Plan De Carrière
"J'avais rendez-vous, je ne voulais pas perdre une minute." Il était tard pour quitter son travail et plus encore pour recevoir un rendez vous, mais lorsque lon est cadre dans une grande entreprise cela doit faire partie du quotidien. Javais donc rendez vous avec Monsieur Delaroue dans lun des étages de cette grande tour, dans le quartier de « la Défense », pour le poste qui serait la prochaine étape de ma carrière professionnelle. La nuit déjà était tombée en cette fin novembre et un vent glacé parcourait en tout sens la grande esplanade bien inhospitalière. Je ne suis pas dun naturel inquiet, mais vraiment ce lieu était bien lugubre et si je faisais une rencontre désagréable je serais sans doute en bien mauvaise posture à cette heure tardive et ce, bien que la population soit importante en région Parisienne. Il me semblait évident que personne ne viendrai me secourir. Mon inquiétude fut pourtant de courte durée car la lumière du hall qui éclairait maintenant la surface dans laquelle je pénétrais était celle de limmeuble ou je me rendais. Il me restait quelques mètres à parcourir avant de mengouffrer derrière les grandes portes vitrées ou se trouvait à la fois le concierge de cette multinationale et le hall des ascenseurs qui montaient vers le saint des saints, la direction et les services de recrutement. Mr Delaroue était sans doute lun des collaborateurs de lentreprise qui lui aussi avait lhabitude de terminer tard. Le concierge indiqua sur ma demande le service et létage correspondant ou je trouverai le bureau 712. Jempruntais lun des ascenseurs. Javais pris le temps de me changer après ma journée de travail. Je portais une robe à la fois sage et de bon goût, elle nétait pas trop courte, mais laissais voir mes genoux, plus haut, mes cuisses étaient un peu fortes pour correspondre aux canons actuels, et bien que mes rondeurs fussent souvent synonymes de succès auprès des hommes, il était de bon ton dans le monde du travail, davoir une allure plus svelte.
Madame Delaroue ny prêtas pas attention et me posa les questions dusage propre à lui permettre de comprendre ce que jaccomplissais dans lentreprise dont je vous ai déjà entretenu. Elle semblait accorder beaucoup dimportance à lesprit déquipe et à lobstination, dont devait selon elle, faire preuve lemployé modèle, et plus particulièrement le cadre à qui lon confiait un portefeuille daffaires et des clients exigeants.
Le service achat représentait sans doute une bonne expérience selon elle mais, elle mapprit que si jétais embauchée je devrais plus particulièrement gérer les contacts de la société avec un des leurs plus important client. Elle me le décrit comme un homme affable et qui ne détestait pas la plaisanterie mais qui par contre ne pardonnais pas les négligences et qui naccordant sa confiance aux gens et à lentreprise à qui il avait affaire ne supportait pas davoir à demander deux fois. Elle en profita pour me rappeler quelle même présentait les mêmes qualités. Semblant satisfaite de notre entretien et avec un sourire, elle me proposa de me rendre libre mercredi en huit afin de rencontrer ce client exigeant et lui soumettre ma candidature, que je devienne linterface auprès de lui pour lavenir des relations avec lentreprise. Cétait une quasi certitude dêtre embauchée et je ne pu cacher mon plaisir davoir franchit cette étape en la remerciant de la confiance quelle maccordait.
Le mercredi suivant je revins donc ici ou Marie Delaroue mavait demandé de la rejoindre et après une cordiale salutation nous utilisâmes une des voitures de lentreprise. Montant à larrière de la grosse berline nous pûmes continuer lentretien de la semaine passée. Le trajet passant par les boulevards extérieurs nous emmenât sur les hauteurs de Meudon. Le chauffeur conduisit la voiture au travers dun portail qui cétait ouvert à notre arrivée. Remontant une grande allée de gravier blancs nous atteignîmes lescalier dune splendide demeure. En haut du perron accueillis par un majordome celui-ci nous introduisit auprès du propriétaire. Marie Delaroue ne mavait pas trompé dans sa description, il présentait laspect dun homme ayant dépassé la cinquantaine certes, mais dont on devinait quil avait été un grand sportif. Des tableaux de chevaux et des accessoires de cavalier parsemés dans le bureau ou nous entrâmes furent une preuve de ce que javais deviné. Marie Delaroue et Monsieur X se saluèrent en sembrassant, ce qui me surprit un peu. Jappris dans linstant quils se connaissaient de longue date, puisque tout les deux partageais la même passion pour le polo et pour léquitation en général, quils avaient, plus jeunes, participés à des concours internationaux, lui en tant que cavalier de polo et elle dans les épreuves de jumping. Sans perdre plus de temps la conversation pris la tournure professionnelle que jimaginais. Pierre expliqua les diverses tâches que jaurais à accomplir, ce quil attendait que je fasse, insistant comme Marie Delaroue sur laspect dobéissance ou je devais me trouver, ce qui ne me dispensais nullement dinitiatives personnelles, à la condition quelles lui conviennent. Cela serait sans doute le plus difficile à appréhender lors des premiers instants de notre collaboration.
