Parking
Déjà 3 mois que je me trouve à Paris. Les études dinfirmière ont commencées en septembre. Elles me prennent tout mon temps. Jy passe parfois la nuit, en lectures et en révisions. Le soir après les cours et avant de retourner dans ma chambre de bonne sous les toits, je fais la vaisselle au restaurant qui est au bout du quartier étudiant. Cest pour mettre un plus à lallocation que me versent mes parents, à ajouter à ma bourse détude. Malgré cela je sens bien que dici peut le découvert de mon compte en banque saccentuant je vais être e de trouver des solutions. Il y a déjà quelques mois je faisais un peu dexhibition sur des sites spécialisés, mais ce nétait pas assez lucratif pour me permettre de payer mes factures, loyer, gaz, électricité, les fournitures scolaires, les courses, il faudrait que je fasse la journée continue. Jai bien tenté de faire quelques heures la nuit, mais avec le rythme de mes études tout cela mépuise pour un bien maigre résultat. Je dois trouver dautres solutions. Mon humeur, et mon attention se sont dégradées et cela na pas échappé à Perrine une autre élève de mon cours. Cest elle la plus marrante toujours décontractée elle fait de loeil aux professeurs pendant les cours et comme elle est charmante avec sa frimousse et ses taches de rousseur personne ne la reprends, au contraire, même les plus barbons sont aux petits soins avec elle. Elle sait naturellement ce que veulent les hommes, surtout ceux qui ont dépassé la cinquantaine. On voit bien quelle à du savoir faire pour susciter leur envie. Perrine en plus dêtre jolie, nest pas bête du tout, avisant mon air maussade, elle à réussi à me tirer les vers du nez, mais au lieu de compatir à ma situation, elle a rit de moi. Me disant quelle avait mis au point une solution qui lui apportait toute satisfaction. Elle ma enjointe dadopter sa méthode. Cest ce que je fais aujourdhui. Nous sommes allées ensembles, toutes les deux, devant le parking de la gare St Lazare, cest un parking sur plusieurs niveaux dont lun des cotés donne sur les voies de la gare, on peut apercevoir les trains au passage puisque les étages ne sont pas fermés de ce coté.
Ce soir, comme je lai dis, elle sy prend mieux que moi, sans nous parler, elle ma fait comprendre en ouvrant son sac avec un clin doeil que la moisson était fructueuse.
Mais ses hochement de tête et ses déhanchements au passage de la dernière voiture qui est entrée sont sans équivoque, cest à moi dy aller. On sest promis de partager les gains, je me sens obligé de faire quelque chose, ce que sans cet engagement je naurai peut-être pas osé. Au moment ou la voiture stoppe devant la barrière daccès, une grosse Mercedes noire avec un monsieur dune soixantaine dannées, rose et blond comme un porc assis derrière le volant. La vitre se baisse et une fumée de cigare très épaisse se dégage de lhabitacle. Dans le même temps que je me penche dévoilant ainsi mon opulente poitrine, je me dis : non, pas celui la pourvu quil refuse.
un homme au physique si étranger à mes gouts. Nécessité fait loi je sais que je ne le fais pas pour le plaisir même si je lespérais. Non cest pour largent. Je regrette davoir indiqué un tarif aussi « normal » lauto est très cossue, le cigare semble hors de prix autant que nauséabond et étouffant. Jouvre la glace et profites de ces derniers instants, avant datteindre le dernier sous sol ou il faudra bien que je passe à lacte pour lequel je me suis assise là. Et nous y voici, mon client avise une place libre derrière un des gros piliers. Il stoppe le moteur qui émet des cliquetis en refroidissant dans le silence qui à subitement tout envahi. On dirait des ricanements, cest de moi que rit la voiture. Le gros homme se tourne vers moi et demande : pour ce prix tu fais quoi poulette. Sans balbutier, car je me suis préparée à dire la phrase adéquate, il ne doit à aucun prix sentir ma gène, je dois avoir lair décontractée comme Perrine. Jannonce une fellation, sa question est immédiate et de sa voix rendue grasseyante par labus du cigare il dit : tu avale. Jai presque un haut le coeur je noffre jamais cela, même à mes amants, alors dis aussi brutalement, je ne my étais pas préparée cette fois et moi qui adore sucer je minquiètes.
Perrine viens de descendre elle aussi et sans doute lheure tardive nest pas pour rien dans laccélération du rythme de nos activités.
