Ce Dimanche-Là
CE DIMANCHE-LÀ
NOTE : Cette histoire se passe dans le sud des États-Unis. Jai conservé les prénoms anglais.
La voiture sarrêta à lendroit habituel, le long du trottoir étroit et près de la borne fontaine. Ça navait pas dimportance. Louisa ne restait pas longtemps.
« Ont-elles fait le signal ? », demanda Louisa, nerveuse
« Oui elles lont fait », répondit Jenny, » dès notre arrivée »
Elles ont dû nous voir de la fenêtre », déclara Louisa
« Oui
elles ont dû », soupira Jenny
« Cest seulement que je naime pas te voir aller là toute seule
tu ne sais jamais », dit la femme plus âgée
« On fait ça depuis des années et rien nest arrivé », répondit Jenny calmement
« Oui mais cest que tu es toute seule », insista Louisa
« Ah pour lamour de Dieu, mère, est-ce que tu veux maccompagner ? », sécria soudain Jenny
« Oh
Oh..non
bien sûr que non
je mexcuse », chuchota Louisa
Jenny portait un long manteau dautomne mais cétait une soirée dété chaude et humide, et elle commençait à avoir très chaud.
« Je dois y aller maintenant, mère, » dit Jenny doucement, « Jai très chaud ».
« Je serai ici à minuit », dit la femme plus âgée dun ton rassurant
Oui..ce sera très bien
Merci mère », dit Jenny qui fit un geste comme si elle allait donner une bise à sa mère mais elle se ravisa à temps.
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Ce soir-là, la femme qui quittait la voiture dans un endroit mal famé de la ville était une enseignante. Jenny avait maintenant 50 ans depuis quelques mois et enseignait à lécole primaire depuis les dernières 30 années. Elle vivait avec sa mère Louisa qui avait 70 ans, mais ne les faisait pas. Jenny ne sétait jamais mariée. Elle nétait pas ce quon appelle une belle femme, mais elle nétait pas laide non plus. Elle était plutôt ordinaire, bien que ses seins étaient assez gros et fermes, et étaient bien voyants même quand sa poitrine était recouverte dun chemisier épais et de quelques épaisseurs de vêtements.
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Même sil faisait chaud, Jenny remonta le collet de son manteau autour de son cou lorsquelle traversa la rue. Quelquun aurait pu la reconnaître, même dans ce quartier de la ville. Elle allait frapper à la porte de cette ancienne maison de chambres lorsque la porte fut ouverte par une femme noire plus âgée. Elle portait un foulard autour de la tête. Elle avait de grands yeux bruns et un beau sourire.
« Je peux te débarrasser de ça Jenny, » dit la femme
« Merci Violet », répondit Jenny qui retira son manteau, le plia et le donna à la femme.
« Comment va ta mère ? », demanda Violet
« Oh..elle va bien
merci », répondit Jenny avec un sourire
Violet étendit le bras pour prendre un petit chapeau de marin et le mit sur la tête de Jenny. Avant quelle ne puisse continuer, une femme dâge mûre, venant de nulle part, repoussa Violet doucement et attacha les rubans du chapeau sous le menton de Jenny. Le chapeau blanc sharmonisait bien avec ce que portait Jenny : une robe blanche se boutonnant par lavant, et avec de longues manches qui se terminaient en dentelle. Sa robe était un peu au-dessus des genoux et donnait limpression dune robe qui datait de son adolescence. Elle retira une paire de gants blancs de sa poche et Violet lui remit un petit sac à main avant que la femme noire plus jeune puisse le faire.
« Ah ce quelle est belle, dit Violet à sa fille Donna.
« Elle est tellement belle que je pourrais la manger », cria Donna, sautillant comme un , ses gros seins flasques soutenus presque par magie par un mince chemisier noué sur son ventre.
« Oh
toi
toi..tu es très taquine », cria Jenny, sautillant face à Donna comme ladolescente quelle venait de redevenir.
Violet éteignit la lumière dans lescalier.
