Lendemain De Soirée 1 : Réveil Surprenant Mais Délicieux
[H] Hugo ouvrit les yeux lentement. Le flou se dissipa après quelques instants et laissa la place à lobscurité dune pièce dans laquelle seuls quelques traits de lumière passaient par la fenêtre. Il balaya la pièce du regard le temps quil se réveil. Une armoire. Un bureau. Un tableau. Quelques photos accrochées aux murs. Au milieu dun grand lit deux places vide il essaya de se lever mais dut le faire lentement, trop engourdi. Il avait la tête qui tournait et à chaque mouvement quil faisait il avait limpression quil utilisait ses muscles pour la première fois depuis des siècles. Il ne savait pas où il était mais il était trop fatigué pour sen inquiéter. Il réussit à se glisser vers le bord du lit posa les pieds au sol et se redressa. Il attendit que sa tête arrête de tourner et que ses muscles acceptent davoir été réveillés.
[H] Quand il se senti mieux il remarqua quelque chose détrange. Depuis quil sétait assis il avait une drôle dimpression. Au niveau du bassin il sentait quelque chose, une gêne plus quune douleur. Il navait jamais ressenti quelque chose daussi profond. Il se dit que ce devait être une courbature daprès soirées comme les autres. Juste quelle ne voulait pas passer.
[H] Il se leva difficilement, sétira comme un chat, dépliant ses jambes et étendant son long torse et ses bras du plus quil put. Debout il marcha vers le mur où étaient accrochées les photos. A chaque pas, la gêne se faisait ressentir. Quand il reconnut sur les photos une des filles de la famille il comprit où il était. Cétait comme si un coup de vent avait tout dun coup soufflé le brouillard qui lentourait. Elodie, évidemment ! Hier soir elle avait fêté ses 22 ans. Elodie et lui se connaissaient depuis le collège mais ils ne sétaient pas toujours fréquenter assidument. Au lycée ils ne se voyaient presque plus et cela faisait quelques mois quils avaient vraiment repris contact. Au fur et à mesure quil y pensait, les souvenirs lui revenaient petit à petit.
[H] Vu la lumière qui passait sous le volet, il se dit quil serait peut-être temps de sortir de la chambre qui lui servait de grotte. Il ouvrit la porte passa dans le couloir et assaillit par la lumière tant de lumière il resta au milieu du couloir quelques instant avant de chercher la salle de bain.
[A] Anaïs sétait levée deux heures plus tôt. Elle avait aidé Elodie à ranger la maison. La soirée navait pas fait beaucoup de dégâts mais le sol devait être lavé, les bouteilles jetées, les lits refaits, etc. Bien sûr elle navait pas été la seule à se réveiller pour cela mais la plus part des autres avait dû partir tôt et ne put donc pas beaucoup aider.
[A] Elle avait bien profité de la soirée mais sétait couché parmi les premières, du coup elle découvrait au fur et à mesure des réveils qui était resté pour dormir. Elle connaissait la plus part des gens vu quelle était la meilleure amie dElodie. Lambiance était détendue. A un moment Elodie lui dit daller voir si tout le monde était réveillé, à midi, il était temps quils se bougent quand même. Du coup elle monta lescalier, toqua à la porte de la chambre du frère dElodie, réquisitionnée pour loccasion, et y réveilla deux filles quelles connaissaient assez peu. Puis elle sorti dans lidée daller réveiller ceux qui sétaient couchés dans le bureau, la dernière pièce où il ny avait pas de lumière sous la porte.
[A] Quand elle sorti de la première chambre, quelle ne fut pas sa surprise quand elle vit là, debout, au milieu du couloir, un homme, en caleçon. Il était de dos et ne la voyait donc pas. Elle non plus ne le voyait pas. La seule chose quelle pouvait voir, et quelle narrivait pas à arrêter de regarder, était son dos large et musculeux, un corps et des cuisses effilés et dessinés, de la tête au pied. Il se frotta les yeux et se gratta la tête. A cette occasion Anaïs vu chaque muscle de son corps sactiver lun après lautre, dans une danse terriblement agréable. Son caleçon couvrait et moulait un fessier à tomber par terre. Elle navait pas vu son visage mais elle savait très bien de qui il sagissait. Hugo était suffisamment roux pour quon le reconnaisse. Il se trouve quen plus il avait eu la bonne idée de passer la soirée en partie torse nu donc elle reconnut facilement ce corps félin qui lavait tant attiré la veille. Le jeune homme se mit subitement à bouger, il semblait un peu gêné, mais toujours aussi sexy, et il rentra dans la salle de bain. Anaïs contempla son lApollon jusquà ce quil ferme la porte toujours sans se rendre compte quil avait été vu.
