Katherine Et April

Je poussai les portes de la cafétéria, et entrais dedans. J’étais un peu hésitante, car je n’étais pas dans ma fac, j’étais dans une autre, où je n’avais jamais été. J’étais venue ici, sous les conseils de mon plan cul régulier, qui m’avait parlé d’une fille qu’il s’était tapée, April, une vraie bombe, tant physiquement que sexuellement à en croire les dires de mon beau brun.

Pour approcher April, j’avais imaginé un plan assez tordu, aussi je n’étais pas venue dans cette cafétéria pour la chercher elle, mais pour chercher quelqu’un d’autre. Mes yeux balayèrent la vaste salle, et je finis par trouver celui que je cherchais. Un garçon de taille moyenne, de corpulence normale, qui avait l’air un peu timide, mais qui était très mignon. D’un pas décidé, je me dirigeai droit vers lui, et lui lançai d’une voix claironnante :

« Salut beau gosse ! »

Surpris, il leva les yeux vers moi. Il me jeta un rapide coup d’oeil, me détaillant furtivement, et je vis clairement ses yeux s’attarder sur mon visage d’ange, et ma poitrine assez rebondie (95c). Il faut dire que je m’étais habillée assez sexy pour l’occasion : j’avais mis un débardeur noir, très décolleté et moulant, et un mini-short qui mettait parfaitement en valeur mon fessier de rêve. Déjà que j’étais une belle brune très séduisante, dans cette tenue il était normal que je le fasse craquer !

« Euh… on se connaît ? Me demanda-t-il, l’air un peu hésitant. »

« Non, non, tu t’en souviendrais, répondis-je sur un ton amical. Je m’appelle Katherine, toi c’est Scott n’est-ce pas ? »

« Oui… comment tu le sais ? »

« Peu importe. Je peux m’asseoir ? »

« Oui bien sûr, vas-y ! »

Je m’assis avec lui, et entamai la discussion. Comme me l’avait dit mon plan cul régulier, son ami d’enfance, Scott était très sympa, un peu timide peut être, mais agréable. Le courant passait bien entre nous, et dix minutes plus tard, je me dis qu’il était temps de passer à la phase suivante de mon plan.

Je me penchai un peu vers lui, et lui susurrai :

« Dis moi, Scott, est-ce que tu n’aurais pas envie qu’on… aille dans ta chambre ? »

Il ouvrit des grands yeux, et rougit de la tête aux pieds. Je décidai d’enfoncer un peu le clou :

« Je suis désolée si c’est trop direct pour toi, mais ça fait un moment que je t’observe, et j’ai très envie de toi... »

C’était bien sûr vrai : Scott était tout à fait mon type de mecs, mignon et timide, même si j’aimais aussi les « apollons musclés », je raffolais aussi des mecs timides. Mais en plus, Scott était un élément central de mon plan pour approcher April.

« Écoute… bafouilla Scott, tu es très très belle, vraiment, mais ce soir… ce soir je peux pas, j’ai un rendez-vous avec une autre fille. »

Mon beau brun m’avait bien renseigné, Scott avait effectivement rendez-vous avec April ce soir… je voulais quand même m’en assurer :

« Ooooh mince ! Dis-je en me composant une mine déçue. Elle en a de la chance, elle s’appelle comment ? »

« April. Et elle doit me rejoindre dans ma chambre ce soir alors... »

Je retins un sourire démoniaque, pour l’instant tout se passait comme prévu. Il me restait juste à user un peu de mon charme. Je le lui saisis la main, et le sentis se raidir à se contact.

« J’ai une idée Scott… on a qu’à aller dans ta chambre là maintenant, tout de suite… »

« Mais April… m’interrompit-il »

Je lui mis un doigt sur la bouche pour le faire taire, tout en le séduisant.

« Chut… laisse moi finir. On va dans ta chambre, maintenant, mais on va pas jusqu’au bout. On ne fera que les préliminaires, je te donnerais un avant goût de ce qui t’attend… pour le jour où tu seras disponible… ça te dit ? »

Je voyais bien qu’il était terriblement tenté. Il était rouge comme une pivoine, un peu haletant, et j’étais sûre qu’il était entrain de bander. Pendant qu’il réfléchissait, je le dévisageais intensément, en me mordillant légèrement la lèvre. La suite était prévisible : il craqua.