Les jeunes filles, vous devriez peut-être aller jouer maintenant », suggéra Violet
Jenny sélança dans lescalier poursuivie par Donna habillée dune jupe noire très courte. Jenny trébucha à moitié chemin et Donna tenta de lattr mais la femme blanche séchappa à temps et courut jusquen haut de lescalier, où une porte souvrit soudainement. Une autre femme noire prit Jenny par la taille et lécrasa contre le mur.
« Ne soit pas méchante Amber », cria Violet dans lentrée, « Souviens-toi quil faut partager ».
Lattaquante de Jenny était un peu plus grande et costaude que Donna et sa robe noire collante mettait bien en évidence ses grosses fesses rondes. Amber avait un très beau visage mais elle était grassouillette. Donna était mince et osseuse sauf pour ses seins et ses fesses dont elle était très fière.
« Au secours, au secours
, criait Jenny, ses appels étouffés par la bouche dAmber qui écrasa les lèvres de la femme blanche dans un baiser brutal.
Ah
maintenant tu ne veux plus jouer, cest ça ?, sécria Amber.
Tu nous en mets plein la vue avec ta chatte blanche, tu nous taquines, et puis tu joues à celle qui est hors de portée », ajouta Donna qui cracha au visage de Jenny.
Quand le trio se bouscula et entra finalement dans la chambre et ferma la porte. Violet haussa les épaules, sourit, et retourna dans sa cuisine.
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Une fois à lintérieur, Amber prétendit poursuivre Jenny qui courait autour de la chambre avec son sac dune main et son chapeau de lautre. Finalement elle entra en collision avec Donna qui la retint par les poignets. Les deux femmes noires prirent Jenny en souricière. Donna lui faisait face and Amber la serrait par larrière.
Oh sil-vous-plaît
laissez-moi partir
sil-vous-plaît », cria Jenny, tentant dimiter la voix aigüe de Marilyn Monroe.
Il vaut mieux ne pas tenter de tenfuir ma jolie », cria Amber se retenant pour ne pas éclater de rire.
« Quest-ce que vous autres lesbiennes allez me faire ? », grogna Jenny roulant des yeux.
« Je vais te lécher ton clito blanc », chuchota Donna dans une voix rauque.
« Les femmes font ça à dautres femmes
cest vrai ? », demanda Jenny tentant davoir lair incrédule.
« Je parie que tes culottes sont toutes mouillées, femme blanche », ajouta Amber tentant de relever la robe de Jenny par larrière.
Je nai pas de culotte », cria Jenny en ouvrant grande sa bouche
Donna lui cracha dans la bouche et Amber releva la robe de Jenny autour de sa taille exposant une paire de fesses blanches.
Les femmes étaient surexcitées. Donna bougea des hanches, baissant sa jupe serrée jusquà ce quon puisse voir sa motte noire et poilue. Amber se débarrassa complètement de sa robe et frotta son corps nu contre la robe de fête blanche de Jenny.
Donna se mit à déboutonner le devant de la robe de Jenny pendant quAmber était occupée à tripoter les fesses de lenseignante.
Fais attention de ne pas perdre de boutons », chuchota Jenny à loreille de Donna, « Impossible den trouver dautres en ce moment ».
« Oh mon dieu
vous autres les lesbiennes noires vous êtes tellement cochonnes », sécria Jenny
Donna avait terminé de déboutonner le haut de la robe et tenta de lenlever totalement.
Laisse-moi la garder
sil-te-plaît, chuchota Jenny tout excitée à loreille de Donna.
Donna se mit à sucer les seins de Jenny qui étaient blancs comme du lait pendant que la tête dAmber disparaissait sous la robe blanche.
Jenny écarta les jambes pour donner plus despace à Amber qui lui léchait lentre-cuisse poilue.
Jenny tordait les seins de Donna et Donna pinçait les tétines de Jenny.
Cest ce que tu mérites pour nous avoir amené voir nos mères qui se baisaient », , cria Donna
Cétait ta mère qui avait monté ma mère, cria Jenny, qui tomba à genoux devant Donna, la bouche dAmber encore collée à sa motte.
Donna prit la tête de Jenny et lui écrasa le visage contre sa motte poilue. Amber était sur le dos et suçait le triangle de Jenny, dont les fesses tremblaient quand elle bougeait ses hanches vers la bouche invitante dAmber.
