Mon Prof De Droit Partie 3 (+ Pascal)
En rentrant chez moi avec les images encore fraîches de Marc en train de me prendre dans la salle annexe, je suis encore pas mal excitée... Sa peau contre la mienne, son souffle contre ma peau... jai des frissons dexcitations.
Je décide alors décidé de lui envoyer un mail pour le remercier et que je suis sur ma faim .
Il me répond sèchement quil est avec sa femme et quil ne peut me répondre maintenant mais que je dois attendre.
Je suis un peu étonnée, je ne pensais pas quil était en couple. En tout cas il ne me lavait pas dit et paraissait en manque de sexe comme il le disait bien : « jai envie de toi putain ça fait si longtemps ! ».
Je ne me laisse pas abattre.
Je vais sur fruitz (une application pour rencontrer des gens selon ton envie).
Quelques minutes plus tard, des dizaines de mecs mont déjà envoyé un message. Mais celui de Pascal a retenu mon attention. Il me dit quil est dispo ce soir si jamais je voulais approfondir la discussion. Il a 41 ans, divorcé et en garde alternée donc je pouvais aller chez lui sans quil ny ai ses s.
Je suis un peu réticente car jattends le message ou le mail de Marc.. mais après de courtes hésitations en vu de mon envie de me faire sauter... je décide finalement de me rendre au domicile de Pascal qui nhabite pas très loin de chez moi.
Je toque à la porte.
Pascal mouvre en peignoir. Il me demande, avant que je rentre, si je veux jouer les soumises. Bien sûr, jacquiesce tout de suite . Il mordonne alors de jouer le rôle tout de suite, en me déshabillant sur le palier et enfilant un peignoir satiné. Je regarde à droite et à gauche, mais Pascal na pas de vis à vis. Je mexécute alors et me déshabille devant cet inconnu qui me répond que je suis obéissante et que je serais récompensée comme il se doit.
Sa maison est super moderne, vitrée de partout et piscine intérieur. Jai limpression davoir tiré le gros lot !
On va dans son salon.
Mmmmh, mon excitation monte à lidée que tout cela soit pour nous.
Pascal, lors de lapéro, me raconte un peu sa vie. Il a fait parti dun club « de riches » dans lequel ils échangeaient les prouesses sexuelles de leur femme pour de largent, de la reconnaissance. Comme au poker. Je suis un peu mal à laise avec cette idée, mais en fait leurs femmes étaient toutes consentantes, donc je ny ai plus vu de problèmes.
Il me dit aussi que ce soir, il allait soccuper de moi, comme il soccupait de ces femmes avides de sexe quil côtoie quelques fois.
21h15. Marc menvoie un message. Je ny répond pas.
Pascal devient de plus en plus tactile et me retire mon peignoir. Il me complimente sur mon corps, mordonne de le rejoindre sur un plus grand canapé en cuir noir.
Il enlève son peignoir aussi et je découvre alors un homme athlétique, et un sexe vraiment épais. Jétais clairement choquée dune telle tour ahah.
Nous sommes tous les deux là, complètement nu.
Je minstalle sur le canapé et tente des approches. Je lui caresse le torse de mes mains froides, les descends et marrête sur ses abdos encore bien dessinés à 40 ans passés. Il se lève dun coup et trottine vers le coin apéro et prends la corde, le fouet et le bac à glaçon.
Jentends mon téléphone sonné deux fois daffilée.
« Ne décroche pas ! ». Jobéis. Je pense que cest Marc, mais peu importe, ce que je vais vivre ce soir mintéresse particulièrement.
Je mallonge sur le canapé et Pascal mattache les deux poignets et; la corde étant assez longue, lattache avec le pied du canapé.
Je suis attachée, maintenant à sa merci.
Je trouve la situation super excitant dautant plus que ladrénaline et la peur de linconnu sont quand même bien présentes étant donné que je ne connaissais pas encore hier Pascal.
Il prend de la hauteur sur moi et me rentre dun coup deux doigts dans ma chatte déjà bien dilatée et mouillée par lexcitation.
Il me parle « tu aimes ? ». Je ne peux gémir que oui tellement jaime ce quil me fait.
Il prend un premier glaçon quil serpente de mon cou à mon bas ventre. Je me tortille de plaisir et lâche des petits soupir dexcitation.
Pascal aime ce quil voit. Il prend un second glaçon quil place dans sa bouche et fait la même chose mais cette fois ci, je le sens très proche de mon corps. Je vois sa tête sapprocher tout doucement de mon sexe et donne un cou de bassin.
Pascal retire le glaçon et sa tête.
