L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 56)

L'Odyssée de La Belle Hélène – Hélène chez les Hermaphrodites -

Après des adieux forts émouvants de fraternité et de reconnaissances, et emportant la pierre de l’invisibilité dans sa besace, Hélène montée sur le dos de Pégase, quittait donc avec le centaure ailé, les licornes et leur royaume. La Belle Hélène ordonna à l’arc magique de tirer puissamment une haute flèche en direction d’Athènes sur la cible d’Alcmène afin de suivre précisément cette flèche qui les mènera donc par magie Divine jusqu’à elle. Juste avant que Pégase ne s’envole pour suivre ladite flèche, la Troyenne ordonna à l’arc magique d’obéir dorénavant à Cydipsé afin de protéger et prévenir le royaume des licornes de toute nouvelle invasion... Cela faisait déjà une petite heure que la flèche fonçait droit devant, tel un rapide missile dans le ciel, au travers les hauts nuages à vive allure en direction de la capitale grecque. Pégase avait presque du mal à la suivre, tellement la vitesse était accrue… Quand soudain, alors que le ciel ne présentait aucun signe orageux, un vif et violent éclair apparut rapidement de très haut des Cieux et pulvérisa la flèche en mille morceaux dans un assourdissant coup de tonnerre et une éphémère boule de feu qui disparue aussi vite qu’elle avait apparue. La foudre Divine d’une entité adverse à Apollon avait envoyé un signe fort afin de visiblement contrecarrer les plans du divin Epoux de la Belle Hélène. Ca se passa si vite que Pégase, surpris, sursauta et faillit faire tomber la Belle Hélène. Il fallut toute la maitrise du centaure ailé pour assurer une stabilité à la troyenne et Pégase préféra atterrir au plus tôt afin de faire le point de la situation. Cela ne tarda pas car il aperçut une terre assez proche et décida de s’y poser, ce qui fut fait en quelques battements d’ailes…

Hélène fut la première à apercevoir un grand lac aux eaux claires et turquoise. Pégase quant à lui reconnut d’emblée les lieux, qu’il avait l’air de connaitre car une fois atterri au sol voici ce qu’il déclara à la Troyenne :

- Mais ? … Je connais cet endroit !… Nous sommes au bord du lac d'Halicarnasse en Carie, habité jadis par la Naïade Salmacis et maintenant par le peuple des Hermaphrodites.

Oui j’ai bien dit les ‘’Hermaphrodites’’. En effet, comme tu peux l’entendre à l’oreille, dans ce mot, il y a ‘’Herma’’ qui vient du Dieu Hermès et ‘’Aphrodite’’ qui vient de la Déesse du même nom et donc les deux mots réunis forment ‘’Hermaphrodites’’. A l’origine Hermaphrodite (au singulier) est un beau jeune homme issu de l'union entre Hermès et Aphrodite, il est né sur le mont Ida de Troade… Un jour, alors qu'il se baignait ici dans ce lac, Salmacis s'éprit follement de lui. Ses avances furent repoussées par Hermaphrodite qui, lui, était amoureux d’Alcmène. Alors la Naïade jalouse et dépitée implora l’Olympe et fit le vœu que les Dieux unissent leurs deux corps pour n'en faire plus qu'un seul et elle fut exaucée. Cela donna naissance à un être humain à la fois homme et femme doté d'un pénis avec sous les testicules un vagin et des seins à la poitrine. Hermaphrodite est donc devenu bisexué ne faisant qu’un seul et unique corps avec celui de Salmacis…

Pégase reprit son souffle et regardant fixement les eaux calmes du lac, puis il continua ses explications :

- … Par la suite au fil des siècles qui suivirent tout homme ou toute femme venant se baigner dans ce lac en sortirait aussi dotés d'attributs masculins et féminins et deviendrait donc bisexué, ainsi en avait décidé les Dieux… Alors avec le temps et les nombreux baigneurs venus se rafraîchir dans ces belles eaux, une colonie de bisexués s’est constituée petit à petit et coexiste désormais sur ces rives du lac et forment donc le peuple des Hermaphrodites bisexués. Mais ils sont condamnés à vivre dans la débauche car par leur nature décidée par les Dieux, ils sont constamment en chaleur, en rut permanent et s’accouplent en longueur de journées ou de nuitées dans une libido ultra débridé et jamais assouvie… C’est pour cela que ce lac d'Halicarnasse a acquis une réputation de débauche et de luxure la plus excessive…
- Des êtres humains bisexués ! S’exclama Hélène ! Décidément les Dieux ne manquent pas d’imagination !
- Oui, mais il vaut mieux ne pas traîner trop longtemps par ici car si les Hermaphrodites nous trouvent, ils vont nous sauter dessus pour copuler sans ménagement, poussés par leur fort rut permanent, ils usent et nt de tous ceux qui se risquent par ici … Alors partons au plus vite …

