisers cachés.

Le 4eme soir de notre arrivée nos discussions tournent très vite à des sujets sexuels. La chaleur aidant et l’abstinence ou quasi abstinence de ces premiers jours font que la pression et le désir d’un soulagement se font ressentir.

Plus la discussion avance et plus je ne peux contenir une érection. Mon pénis est tendu, je n’arrive plus à détacher mes pensées de ce plaisir de l’éjaculation et ne parvient plus à me concentrer. J’envisage tous les stratagèmes pour trouver comment parvenir à mon soulagement : attendre que Paul dorme, aller aux toilettes, s’enfermer dans la salle de bain malgré l’heure tardive…que faire…quand mon cousin me sort de mes rêves :
- ohé je te parle !
- ah désolé, j’ai bugué
- tu pensais à quoi ?
- non rien
- bon mon petit j’ai compris, je crois on a besoin de la même chose
- genre
- tu te branles pas tous les jours ?
- ouais quasi
- pareil et là ca fait 4 jours et je tiens plus
- je cache un rire gené et murmure un : pareil
- bon si t’es ok, on s’en tape une petite pour bien dormir ? on est entre nous et on a l’habitude de se voir à poil et je tiendrai pas toutes les vac de toue façon.

J’accepte, je sens mon cœur battre très vite : être là, nu à côté de lui non que l’on soit pudique mais je ne l’ai jamais vu en erection.
La lumière est éteinte et je le sens repousser les draps à nos pieds, enlever son caleçon. Je fais rapidement de même et écoute sans bouger. J’essaye d’observer, j’ouvre grand les yeux dans le noir mais ne vois rien. Je ne peux qu’entendre le frôlement de ses mains sur son torse, ses poils puis peu à peu ce bruissement de va et vient.
Mon pénis est dur, tendu, je suis fou d’excitation : j’ai envie de courir partout pour me calmer. Je sais que j’ai des tendances homosexuelles, j’aime regarder mes potes dans les vestiaires, je fantasme sur des hommes et regarde des films porno gays parfois.

Plus que l’abstinence, c’est la situation, la sensation qui me transcende. L’idée même que l’on puisse partager jusqu’à cette intimité avec son cousin. Je me sens si bien.
Je me masturbe doucement pour pouvoir l’écouter, le ressentir, le respirer. Je le sais maintenant dans un autre monde, il est dans son monde, sa bulle.
J’entends sa respiration s’accélérer, rythmée, irrégulière. Il est heureux. Je sens le lit bouger à la vitesse de sa masturbation. Il passe d’une main à l’autre, il soupire, s’arrête, reprend, il retarde le moment. Je ne suis plus là, seul son plaisir compte.
Je voudrais tellement le voir, qu’il me voit aussi. Je hais cette obscurité. Que faire, je dois me dépêcher…ça y est j’ai trouvé :
- attends j’allume une seconde, faut qu’on trouve un truc pour s’essuyer avant d’éjac !
Sans attendre j’allume la lumière.
Je le vois enfin, il sort brusquement de ses doux rêves. Sa main tient encore son penis gonflé. Je lis dans son regard un instant d’hésitation mais il est trop tard. Il est là étendu, nu, il ne peut plus se cacher. Je désamorce la gène immédiatement :
- ouah ca fait un bail que tu t’es pas fait une tonte d’été
- ouais j’avais envie de laisser pousser pour changer. Regarde voir dans mon sac j’ai peut-etre des mouchoirs.

Je suis nu devant lui. Je n’ai plus de gène ni pudeur. Il me voit en érection. J’aime cette sensation de liberté : je bande librement devant ses yeux.
- non il y a rien. Bon pas grave, on a qu’à faire dans mon caleçon, je le rincerai demain avant de la mettre au sale.
Je retourne au lit et dépose le calecon entre nous :
- c’est marrant on a la même bite. On voit qu’on est de la même famille.

Il détache sa main et à l’air de comparer. C’est une réalité probablement génétique : on possède un pénis d’une quinzaine de centimètres, le gland bien décalotté et qui part en pointe vers le haut.
- on repart ?
Il ferme les yeux et recommence les va-et-vient. Une main se caresse le torse, l’autre tient fermement son bâton. Une légère marque humide est laissée dans le bas de son ventre dans un nid de poil.
Je ne pense à rien, le regarder nourrit mon excitation. Quelques minutes passent quand il me demande d’éteindre la lumière. Il préfère toujours la lumière éteinte m’explique-t-il.

Je m’exécute à regret en jetant un dernier regard sur ce paysage.

Peu à peu le rythme reprend. Sa respiration s’accélère et je peux maintenant l’imaginer au sommet de son plaisir. De petits râles sortent de sa bouche, son corps se soulève légèrement. Il écarte les jambes, je l’imagine se caresser les testicules. Ses pieds touchent parfois les miens. Je n’existe plus, seul son plaisir compte.
J’égalise ma cadence à la sienne, je le sens prêt à venir. Je veux ressentir le même plaisir. Son corps se raidit, je le perçois dans le lit, sa respiration s’accélère, sa masturbation va de plus en plus vite, il passe de la main droite à la gauche, j’entends le bruit que son gland humide fait : clac clac. Il sursaute doucement, je sais que c’est la fin. Je m’interdis de jouir avant lui. Je le sens venir, il repasse à sa main droite. Je sais au fond de moi que c’est le signe de sa jouissance. Il se raidit complètement, et là il sort de sa bulle, il s’éveille, il sait qu’il n’est pas seul et me dit : ah je vais éjac, je tiens plus.

Je sens son éjaculation, son sperme jaillir sur son torse, sa respiration se fait par à coups. Il tente de jouir en silence mais j’entends son plaisir.
Je suis comme , je me libére, je ne peux plus me contenir, mon corps se raidit pour laisser échapper ce poids.
Je suis dans un autre monde mais sors de mes rêves par Paul qui me tend mon caleçon avec lequel il s’est essuyé : tiens mec si tu veux te sécher !
Je le pose sur ma bite, je sens l’humidité, la chaleur des restes de mon cousin sur ce morceau de tissu. J’apprécie ce dernier moment, je frotte lentement et sens le partage de nos spermes.
Je suis comme tétanisé, je ne peux plus rien, je ne sais pas ce qu’il m’est arrivé. J’entends juste une voix rauque à côté de moi qui me dit : « pouh ca fait du bien ! allé bonne nuit à demain. Je dors à poil j’ai la flemme de chercher mon boxer ».

Dans le silence nous nous endormons, libérés d’un poids.


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