La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°970)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°969) -
Jusquà ce que la Domina attrapa brutalement lancienne cuisinière Zao par ses cheveux lobligeant à se relever et à se mettre sur la pointe des pieds
Elle fit rapidement un nud dans ses cheveux avec un élastique quelle portait à son poignet. Walter lui avait glissait à loreille que des crochets étaient disposés à de nombreux endroits sur le plafond de la pièce. Elle en fit descendre un et y attacha lélastique, créant une tension douloureuse dans le cuir chevelu de Zao. Elle se dirigea jusquà son sac doù elle tira deux petits élastiques sur lesquels étaient accrochés des petites griffes de métal quelle enroula sur les tétons de la pénitente, qui ne put sempêcher de crier en sentant les griffes se refermer sur la chair sensible. Puis elle posa des pinces avec des poids peu lourds mais assez pour les étirer et rendre la chose douloureuse. La soumise sétait débattue, mais malgré son apparence fragile, la Dominante avait une main de fer et lavait maîtrisée sans aucun souci ! Puis elle fit de nouveau siffler dans lair la cravache à quelques centimètres de la soumise et sexprima en anglais, sachant quelle serait comprise :
- Bien, jespère que maintenant, tu vas arrêter de te payer ma tête et que tu vas te décider à travailler ! Jaurai pu te bâillonner mais, si je veux que tu puisses me répondre quand je tinterrogerai, je ne peux pas le faire. Mais sache déjà que tu seras également puni par le Majordome ou quelquun quil nommera pour exécuter cette tâche. Es-tu prête à travailler maintenant ?
Et alors que Zao répondait un oui tremblant, elle reçut une gifle bien sonnante.
- Ne sais-tu pas quune soumise na pas le droit de parler, sauf autorisation express ? Tu réponds seulement par un mouvement de tête.
La soumise était en larmes mais provisoirement matée, et on neut plus rien à lui reprocher jusquà la fin du cours, où les deux mâles et les deux femelles étaient capables de comprendre des ordres comme à genoux, prosterne-toi, ouvre la bouche, suis-moi, ainsi que les consignes de la vie courante sur les corvées, les douches
Quand Miss Teachclaw sortit, elle laissa Zao attachée et pleurnicharde mais qui étrangement laissait échapper sa cyprine entre ses cuisses, montrant ainsi et malgré elle que les agissements de la Domina lavait excité grandement.
Walter arriva une heure après, silencieusement. En dehors de Zao, qui ne pouvait bouger et de la soumise asiatique, qui avait gardé tant bien que mal la position en grimaçant de douleur, en tremblant, les deux mâles, eux au bout dune demi-heure, en avait eu assez dattendre et lorsque ça avait commencé à tirer, avaient préféré sallonger, se disant quils auraient le temps de se remettre en position au moindre bruit qui se ferait entendre. Cétait sans compter sur les très nombreuses caméras présentes dans tout le Château, ce quils ne savaient pas, et qui étaient régulièrement surveillées par le Majordome. Il ne fit pas le moindre bruit et grâce à lentretien méticuleux quotidien quil supervisait, la porte ne grinça pas quand il louvrit. Il avait pris soin de prendre avec lui son fouet et après quelques secondes où personne ne saperçut de sa présence, il arma son bras et administra vingt coups de fouets aux deux chiens désobéissants, qui sétaient jetés au sol, à plat ventre et nosaient plus bouger en attendant que les coups cessent
Ce traitement avait paradoxalement excité les deux soumis qui arboraient une forte érection. Puis sans un mot, il se plaça derrière Zao, et lui infligea le même traitement, prenant soin de viser les parties les plus sensibles de son corps ... Enfin dans un parfait anglais, il sexprima ainsi :
- Chienne, ta sanction est terminée. Jespère que tu auras à cur de te montrer plus respectueuse avec toutes personnes qui te seront supérieures ! Et maintenant, je madresse à vous tous. Vous nêtes pas ici pour vous tourner les pouces, vous nêtes pas en camp de vacances ! Vous êtes soumis depuis plus ou moins longtemps, mais nous allons reprendre votre éducation à la base. Vous nêtes rien, vous devez obéir à nimporte quel ordre qui vous sera donné, peu importe si celui-ci vous semble compliqué à suivre.
Walter libéra fermement mais lentement Zao de ses chaînes et la soutint le temps quelle retrouve toutes les sensations dans ses membres et quelle puisse suivre les autres en quadrupédie. Elle ne put retenir des gémissements douloureux quand il enleva les élastiques à griffes de ses tétons. Elle eut mal au point quelle crut un moment quils avaient été arrachés et étaient restés attachés aux petits fils de caoutchouc
Il les emmena donc jusquau Chenil après leur avoir passé à chacun un collier et une laisse, rectifiant leurs attitudes à laide dune badine lorsquils relevaient trop la tête pour admirer les couloirs, les tableaux ou les tapisseries, ou encore sils ne marchaient pas assez vite. Zao était la dernière après quil eut enchainé les trois autres chacun à une niche. Et alors que la soumise allait, delle-même, se diriger vers la niche vide suivante, Walter tira dun coup sec sur sa laisse.
- Non, pas toi ! Toi tu viens avec moi. Les autres, vous navez que le repos comme occupation possible, et réfléchir.
