Julie Et Pauline Partie 2

Les deux filles vont décrocher leur bac sans difficultés. Pauline comme elle en avait toujours rêvé s’inscris en S.T.A.P..S., sciences et techniques d’aptitudes physiques et sportives, afin de devenir prof de sports. De son côté Julie s’inscrivait en sociologie. L’université étant à Amiens les deux filles cherchent à un logement, soit en cité universitaire, soit dans le secteur privé. Leur dossier refusé par le C.R.O.U.S. d’Amiens, les filles sont obligées de chercher dans le privé et par conséquent de trouver un petit boulot à côté. Les parents de l’une et l’autre pouvaient payer la nourriture, les transports ou quelques petites choses en plus, mais ne pouvaient se permettre davantage. Néanmoins ils offrent une vielle Clio d’occasion aux filles pour qu’elles puissent venir les voir. Cela dit un studio dans Amiens était tout aussi bien, puisqu’une chambre universitaire, étant par nature individuelle, les filles auraient été séparées. Pauline trouve un boulot de mise en rayon et de caisse dans un supermarché, quand à Julie elle trouve un boulot à McDo comme beaucoup d’autres étudiants.


Le rythme s’avère rapidement dure à suivre pour les filles. Heureusement pour se consoler Julie peut manger sur place avant son service et ne s’en prive pas. Julie et Pauline établissent leur petite vie ainsi, partagée entre les cours, le boulot, les amis, les parents. Les fêtes de fins d’années arrivent. Les parents des deux filles ont décidés de fêter Noël ensemble, aussi les filles arrivent t’elles dans la Clio chez les parents de Pauline. Le repas se passe bien quand la mère de Julie remarque l’appétit de sa fille.
« Dis moi Julie tu ne mangeais pas autant chez nous ?
Non. C’est vrai que depuis qu’on a les cours, plus le boulot, j’ai souvent faim.
Oui, je remarquais quand vous êtes arrivées que tu avais grossie.
J’ai pris un peu de ventre, mais c’est de travailler à McDo. »
Comme à l’aller Pauline qui est la seule à avoir son permis prends le volant.

Après avoir fait signe de la main par la fenêtre Pauline remarque le drôle de manège de Julie à côté d’elle. Elle se contorsionne pour défaire son pantalon.
« Qu’est-ce que tu fais chérie ?
- Je défait le bouton de mon jean j’suis trop serrée.
- En même temps tu as vue comme t’a bouffée cette semaine.
- Je sais. Ma mère à raison, je mangeais pas autant avant.
- Ca c’est parce qu’on a plus de liberté, moins de cadres. J’ai toujours eût de l’appétit, mais c’est vrai qu’a la maison on mange pas équilibré, pizza, pâtes, gâteaux, … . Mais je fais du sport alors j’élimine. Que toi tu fais pas de sport et tu bouffes McDo 4 fois par semaines. ment que tu rentres plus dans ton jean. »

Rentrées chez elles les filles décident de sortir la balance. 60 kilos tous rond pour toutes les deux mais Julie avait pris 5 kilos en trois mois. Pauline elle avait pris un kilo, mais c’était du muscle, et le muscle pèse plus lourd. « Tu sais ma Julie ça me dérange pas que tu ais pris du poids, je te trouve toujours mignonne. Et puis c’est léger. ». Les filles retournent en cours le lendemain. Au retour des cours Julie décide de faire un détour par les magasins pour se racheter un nouveau jean. Elle se dit qu’elle va essayer de faire plus attention à ce qu’elle mange pour pas racheter de nouvelles fringues tous les trois mois. Malheureusement ses bonnes résolutions ne tiennent pas longtemps d’autant plus avec les partiels. Julie stresse et se met à dévorer tout ce qu’elle trouve, en particulier des gâteaux. Résultat à la fin du mois son jean est à nouveau trop petit. Mais les partiels n’étaient pas les seuls responsables de sa prise de poids.

