Comment Le Jardinier Est Devenu &Quot;Le Défricheur.1
Ou comment le jardinier est devenu le « défricheur ».
Vous me connaissez sous le nom de « Maître » ou de « Défricheur » ou encore du jardinier.
Mais il faut que je remonte 9 ans en arrière pour vous raconter mon histoire.
En ce temps la je nétais quun jeune homme, fils de paysan. La maladie venait demporter toute ma famille. Monsieur le Curé savait que le couvent voisin recherchait un jardinier car le vieux Anselme venait de mourir de sa bonne mort, et de la divine bouteille.
Jétais un petit jeunot de 15 ans entouré de bonnes surs voilées de la tête aux pieds, ne voyant delles que leur visage.
Pendant trois ans, je binais, sarclais, bêchais le potager qui nourrissait tous ces bouches féminines. Mon logis était spartiate, une misérable pièce au sol de terre-battue et un lit fait dun matelas de crin. Pour mes ablutions, je devais me servir dun tonneau deau froide et dun sceau au fond du jardin. Quand je prenais une douche, javais souvent limpression quon mobservait derrière les carreaux. Mon corps devenait plus fort, ma physionomie changeait doucement.
Cétait un été horriblement chaud. Les bonnes surs devaient cuire sous leur tunique.
Un jour de canicule, je bêchais un petit lopin de terre torse-nu, en sueur, et jai eu un étourdissement, la chaleur sans doute. Deux moniales qui cueillaient des fleurs se sont précipitées, complètement affolées et mont amené à linfirmerie.
Jétais le seul patient.
Sur Geneviève minstalla dans une pièce modeste, mais comparé à mon taudis, jétais comme un roi.
- Que mest-il arrivé ? Demandais- je inquiet.
-Vous avez pris une insolation, quelle idée de travailler comme ça en plein soleil ! Vous allez vous reposer jusquà demain-matin et ça devrait aller mieux. Mais je vais vous confier à sur Thérèse et une petite novice sur Marie, pour quelles vous nettoient un peu. Vous êtes couvert de crasse !
Quelques instants plus tard, les deux nonnes entraient dans la chambre.
- Nous venons faire votre toilette, annonça sur Thérèse. Un peu de propreté ne vous fera pas de mal. Puis sadressant à la novice :
- Vous en avez de la chance, sur Marie. Nos malades sont rarement aussi beau garçon. Nous allons devoir le laver de la tête aux pieds.
Sur Thérèse en avait vu dautres, Elle sapprocha de moi et retira le drap.
-Venez maider sur Marie que nous lui retirions son pantalon, soulevez-vous Germain, ce sera plus facile.
- Mais sur Thérèse, il va être nu ?
- Et alors ! Vous en verrez dautres ma petite, mais javoue quil y a longtemps que je nai plu vu un homme nu. Cest un jeune homme fort et vigoureux et jai peur de me laisser tenter pas le Diable aussi je préfère vous le laisser laver seule.
Une fois mon corps dénudé, sur Thérèse va pour quitter la pièce non sans se retourner sur ma nudité.
-Mon Dieu ! Quil est bien outillé !!! Il a entre les jambes un sacré gros morceau.
- Mais sil est « ému », fit sur Marie affolée. Que dois-je faire ?
- Il risque de vous rendre les honneurs
Votre devoir ma fille, votre devoir !
Et elle referma la porte laissant seule avec moi la novice.
La jeune nonne sapprocha de moi. Un peu de gêne se lisait sur son visage quand ses yeux se posèrent sur mes organes génitaux.
- Je dois vous laver entièrement. Laissez-moi faire, je serai très douce.
-Je vous laisse uvrer, ma sur.
La jeune novice sappliquait de son mieux, savonnant et rinçant mon corps avec dextérité et légèreté.
- Vous êtes un amour et vos mains sont si douces, on dirait que ce nest pas la première fois que vous faîtes ça !
- Jai eu un fiancé qui est décédé de la même maladie que vos parents, jai du le soigner alité pendant presque un mois et je lui faisais sa toilette tous les jours. Je laimais tellement quà son décès, je me suis retirée dans ce couvent Apostolique pour prier et minterroger sur mon avenir. Je sais comment réagit un homme.