Et il entraîna la soumise à sa suite, jusquaux cuisines.
- Puisque tu étais cuisinière chez le précédent Maître qui ta soumise, ici tu seras principalement aux ordres de notre bien aimée cuisinière que voici. Marie, je te présente la chienne Zao que Monsieur le Marquis vient dacquérir.
Le Majordome, qui pensait avoir cerné la chienne, avait fait exprès de laisser sous-entendre quelle nappartenait plus du tout à Wangdak pour la pousser dans ses retranchements. Ce qui réussit très bien, car Zao se redressa immédiatement sur ses genoux pour protester quelle nétait ici que temporairement et que le Châtelain navait pas intérêt à la considérer de trop comme étant Sa propriété car elle ne le serait jamais ! Ce qui lui valut un aller-retour de baffes depuis la main de Marie, qui ne supportait pas que lon puisse médire du Maître des lieux.
- Il va falloir que tu te contiennes et que tu changes de comportement ! Je ne pense pas quun Dominant, ami de Monsieur le Marquis, puisse tolérer une chienne aussi mal éduquée ! Si tu veux pouvoir un jour regagner le Tibet, change très vite dattitude, petite salope. (Et sous le regard flamboyant de colère de lintéressée, elle rajouta :) Oui ici tu ne seras jamais privilégiée, et il va falloir que tu acceptes de devenir ce que tu es sensée être, une chienne en chaleur, une salope, une pute qui doit obéir et satisfaire nimporte quel Dominant, qui sera prise par tous ses trous à nimporte quelle heure du jour ou de la nuit, dans nimporte quelle position ! Et pour commencer, viens me satisfaire moi !
Alors sans autre préambule, Marie souleva sa jupe et son tablier, puis Walter avança de force la tête de Zao entre les cuisses de la cuisinière et la maintint jusquà ce quelle se décide à sortir sa langue et à lactiver sur le clito et entre les lèvres intimes odorantes qui se présentaient à elle. Elle navait jamais eu à faire cela. Wangdak ne lavait que peu souvent mise à disposition de quelquun et jamais avec une femme. Elle était donc assez hésitante, un peu écurée. Marie la saisit par les cheveux, bougeant sa tête pour la guider. Sur un signe quelle fit, Walter lui appliqua quelques coups de badines sur le cul pour quelle mette un peu plus de cur à louvrage. Au bout dun long moment où la soumise léchait tant bien que mal ayant la tête fermement maintenue entre les cuisses de Marie la cuisinière, celle-ci finit par laisser éclater un orgasme, inondant le visage de Zao, tandis que le Majordome accompagnait une fessée de ces mots :
- On va te dresser, nous, ne tinquiète pas.
Puis sans avoir le droit de se laver le visage, la cuisinière lenchaîna dans le cagibi de la cuisine pour le reste de la journée, ne voyant la lumière que lorsque la porte souvrait au moment de manger et de boire
Ainsi sachevait le long mail que Walter avait envoyé, précisant cependant quon avait demandé confirmation à la chienne quelle voulait tout de même rester au Château, sachant que si elle ne le faisait pas, Wangdak la renverrait dans sa famille sans plus aucune chance de le revoir un jour. Cétait donc de son plein gré, malgré son caractère impulsif, possessif et rebelle, quelle allait vivre sous le joug de Monsieur le Marquis...
En Inde, après que le Maître ait lu le compte-rendu de Walter, le domestique du Maharadjah sonna et prévint le Châtelain que tout était prêt !
- Bien, dis à Sa Majesté que jarrive et puisque tu es là, apporte-lui ce livre que je viens de lui dédicacer.
Après quil se fut retiré, Il se tourna vers moi qui était sur Son ordre, assise par terre en train de travailler.
- Ma chienne, je tavais dit que tu pourrais sortir de cette suite. Vu lheure, tu te doutes bien que ce nest pas pour visiter la ville. Ce soir, tu vas vivre ce que tu es pleinement, c'est-à-dire une chienne en chaleur qui ne demande quà se faire prendre. Ici la sexualité ne saffiche pas, il nexiste pas de sexshop, mais ce nest pas pour autant que nous y vivons parmi des moines ou des impuissants. Dans la haute société, sur invitation seulement, il arrive quil y ait des soirées très spéciales à thèmes. Il y en a une ce soir, et cest une soirée BDSM. Tu ne seras pas la seule chienne présente, et je ne sais pas exactement ce qui va sy passer. Mais je veux et jexige que tu ais un comportement exemplaire ! Je ne te demande aucune réponse, tu nas pas davis à avoir sur la question. Je vais te bander les yeux comme le Maharadja la exigé, et je vais être bon avec toi, je ne vais pas avancer trop vite pour que tu puisses me suivre dans ces couloirs qui te sont inconnus. Dailleurs, nous prendrons plusieurs couloirs et escaliers dérobés, car ce sont des soirées secrètes même pour le personnel vivant ici. Maintenant, à genoux devant moi, ferme les yeux, tête haute, mains dans le dos. Exécution !
Je me mis dans la position exigée et fermais les yeux avec confiance. Le Maître me posa un bandeau noir sur les yeux, et me caressa doucement les cheveux et la joue, puis Il membrassa, avant de saisir ma laisse et de mentraîner au travers du palais dont je navais quasiment rien vu
(A suivre
)
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