Mais tout ça n’était qu’une façade. Julie savait que cette fois elle ne pourrait y couper, elle allait devoir dire à Pauline, qu’elle avait choisie de bosser à McDo et prenait du poids intentionnellement. En fait peu avant de rencontrer Pauline, Julie avait découvert un phénomène américain, le « feedeesme ».
Des personnes qui s’empiffrent et prenne beaucoup de poids. Soit parce qu’elles ne peuvent freiner leur appétit, soit par jeu. Soit par jeu sexuel. Un jeu sexuel dont leur partenaire complice est appelé « feederer ». Certains ne dépassent pas les 100 kilos, d’autres les dépassent largement allant jusqu’à 150 kilos ou plus. Comme dans une sorte de révolte adolescente contre la société de consommation elle avait voulue se lancer dedans pour se prendre en photo et dénoncer les ravages de la société de consommation. Mais sa rencontre avec Pauline l’avait fait arrêter. Elle était folle amoureuse de la jolie blonde et ne voulait surtout pas l’effrayer. Aujourd’hui ce n’était pas la dénonciation de la société de consommation qui l’animait, c’était tout simplement le fantasme qui l’animait. Quand elle avait découvert ces femmes et ces hommes qui grossissaient exprès, elle avait ressentie une forme de fascination. Cette fois elle osait se l’avouer, cette fois elle voulait devenir une « feedee » non pas par conviction, mais par envie. C’est pour cela qu’elle avait postulé a McDo. Elle y avait postulée en espérant que Pauline comprendrait et accepterais. Leur couple n’avait que quelques mois, mais Julie pensait suffisamment connaitre Pauline pour se lancer dedans. Cette fois elle avait pris autant de poids en un mois qu’en trois, elle allait devoir lui avouer, elle ne pouvait plus se cacher. Même si rien ne semblait devoir inquiéter Julie, elle redoutait la réaction de Pauline.

« Ca se voit davantage c’est vrai, mais tu sais ça me gêne pas du tout que tu grossisses.
- Il faut que je t’avoue, je fais exprès de grossir.
- Comment ça ?
- Juste avant notre rencontre j’ai découvert un phénomène américain, le « feedeesme ». Des gens qui grossissent exprès. Soit par goût de la nourriture, soit par jeu sexuel. Certains dépassent les 150 kilos. Je ne sais pas pourquoi, j’ai envie de faire pareil. Je veux grossir exprès. Pas peser 150 kilos. Mais 100 serait sans doute bien.

- Tu y trouves du plaisir ?
- Oui. Pour moi c’est un vrai un plaisir de m’empiffrer et de voir que je grossis. Mais j’ai été égoïste, j’ai voulue devenir une « feedee » sans même t’en parler et alors qu’on est ensemble depuis seulement quelques mois.
- C’est vrai que t’aurais pu m’en parler.
- Mais je t’aime trop Pauline et si tu veux pas que je continue j’arrête tout de suite.
- J’avais remarqué que tu mangeais beaucoup plus qu’avant, mais je pensais pas que c’était pour ça. C’est vrai que c’est quelque chose dont je n’avais jamais entendu parler.
- Je suis désolée.
- Soit pas désolée, je trouve que ça te va plutôt bien ces kilos en plus.
- Ca ne te dérange donc pas si je continue ?
- Non, pas tant que ça te rend sexy.
- Par contre ça risque de nous coûter cher en fringues.
- On fera les boutiques de déstocke et on limitera les fringues à quelques tenues par tailles.
- Tu penses à tout ma Pau.
- C’est en partie pour ça que tu m’aimes ?
- Oui.»