Il prend le fouet. Jai peur, mais une bonne peur. Il caresse mes seins avec le fouet, puis minflige un coup de fouet qui ne me laisse pas indifférente. Je crie son nom de plaisir. Il men inflige trois/quatres. Mes seins semblent rouges mais je ne peux utiliser mes mains pour lagripper, le griffer, le serrer. Elles sont attachées. Il descend le fouet sur mon ventre, et me fouette. Voyant que jaime ça, il descend encore et glisse le fouet entre mes jambes. Mes cuisses réagissent au froid des ficelles en cuir du fouet et mes fesses se contractent. Pascal minflige un coup sur la chatte. Jadore ça. Il att mon cou dune main ferme. Mes yeux roulent de plaisir. Ma bouche souvre aussi. Il pose le fouet avec lautre main, tout en continuant sa pression sur mon cou. Il menfonce encore deux doigts furtivement. Je lui demande de continuer. « Ce nest pas toi qui fait les règles. » Jacquiesce.
Puis, il enlève ses doigts. Il se lève et retire la corde du pied du canapé, laissant, seules mes mains attachées entre elles.
Il mordonne alors de me mettre à quatre pattes sur le dos. Je mexécute.
Mon téléphone sonne. Je ne peux répondre et ne veux pas. Je veux seulement, à cet instant, quil me prenne, me pénètre, me violente.
Pascal sagace. Il me fesse. Deux grosses fessées. Mes fesses rougissent.
« Maintenant, je veux que tu me suces, ma salope! ». Le mot Salope sortant de sa bouche mexcite encore plus. Je tente alors de me lever avec laide de mes mains jointes. Il comprend quil doit me retirer la corde.
Détachée, je prends son sexe en main. Il a encore grossi ! Je suis stupéfaite et ne mimagine pas pouvoir rentrer une telle bite dans ma bouche.
Pascal prend le contrôle de ma tête. Il menfonce sa bite que, jusque là, je navais queffleuré de ma langue.
Je suis surprise. Je déglutis. La cadence des vas et viens quil me fait faire était élevée. Je bave beaucoup. Il aime ça. « Tu es une bonne chienne Clara ». Quand il disait mon nom, jétais encore plus excitée. Son âge et sa prestance me font me sentir petite, encore plus que ce que je ne le suis. Jai cette impression de réaliser le fantasme de baiser avec le pdg riche.
Je suce alors sa bite tout en malaxant ses deux grosses couilles. Il gémit . « Tu suces très bien ma petite ».
Il maintient dun coup sa main très longtemps contre ma tête et je manque à ma respiration. « Tu aimes les gorges profondes, cest bien. »
Il a raison.
Il enlève dun coup son sexe gonflée de ma bouche et, malaxant mes seins, je comprends quil souhaite une branlette espagnole.
Jadore en faire. Mes seins sont très sensibles à ça. Je massois alors à califourchon et me penche vers sa bite bien tendue et presse mes seins autour de celle ci en faisant des vas et viens. Lui aussi donne des coups de bassin, et dès que sa bite se rapproche suffisamment de ma bouche, je tente den sucer le gland.
Pendant que je fais ça, lui me titille le clitoris du bout de sa langue et joue avec mes fesses en les claquant une après lautre. Jessaye de bouger mes fesses contre son visage.
Il ejacule entre mes seins. Je suis surprise lorsque jen reçois sur le visage. Je me tourne alors vers lui et lui montre le sperme quil a déposé sur mon visage. Il est satisfait et me demande dessuyer et avaler. Je mexécute.
Prête à continuer sur ma lancée, il me refoule et me dit « Clara, merci, mais je souhaite te revoir, donc laissons durer le plaisir... alors je te propose quon se revoit et que cette fois ci, je te prenne à ta juste valeur, comme une chienne à te voir sauter sur ma bite. »
Je crois que je lui ai plus. Autant faire durer le plaisir et pas tout avoir en un soir. Jaccepte. Il me dit que je peux me rhabiller. Je ne me sens pas souiller ni rien car jai pris énormément de plaisir et je sens quavec lui, si jamais on se revoit, je vais pouvoir jouer les soumises et jaime cette idée.
Je me rhabille alors devant lui, installé sur le canapé jambes écartées. Il moffre un dernier verre et je pars après avoir essuyé une fessée de sa part.
Voyant tous les appels manqués de Marc, je le rappelle. Je lui explique ce que je viens de faire et il ne semble pas content. Au téléphone, je fais vraiment la salope. Jattends quil réagisse et me promette une punition.
« tes vraiment une petit salope. Jattendais que tu me répondes mais tu étais en train de te faire dominer par cet homme. Tu vas être puni, ne me croise pas dans les couloirs, je risque de ne pas être tendre et tinfliger une session sexe intense »
Il me connaît bien, en disant ça, il sait que je vais tout faire pour le chauffer, pour le croiser et pour recevoir ma punition méritée.
Une pierre deux coups ce soir avec Pascal. Jai développé mon côté soumise et excité Marc comme une folle pour quil me punisse comme il faut.
[La suite bientôt ....]
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