Comment Le Jardinier Est Devenu &Quot;Le Défricheur.3
Ou comment le jardinier est devenu le « défricheur ». 3
Les femmes sont toutes les mêmes, même les nonnes !
Comme une traînée de poudre, linformation est passée de bouches de novice à oreilles de novice.
2 jours plus tard, jeu droit à une visite nocturne dans mon logis.
Henriette et Madeleine, 2 autres novices entrèrent subrepticement dans mon réduit.
Jétais torse-nu attablé devant une misérable soupe.
-On vous apporte votre dîner, Sur Marie nous a demandé de soccuper de vous. Suite à votre malaise, il faut se nourrir abondamment.
(Ça me changera de mon ordinaire si peu ragoûtant).
Je mangeais avec appétit mais elles ne semblaient pas avoir envie de partir. Sur Henriette ny alla pas par 4 chemins et me tutoya aussitôt:
-Sur Marie nous a tellement vanté tes exploits que nous voulons voir pour y croire comme Saint Thomas. Et je veux montrer à Madeleine quil ne faut pas laisser passer une occasion de se divertir au couvent.
Elles me poussèrent sur le lit et me retirèrent prestement mon pantalon, je me laissai faire.
Sur Henriette, la plus délurée, navait dyeux que pour mon entrejambe ou une bosse gonflait mon sous-vêtement.
- Hum Prometteur, commenta-t-elle. Attends je vais libérer cette pauvre chose!
Lentement, elle glissa une main dans mon slip, et je sentis ses doigts se refermer sur mon membre.
- Ma sur, que voulez-vous faire ? Est-ce bien raisonnable ?!
Elle évaluait la marchandise avec ses doigts qui me trituraient, me caressaient. Au bout dun moment, le bout de tissu était déformé par lampleur prise par mon rostre.
- Que tu es gros, sextasia-t-elle, dune voix assourdie. Je veux ladmirer !!!
Elle dégagea de sa gangue de tissu ma bite qui continua à prendre ses aises une fois libérée, se déployant avec arrogance. Sur Henriette demanda un peu de renfort à sur Madeleine.
-Aide-moi à lui retirer son cache-sexe
Santa-Maria ! Marie na pas exagéré !!!Tu as une vraie queue dâne !
Charmée par sa découverte, sur Henriette sans aucune gêne, fit passer au dessus de sa tête sa tunique, se montrant totalement nue devant mes yeux exorbités.
Elle avait une poitrine généreuse, des seins lourds aux mamelons proéminents au centre de larges aréoles.
-A-toi Madeleine, prend sur toi, tu verras que ce nest pas si difficile !
Elle hésitait tellement que cest Henriette qui se chargea de lui retirer sa tunique.
Je détaillais ce nouveau corps. Il était très bien proportionné, Madeleine était très belle, plus jeune. De son corps émanait linvite à lamour, une poitrine magnifique, des yeux au reflet dor, une bouche aux lèvres charnues et sensuelles que lon voudrait dévorer.
Sur Henriette revint très vite à sa préoccupation première, ma queue !!!
Elle caressait mon membre, en épousant tous les creux et les bosses de mon excroissance quelle ne quittait plus des yeux.
-Sur Madeleine, ne sois pas si timide, il y a largement la place sur cette majestueuse flamberge pour que tu maides dans ma besogne !
Sur Madeleine agrippa avec un peu dappréhension ma queue qui continuait à grossir que jen avais presque mal.
Sur Henriette me branlait, entraînant la main de sa voisine dans le mouvement. Je grimaçais de plaisir, perturbé par cette branlette double. Ma bite avait pris des proportions énormes et mon gland, gonflé à bloc, la narguait
- Ta matraque narrête pas de se développer
Je nai jamais vu une bite pareille, si grosse, si dure !
Elle baissa la tête amenant sa bouche à quelques centimètres de mon gland et prit mon sexe entre ses lèvres. Elle me pompa quelques secondes, puis me relâcha.
Je nen revenais pas
2 mains couraient sur ma hampe pendant que mon gland disparaissait dans sa bouche, elle senfonçait tellement loin quelle salivait avec abondance sur mon nud. !
Après quelques minutes de ce supplice, Sur Henriette retira sa bouche et tendit loffrande à sa voisine
- Je suis sûre que tu fantasmes, imaginant ta bouche sur son formidable pénis ! Profite de sa virilité. Une occasion pareille dans un couvent, tu nen auras sûrement pas beaucoup dautres !
Sur Madeleine plongea soudain sur moi, ses lèvres entourèrent avec précaution mon gland, glissèrent dessus et absorbèrent quelques centimètres de ma verge avant de se retirer.
-Mon dieu quelle est grosse ! Cest doux et dur à la fois, et que cest chaud !...
Sa tête replongea, sa langue agile partait à la découverte de linconnu, insistait sur le frein, caressait le gland. Ses mains jouaient avec mes couilles, les palpaient, les pétrissaient.