Pauline s’approche de Julie et l’embrasse, posant ses mains sur son ventre. Doux leurs baisers deviennent passionnés. Julie invite Pauline à la déshabiller. Bientôt nue Julie laisse Pauline l’embrasser sur tout le corps, en particulier son son joli ventre. Pauline avait atteint le bas du ventre et plutôt que de descendre plus bas se relevait pour laisser Julie lui enlever son débardeur noir, son jogging gris et sa petite culotte, dévoilant son joli miaou rasé. Pauline avait toujours aimée être féminine et sexy. Elle n’avait supporté d’avoir des poils que ce soit au pubis, sur les jambes ou les bras, elle s’épilait régulièrement. Si Pauline détestait avoir des poils en revanche elle aimait que ses copines aient des poils au niveau du sexe. Elle ne savait pas pourquoi mais elle trouvait ça sexe et très féminin. Julie laissait donc sa toison brune pousser, dans la limite du raisonnable. Complètement nue Pauline laissait Julie l’embrasser sur tout son corps.
Arrivée au niveau du bas ventre Julie faisait passer ses doigts autours du sexe de Pauline, s’approchant de sa jolie fente avant d’y faire entrer son doigt. Caressant le clitoris du bout de son doigt elle sentait que Pauline commençait à mouiller. Alors elle remplace son doigt par sa langue. Instantanément les gémissements de plaisirs de Pauline redoublent. Elle prenait du plaisir avec le doigt de Julie, mais avec la langue c’était différent. Julie savait que sa langue était fatale. Pauline le savait et le sentait, elle n’allait pas pouvoir tenir très longtemps avant de jouir. Quelques coups de langues suffirent à déclencher cet orgasme qu’elle sentait venir. Après ce moment de bonheur, elle allait procurer le même plaisir à sa compagne. S’approchant de la toison brune de Julie, elle aimait en humer les parfums, poser son nez dans ce nid d’amour, avant d’y faire pénétrer son doigt et sa langue. Julie qui était en perpétuelle demande d’amour n’était jamais longue à venir au grand dam de Pauline. Heureusement pour elle, Julie arrivait à jouir plusieurs fois de suite. Certaines fois elle était parvenue à la faire jouir jusqu’à 4 fois en l’espace d’une nuit. Encore une fois il n’allait pas falloir longtemps à Julie pour jouir. Après avoir fait l’amour les filles se rhabillèrent. Dans la nuit Julie et Pauline feront une nouvelle fois l’amour à la demande de la première.

Julie et Pauline en rediscuteront, Julie si elle voulait devenir une vraie feeder allait continuer à manger comme ces derniers mois. Pour ses parents, Julie avait trouvée la parade. La perte du cadre familial où la nourriture est équilibrée, le travail chez McDo, le manque de sports, … . Tout en assurant ses parents qu’une fois ses études terminées elle entreprendrait un régime. Sauf que Julie ne savait pas ce qu’elle allait faire plus tard et donc combien de temps allait durer ses études.

Côté études tout se passait bien pour Julie. Plus l’année avançait et plus son goût pour la sociologie se renforçait. De son côté Pauline malgré sa passion pour le sport ramais. Si en exercice physique elle se débrouillais très bien, la théorie lui posait plus de problèmes. Mais surtout dans ce milieu sexiste et homophobe où les filles ont encore du mal à trouver leur place, même si des femmes sont profs de sports depuis déjà longtemps elles restent peux nombreuses. Mais Pauline se veut forte et n’en parle pas à Julie. Mais Julie s’aperçoit assez vite que quelque chose cloche et que ce ne sont pas seulement ses résultats qui plombent le moral de Pauline. Alors entre deux cours Julie va se payer le culot de venir assister à un cours pratique. Rapidement elle est identifiée comme la copine de Pauline. Les élèves masculins enchaînent les blagues de mauvais goûts. Jusqu’au moment où Julie leur balance la réplique qu’elle avait minutieusement préparée. Et leur balance que «On est lesbienne et c’est comme ça. On n’a pas choisie, comme on n’a pas choisie d’être des filles. Toi est-ce que t’a choisi d’être blond et comparé à un surfeur sans cervelle, je pense pas. Nous c’est pareil on n’a pas choisi. C’est peut-être aussi qu’elle est meilleure que vous sur ce genre d’exercice que vous ne l’aimez pas. Une nana, de surcroît une gouine qui vous bats, vous les mecs, ça vous énerve. C’est pas Pierre de Coubertin qui disait que le plus important était de participer et à instaurer l’idée de paix et de fraternité entre les sportifs des différentes nations. La paix et la fraternité c’est bien en paroles, mais après quand il faut le faire c’est autre chose.». Après son discours plus aucun garçons n’osait parler. Le prof qui était resté impassible face au harcèlement de Pauline, ne mouftait pas non plus. Il savait très bien qu’il aurait du intervenir, mais que plus ou moins d’accord avec ses élèves il avait fermé sa gueule. Le soir après les cours Julie va réconforter Pauline qui s’effondre en larmes. Après l’intervention de Julie, plus personnes n’osait bouger jusqu’à ce que le cours se termine. Une fois le cours terminé. Certains élèves ont coincés Pauline pour lui dire que sa copine leur avait foutu la honte. En sortant des vestiaires c’est le prof qui fera venir Pauline dans son bureau pour lui dire que ce que sa copine avait fait été inadmissible. Pauline n’avait pas osée aller se rendre au cours suivant. Dans les bras de sa copine Pauline, craquait. Pour la première fois elle craquait, se confiait à sa petite amie. Pauline hésitais à arrêter S.T.A.P.S., mais se disait que sa passion était plus importante que quelques cons auxquels elle devait montrer qu’ils ne l’empêcherais pas de réaliser son rêve. Mais une semaine après Pauline s’effondrait à nouveau en pleurs dans les bras de Julie. Cette fois Julie prenait la décision pour elle. Pauline allait arrêter le sport et allait porter plainte pour harcèlement. Julie refusait de voir sa copine martyrisée et refusait de laisser passer le comportement du prof et des élèves. Pauline dispensée de cours par Julie à proposée à son supérieur dans la supérette où elle bossait, de travailler plus. Ce qui permettrait aux filles d’avoir un peu plus d’argent. En septembre décidait de s’inscrire en Licence d’Histoire. Puisque le sport, sa première passion c’était cuit elle allait se consacrer à sa seconde passion, l’Histoire. De son côté Julie avait réussie sa première année de Sociologie, sans trop de difficultés. Mais elle ne savait toujours pas en cette fin d’année jusqu’où elle allait aller, ni ce qu’elle allait faire, mais elle compte continuer tant que cela lui plaira. A la rentrée universitaire Pauline s’inscrit en première année d’Histoire, et Julie en seconde année de Sociologie.