[H] Quand il entra dans la salle de bain, Hugo se mit de leau sur le viager et sest en se regardant dans la glace quil prit conscience quil était en caleçon.
[H] Il frissonna quand leau entra en contact avec son corps puis il la laissa ruisseler doucement sur sa tête et son corps. A mesure que leau se réchauffait, son corps se détendait, mais la courbature quil ressentait au niveau du bassin était toujours là. Tant pis se dit-il, il ne pouvait rien ny faire, mais ça lintriguait quand même. Il trouva un gel douche et en pris un petit peu, il navait pas envie de squatter mais il navait pas ses affaires donc il navait pas vraiment le choix. Il profita ainsi de la douche.
[A] Anaïs était restée dans le couloir. Elle entendit leau de la douche et se dit quelle nétait pas prête de voir le bel Hugo sortir de la douche devant elle, par hasard. Ce nétait pas son genre, vraiment pas son genre, de faire ça, mais elle ne pouvait pas sen empêcher. Il était si beau, elle si seule et surtout ils avaient sympathisé la veille et il lui plaisait vraiment beaucoup. Ils sétaient parlé avant que lalcool ne fasse son effet et après il lavait fait danser une grande partie la soirée. Certes il était ailleurs, torse nu pour dautres raisons (quelle) et elle navait pas été la seule fille avec qui il sétait autant amusé. Ce nétait peut-être pas du flirt pour lui, mais ça avait eu un grand effet sur elle qui nétait pas habituée à flirter.
[A] Soudain une sonnerie de téléphone se fit entendre dans le bureau où Hugo avait dormi. Anaïs se dit dabord que ce devait être un appel, elle se précipita dans le bureau, chercha le téléphone à loreille et le pris.
- Salut Hugo
je ne voulais pas te déranger, ton téléphone sonnait
je
je me suis dit que tu voudrais répondre
- Ah salut, cest gentil, en fait cest un réveil, apparemment hier javais tout oublié sauf de mettre un réveil. Je sortais de la douche pour larrêter.
- Ah
bah
tiens, dit-elle en lui donnant le téléphone. Je vais te laisser finir du coup, tu peux prendre mon temps, je suis la seule à ne pas être encore passée par la salle de bain pour mhabiller complètement.
- Si tu veux, tu peux entrer avec moi, jai presque fini et pour ce quil me reste je nai pas besoin dêtre pudique disons.
- Euh
daccord pourquoi pas. Je vais chercher mes affaires.
- Dis-moi, est-ce que tu sais où sont nos sacs ? moi aussi jai des affaires à prendre, et jai un peu oublié où étaient mes affaires.
- On a mis tous les sacs dans la chambre du fond. Les gens qui y ont dormi sont déjà partis donc tu peux y aller tranquillement.
- Merci, à tout de suite.
[A] Comment ça pourquoi pas ? Comment avait-elle pu répondre quelque chose comme ça ? Cest malin, maintenant il en reste plus quà assumer. Elle avait déjà pris une douche donc quà se maquiller et à changer son jogging de lendemain de soirée pour de vrais vêtements. Mais de là à le faire avec lui dans la pièce, ne serait-ce quau début, cétait très étrange, et en même temps tellement excitant. Après tout elle ne le reverrait peut-être pas, ou plutôt elle pourrait sarranger pour ne plus le revoir si cétait une catastrophe, et puis maintenant quelle avait dit oui, elle ne pouvait plus refuser. De toute façon il naurait pas eu à la forcer longtemps pour quelle accepte de rester avec lui à demi nu dans une pièce.