Jamais je navais été aussi gros !!! Elle admirait son uvre, les yeux exorbités. Mais sur Henriette simpatienta et me chevaucha, encadrant ma tête des ses cuisses.
Son sexe était une forêt de poils doù émergeaient deux lèvres charnues très proéminentes. Une odeur forte et enivrante sen dégageait. Ce parfum, je ne le connaissais pas, il mattirait comme celui dune fleur à butiner.
Ma bouche vint cueillir le nectar de cette fleur inconnue des jardiniers. Elle colla sa fente sur mes lèvres, je plongeai ma langue telle la trompe du bourdon entre ses pétales pour en extraire le pollen.
Ma langue lécha, ma bouche lapa, mes lèvres burent sa mouille abondante.
-Oh oui beau jardinier, dévore-moi la chatte, enfonce ta langue, oui, encore plus loin. Que cest booonnn !!!!
De ses doigts, elle écarta impudiquement ses lèvres vaginales imbibées de cyprine et de salive.
-Applique-toi mieux que ça, lèche-moi bien la chatte, suce-moi le bouton, oui, la petite chose en haut de ma fente, ouuuiii comme ça
bois ma mouille, bouffe-moi la chatte, embrasse-là, lèche-là, mordille- là. Putain tu es doué, je coule comme une fontaine, haaaaaa, haaaaaaaaaaaaa, oh arrête, cest devenu trop sensible !
Mais je continuai de plus belle, encouragé par ses paroles et maidant de deux doigts que jenfonçai dans sa chatte complètement inondée. Je léchais encore et encore lamenant à plusieurs orgasmes. Ma bouche était complètement maculée de ses secrétions intimes.
-Jai jouis comme jamais mais maintenant je veux connaître la sensation davoir en moi ta poutre si épaisse et si longue mais je ten supplie, vas-y doucement je ten prie !
Elle guida avec sa main ma verge vers son sexe, la plaça dans sa fente et, se lenfonça le plus loin possible.
- Oh oui, je la sent bien ta grosse pine. Quel morceau de Roi, vas-y, défonce-moi !
Mais cest elle qui dansait sur ma queue comme une hystérique.
-Sur Madeleine, sil me fait du bien avec son braquemard, il ne fait rien de sa bouche, fais-lui découvrir les saveurs de ta chatte pendant que je goûterai ta bouche !
La moniale nattendait que ce coup de pouce pour vaincre sa réserve. Javais maintenant deux furies déchaînées qui se bécotaient et se pelotaient tout en prenant du plaisir avec ma bite et ma bouche.
Autant la chatte dHenriette était largement dessinée, autant celle de Madeleine était étroite et serrée, ma langue devait forcer pour sinsinuer entre des lèvres discrètes.
Je narrivai bientôt plus à retenir la pression qui montait dans ma queue et avertis avec difficulté ma cavalière en plein rodéo, gêné par la chatte de sur Madeleine sur ma bouche.
-Je vais gicler sur Henriette !
Elle retira mon rostre de sa chatte et me branla vivement de sa main.
- Viens, vide-toi de ton foutre, on veut assister au miracle dont nous a parlé sur Marie !
Un premier jet vint sécraser sur son visage et sa poitrine, mais prévenue par sur Marie, elle continua de plus belle lastiquage de ma lance.
Des jets incessants entrecoupés par de nombreux aller-retour de sa main sur ma hampe sous pression venaient sécraser sur elle et sa voisine ou retombaient sur mon corps, elles dégoulinaient de sperme que je voyais couler sur leurs peaux satinées.
-Jamais vu ça, il gicle en pointillé.
Quand léruption cessa, elle me reprit en bouche et insista pour en faire une toilette très minutieuse avec sa langue, pressant ma verge pour en recueillir les moindres traces de foutre.
-Cest à ton tour Madeleine
Viens profiter de sa grosse branche rugueuse !
Mais sur Madeleine nosa pas accepter le cadeau que lui proposait la moniale pleine de vice.
-Je ne pourrai jamais
Je nai jamais connu dhomme
Enfin, je suis encore vierge
-Et alors ! Il faut bien une première fois, lui rétorqua la dévergondée, et là cest du premier choix !
Elle attira à elle la novice la ramenant tout doucement à laplomb de ma verge.
-La femelle est faite pour accepter le mâle, cest une loi de la nature, lencouragea-t-elle, même si des fois le tenon est si gros et la mortaise si petite !
Mais sur Madeleine avait si peur quelle refusait ma pine à chaque fois quelle effleurait sa vulve.
- Il va taider, mets-toi à genoux, pose les mains au sol et laisse-le uvrer, et toi beau jardinier, sers-toi de ton plantoir pour défricher cette jeune vierge mais sois délicat avec cette chair fraîche et innocente!
A suivre
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