La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°968)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°967) -
Alors les émiratis s'approchèrent de moi
parlant à ce moment-là dans leur langue maternelle, que je ne connaissais pas, me palpant, avec perversité et appétit, le cul et les seins, les malaxant, les pinçant, les étirant. Au ton vociférateur employé, ils devaient minsulter sans détour car ce qui devait être des insultes semblaient fuser à profusion comme sils insultaient une trainée. Après un regard affirmatif du Maître répondant au leur interrogatif, des doigts me pénétrèrent la chatte et le cul, ne tardant pas à me faire mouiller abondamment, après avoir ôté sans difficultés mes accessoires. Rapidement les fines cordelettes qui tenaient leur keffieh servirent à m'attacher les poignets et les chevilles. Ils arrivèrent même à me bondager les seins. Le Maître ne resta que peu de temps avec nous, et partit après leur avoir recommandé de se servir de moi comme ils leur plairaient. Ils ne leur en fallut pas plus pour se précipiter sur moi. Très vite on m'emplit la bouche, la chatte et le cul, les trois en même temps, ou les uns après les autres. En permanence, à tour de rôle, il y en avait un pour me donner des coups de fouet, rythmant les diverses pénétrations auxquelles j'eus droit. Je fus prise dans un nombre incalculables de positions, même suspendue, tenue par les hanches par celui qui me pilonnait la chatte à grands coups de reins puissants, et sous les aisselles par un autre, pendant qu'un troisième me baisait la bouche sans ménagement. Aucun n'éjacula à l'intérieur de moi, pas même dans ma cavité buccale, mais toujours sur mon ventre ou mon visage.
Je fus prise et abusée durant sept heures, les hommes se relayant sur et en moi, certains faisant une petite sieste dans des fauteuils pour récupérer leur force et pouvoir à nouveau me saillir et me salir
. Durant une petite demi-heure de pause qui eut lieu, au bout des quatre premières heures, ils mentrainèrent dans la baignoire de la salle de bains afin que tous puissent pisser sur moi pour que je leur serve durinoir, pour ensuite me ramener et recommencer leurs assauts sexuels des plus pervers
En effet, quand ils narrivaient plus à bander, ils utilisèrent toutes sortes dobjets pour me remplir mes trois orifices, cest ainsi par exemple, quon mintroduisit manche à balai dans lanus, gros orteil dans la bouche, une banane dans la chatte, etc
Le soleil nétait pas encore tout à fait levé lorsque le Maître se réveilla, mais laube nallait pas tarder à arriver, les première lueurs du jour commençaient à poindre.
Le Maître Vénéré revint dans la salle de bain et exigea que je me lave rapidement car c'était déjà l'heure de partir. Je m'exécutais aussi vite que possible et me rhabillais. Cette fois-ci, Il ne le mit aucun accessoire et dès que lavion quitta le sol, je m'endormis plusieurs heures, vraiment épuisée par la nuit de débauche que je venais de passer. Après une escale, le second trajet fut court, moins de quatre heures, et le Châtelain me laissa également dormir tout du long dans un sommeil fort réparateur, prenant même soin de me couvrir d'une douce couverture. Cest reposée quavec le Maître, nous arrivâmes en milieu d'après-midi à Jaipur, la capitale de lÉtat indien du Rajasthan, dans une cuvette protégée par la chaîne des Ârâvalli. Nous étions invités au City Palace. Le lieu est pour moitié la résidence de la Famille Royale du Maharadjah Man Singh, l'autre partie constitue le musée...
Nous étions donc invités, enfin Monsieur le Marquis d'Evans était l'Invité du Maharadjah Man Singh. Ils avaient eu l'occasion de se rencontrer un certain nombre de fois via aussi dans le monde des affaires, et on peut dire qu'ils étaient devenus amis.
- Pour le moment, nous allons rester ici, et nous dînerons ici.
Je rampais sur le sol jusqu'à Lui, et commençant par les pieds, je Le déshabillais entièrement. Mes effleurements involontaires l'avaient excité, et alors que je finissais de Lui enlever Sa chemise, je ne pouvais ignorer l'impressionnante érection qui avait saisi Son noble membre. Ne recevant aucun ordre, je me mettais en position d'attente en levrette, habillée, devant attendre pour remédier à cela qu'Il ait rejoint la grande piscine-spa si tel était toujours son dessein de sy rendre. Après quelques secondes de silence, pendant lesquelles je sentais Son regard Dominant peser sur moi, Il me contourna, retroussa ma jupe de tailleur aux fentes sur les côtés, et sans préavis, Il s'enfonça dans mon cul à la hussarde. Et immédiatement Il amorça des mouvements rapides et brutaux, me pénétrant toujours plus profondément au fond de mes entrailles. Il ne tarda pas à m'attr par les cheveux d'une poigne qui ne laissait aucune échappatoire, me tirant la tête en arrière et rendant ma nuque douloureuse.
La pénétration fut fulgurante, brutale, bestiale.
- Fais attention à ne pas tâcher ta jupe, lorsque tu l'enlèveras. Tu serais sévèrement punie si c'était le cas ! Tu as déjà failli avoir une punition pour avoir laissé échapper quelques petits cris de ta bouche de chienne en chaleur
Que cela ne se reproduise pas, car je serai moins magnanime la prochaine fois, salope !
Le message était clair et je savais à quoi men tenir
Il se dirigea alors vers la salle de bain et referma la porte. Aussitôt je me relevais, d'une main, je maintins ma jupe relevée, de l'autre j'ouvris la fermeture éclair, puis des deux j'écartais au maximum le tissu de ma peau, et réussis à ne pas toucher au sperme se trouvant sur mes fesses. Je cherchais alors la valise contenant les accessoires D/s du Maître et y pris tout ce dont j'avais besoin. D'abord je plaçais avec bonheur mon collier autour de mon cou, ainsi que ma laisse. Puis je plaçais une pince mordante sur chacun de mes tétons et sur chacune de mes lèvres intimes. Et enfin, je m'empalais doucement mais sûrement sur un gros plug, long et épais. Il ne me resta plus qu'à me mettre dans la position exigée et à attendre. La position m'excitait, ainsi que le simple fait d'être en train d'obéir, et de pouvoir être juste la chienne que Monsieur le Marquis avait mis à jour en moi. Et là, ainsi installée, je me sentais pleinement heureuse et sereine
(A suivre
)
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