« Ok, moi ça me va… mais tu vas pas être un peu frustrée ? Je veux dire, on va se chauffer énormément, mais moi après je serais soulagé par April… toi par contre tu resteras sur ta faim, non ? »

Le pauvre ! Si il savait ce qui se préparait ! Mais d’un sourire enjôleur, je le rassurai :

« Non, ne t’inquiète pas. Allons-y, ajoutai-je d’un ton autoritaire, qui le fit bondir de sa chaise immédiatement. »

Nous allâmes jusqu’à sa chambre. Scott ouvrit la porte, et je le poussai à l’intérieur. Je claquai la porte derrière moi, et le poussai sur le lit avec force. Il s’écroula dessus, l’air un peu surpris par ma sauvagerie. Je lui demandai :

« April arrive dans combien de temps ? »

Il jeta un coup d’oeil à son portable, et dit :

« Dans une demi-heure environ... »

Je frissonnai d’excitation, et dis :

« Alors ne perdons pas de temps. »

Je me jetai sur lui, m’installant à califourchon au-dessus de lui, et l’embrassant comme une folle, lui dévorant la bouche. Je rompis notre baiser, et plaçant mon visage à quelques centimètres du sien, je lui lançai un regard brûlant, plantant mes yeux marrons dans ses yeux bleus.

« N’ou… n’oublie pas : on ne fait que les préliminaires, d’accord ? »

Il devait sentir que la tension sexuelle était brusquement montée entre nous, et se douter que de simples préliminaires n’étaient plus possibles. Je me contentai de lui répondre par un sourire mi-moqueur mi-coquin, et le plaquai contre le matelas. Je lui embrassai le cou, puis, saisissant sa chemise, je la lui arrachait littéralement, dévoilant son corps, que j’embrassai avec passion. Scott était haletant, et tremblant d’excitation.

Je me redressai un peu, et lui arrachai son jean avant qu’il n’ait pu réagir.

« Non ! Attends ! On v a pas jusqu’au bout, on fait que les préliminaires, tu te souviens ? »

A nouveau je ne lui répondis que par un sourire démoniaque, et lui arracha son caleçon. J’eus la satisfaction de voir qu’il ne se débattit pratiquement pas. Lorsque je saisis son sexe à pleine main en revanche, il protesta :

« Arrête ! C’est plus des préliminaires là ! »

« Ose me dire que t’en veux pas plus, lui dis-je en le branlant doucement. »

Il gémit, et j’estimai que c’était un réponse suffisante. Je me mis à le branler nettement plus vigoureusement, le faisant se tordre de plaisir sur le lit. Puis, je me remis à l’embrasser, partant de sa bouche, puis descendant sur son cou, puis sur son torse, traçant un sillon brûlant sur mon passage. Puis, j’arrivai enfin au niveau de son sexe, d’une belle taille, d’une quinzaine de centimètres, et d’une belle largeur. Je le pris en bouche avec délice, et me mis à le pomper comme une folle, faisant des va-et-vient avec ma bouche, lui léchant du gland à la base, tout en lui massant les boules. Scott gémissait et se tortillait sur le lit, il semblait énormément apprécier ce que je lui faisais. J’accélérai le rythme de ma fellation pendant de longues minutes, avant de brutalement ralentir pour le frustrer. Je maintins ce rythme lent pendant quelques minutes, puis je ré-accélérai, avant d’à nouveau ralentir, et je jouai ce petit je pendant une bonne dizaine de minutes.

Au bout d’un moment, j’interrompis cette délicieuse fellation pour passer à la suite. Je retirai mon mini-short, puis mon shorty, et m’empalai sur la queue de Scott. Il poussa un petit cri de plaisir, mais protesta :

« On était censé faire que des préliminaires ! Arrête là, je t’en supplie, tu m’as déjà sucé comme une déesse, laisse moi m’en remettre ! April est une sauvage, comme toi, j’aurai besoin de toute ma forme pour baiser avec elle ! »

J’étais ravie d’avoir une autre confirmation qu’April était bien une sauvage elle aussi. Mon beau brun me l’avait dit, mais deux témoignages valent mieux qu’un. En tout cas, je répliquai à Scott :

« Désolé mon beau, mais ici c’est moi qui décide. J’ai décidé que j’allais te baiser, et c’est ce que je vais faire, et je sais que t’en crèves d’envie… Tu baiseras April un autre soir, voilà tout ! »

« Mais qu’est ce que je vais lui dire ? »

« T’inquiète, ton April, j’en fais mon affaire. »

« Qu’est ce que tu veux… aaaah putain ! »

Je l’interrompis en lui donnant un puissant coup de rein, qui le fit crier. J’enchaînai avec un autre, puis un autre, laissant Scott sonné sur le matelas.

« Alors, elle baise aussi bien que ça, April ? »

« Oui, dit-il essoufflé, oui elle baise comme ça. »

J’eus un nouveau frisson d’excitation. April s’annonçait être une délicieuse rencontre, j’avais hâte qu’elle arrive. En attendant, pour exécuter correctement mon plan, je devais baiser Scott jusqu’à lui donner un orgasme tellement puissant qu’il ne pourrait plus rien faire de la soirée. Je jetai un coup d’oeil à son portable, laissé là sur le lit, et vis qu’il me restai vingt minutes avant qu’elle n’arrive. C’était plus qu’il ne m’en fallait.