Pégase n’avait pas terminé sa phrase, alors qu’il était sur le point de reprendre son envol afin de quitter les lieux au plus vite, qu’un puissant vent (divin) arriva sans aucun signe avant-coureur, ce vent se transforma en quelques secondes en une impressionnante tornade venue de nulle part et Pégase fut emporté, balayé dans les airs comme un fétu de paille ! L’ascension tournoyante fut fulgurante et fit de suite tomber Hélène à terre alors que la tornade poursuivait son chemin tournant sur elle-même emmenant le centaure ailé dans son sillon, au cœur même de ladite tornade … Hélène à terre et impuissante à agir regardait effarée cette tornade s’éloigner emmenant son ami.
Alors qu’elle se relevait, elle entendit derrière elle, de nombreux pas s’approcher rapidement et lorsqu’elle se retourna, elle vit une centaine de personnes totalement nues accourir quasi en furie. Il y avait des femmes, des hommes ou plus exactement les deux à la fois car ils étaient tous dotés de seins à la forte poitrine et de deux sexes, une verge et un vagin en leur bas-ventre. Leur croupe étaient aussi plus développée ainsi que leur hanche …

- Les Hermaphrodites ! s’exclama la Troyenne inquiète et qui tenta de se relever pour instinctivement fuir...

Mais les bisexués, insatiables de copulations effrénées, ne lui laissèrent guère le temps de se sauver, ils étaient déjà sur d’elle et tellement en chaleurs, en rut, n’écoutant que leurs bas instincts sexuels qu’ils arboraient tous une impressionnante érection, leurs regard gourmand étaient des plus entreprenants. Leurs tétons étaient dressés à leurs énormes seins et leur vagin dégoulinait de cyprine. Les premiers arrivés attrapèrent donc la Belle Hélène par les bras, lui déchirèrent sa légère tunique, et jetèrent loin sa besace où se trouvait la pierre de l’invisibilité qu’elle n’a pas eu le temps de prendre et qui lui aurait facilité sa fuite … En une fraction de secondes, elle fut couchée sur le dos, les cuisses maintenues écartées et un premier hermaphrodite tenta de la pénétrer. Mais celui-ci fut bousculé par un autre qui voulait passer en premier… Logiquement, ils auraient dû se disputer à qui baisera le premier cette magnifique femme qu’était Hélène venue s’aventurer sur leur territoire. Mais au lieu de se battre, ils s’emmanchèrent l’un dans l’autre, le pénis du premier dans le vagin du deuxième et copulaient ainsi sous les yeux effarés de la troyenne. Ainsi une méga-partouse prit très rapidement forme tout autour d’elle. Tous ceux qui pénétraient d’autres étaient, en même temps, pénétrés avec frénésie et selon leur position : soit dans leur cul, soit dans leur vagin situé sous leur testicules, soit dans leur bouche.
Mais Hélène ne fut pas cantonnée en simple spectatrice, deux autres hermaphrodites, bouillonnants d’hormones sexuelles qu’ils possédaient à outrance, s’occupaient d’elle. Le premier lui prit une touffe de cheveux afin d’ajuster son épais phallus dans la bouche et s’activait déjà à lui baiser sa cavité buccale, à l’évidence pour vite se soulager. Le second pénétra d’un coup sec la chatte d’Hélène qui, faut bien le reconnaître, était déjà bien humide de la situation et donc la pénétration fut-elle rapide, ne fut pas douloureuse. L’homme-femme s’activait par de grands coups de reins aussi pour se soulager. Alors qu’il baisait Hélène, un autre hermaphrodite, en pleines chaleurs sexuelles comme les autres, le prit par derrière dans son anus et le baiseur devint aussi le baisé et copulait avec force !