Après une heure de temps, javais eu le loisir de bien comprendre lensemble de ce qui mavait été laissé à lire. Mais le thé et leau minérale agissant à lunisson ceux-ci avait créée chez moi une irrépressible envie. Je me mis en quêtes de trouver le lieu qui conviendrai à ma libération et je retournais dans lentrée. Une des deux portes était fermée lautre donnait sur une salle de bain comprenant une douche et un lavabo, ceci ne me convenait quà moitié, mais nécessité fait loi et tout en écoutant si Pierre ou Madame Delaroue revenaient, je descendis ma culotte et me libérai dans la douche, éprouvant un peu de crainte en même temps quun immense soulagement. Celui-ci fut pourtant de courte durée car à linstant ou me croyant enfin apaisée et tranquille, la porte de jonction qui se trouvait entre la pièce fermée tout a lheure et la salle de bain ou je me trouvais en position si vulnérable, souvrit. Je restais interdite dans cette position accroupie ou je naurai pas souhaité que lon me trouve. Marie demi nue était agenouillée devant Pierre et semblait gouter avec un plaisir évident au sexe dressé de ce dernier. Comme je lavais supposé ils avaient tout deux des corps musclés et parfaits. Je ne pu mempêcher dadmirer le membre brandi dans toute sa virilité, il était dune bonne taille correspondant à la stature de Pierre, le mouvement de mon regard ne leur échappa pas. Pierre et Marie se tournant lun vers lautre eurent un sourire entendu et me dirent que lépreuve que je venais de subir faisait parti du test dembauche. Celui-ci consistait à mesurer ma force de caractère en fonction de la durée que javais supporté avant linévitable et de la solution que javais adoptée pour faire cesser mon supplice. Ils semblaient satisfaits. Mais jétais gênée, ma culotte encore sur mes chevilles, ma robe troussée au dessus de mes fesses. Eux par contre semblaient y trouver de lattrait, beaucoup dattrait. Minvitant à les rejoindre, Marie me proposa de gouter à mon tour au magnifique objet de son attention.
Bizarrement jen fus presque soulagée tant ma tension avait été grande. Pierre attrapant ma main guida celle-ci jusqua son sexe.
Je caressais son gland, il était si doux sous mes doigts que lenvie dy gouter et de sentir cette douceur soyeuse sous ma langue devint impérieuse, tant que je me penchais et le happait de mes lèvres. Il semblât que je marquais un point car dans un gémissement, il dit à Marie que je faisais définitivement laffaire et quaprès quelques tests je devrais sans doute obtenir de rester travailler pour lui, pour elle. Elle tomba daccord à la condition den prendre la mesure et entreprit alors la série de tests que je vais décrire maintenant et quils avaient imaginé pour moi. A leur demande je retirai tout mes vêtements.
Nue, mes longs cheveux noirs tombants devant mes seins, mais dans limpossibilité de les cacher, ils les mettaient au contraire en valeur, soulignant leur magnifique blancheur, leur rondeur, leur poids, toute chose qui faisait leur irrésistible séduction. La toison de mon pubis quoique soignée et taillée dernièrement par coquetterie, ne démentais pas le coloris naturel de mes cheveux. Les regards brillants allumés de désir de Pierre comme de Marie me firent un effet si délicieux que dune façon qui me surprit. Je senti un peu de liquide chaud entre les lèvres de mon sexe. Ma vulve humectée, mon clitoris durcit dans linstant, je serrais plus fort mes jambes pour contrarier lenvie que javais de les écarter sans pudeur. Lenvie que lon voit mon envie. Celle de recevoir le membre bandé de Pierre ou peut-être certains des objets que je voyais sortir de larmoire dans les mains de Marie. Ma respiration saccéléra. Pierre menlaça et son sexe battant ma cuisse, il me poussa doucement vers le li. Là, tout les deux glissant des cordes sous mon corps, soulevant tour à tour et mes jambes et mes fesses, effleurant dans de délicieuses caresses les endroits de ma peau que je naurai pas crue si réactive, ils finirent par me contraindre tout a fait. Et je leur fut reconnaissante de mavoir amené jusque là. Jétais à leur merci, mais ces caresses mavaient presque porté à lévanouissement et je ne souhaitais plus que subir enfin leurs assauts que je devinais.
