Comment Le Jardinier Est Devenu &Quot;Le Défricheur.2
Ou comment le jardinier est devenu le « défricheur ».2
Vous me connaissez sous le nom de « Maître » ou de « Défricheur » ou encore du jardinier.
Mais il faut que je remonte 9 ans en arrière pour vous raconter mon histoire.
Suite :
Elle apprécia le goût acre de ma verge, se délecta des sécrétions spermiques et lengouffra dans sa bouche, suçant goulûment, faisant des aller/retour lents puis de plus en plus vite.
Mon dard ruisselait de salive, sa main caressait mes bourses pendant que sa langue agile léchait mon gland.
Après avoir bien uvré, elle prît du recul pour admirer son uvre.
- Votre flamberge est magnifique, je nen ai jamais sucée de si grosses. Je ne devrais pas mais cest trop tentant !
Et elle replongea sur mon dard, le pompant avec application pendant que ses mains jouaient avec la hampe et les couilles.
-Oh oui, sucez-moi
Je soupirais de plus en plus fort. Ma bite incroyablement dure, mes couilles encore pleines manuvrées dune main sûre, répondaient à ses caresses.
Elle a craché sur ma queue, avant de lengloutir à nouveau presque complètement, en sétouffant.
Ça me rendait dingue! Elle me léchait les couilles, pendant que de lautre main, elle glissait sur mon périnée pour tenter datteindre mon trou du cul
Je gémissais sous ses caresses, elle savait sucer la bougresse. Je sentais encore enfler ma pine dans sa bouche. La pression navait pas baissée depuis ma première éjaculation et je sentis sourdre à nouveau dans ma verge le flux dévastateur.
La substance blanchâtre fut tout aussi abondante et englua sa bouche.
Sous la dose, elle éjecta de ses lèvres ma lance en toussant mais ne la lâcha pas pour autant.
Lexplosion suivante lui macula le visage et la coiffe, elle fut surprise mais reprit la branle de mon gourdin qui une nouvelle fois après quelques secondes éructa encore un trait de foutre qui luit tacha la guimpe (étoffe blanche cachant le cou) et les mains.
Je la voyais haleter, jétais sur quelle avait joui aussi de ses actes pervers.
Ses mains étaient couvertes de ma semence quelle se mit à lécher, quel spectacle.
Elle sexclama :
-Je nai jamais vu ça, tu jouis par intermittence
Et les doses sont démentielles, (confuse, elle fit un signe de croix), et ton sexe est toujours aussi dur ! Tu es un véritable démon (et re-signe de croix).
« En ce temps-là, je nétais pas encore devenu lhomme expérimenté des cours de Madame Clerc et ne maitrisais pas le rythme de mes éjaculations qui étaient beaucoup plus rapides que quelques années plus tard et mon sexe navait pas encore atteint sa plénitude sexuelle »
Je la vis remonter sa tunique, elle ne portait rien en dessous à cause des fortes chaleurs...
- Tu mas trop excitée, jai besoin de cette belle queue dans mon ventre.
Sur Marie enjamba mon corps, tâtonna pour reprendre ma queue, la positionna devant lentrée de son sexe en écartant les lèvres vaginales de ses doigts et sempala en poussant un profond soupir de plaisir.
- Vas-y, baise-moi, beau jardinier, Mon Dieu, que tu es gros !
Je ne sais pas si cest à cause de lépaisseur de ma bite mais je trouvais cet endroit incroyablement serrée. Heureusement linondation avait atteint la cave facilitant la pénétration.
- Prends-moi! Fais-moi jouir, défriche-moi lintérieur ! Me supplia-t-elle en sempalant sur mon sexe jusqu'à la garde. Je suis tel une pucelle, tu visites des terres vierges tellement tu vas loin !
Ma queue était dans un endroit interdit sous ce toit, le vagin dune bonne sur et pourtant je me croyais déjà au paradis.
Elle commença à remuer sur moi, coulissant avec douceur sur ma pine, puis peu à peu, elle accentua le rythme de pénétration.
Chaque coup était ponctué dun petit han ! Je naurais pas imaginé quelle oserait franchir ce cap même après sa fabuleuse fellation.
Sa matrice était douce et chaude et avait absorbé avec une facilité déconcertante mon engin.
Elle avait brisé ce tabou rejetant son laborieux cheminement spirituel.
En accord avec elle-même, débarrassée des blocages religieux, sur Marie avait joui rien quen sempalant sur cet axe formidable.
La verge monstrueuse du jardinier pulsait dans son sexe. Remise de cet orgasme dû à ses pensés lubriques, elle se mit à onduler, embrochée sur ce formidable bélier.
Des ondes de plaisirs la faisaient ronronner, accentuées par ses incessant aller/retour sur ce jonc vigoureux.
-Oh que cest bon, cest encore mieux que dans mes rêves, je voudrais que ça soit sans fin !
Jétais au bord de léjaculation, essayant de penser à autre chose pour tenir encore.
Sur Marie avait le diable au corps, me besognant avec acharnement
Elle exprimait son bonheur par des grognements et des gémissements. Heureusement que linfirmerie est dans une aile isolée !
- Je jooouuuiiis !!! Ooouuuii ! Putain, je me vide.
Ses ongles plantés dans mon dos, son corps tremblait, un cri de louve séchappa de sa bouche avant que son corps ne se fige.
Mais moi, je navais pas encore mon dû et je pris la relève en la pourfendant à grands coups de reins.
-Je vais jouir Sur Marie ! Affolée à lidée que je lengrosse, elle séjecta de mon rostre et me reprit en bouche. Jéjaculai à nouveau abondamment et maintenant quelle connaissait ma façon de jouir, elle déglutissait au fur et à mesure, attendant patiemment la giclée suivante, sauf mes dernières contributions quelle garda en bouche pour en déguster toutes les saveurs.
Elle se releva enfin, laissant redescendre sa tunique et ouvrit sa bouche pour me monter sa langue chargée de ma semence avant de déglutir à nouveau.
Elle me lava à nouveau pour effacer les traces de luxure laissées sur mon corps et prit mes lèvres pour un baiser fougueux avant daller vite changer sa guimpe maculée de mon sperme dans sa cellule.
Mais en passant la porte, elle se retourna et mannonça :
-Cest décidé, tu mas prouvé que je nétais pas faite pour cette vie de privation, je ne prononcerai pas mes vux à Dieu, mon bel étalon !
A suivre
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