La Troyenne sentit la bite dure du premier bisexué heurter le fond de sa gorge, elle eut un hoquet incoercible qui lui fit monter les larmes aux yeux, mais elle continua à sucer, à s’appliquer afin d’essayer de modérer les puissantes ardeurs sans fin de cette verge gorgée de sang. Elle fit glisser sa langue le long de cette hampe dure et tendue par cette formidable érection, la fit tourner autour du gland turgescent. Hélène l’aspira, la suçota, l’avala et la lécha encore jusqu'à ce que cette impérieuse queue se mette à palpiter prête à gicler un flot de sperme. La Belle accentua le mouvement de vas et viens alors que le deuxième la besognait bestialement dans sa chatte à grands coups de reins. Prise par deux de ses trous, Hélène ne pouvait que subir mais subir en trouvant du plaisir, car hors de question pour elle, de n’être que passive. Alors sa bouche se fit encore plus profonde, plus gourmande. Il la prenait maintenant tout entière, s’activait encore. L’hermaphrodite ondulait son bassin pour encourager encore plus les effets agréables que lui procurait cette bouche, faisant battre ses couilles contre le menton de la Belle. Et puis… soudainement, elle aperçut sous les gros testicules, un vagin dégoulinant.
Alors elle décida d’y introduire un doigt, tout en suçant juste au-dessus la grosse bite, puis deux doigts, puis tous les autres tellement cette cavité vaginale était trempée. Elle décida donc d’y introduire la main entière et commença un fist fait d’allers et venues de plus en plus cadencés, ce qu’avait l’air d’apprécier le bisexué et provoqua en lui sans tarder une éjaculation abondante par ses deux sexes, oui en effet il jouissait doublement par ses deux sexes. Son vagin jouissait par un abondant éjaculat et sa verge s’épancha dans la bouche d’Hélène qui sentit les jets de sperme gicler, chaux et onctueux au fond de sa gorge. Elle faillit s’ tellement les flots étaient abondant. Sa main était trempée de cyprine…

Mais l’hermaphrodite avait à peine finit de jouir que tout de suite sa verge se regonflait de puissants désirs et sa chatte plus que trempée en voulait encore et encore, car tel était son destin, être constamment en rut, en chaleurs à jamais, à perpétuité … Alors il enfonçait de nouveau et violemment sa bite dans cette bouche, tel un dard perçant les lèvres entrouvertes, telle une pointe de fer portée par une hampe de chair, comme s’il voulait déchirer ou fendre encore cette cavité. Hélène crut s’ encore et chercha donc à s’échapper de ce nouvel assaut. Mais le bisexué tenait appuyé ses deux mains contre la nuque de la belle, lui imposant une fellation profonde presque abyssale. Il n’avait que faire de ces soubresauts, de ces hauts le cœur, sa seule préoccupation était de faire tenir toute entière sa bite dans cette cavité humide et chaude pour y jouir encore et encore. Mais les choses se compliquaient encore… Un autre hermaphrodite à son tour venait de la pénétrer par le cul, poussant d’un coup d’épaule puissant l’autre, celui qui baisait sa chatte. Il l’enculait profondément, sans aucun préambule, alors que celui qui fut expulsé de la chatte d’Hélène alla vite se soulager dans la bouche d’un autre qui était en train de se faire prendre par tous ses autres trous dans un entremêlement de pénétrations multiples…

Hélène cria d’abord de douleur avant que son corps n’accepte cette introduction soudaine par cette épaisse verge qui allait et venait en elle, lui prenant sauvagement le cul profondément et à chaque fois que ce vit se retirait de son anus, c’était pour mieux l’enfourner ensuite. Dieu merci, le cul d’Hélène en avait vu d’autres et il était rapidement dilaté, sinon, jamais elle n’aurait pu accepter un tel morceau fouillant ses entrailles… Prise par tous les trous à multiples reprises, la Belle Hélène gémissait de plaisirs, des gémissements étouffés parfois par une bite énorme, qui centimètres par centimètres s’était installé totalement dans cette bouche grande ouverte. Les lèvres de la Troyenne n’abondait pas à s’activer. La Belle sentit de nouveau et souvent des jets chauds de sperme dans sa bouche, dans sa chatte, dans son cul par des bites qui venaient se soulager à la chaine. Ca baisait encore et encore à forniquer sauvagement tout autour d’elle sur les bords de ce magnifique lac aux eaux claires. Des dizaines de bisexués s’accouplèrent à ne plus finir. Jamais, elle n’avait connue (et pourtant elle en a vu des tas d’ébats tous aussi torrides les uns que les autres) une telle méga-partouze hors norme qui n’en finissait pas car elle ne pouvait s’interrompre, les hermaphrodite rebandaient quasi tout de suite, dès qu’ils avaient éjaculé et mouillaient de plus belle à chaque orgasme vaginale…

Quand, au bout de plusieurs heures si torrides, une voix forte interrompit cette débauche, une voix qui apparemment avait autorité sur les hermaphrodites … Cette voix puissante s’éleva du milieu du lac pour ordonner clairement l’arrêt de tous ces assauts forcenés …

(A suivre …)

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