[H] Hugo un peu troublé de ce qui venait de se passer sorti de la salle de bain, avec toujours sa serviette autour de la taille et se dirigea vers la chambre quelle lui avait montré. La douleur au fond de son bassin ne voulait décidément pas le quitter. Dans la chambre il trouva son sac et sorti ses affaires. Il enfila le caleçon propre quil y avait trouvé et retourna dans la salle de bain sa serviette et son sac à la main. Sortant dune autre chambre, Anaïs arriva au niveau de la porte en même temps que lui. Ne comprenant pas que lautre, trop gêné pour être clair, laissa lautre passé ils essayèrent dentrer en même temps et leurs corps se touchèrent plus quils ne lauraient prévu. Hugo se dit quil avait de la chance davoir choisi un caleçon qui ne le moulait pas trop car sinon sa demi-molle réactivé par la gêne et le contact inattendu se serait un peu trop vu.
[H] Hugo et Anaïs posèrent leurs affaires sur le lavabo et sortir ce dont ils avaient besoin. Lun et lautre vaquèrent à leur occupation en faisant comme si de rien nétait.
- Cétait une bonne soirée non ? dit Anaïs en se lavant le visage.
- Oui, enfin je crois, je ne me souviens pas de tout ahah, lui répondit Hugo qui étalait de la mousse à raser sur son visage et son cou.
- Elodie était avait lair contente en tout cas.
- Cest tout ce qui compte.
- Désolé de demander ça comme ça mais, pourquoi est-ce que tu te rases ? en une soirée ta barbe na pas pu repousser.
- SI je pouvais men passer, ça marrangerait bien. En fait je suis mannequin et dans le contrat que jai en ce moment je dois avoir un visage rasé de près, pas que le visage dailleurs, dit-il en désignant son torse dun signe de tête. Du coup le rasoir cest tous les matins.
- Ah daccord, tout sexplique alors. Comment tes devenu mannequin ?
- Ça sest fait comme ça, au début cétait pour me faire un peu dargent et puis au bout dun moment entre les différents calendriers, la nutrition et le sport quil me faut pour rester au niveau, jai fini par continuer pris dans lengrenage. Tant que je peux le faire je le fais, et comme jaime bien ça, autant continuer.
- Tu as raisons, en plus la nature taide bien.
[A] Ça y est ! Elle avait la gaffe. Pourquoi avait-elle dit ça ? En plus avec le rouge qui lui était monté aux joues, impossible quil ne se rende pas compte de sa gêne. La nature daide bien. Pourquoi ne pas lui dire quil est beau comme un dieu et quelle a envie de lui tant quon y est ?!
- Ah cest gentil, je lui dirai merci la prochaine fois que je la vois.
[A] Et en plus il est drôle
[A] Quand Anaïs eut fini de se maquiller elle décida de se changer en profitant du blanc quelle venait de créer pour que ça passe inaperçu. Mine de rien elle approcha son jean et enleva son jogging. Quand elle se retrouva pliée en deux pour lenlever elle se rendit compte que la position était sans doute bien plus suggestive quelle ne lavait espéré, tant pis, encore une fois la gaffe était faite. Une fois son jogging totalement enlevée, toujours courbée, elle déplia son jean et enfila une jambe. Elle vit du coin de lil quHugo, par politesse, par gêne ou par voyeurisme bien dissimulé rangeait ses affaires dans sa trousse de toilette proche du lavabo comme si de rien était. Elle en profita pour mater son profil ultra sexy en ramenant ses yeux vers le sol, mais hélas cétait le regarde de trop. Sans sen rendre compte elle sétait penchée et quand elle essaya de se relever pour enfiler le jean sur sa jambe gauche elle bascula et tomba à la renverse.
[A] En un éclair elle ne contrôla plus rien. Empêtrée dans son jean à moitié enfilé et dans son jogging. Quand le monde arrêta de tourner autour delle, elle rouvrit les yeux. Il lui fallut un peu de temps pour repérer où elle était. Elle décolla son visage de ce sur quoi elle était appuyée se rendant compte quil sagissait du bas du torse dHugo. Elle comprit en voyant quelle était nez à nez avec le bas de ses abdos, au début du V si sexy du jeune homme. Mais là nétait pas tout. Elle avait été de tomber par terre en sagrippant à sa taille et se faisant elle avait à moitié baissé son caleçon. La base du pénis dHugo était ainsi apparente. Mais comment avait-elle pu se retrouver dans telle situation. À moitié nue sur son phantasme fait homme mais surtout en train de le déshabiller.