Jen suis à mon douzième profit de la nuit je crois, je le considère ainsi cet homme assis à coté, et qui conduit dune main sure au travers des allées éclairées de néon. Je ne peux cependant mempêcher de remarquer ses mains aux doigts courts et puissants, ses mains posées sur le volant, recouvertes dun poil noir, des poils qui parcourent ses phalanges. Je vois son menton bleui par une barbe pourtant rasée récemment. Une pensée me viens, je le trouve beau, il lest dailleurs, il doit avoir du succès auprès des femmes. Quelle est donc cette chose qui lattire ici quil ne peut obtenir par ses charmes ? Je ne lui pose pas la question, je mimagine que trop pressé par ses affaires, il nas guère de temps à consacrer au moindre flirt et que pour une somme bien plus modeste que ce que lui couterait une relation suivi, il vient ici assouvir son besoin de sexe. Ce besoin qui assaille la gente masculine en permanence, celui qui me permet désormais darrondir mes fins de mois. Parvenu dans lun des étages intermédiaire, il se gare contre le mur du fond, les piliers toujours présents nous masquerons à la vue de la porte qui débouche à quelques pas de là et quempruntent les propriétaires des autos en stationnement. La routine déjà, reprends ses droits, toujours un peu semblable le début dune passe, je le sais maintenant lannonce du montant, les demandes sans imagination, mais comment espérer quil en soit autrement, cette fois encore la chose ce passe ainsi. La mise de fonds de mon client enfouie dans le fond de mon sac, je déboutonne mon chemisier qui commence lui aussi à être fatigué, je remonte ma jupe déjà si courte, dévoilant mes bas et mes portes jarretelles qui encadrent mon pubis glabre. Je le vois qui se penche vers moi alors que je fouille son pantalon après avoir fait descendre la glissière de sa braguette dune main qui se veut déjà experte, prenant garde de ne pas blesser son gland qui se dresse maintenant devant moi. Je sens ses mains qui ne pouvant dégrafer mon soutien gorge en soulève les bonnets, ses mains poilues avides de pétrir ma chère féminine. Je me laisse faire cest le deal, il pince mes gros seins visiblement satisfait, il en éprouve le poids conséquent. Me penchant un peu plus ceux-ci pèsent encore plus dans ces paumes et je sens son odeur, il est propre pourtant, mais peut être est-il venu ici directement en sortant trop tard de son bureau, dans lenvie daller sendormir, apaisé par une éjaculation nocturne quil ne peut accorder que de manière rapide. Je vais tacher de laider puisque cest mon rôle et que me lavouant jaime çà. Je happe son sexe avec habileté, il gémit et je souris intérieurement puisque je ne peu le faire vraiment ma bouche remplie entièrement de son membre viril, bien plus gros que ce que jai vu tout a l'heure, cest le plus dimensionné de ma soirée. Je laime ce sexe, je le pompe mais en mon fort intérieur, jen ai envie. Jai envie de le sentir écarter les lèvres de ma chatte doù je sens sécouler mon jus. Je suis certainement faites pour être une pute car un sentiment de parfait accomplissement menvahi en même temps que jentends ses gémissements. Pourtant dune main ferme il arrête mes vas-et-viens. Dans un souffle rendu rauque par le désir, il me souhaite me prendre à cet instant, au risque de tout perdre dans ma bouche, de façon trop précoce à son gout. Je change de position, presque nue, je me démène dans létroit habitacle, je lenjambe. A califourchon sur sa bite quil a lui-même revêtue rapidement de son capuchon laissé tout à lheure sur le tableau de bord, je rebondi sur ses cuisses tout aussi velues que ces mains. Jenlace sont cou pour plus de confort et parce que prenant appui ainsi je sais squil jouiera vite, je ne peux me retenir de défaire un peu plus sa chemise et de contempler sont torse musclé. Mon regard sattarde sur ses mamelons dressés par le désir, ses mamelons qui forment comme deux iles au milieu dune toison abondante. Il me fait envie, je me serais laissé prendre pour rien. Il sent quil ne mest pas indifférent et souris en me regardant dans les yeux, je lembrasse sur la bouche, ce que je métais pourtant promis de ne jamais faire dans ce cadre dactivité. Il me rend mon baiser avec fougue et sa langue fouille ma bouche comme sa verge fouille mon vagin trempé.
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