Une fois les cours terminés elle enchaîne les services à McDo pour essayer de se consti un début d’épargne. Durant l’été les deux filles vont travailler d’arrache pied pour gagner le plus d’argent possible.


Après 6 mois sans se peser Julie décide pour « fêter ses 1 an » chez McDo de se peser. La balance affiche 75 kilos. Elle avait pris 20 kilos en une année. Lorsqu’elle obtient sa Licence deux ans plus tard, la balance affiche 95 kilos. Julie avait découvert un réel plaisir à manger, à voir son corps grossir. Pauline contrairement aux « feedee » sexuels n’avait pas voulue devenir sa feedeerer », celle qui la nourrissait, même si elle trouvait Julie de plus en plus sexy. Pauline ne comprenait pas, elle qui aimait être mince et féminine, aimait voir Julie grossir, tout comme elle avait aimé son visage masculin. Julie était très différente de ses ex-petites copines, pas le genre de nanas qui la faisait mouiller, pourtant elle était rapidement tombée amoureuse de Julie. Julie avait quelque chose en plus, un truc qui avait fait qu’elle était tombée amoureuse d’elle. Pauline ne savait pas ce que c’était pas, mais ce truc avait donné naissance à un amour fort. Si son amour pour Julie ne s’expliquait pas, Pauline se disait que c’était sans doute la fille qui lui convenait, celle avec laquelle elle ferait sa vie. Jusqu’a présent elle n’avait jamais voulue de relation sérieuse, mais sa rencontre avec Julie l’avait fait changée. Cette fois elle voulait que sa dure. Pauline était surprise mais heureuse. Julie non plus ne s’expliquait pas son amour fou pour Pauline, car si Pauline était magnifique, sa beauté n’expliquait pas tout. Elle devait avoir un truc en plus. C’est vrai que Julie avait toujours aimé les blondes féminines, mais il devait y avoir un truc pour qu’elle soit dingue de cette fille, qui n’avait jamais utilisée de maquillage, vivait en jogging, écoutait du rap et du rnb.