- Oooooooooooh pardon !
je
je suis désolée
je suis tombée
je ne voulais pas te
Oh la la
dit-elle en se relevant et en se mettant à lautre bout de la pièce tremblant de gêne et ne sachant plus où se mettre.
- Ah
eh
tinquiète pas
cest pas très grave. Je ne mattendais pas vraiment à ça. Dit-il en remontant son caleçon, masquant le pénis quAnaïs aurait tout de même secrètement aimé voir plus longtemps. Mais dit moi, ça va ? tu ne tes pas fait mal ? dit-il dun ton rassurant, tendre et en la prenant par les épaules pour calmer ses tremblements. Si ça peut te rassurer, il y a bien pire que de voir une belle fille comme ça.
[H] Cest vrai quHugo avait été très surpris. Dans la position dans laquelle elle était tombée il avait eu en plus une vue plongeante sur sa poitrine par le colle de son T-shirt. Anaïs était plutôt sexy en plus. Taille moyenne, cheveux bruns longs et fins. Pas un corps de sec de top model, et tant mieux, le tout rehaussé par des fesses rondes et fermes et par deux beaux seins en formes de poires, et un visage très mignon. Déjà la veille quand ils avaient dansé il lavait bien remarqué.
[A] Comme si elle nétait pas assez rouge de gêne comme ça, voilà quil lui faisait des compliments maintenant.
[H] Il avait repéré les regards en coins dAnaïs quand il était sorti de la douche. Il savait donc quil lui plaisait. Mais il sentait quelle était vraiment gênée de lavoir dessapée comme ça, surtout quelle lavait mis nu à proprement parlé. Mais venant dune fille qui lui plaisait aussi, pourquoi pas. Si elle ne lavait pas fait volontairement il ne laurait pas mal pris. Au contraire dailleurs.
[A] Hugo tenait maintenant Anaïs dans ses bras, elle commençait à se calmer. Cest là quelle se rappela quelle était avait en plus été en culotte pendant tout ce temps. Elle recommença à sexcuser. Il lui dit encore darrêter, que ce nétait pas grave. Soudain alors quelle expliquait comment elle était tombée il la fit taire en lembrassant. Elle fut énormément surprise mais elle rendit le baiser fougueusement. Honnêtement, elle nattendait que ça.
- Ça va tu es rassurée sur le fait que je ne lai pas pris mal là ?
- Oui, là ce serait étrange sinon. Ah ah
- Et ça ne te dérange pas que je tembrasse ?
- Euh
non, laissa-t-elle échappée. Beau, drôle, attentionné et respectueux en plus.
- Donc je peux recommencer alors ?
[A] Elle ne lui laissa pas le temps de le faire, on ne peut pas être constamment passive non plus, et lembrassa directement. Un long baisé délicieusement sexy. Elle ne savait pas où tout ça allait les mener.
[H] Hugo caressa son corps pendant quils sembrassaient. Dabord les épaules et le dos et attendit de voir si elle le touchait aussi pour être sûr quelle en avait aussi. Quand il sentit ses mains se délecter du contact avec ses abdos, ses pecs et ses fesses, il se fit plus entreprenant caressant maintenant tout son corps. Il palpait ses fesses, glissait le long de son dos et jouait avec ses beaux sains et ses tétons pointés. Après avoir embrassé son cou il lui chuchota à loreille :
- Jai envie de toi
là
maintenant
- Moi aussi.