Je voulus d’abord tester l’endurance de Scott, et lui administrai une longue série de puissants coups de reins, qui le culbutèrent contre le matelas, et le firent crier. Je voulais voir si je l’approchai trop dangereusement de l’orgasme ainsi, ou si je pouvais continuer à le baiser à ce rythme. A ma grande surprise, je vis qu’il était suffisamment endurant pour supporter une baise aussi endiablée, aussi je maintins ce rythme, accélérant progressivement. Sa queue était plutôt bonne à baiser, pas aussi longue que d’autres, mais bien épaisse, et elle me remplissait délicieusement, à chaque aller-retour que je faisais. Comme je prenais de plus en plus de plaisir, et que j’étais de plus en excitée, j’allais de plus en vite, mes hanches le cognant avec toujours plus de force. Scott voulut reprendre le dessus, et mettant ses mains sur mes hanches il tenta de me renverser. Cependant, le plaisir que je lui infligeais était tel, qu’il était sans force, et je n’eus aucun mal à rester au-dessus, puis à repousser ses mains. Je lui administrai une claque, histoire de lui apprendre qui était la patronne ici. Ensuite, je me mis à me déhancher de gauche à droite, de droite à gauche, traçant des 8 avec mon bassin, emmenant son sexe dans une folle danse, le faisant crier à pleine voix. « Oh continue, c’est tellement bon, continue ! », dopée par ses encouragements, je me déhanchai encore et encore, toujours plus vite, et toujours plus fort. Il posa à nouveau ses mains sur moi, mais pas pour me renverser, mais pour m’enlever mon débardeur, que je portais toujours. Je lui saisis les mains, et les plaquai au-dessus de sa tête, sur le matelas, tout en me penchant sur lui. Je l’embrassai fougueusement, tout en me mettant à faire des mouvements de bas en haut avec mon bassin, le baisant avec force. Je le sentais approcher de l’orgasme, aussi, je continuais sur ce rythme un bon moment. Puis, je me redressai, et donnai tout ce que j’avais, le baisant à fond d’avant en arrière, comme une folle, le culbutant si fort, que le lit se mit à tanguer et à taper le mur avec force, je le baisai ainsi encore et encore, et lorsqu’il finit par jouir en hurlant, je le baisai encore, faisant durer son orgasme de longues et délicieuses minutes.

Lorsque je le retirai de moi, il était complètement sonné, à moitié évanoui sur le lit. Je regardai l’heure, April devait arriver dans une dizaine de minutes. On avait encore un peu de temps, mais mon plan continuait de fonctionner : Scott était vidé, il ne pourrait pas baiser ce soir, tout allait comme sur des roulettes.

« On a encore un peu de temps, lui dis-je. Ca tombe bien, j’ai pas joui, et il paraît que tu es super doué avec ta langue : t’as l’occasion de le prouver. »

« Qui t’a dit que... »

« On s’en fout, tais-toi et lèche, lui dis-je d’un ton autoritaire en m’asseyant sur lui. »

Au début, il était un peu maladroit, tant il était sonné par l’orgasme que je lui avais apporté. Mais rapidement, il retrouva toute sa dextérité, et me lécha comme un dément, sa langue tourbillonnant sur mon intimité, entrant dedans et en inspectant tous les recoins, ou passant sur mon clitoris, me faisant crier de plaisir. Je tremblais et gémissais, il était vraiment doué avec sa langue, c’était fou ! Je me déhanchais sur lui, histoire de l’inciter à me lécher plus vite et mieux, ce qu’il faisait aussitôt. C’était vraiment délicieux, probablement un des meilleurs cuni de ma vie, et je continuais de m’activer sur son visage, car j’en voulais encore et encore, toujours plus ! Je finis par avoir un terrible orgasme, qui me fit m’écrouler sur le lit, tremblante de plaisir.

« C’était bien ? Me demanda-t-il, l’air un peu timide. »

« Bien ?! C’était mieux que ça, c’était excellent, parfait ! T’as vraiment un don avec ta langue, toi. »

Il eut un sourire ravi :

« Merci ! Toi tu chevauches et tu suces comme une déesse, c’était incroyable. »

Puis soudain, il eut l’air de revenir à la réalité, et eut un air effrayé :

« Oh merde ! Et April ? Tu m’as baisé comme une folle, je vais rien pouvoir faire avant un bon moment, April va être furieuse ! »

L’air tranquille, je me rhabillai, remettant mon shorty et mon mini-short.

