La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°966)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°965) -
Jy grimpais donc, renifla et fit un tour sur moi-même et me coucha en chien de fusil, comme laurait fait lanimal
Le lendemain matin, le Maître se réveilla tôt, plus tôt même que Wangdak. Il avait beaucoup de route à faire pour atteindre laéroport et remplir toutes les formalités administratives pour que Ses nouveaux chiens puissent partir en France rapidement, avec tous les objets quIl avait acheté au marché. Il partit sans avoir dérangé personne pour un éventuel déjeuner, et me déposa dans le quartier des chiens, m'attachant à une niche vide. Quand le tibétain vint libérer ses chiens pour quils aillent remplir leurs tâches quotidiennes, il ne fut pas surpris de me trouver parmi eux.
- Je me doutais que mon ami voudrait partir tôt ce matin, mais je ne peux pas moccuper de toi tout de suite. Mais jai une idée !
Il me traina dans la salle à manger où il devait passer un certain temps. Il exigea que je me tienne à genoux, jambes écartées, main sur la tête. Il quitta la pièce et revint un quart dheure plus tard avec quelque chose dassez imposant, sur roulette, mais couverte par un drap, ce qui fit que je ne pouvais pas savoir ce que cétait. Il déplaça une table réglable en hauteur qui se trouvait dans un coin de la pièce et la plaça en son centre. Il exigea que je monte dessus et que je me mette en levrette. Il me banda les yeux. Il appliqua des plaques métalliques sur mes chevilles, quil fixa à la table, idem pour les poignets. Il déplaça la chose roulante derrière moi et en enleva le drap. Il y avait en dessous une sexe-machine avec deux godes, longs et épais fixés sur des tiges métalliques pouvant se mouvoir en des vas et viens réglables. Il en positionna un devant ma chatte, et devant ma rondelle. Il les fit pénétrer en moi lun après lautre, réglant la profondeur et langle, afin quils me pénètrent le plus profondément possible, sans toutefois que ce ne soit trop douloureux.
- A chaque fois que tu jouiras, je noterai une séance de vingt coups de fouet. À toi de voir si tu préfères jouir et subir le fouet, ou si tu préfères continuer ton entrainement sans avoir été sanctionnée avant
Il sinstalla pour prendre son petit déjeuner. La table où je me tenais était placée en face de lui. Il avait pris un bloc note et un stylo à portée de main pour noter le nombre dorgasmes que je pourrai éventuellement avoir. Il activa les appareils grâce à une télécommande, et se fit servir. Il prit son temps pour manger, il mit une bonne demi-heure. Puis après, il alla chercher des dossiers et se mit à travailler à la même place dès que son repas fut débarrassé et la table nettoyée. Jutilisais toutes les techniques que je connaissais pour contrôler ma respiration, essayer de contenir les montées de plaisir qui venaient par vagues successives de plus en plus rapprochées. Mais alors que jarrivai à lutter plus ou moins bien, il appuya sur sa télécommande et tout fut plus intense, les mouvements saccéléraient, les rotations et les vibrations plus rapides
Et alors que cela faisait une heure que je tenais tant bien que mal, je ne pus retenir un violent orgasme foudroyant, qui dura de très longues minutes où je ne pouvais retenir des longs cris puissants de jouissance, même après que Wangdak eut stoppé et retirer les appareils, javais encore des spasmes jouissifs sur toute mon échine. Et quand il meffleura du bout des doigts mes lèvres intimes, je jouis une seconde fois en hurlant de plaisir de nouveau tellement lexcitation de mon sexe gorgé et gonflé de sang était à son paroxysme.
- Ah je savais bien, la chienne, que même une soumise MDE devait avoir ses limites ! Je métais juré de te faire plier avant votre départ ! Ce sera donc quarante coups de fouet, et après on passe à lentraînement. Enfin, ne te traumatise pas trop, avec le traitement que je tai infligé, je ne connais personne qui naurait pas joui ne serait-ce quune seule fois. Monsieur le Marquis a de quoi être vraiment fier de toi !
Il me détacha, menleva le bandeau qui me couvrait toujours les yeux, ce qui méblouit quelques secondes, puis il prit ma laisse et me conduisit au donjon. Il attacha mes poignets avec des anneaux qui pendaient au bout de chaines fixées au plafond et les régla de manière à ce que jai les bras très écartés et étirés, et que mes pieds touchent à peine le sol.
- Evidemment, je ne veux pas entendre le moindre son, à part le décompte des coups !