Étonné, je lui demandais, nayant aucune expérience en la matière.
- Que voulez-vous dire par là, sur Marie ?
Elle eût un petit rire gênée avant de mavouer :
- Pierre avait un sexe beaucoup plus petit que le vôtre. Et je ne parle pas de vos bourses !!! Je nen reviens-pas !
Je suis choqué par ces paroles qui sortent de la si belle bouche de laspirante moniale.
- Jai honte de vous mettre dans lembarras, ma sur.
- Vous ny pouvez rien, sexclama-t-elle rieuse. Dieu vous a conçu comme cela, il doit avoir ses raisons. Cette partie sera plus longue à nettoyer que celle de Pierre, cest tout !
Il arriva fatalement un moment ou il ne resta plus que cet endroit à traiter. Elle déposa léponge dont elle se servait et se savonna copieusement les mains.
- A cet endroit là, cest si délicat et tellement sensible que je vais vous laver à main nue !
Ses doigts agiles couraient sur ma peau, sinsinuant partout, empaumant mes bourses pour laver mon entrecuisse puis frottant délicatement mes sacs gonflés de laitance.
Aucune parcelle ne lui échappait. Elle saisit ma verge et descendit sa main, décalottant mon gland, sappliquant à bien frotter les replis du prépuce. Je ne pus réfréner les bas instincts du mâle excité de cette façon si particulière.
Ma verge flasque prît de la consistance, doublant presque de volume et sallongeât de plus en plus, devenant à chaque instant plus ferme. En un rien de temps, sur Marie avait en main un mandrin fier et arrogant.
Les sensations navaient rien à voir avec mes branlettes sous sa main experte et si douce. Mon pénis palpitait de joie entre ses doigts.
Sur Marie senivrait de laudace de son acte, elle serrait les cuisses sentant sa chatte ruisseler de désir.
Un peu penaud mais fier comme un paon, je voulu mexcuser.
- Je suis confus de réagir ainsi, mais vos mains sont si douces.
- Ne vous inquiétez-pas. Cest une réaction rien de plus naturelle et en plus ça me facilite la tâche. Un homme normalement constitué doit réagir ainsi quand une femme soccupe de son sexe, mais là, vous bandez comme un taureau !!! Jai beau être une novice, cest très agréable de toucher une verge, et la vôtre sort de lordinaire, quel gourdin !
Sans sen rendre compte, sa main astiquait plus que de raison mon pal en le serrant fermement, ne se contentant plus de tenir mon manche érigé.
La pression sur ma queue était très agréable et des idées germaient dans ma tête :
-Ma sur
Oh non, excusez-moi, Jai honte !
- Mais que dites-vous ? A quoi pensez-vous ? Minterrogea-t-elle sans pour autant arrêter sa branlette.
- Jai trop honte. Votre bouche est si appétissante, je fantasmais dessus. Je limaginais sur mon
. Vous ne le direz pas à la Mère Supérieure ?
Elle passa la langue sur ses lèvres, ne pouvant dégager son regard du membre imposant.
(Elle avait déjà espionné le jardinier derrière une fenêtre quand il faisait sa toilette et avait bien remarqué quil avait un sexe de bonne taille, mais elle naurait jamais cru quune fois en érection, il serait aussi colossal).
Je gémissais de bonheur, elle accéléra son geste et ne pouvant plus me retenir, jexpulsais un jet dune puissance folle qui senvola dans les airs avant de se répandre sur mon corps comme de gros grumeaux et engluant sa main. A peine surprise par cette conclusion rapide, elle me répondit tout sourire.
- Je ne suis pas choquée, je ne suis plus une oie blanche et je dois dire que vous nêtes pas le seul à avoir
de telles idées !
Elle ne termina pas tout de suite sa phrase car le volcan entrait de nouveau en éruption propulsant sa lave blanche. Surprise, elle avait interrompu tout mouvement de sa main et une dizaine de secondes plus tard, le miracle se renouvela.
Aussitôt léruption tarie, elle baissa la tête et prit entre ses lèvres pulpeuses mon gland violacé.
Après avoir bien uvré, elle prît du recul pour admirer son uvre.
- Votre flamberge est magnifique, je nen ai jamais sucée de si grosses. Je ne devrais pas mais cest trop tentant !
A suivre
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