Je voulais que la si belle et douce bite de Pierre mamène aux extases. Que Marie et les godemichés de tailles et de matières différentes qui se trouvaient dans ses mains deviennent eux aussi les supplices attendus.
Bien maitrisé je les sentais à même de me donner ce que je navais ressenti nullement ailleurs. Je connaissais le vas et viens délicieux que je leur procurais seule, le soir, douillettement installée entre mes draps, jen possédais plusieurs et bien quaffectionnant surtout lun dentre eux rose et souple, qui bizarrement avait la taille de celui naturel de Pierre, jattendais de découvrir ce que les autres dans les mains expertes de Marie pourraient faire sur moi, en moi. Ce ne fut plus long et prenant des positions opposés Pierre me redonnant à téter sa virilité qui navaient pas encore de faiblesse je senti les doigts de marie mouvrir et glisser sans forcer dans ma chatte trempée le plus gros des godes. Celui-ci avait lavantage de posséder une tête électrique qui tournait en tout sens, Marie en régla lintensité de mouvement doucement dabord et puis saccélérant et puis ralentissant tour à tour. Je senti sa langue sur mon clitoris. Elle le sollicita doucement dabord de quelques coups de langue en experte quelle était. Je lavais soupçonné dès le premier instant de ne pas détester son propre sexe pour les jeux auxquels nous nous livrions et je vérifiai que si la fellation de toute à lheure prodiguée à Pierre semblait lui faire un effet sans pareil, mon clitoris ne pouvait se défendre déprouver à son tour beaucoup de bonheur. Cétait nouveau pour moi et je naurai pas accepté si la chose meu été proposé dans dautres conditions.
Mais offerte, contrainte, sans défense et dans limpossibilité déchapper à leurs désirs, je ne pouvais que mabandonner et profiter pleinement de leur savoir et du plaisir quils donnaient et pour lequel ils semblaient tout deux passés maitres. Je suçais longuement sans pourtant obtenir de Pierre la jouissance qui maurait donné le gout de sa semence, jétais si excitée que la chose meu cette fois fais plaisir alors que le je refusais habituellement à mes partenaires. Il ne me le donna pas, mais changeant de place, il poussa délicatement Marie et demandant son aide il lui fit guider sa verge dans mon anus qui était jusque la resté vierge de nul autre pénétration que mes doigts. Ce fut une révélation et je poussais sur mes jambes pour sentir plus profondément encore toute la longueur et lampleur du membre viril qui me possédait. Cétait à la fois douloureux et délicieux, Marie appréciant le spectacle lui glissa dans loreille des mots que je naurais pas crus possible dentendre de sa bouche.
Vas y défonce lui bien le cul à cette salope, elle aime çà regarde. Et ces mots ne me choquèrent pas, ils augmentèrent encore mon excitation ce que je naurais pas cru possible. Jeu en effet lenvie dêtre plus salope encore, dêtre plus contrainte, plus soumise, et violée, puisque je sentais une jouissance si grande quinconnue de moi, je la sentais venir et monter, eux aussi le sentais et les mots de Marie navaient que pour seul but de donner plus de puissance à ce qui arriva alors. Je poussais un cri et lâchait en ondées puissantes de larges jets décumes qui inondèrent les cuisses musclées de Pierre et la couche ou nous étions. Marie riant de voir cette si parfaite communion, approuva et dit : Tu es retenue pour le poste et tu vas désormais jouir et nous faire jouir, je veux voir ton plaisir comme cela tout les jours ou nous travaillerons ensemble. Lorsque je rentrais chez moi en taxi bien plus tard dans la soirée un sourire éclaira mon visage. Jallais augmenter mon salaire, obtenir un poste important qui ferai évoluer ma carrière, mais surtout, je devinais que chacun de mes sens seraient comblés, chacun de mes trous visités régulièrement, avec savoir, que mon clitoris serait fatigué chaque soirs et que de retour chez moi, je me reposerai du travail accompli avec le sentiment dêtre une vraie femme daffaires dont la carrière évoluerait sans obstacles.
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