Julie avait continuée son régime alimentaire, McDo, pizzas, pâtes, gâteaux, … pendant les 5 ans suivant. Elle avait pris 40 kilos en 3 ans, 12 kilos par an, en moyenne. Sa transformation était impressionnante. Ses cuisses étaient devenues épaisses, ses fesses rebondies, ses poignées d’amour débordaient de ses pantalons, son ventre plat était parfaitement rond et souple, ses petits seins avaient eux aussi prix du volume, au point de la faire passer d’un bonnet A à C. Pauline était toujours avec elle, toujours aussi amoureuse. Julie avait avouée son fantasme à ses parents qui l’avaient mal pris. Depuis qu’elle avait commencée à prendre du poids, Julie se prenait en photo une fois par semaine pour suivre l’évolution de son corps, arrivée à 95 kilos, Pauline à décidée de faire un montage vidéos de toutes ces photos et de la mettre sur You tube. La vidéo à eût beaucoup de succès, de nombreux commentaires demandaient à Julie si elle allait continuer à prendre du poids ou s’arrêter là. Julie avait tout d’abord pensé s’arrêter là, mais devant les encouragements des internautes elle se demandait si elle ne devait pas continuer, d’autant plus qu’elle avait pris beaucoup de plaisir à grossir durant ces 3 ans. Cette décision impliquant également Pauline, elle décidait de lui en parler pour lui demander son avis. Pauline était d’accord pour qu’elle continue à grossir. Elle l’a trouvait toujours aussi désirable, voir même plus qu’avant. La seule question qui restait en suspens, c’était quelle limite fixer ? Julie à assez vite trouvée la réponse à cette question. « Le jour où tu trouveras que je suis plus aussi sexy j’arrête. ».

Et pour prouver à Julie qu’elle la désirait toujours autant Pauline s’approche d’elle et l’embrasse. Doucement leurs langues se caressent, avant que les lèvres de Pauline ne quitte la bouche de Julie. Pauline pose de doux et délicats baisers dans le coup de Julie, tout en défaisant lentement sa chemise. La chemise à terre Pauline s’attache à défaire le soutient gorge de Julie, qui dévoile une belle poitrine. Délaissant le coup elle pose ses lèvres sur ces seins qui ont pris du volume. Pauline appréciait vraiment que Julie ait pris du poids, elle était beaucoup plus sexy. Et les seins de son amante, sans être énormes avaient bien grossis. Peut-être même n’étaient ils pas encore assez gros pour elle. Ses ex n’avaient jamais eût de gros seins, Julie était la première à porter un bonnet C, et Pauline trouvait du plaisir à l’embrasser, les lécher, à les prendre en bouche, mais peut-être en prendrait elle plus s’ils faisaient une ou deux tailles de plus. Après ces jolis seins ronds Pauline descend sur le ventre de Julie qui avait pris énormément. Souple et ferme Pauline prenait beaucoup de plaisir à le caresser et à l’embrasser. Elle ne savait pas pourquoi, alors que toutes ses copines avaient toujours été minces et que les filles qui la faisaient mouiller étaient mince, le corps épais de Julie l’excitait fortement. Sous ce ventre qu’elle léchait avec envie, la toison brune dans laquelle sa main se perdait, avant que son doigt ne trouve l’entrée de la caverne de plaisir de Julie. Julie soupirait de plaisir sous l’effet des mouvements du doigt de Pauline, quand ce doigt magique laisse la place à la langue de son amante, Julie sent ses jambes défaillir, cette langue c’est trop, trop de plaisir. Julie ne peut y résister, il ne lui faut jamais longtemps pour se laisser partir sous les assauts de langue si délicate. Alors Pauline remonte, embrasse Julie et se laisse déshabiller par sa maitresse, tout en se laissant embrasser. Le corps de Pauline n’a pas changé, simplement un peu plus musclé. Cette langue si amoureuse qui lèche ses petits seins, son ventre plat et ferme avant de donner à son sexe le plaisir qu’il réclame. Délicatement, amoureusement Julie caresse le bouton rose de sa compagne l’amenant à la jouissance dans un râle de plaisir. Pauline n’avait jamais connu un tel plaisir sexuel. Etais-ce parce qu’aucune n’était encore sûre d’être lesbienne et vierge d’amour saphique ou étais-ce parce que Julie avait vraiment un truc en plus ? Pauline n’en savait rien, toujours est il qu’elle n’avait jamais connu un tel plaisir avec ses autres copines. Aucune ne lui avait fait autant d’effet, ni sexuellement, ni amoureusement. Car c’était bien un amour fou que Pauline éprouvait pour Julie. Dès leur rencontre elle s’était douté que cette fille allait avoir un impact sur sa vie, rapidement elle avait compris qu’elle était amoureuse, amoureuse comme rarement elle avait été. Alors Julie dans ses bras Pauline s’endormait d’un sommeil calme et profond, tout comme sa compagne.

