Collection Agent S69. Amsterdam - Madrid (2/14)
Incroyable, je viens dêtre engagée par les services secrets pour mon aptitude à apprendre les langues ainsi que mon physique.
Il est vrai que je suis jolie fille et surtout après avoir perdu mon pucelage je suis devenue accro au sexe et même folle de cul.
Prenez maintenant, Virginie la chef de mon service vient de me nommer agent S comme sexe, je suis dans une camionnette dans une tenue frisant la provocation, ce qui est normal là où je vais.
On membarque dans un jet pour être conduite à Amsterdam dans les quartiers chauds de la ville dans une vitrine où je vais faire la pute afin de récupérer un cur rose quun client, dois me remettre.
Je devrais le rapporter à Virginie ma responsable dans lorganisation.
Mon short me rentre dans les grandes lèvres et je profite dêtre seule pendant que nous roulons pour être à deux doigts de me caresser le vagin, Virginie ayant refusé que je mette des sous-vêtements.
Taxi comme prévu à la sortie de laérogare et arrêt devant des vitrines.
Vous êtes arrivée, Madame, voici la clef vous permettant douvrir la vitrine qui est dans le noir en ce moment au milieu des autres.
Je vous admire pour les risques que vous prenez pour la France.
Il y a bien longtemps quand je suis entré dans le service actif pour défendre notre pays, jespérais avoir des missions aussi importantes que la vôtre.
Offrir son corps à son pays pour résoudre les problèmes créés par daffreux personnages chapeau, alors que mon travail se résume à des parcours comme celui que nous venons de faire.
Regardez la voiture C1 qui est devant nous est celle prévue pour votre retour, je sais que vous en avez les clefs, des instructions sont à lintérieur pour votre retour.
Merci de vos encouragements, il est vrai quoffrir mon corps est aussi valorisant que ceux qui le font pour la science sauf quils sont morts.
Si un jour jai une mission très dangereuse requérant la présence dun autre agent, je demanderai que lon fasse appel à vous.
Je vous remercie, mais jai épousé une Néerlandaise qui ma fait trois s et qui pèse 110 kilos.
À chacun sa croix.
Nous ne nous reverrons peut-être jamais, votre mission aujourdhui doit être de première importance pour que lon vous demande de faire la pute, bonne chance à vous.
Je descends de la voiture qui démarre et je traverse la rue entrant dans la vitrine pour faire mon boulot, une chaise pour attendre comme la collègue voisine les jambes écartées pour bien les faire bander.
En moins de 10 minutes je deviens une pute quand le premier client me fait signe si jaccepte quil entre.
Il me donne 60 la lumière éteinte dans la vitrine, je lemmène dans larrière-salle où un lit est à notre disposition.
Je le reçois en moi, il remplit rapidement sa capote après que je lui ai fait sa petite toilette, jai le temps de jouir de cette passe me montrant que je suis vraiment chaude de la chatte.
Deux, trois quatre, si je dis que je méclate jouissant chaque fois, personne ne me croirait, cest pourtant ce qui marrive, mes clients semblent étonnés de mavoir donné du plaisir.
La passe suivante, cest un garçon jeune, bien mis qui entre et en même temps quil me donne les billets me glisse une chose plus épaisse.
Je mets le tout dans mon sac à dos, jai juste le temps de voir que lobjet est rose, mais si je suis surveillée, jévite de contrôler que cest bien le cur qui ma été remis.
Le garçon semble attentionné au point que je me surprends à penser pendant quil me laboure me faisant crier de plaisir quen d'autres circonstances jaurais pus en tomber amoureuse.
Lorsquil est sorti, je pourrais rentrer à Paris, mais je me lave, remets mon short et je rallume la lumière, le client suivant qui ne tarde pas veut que je le suce en le masturbant.
Sa verge est grosse et jaurais aimé quil me défonce, mais le client est roi aussi outre largent le sperme que javale me fait passer un bon moment.
Je suis crevé quand sonnent les douze coups de minuit à une église voisine.
Il va falloir rentrer, douze clients, jignore combien jai gagné, on verra plus tard, je récupère les clefs de la voiture dans mon sac à dos et je me mets au volant.
Le G.P.S. me fait sortir dAmsterdam, à la première station dessence je marrête comme la note posée sur le survêtement à ma taille me le demande.
Je passe la frontière passant en Belgique que je quitte pour retrouver la France, je fais quelques kilomètres quand dans mes rétros je vois le gyrophare de la police qui me ratt sirène hurlante.
Je marrête.
Madame, contrôle de police, présentez-moi vos papiers et ceux du véhicule.
Il me demande cela me saluant, on est la carte grise, jouvre mon sac et je sors la liasse de billets gagnés que je pose à mon côté ainsi que le cur rose avant de trouver mon portefeuille.
Votre permis de conduire aurait été suffisant, dites-moi comment vous appelez-vous.
Odile, je me souviens et coup de chance, la mémoire me revient quand je pense à la courtoisie.
Odile Courtois vingt-quatre ans de Nanterre.
Trois sur quatre, en me donnant votre carte didentité vous me montrer quOdile habite à Montrouge alors que vous venez de me dire Nanterre, vous mériteriez que je vous emmène à la brigade de lautoroute.