Les coups tombèrent, sèchement, rapidement, au point quentre la douleur et la vitesse javais du mal à tenir le compte sans en sauter. Je serrais les dents, mais les coups étaient vraiment durs et douloureux ! Et sans léducation que javais reçue au Château, je naurai pas pu ne pas crier sous la morsure du fouet du tibétain
Il ne restait que peu de temps pour la séance dentrainement. Mais était-ce parce que nous devions partir le lendemain, il fut plus sévère et intransigeant que les fois davant. Cette fois-ci, ce fut la badine que mon corps sentit régulièrement pour donner la cadence. Les deux heures passèrent rapidement, mais furent éreintantes ! Wangdak menvoya prendre une douche, froide, tandis quil allait déjeuner, me recommandant daller laper ma gamelle dans la cuisine dès que jaurai fini de me laver, et précisant quensuite, il me sortait, en accord avec le Châtelain. Cela mintrigua grandement, je me demandais ce qui allait mattendre, mais je ne trainais pas pour autant et après un passage rapide mais efficace dans la salle deau, je me dirigeais vers la cuisine.
A peine eussè-je fini que Wangdak arriva et memmena avec lui sans un mot, ni un regard pour la soumise cuisinière. Après quelques temps de route, où jétais dans le coffre nue avec mon collier et ma laisse, donc je me doutais que ce ne serait pas à la secrétaire que lon ferait appel, nous nous arrêtâmes dans une petite ruelle et pénétrions dans un immeuble par une porte de service. Nous montâmes tout en haut, et entrâmes dans une salle qui faisait tout létage. Des petits boxes étaient répartis tout autour dune scène qui se trouvait en plein milieu. Les lumières étaient tamisées, dépais rideaux empêchaient la lumière dentrer. Les murs étaient noirs, le plafond et les canapés étaient rouges. Wangdak me conduisit jusquà un box où se trouvaient deux hommes. Je vis rapidement quil y avait beaucoup de couples, ou groupes, avec des soumis et des soumises, nus, utilisés ou non. A écouter la discussion des trois hommes, nous étions là pour signer un contrat de vente, et pour faire baisser le prix, Wangdak leur avait proposé de mettre deux heures à leur disposition une chienne de qualité
. Un des deux hommes héla une des personnes présentes pour veiller à ce que personne ne manque de rien. Il lui parla bas, et je ne compris pas ce quil demandait. Je restais près de Wangdak, qui discutait avec passion, qui avait exigé que je reste à quatre pattes. La personne revint avec une sorte de caisse dont les parois senlevaient visiblement facilement. Ils posèrent le fond sur la table posée devant nous et my firent mettre toujours en quadrupédie. Le bout de mes doigts arrivait juste au bord des planches, et mes jambes dépassaient
Les trois hommes plaquèrent une paroi derrière moi, contre mon cul, et à lair que je sentais dessus, je compris quil y avait une ouverture à cet endroit.
- Cest bon, on vous fait le rabais demandé, et même je vais laugmenter ! Vous avez de la chance de posséder une si belle chienne, tellement salope, et si bonne suceuse !
Wangdak sourit, mais ne dit pas que je ne lui appartenais pas. Il maccorda le droit de me coucher à ses pieds le temps quil finisse de signer les papiers et le chèque qui scella la vente, puis nous partîmes, au moment où la soumise sur scène eut le droit de jouir et hurla son orgasme. Au moment où la voiture rentra sur le terrain, celle du Maître arriva également et ce fut lui qui me fit descendre du coffre.
- Cest bon tout est réglé, mes biens partiront demain matin, et nous nous prendrons un vol demain après-midi.
- Si Vous le voulez, je me charge de faire emmener Votre chargement du matin, comme ça, Vous pourrez être tranquille jusquà ce que ce soit lheure pour Vous de partir.
- Jaccepte avec plaisir ! La journée a été longue, et je pense que japprécierai de pouvoir me reposer demain matin. Dailleurs si Vous le voulez bien, je laisserai ma chienne avec vos chiens, pour la nuit, à moins que vous ne vouliez lutiliser
- Pas de soucis, elle a une niche de prête ! Voulez-Vous que nous prévenions la cuisinière maintenant quelle part demain également ?
- Non pas avant quelle ne doive retourner dans le quartier des chiens, elle risquerait de saboter son service exprès.
- Très bien. Vous avez raison, alors allons diner, parce que jai une faim de loup !
Le Maître saisit ma laisse, et je les accompagnais dans la salle à manger. Après avoir dévoré la gamelle que lon me posa sous la table, je suçais tour à tour les deux Dominants, ayant là un merveilleux dessert
Quand ce fut lheure de rejoindre les niches, ce fut Monsieur le Marquis qui annonça à Zao quelle prenait lavion le lendemain pour un séjour à durée indéterminée au Château. La soumise blêmit mais ne dit rien, surtout que Wangdak rajouta que cétait sa punition pour avoir manqué de respect à leur invité de marque, et que finalement, ce nétait pas tant que cela une sanction, si on considérait quelle devrait nen revenir que meilleure soumise. Puis tout le monde se sépara pour se reposer avant de commencer de nouvelles aventures
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!