Durant ces trois années Julie ne s’était pas seulement métamorphosée physiquement, elle avait aussi radicalement changée de style. Finie la rebelle, le jean troué, la veste en skye, … . Sous l’influence de Pauline, Julie avait adopté un style plus féminin, même s’il n’était pas facile pour elle de se fixer tant qu’elle continuait à grossir. Elle avait également mûrie, elle était beaucoup plus réfléchie et avait davantage confiance en elle. Si à terme elle ne savait toujours pas quel métier elle voulait exercer, elle avait trouvée sa voix avec la sociologie qu’elle voulait étudier le plus longtemps possible. Parfois elle se demandait si elle n’allait pas terminer prof de sociologie. De son côté Pauline avait elle aussi changée. Si elle se fringuait toujours pareil, c’est-à-dire, en jogging, elle avait changée intérieurement. Elle était plus calme et plus confiante. Tout comme Julie aucun métier ne l’intéressait en particulier il lui semblait qu’elle allait finir prof d’Histoire en fac. Ce qui lui permettrait d’étudier à fond le sujet qui l’intéressait le plus et d’en étudier d’autres de manières plus approfondie. En dehors de ça, Julie n’avait toujours pas passée son permis et ne pensait pas le passer, le bus lui suffisait pour se déplacer et quand elle avait besoin de la voiture, Pauline l’emmenait dans leur vieille Clio.

Décidée à enchaîner avec une maîtrise (Master selon le terme anglophone employée par l’administration), Julie doit rédiger un mémoire durant ces deux années d’étude. Son sujet Julie le trouve assez facilement « Le comportement des français face aux obèses. ». Ayant obtenue sa maîtrise avec un certain succès, elle décide de continuer et de préparer une thèse avec comme question « Pourquoi assiste on au développement du phénomène appelée feedeerisme ? ». Julie continue de travailler à McDo pour gagner sa vie et continuer à grossir. Entre deux services elle travaille sa thèse. De son côté Pauline après avoir obtenue sa Licence, à entamée elle aussi un master, avant de se consacrer à la rédaction d’une thèse sur l’histoire du mouvement homosexuel en France au XXe siècle.

5 ans ont passés depuis que Julie à décidée de continuer en sociologie et de continuer à grossir. En 5 ans Julie à pris 50 kilos, 10 kilos par an. Se pesant juste avant de soutenir sa thèse la balance affiche 145 kilos. Julie décide de s’arrêter là. Non seulement Pauline commence à trouver qu’elle est trop grosse, mais son poids la gêne dans son quotidien et lui provoque des douleurs régulières. Julie passe sa soutenance et obtient sa thèse avec succès. Engagée dans le combat contre les discriminations au travers d’une association suite à sa thèse elle est engagée par un cabinet de conseil afin d’auditer entreprises et administrations sur les discriminations qu’ils peuvent infliger à leurs employés ou leurs clients. Quelques mois plus tard malgré le bonheur qu’elle éprouve d’être grosse, elle décide d’entamer un régime lorsque son médecin lui diagnostic plusieurs problèmes de santé liés à son poids. En 1 an Julie va perdre 50 kilos et se stabiliser à 95 kilos.