Cest ta mère qui a baisé ma mère, continuait à crier Donna tout en forçant Jenny à la sucer.
Jenny bougea la tête un instant et cria: Cétait une Noire sur une Blanche.
Amber mit son doigt dans le petit trou de la femme blanche mature pendant quelle la suçait.
Soudainement Jenny cria son plaisir tout en séloignant de la chatte de Donna pour quelques secondes. Elle arrosa le visage dAmber de sa cyprine. Donna jouit aussi lorsquelle ramena le nez de Jenny entre ses lèvres gonflées et le frotta contre son clito. Des animaux, toutes les trois, des animaux.
Une bousculade éclata. Donna pensait que Jenny avait pissé sur sa sur. Elle voulait arroser Jenny à son tour. Amber était frustrée car elle était la seule à ne pas avoir joui. Les surs noires échangèrent des insultes avec Jenny qui insinua que leur amour entre surs dépassait peut-être ce qui était permis. « Votre mère a toujours été une suceuse de chattes », accusa Jenny.
« Cest ta mère qui la attaquée derrière la grange », répondit Donna, de fausses larmes lui coulant sur les joues.
Notre mère était en train de pisser et ta mère lui a sauté dessus, ajouta Amber qui prétendit être en colère.
Elle la invitée à pisser avec elle », répondit Jenny, « comme elle le faisait chaque fois quelles se rencontraient, et ça a dégénéré ».
Cétait le signal pour Amber et Jenny de se diriger vers les W.C .
Ne fermez pas la porte, leur rappela Donna
Donna ne pouvait voir que le dos de Jenny sur le siège et les jambes de sa sur appuyées sur les cuisses de Jenny. Elles ne bougeaient pas beaucoup, sauf pour ajuster légèrement leur position. Donna ne savait pas si elles en profitaient pour sembrasser.
Quand elles eurent terminé, elles se levèrent et partagèrent une douche rapide.
Donna avait remis sa jupe noire serrée et son chemisier très mince qui retenait ses gros nichons. Amber couvrit son corps propre de sa longue robe noire. Les deux femmes noires aidèrent Jenny à boutonner sa robe blanche qui nétait pas très fripée mais les cheveux de Jenny étaient un désastre. Amber lui brossa la chevelure.
Je me souviens encore de ta mère qui était sur la mienne », murmura Jenny très doucement car elle ne voulait pas provoquer une autre bousculade.
Mon Dieu
je me souviens dun vagin avec de grosses lèvres mais je ne me souviens pas à qui il appartenait », dit Amber en riant.
« Ce fut certainement un grosse baise
vous vous en souvenez? demanda Jenny
Ça cest sûr
la plus longue et la plus bruyante que jai vue », se rappela Amber, » Elles ont joui toutes les deux au moins trois fois ».
Les deux avaient la bouche remplie de poils comme deux vaches », rigola Donna.
« Tu exagères », dit Jenny en lui faisant un clin dil.
À peine..elles se bouffèrent la motte avec de se la frotter lune contre lautre, ajouta Amber
« Vous devez me donner crédit pour vous avoir amener sur place pour voir le tout », déclara Jenny avec fierté.
On avait été chanceuse. Tu avais mal au ventre, Jenny, et notre pasteur était saoul alors on avait été obligé de revenir de léglise plus tôt, » rappela Amber à tout le monde.
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Jenny ramassa son sac à mains et son chapeau et descendit lescalier lentement car il faisait noir. Elle fit une pause une fois en bas pour voir si Violet était là. Elle ny était pas. Elle mit son manteau et remit le chapeau et le sac où ils étaient toujours entreposés.
Quand elle traversa la rue, sa mère alluma les phares de la voiture.
Tu tes bien amusée? demanda Louisa
Oui mère, je me suis amusée, répondit Jenny dans une voix neutre.
Avant de repartir, Louisa se tourna vers Jenny et demanda:
Comment va Violet ? avec une voix légèrement tremblante.
Elle va très bien, mère, elle va très bien, répondit Jenny.
FIN
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