[A] Tu parles quelle en avait envie, sa culotte devait être trempée tellement elle en avait envie. Il lembrassa une nouvelle fois puis passa à son cou et commença à embrasser son corps en descendant. Il faisait monter la pression doucement en descendant jusquà son bassin. Il la tira vers lui et la fit sassoir sur le rebord de la baignoire, lui enleva sa culotte et finit de descendre la tête entre ses jambes. Anaïs, la tête renversée profitait des vagues de plaisirs que lui envoyait ses baisés. Lorsquelle senti sa langue contre sa vulve et son clitoris elle gémit dun plaisir surpris et se rappela quil valait mieux être discret. Mais vu ce que sa langue lui faisait ça allait être difficile. Il la doigtait en même temps. Elle sattendait à un coup vite fait mais il prenait tout son temps au contraire. Et quest-ce que cétait bon. Après quelques minutes de ce traitement elle lâcha « prend-moi Hugo » qui ne tomba dans loreille dun sourd.
[H] Hugo remonta rapidement pour la ré-embrasser. Et ils se levèrent tous les deux. Il baissa son caleçon laissant sortir son sexe en érection. Dune main il atteint sa trousse de toilette où il avait toujours une capote au cas où et il lenfila. Anaïs glissa ses mains le long de son torse et caressa ce sexe long et fin avec plaisir. Il la poussa doucement contre le mur de la salle de bain, se colla contre elle, la prit par les fesses. Il la portait par les jambes quelle avait serrées fortement autour de sa taille, et il la pénétra ainsi. Après des vas-et-viens lents et profonds pour quils shabituent lun à lautre, il se prit un rythme doux mais soutenu. La gêne était toujours là au niveau de son bassin, il en ressentait une aussi au bout de son gland, comme sil avait déjà fait lamour. Mais ça ne devait pas être ça, il sen souviendrait quand même.
[A] Jamais Anaïs navait été prise comme ça contre un mur. Elle était plutôt du genre simple, du genre à ne pas faire de folie avec son corps. Il lavait surprise mais elle adorait ce quil lui faisait. Son sexe était si bon. Elle gémissait de plaisir pendant quelle sentait son souffle chaud saccélérer dans son cou. Lorsque le plaisir ne lui faisait pas perdre trop la tête elle se concentrait pour serrer les muscles de son vagin ce qui avait pour effet immédiat de faire gémir Hugo encore plus. Au bout de quelques minutes. Hugo, qui ne devait pas en pouvoir de la tenir ainsi en la prenant, sorti délicatement après lavoir embrassé. Elle eut du mal à tenir debout après ça mais elle ouvrit la porte doucement pour voir sil y avait quelquun, personne nétant dans le couloir, elle lemmena dans le bureau où le lit était toujours déplié. Quand il eut fermé la porte elle lenlaça et lembrassa puis le retourna et le poussa sur le lit. Elle vint sempaler à califourchon sur lui et les gémissements reprirent. Dans cette position elle sentait lintégralité du long sexe dHugo en elle et elle pouvait se cambrer pour le faire gémir encore plus. De temps en temps Hugo reprenait le contrôle et allait plus vite ou moins profondément, jouant avec la zone sensible à lentrée de son vagin, puis sétait à son tour de mener la danse en imposant son rythme. Parfois les deux faisaient leurs vas et à viens à des rythmes différents. Le tout dans des gémissements étouffés par la volonté de discrétion et par leurs baisés. Lorsque lorgasme monta en Anaïs elle ne put contrôler ses cris quen mettant une main sur sa bouche. Son corps se resserrant sous leffet de la jouissance, Hugo qui nen était déjà pas loin jouit aussi éjaculant dans son préservatif au fond de son vagin.
[H] Il fallut quelques minutes aux deux amants pour se remettre. Anaïs sétait couchée à côté dHugo qui avait enlevé la capote, lavait noué et lavait mise par terre.
- Cétait bon
dit Anaïs dans un soupir.
- Oui cétait super. Je crois quon en avait bien envie tous les deux. Déjà hier tu mavais tapé dans lil.
- A qui le dis-tu, répondit-il dans un mélange de rire et de mollesse post-orgasme.
[H] Ils parlèrent encore quelques instants puis Hugo reparti prendre sa douche. Pendant toute leur partie de jambe en lair il avait ressenti la gêne quil avait depuis le début au niveau du bassin. Celle au niveau de son gland était passée avec lexcitation et était présente à nouveau maintenant quil avait jouit. Il se demandait bien doù cela pouvait bien venir. En tout cas, ce lendemain de soirée avait été tout aussi surprenant que délicieux pour lui.
La suite au prochain épisode...
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