Mais avant d’entamer son régime Julie voulait faire l’amour une dernière fois, avec Pauline à ce poids de 145 kilos. Julie avait considérablement grossie depuis qu’elle était avec Pauline. Mais Pauline la trouvait toujours aussi désirable. Ce n’est que ces dernières semaines, que Pauline commençait à lui dire qu’elle était à la limite de perdre son sexe à pile (sex appeal). Alors Julie s’était pesée, ce qu’elle n’avait pas fait depuis 6 mois, et avait constatée qu’en 6 mois elle avait pris 10 kilos. Elle comprenait alors pourquoi depuis quelques jours ses genoux lui faisaient mal. Avec Pauline et son médecin elle avait convenue d’arrêter de prendre du poids et d’entamer un régime. Même si Pauline trouvait qu’elle était en train de perdre de sa beauté, elle avait toujours envie de lui faire l’amour. La veille d’entamer son régime, alors qu’elles venaient de se déshabiller et qu’elle allait passer sa chemise de nuit, Julie sent les lèvres de Pauline se poser dans son coup, ses bras l’enlacer. Julie se retourne, embrasse Pauline qui lui rend son baiser et qui doucement la pousse vers le lit tout en l’embrassant. Couchée sur le lit Julie laisse la bouche de Pauline aller et venir sur son corps, alterner entre les baisers les légers coups de langue. Pauline s’en donnait à coeur joie avec les seins et le ventre de sa compagne. Désormais Julie portait des soutient gorges de bonnet E et Pauline qui prenait déjà beaucoup de plaisir à s’en occuper deux tailles en dessous, avait été folle de joie de les voir grossir davantage. L’aréole, les tétons, le plat du seins, elle s’occupait de chaque centimètre. Après les seins venait le ventre énorme de sa maîtresse. Le ventre de Julie pendait désormais largement, mais Pauline s’en fichait elle trouvait son amante belle. Tout en embrassant l’énorme ventre, le doigt de Pauline titillait la fente d’amour de Julie, avant que sa langue ne vienne le remplacer. Encore une fois elle allait devoir doser ses gestes. Sa langue avait un effet dévastateur et si elle voulait faire durer son plaisir, elle allait devoir agir avec doigté. Mais Pauline savait s’y prendre, et rassasiée de plaisir, ou presque car elle n’est jamais vraiment rassasiée du sexe de son amante, elle laisse sa langue se déchaîner. Il ne lui suffit que de quelques coups pour que sa belle mouille d’un plaisir intense. Alors Pauline remonte vers la bouche de sa maîtresse et l’embrasse. Pauline toute heureuse à son tour s’occupe du plaisir de sa compagne. Pauline jouit à son tour quelques minutes plus tard, d’un râle aussi puissant que celui de sa maîtresse. Quelques minutes plus tard elles referont l’amour avant de s’endormir tranquillement dans les bras l’une de l’autre.

A l’aide d’un régime intense et de plusieurs heures de sports par semaine, Julie parvient à perdre 50 kilos en un an. Après une année d’efforts les filles peuvent fêter les 12 ans de leur couple. Pour fêter cet anniversaire, Julie organise un week-end dans une belle villa de Provence. Dès le premier regard Julie était tombée raide dingue de Pauline. 12 ans plus tard Julie était toujours aussi amoureuse de sa belle. 12 ans qu’elles étaient ensembles, maintenant et même si cela ne faisait plus aucun doute dans sa tête depuis longtemps, Pauline était la femme de sa vie. Si la vie en concubinage lui allait parfaitement Julie savait que le mariage était une chose importante pour Pauline. Alors Julie qui n’était pas contre et qui voulait rendre heureuse la femme de sa vie avait acheté une bague pour l’offrir à sa bien aimée dans cette villa, le jour même de leur 12 ans. Pauline qui ne s’y attendait pas du tout, était folle de joie, Julie voulait l’épouser. Evidement Pauline acceptait d’épouser Julie. Toutes les deux aidées de leurs parents se mirent à organiser le mariage. Une belle cérémonie sans trop d’invités. Pauline pouvait porter la robe blanche dont elle rêvait depuis si longtemps. Et Julie un beau costume blanc. Après leur voyage de noce en Polynésie, les deux jeunes femmes décidaient d’avoir un . Sans trop d’hésitations elles ont décidées que Pauline porterait leurs s. Le choix du père pour l’insémination artificielle était plus complexe, et après avoir réfléchis longuement elles ont décidées de faire appel à Alois. Pauline porterait l’, Alois et Julie en seraient les parents. Quand Julie avait du 12 ans auparavant avouée a son ami Alois qu’elle aimait les femmes, le garçon l’avaient accepté après quelques jours difficiles et ils étaient restés amis. La fécondation à réussie du premier coup et 9 mois jours pour jours après l’opération naissait un petit Louis, Alois. Alois s’était installé près des filles et venait régulièrement s’occuper de son fils ou le prenait avec lui. Une petite vie tranquille avec sa femme et son fils commençait pour Julie.

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