Monsieur lagent, je suis crevée, laissez-moi rentrer chez moi.
Je comprends, une jolie femme venant de Belgique avec dans son sac une liasse de billets je comprends quelle soit fatiguée.
Cest à Amsterdam pas en Belgique, pardon la fatigue me fait dire nimporte quoi.
Bien, roulez, mais à la première station faites changer votre feu arrière hors service.
Il me salue et me fait signe de rouler, quelle conne je me rends compte que je viens de dire à un agent que je viens de faire la pute en Hollande, bien jouée la spécialiste des services secrets.
Jarrive à Paris et je vais quai de seine, la porte est close, mais il y a une sonnette, jattends vingt minutes, quelque chose méchappe, je décide de garder la voiture et de rentrer dans ma chambre, douche, réveil et dodo.
Je vais pour monter dans un autocar avec mes copains et copines de fac pour aller passer le week-end au bord de la mer, le car est plein et on me fait monter dans le suivant où il ny a que des garçons.
Je me vois prendre une place au fond entre deux beaux gosses, ils veulent me prendre la chatte, je leur propose de mallonger contre 60 , je commence à me les faire les uns après les autres, la moitié du car me passe dessus, jadore, mon cerveau enregistre tout, mais de manière un peu floue.
« Il est 9 heures, bonne journée »
Jouvre un il repu de fatigue par la route et non par ces bites de garçons puceaux qui mont accompagnée dans mon sommeil, jai rêvé à cette orgie, je suis vraiment devenue folle du cul.
Je me douche et je vais sur la table récupérer le survêtement, les clefs de la voiture et le cur rose que jai déposé à mon arrivée.
Panique, je sors et la voiture brille par son absence, je prends le métro et jarrive à la banque ou la femme derrière son pupitre me salut, je passe la porte et me retrouve dans lespace pour attendre lascenseur.
Même sensation que rien ne bouge, les portes souvrent et je rejoins le bureau de ma chef passant au milieu de la fourmilière tous me saluant comme faisant parmi deux.
Entre Juliette, assieds-toi, je tattendais.
Je vois tout de suite lampleur des dégâts quand je vois sur le bureau, mes affaires mayant servie à assumer mon service dans la vitrine, mais surtout les clefs de la voiture et le cur rose.
Débriefons ta mission.
Elle prend le cur rose comme si de rien nétait, louvre et se poudre le nez.
Merci de mavoir rapporté mon poudrier, mission réussie pour cette partie, il nen est pas de même pour ton retour, heureusement que les policiers qui tont contrôlé faisaient partie du service.
En peu de temps tu as été incapable de donner tes coordonnés leurs montrant que tu avais des choses à cacher, le lieutenant qui ta suivi sans que tu le remarque a pu entrer dans ta chambre.
Il a failli te réveiller quand il ta vu nu sur ton lit tagiter écartant tes cuisses comme si tu te faisais baiser, mais sa conscience professionnelle lui a ordonné de finir son travail et il ma rapporté la voiture et surtout mon poudrier qui me manquait.
Tu es recalée, dommage jespérais beaucoup de toi.
Madame, je vous en supplie, redonnez-moi une chance, je vais vous faire voir que je mérite votre confiance.
Dans ce service soit lon comprend, la dureté de notre métier soit lon disparaît dès sa première mission.
Je veux bien faire une exception, mais je veux cent pour cent de réussite surtout que cette mission un de cinq ans pourrait la réaliser bien quil va te falloir conduire.
Va dormir, car demain tu pars pour Madrid, tu iras devant lentrée A1 du stade Santiago Bernabeu, un homme, ton fiancé sapprochera et te remettra un papier que tu es chargé de nous rapporter, voici tes papiers, tu tappelleras Adrienne Lemarchand, tu as toujours 24 ans et tu habites Bordeaux ou tu vas à la fac de droit.
Bonne route et bonne mission car sinon la porte.
Je dors, mais je travaille, japprends la fiche qui ma été remise et le matin suivant je prends la route dans la C4 qui ma été amenée sur le quai de seine en face de la banque, je marque un point, car avant de démarrer, je contrôle la voiture et je maperçois que le niveau dessence est au plus bas.
Je retourne voir Virginie qui rigole, jai évité de me faire piéger, elle téléphone et une dépanneuse arrive et le chauffeur à la musculature saillante vide un bidon dans le réservoir.
Jarrive à Madrid, ma chef a oublié de me dire que cétait jour de match et quil mest impossible darriver à la porte A1 avec la voiture, le stade se vide, la foule est en liesse et je me fais charrier par cette horde de supporters.
Le calme revient, les barrières sont levées et je peux approcher de la porte A1, il fait très chaud aussi jouvre ma fenêtre espérant ressentir un peu de fraîcheur dans cette nuit.
Jattends une heure persuadée que ma mission a échoué et que les services secrets sont terminés pour moi, une ombre passe entre le réverbère et moi, un garçon avance, je sors ma tête pour lappeler et je sens une piqûre dans mon cou.
Bonne nuit, je perds conscience
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