« T’inquiète pas, je vais lui expliquer que ça a dérapé entre nous. Commence par te rhabiller. »

Il obéit, l’air toujours très inquiet. Moi je m’assis sur le bureau, l’air tranquille et serein, mais en réalité, j’étais bouillonnante d’excitation et d’impatience. Au bout de cinq longues minutes qui parurent une éternité, on toqua à la porte. Scott, l’air un peu apeuré alla ouvrir, et entra alors April.

Elle était de taille moyenne, blonde, de beaux yeux bleus, et un corps de déesse : des fesses rebondies, et une poitrine affolante, du 95D au moins. Elle était parfaitement mise en valeur, avec son débardeur bleu au décolleté généreux, et son jean moulant. Elle était aussi sexy que me l’avait décrite mon plan cul régulier, et plus attirante encore que ce que j’avais imaginé. Cependant, elle avait l’air surprise de me voir ici, son regard alla de moi, tranquillement installée sur le bureau, à Scott, qui la regardait d’un air franchement coupable.

« Qui c’est elle ? Qu’est-ce qu’elle fait ici, demanda-t-elle à Scott. »

« T’inquiète pas pour moi, lui lançai-je, je m’en vais justement. »

Je me levai du bureau, et me dirigeai vers la porte. Je m’arrêtai à hauteur de April.

« Par contre, je suis désolée, mais je crois pas que ton étalon soit en état ce soir… première arrivée, première servie comme on dit. A plus ! »

Je sortis de la chambre, tandis que April observait Scott d’un air furieux. J’avais à peine fait trois pas dans le couloir que la voix d’April retentit :

« Hé toi ! Ici, et tout de suite ! »

J’eus un sourire triomphant : mon plan avait fonctionné ! Je revins dans la chambre d’un air mi-innocent, mi-moqueur.

« Qu’est ce qu’il y a ? »

« Tu crois que tu peux venir ici et te taper mon mec ? »

« C’est ton petit ami ? Il s’est bien gardé de me le dire... »

« Non c’est pas mon petit ami, mais il était à moi ce soir, tu me l’as piqué... »

« Oups ! Lançai-je d’un ton moqueur. »

April fronça les sourcils et m’observa un court instant. Je soutins son regard, gardant mon air moqueur et provocateur. Nos yeux se croisèrent, et je vis alors dans son regard qu’elle comprenait où je voulais en venir. Elle comprenait que j’avais fait exprès de me taper son rencard pour la provoquer. Elle me détailla un bref instant, observant mon corps de rêve, et mon magnifique visage. Elle se tourna alors vers Scott, je vis dans son regard que la colère était toujours présente, mais elle était à présent mêlée… d’excitation.

« Scott, dehors. »

L’intéressé parut stupéfait.

« Qu… quoi ? »

« Dehors je t’ai dit. »

« Mais… c’est ma chambre. »

« Je la prends pour ce soir, t’as qu’à aller dans la mienne. »

Le regard de Scott alla de April à moi, il n’avait pas l’air de comprendre.

« C’est une affaire entre filles, Scott, tu comprends, lui expliquai-je. »

April me jeta un regard qui me fit frémir, un regard de tigresse affamée et furieuse, auquel je répondis par un petit clin d’oeil moqueur. Scott avait l’air de commencer à comprendre ce qui allait se passer ici.

« Attendez… vous… euh vous êtes sûres que je peux pas rester ?  »

« Non ! Dehors ! »

Nous avions crié la même chose en même temps, sur un ton très autoritaire. Nous ne voulions pas d’un garçon qui se mette dans nos pattes quand nous réglions nos comptes. L’air un peu déçu et penaud, Scott quitta la chambre, d’un pas lent, comme à regret. April ferma la porte à clé, et se tourna vers moi.

« Bien. A nous maintenant... »

Je lui souris d’un air franchement provocateur, et m’approchai d’elle de quelques pas. Elle s’approcha elle aussi de moi, ses yeux bleus brûlant d’une flamme de bonne augure.

« Tu t’appelles comment ? »

« Katherine. Toi je sais que c’est April. »

Elle me dévisagea un moment, et me lança :

« J’ai bien compris ton petit jeu, tu vas regretter d’avoir voulu jouer à la maligne avec moi. »

« Fais attention… je crois pas que tu saches vraiment à qui tu as affaire... »

Elle se jeta soudainement sur moi, et me tirant par la ceinture de mon mini-short, me jeta sur le lit. Puis, elle vint sur moi, et me plaqua fermement contre le matelas, en me tenant par la gorge.

« J’ai affaire à une petite chienne soumise, à qui je vais infliger une fameuse correction ! Lança-t-elle. »

Et sur ce, elle se pencha sur moi, et m’embrassa sauvagement. Elle colla son corps contre le mien, m’écrasant avec délice contre le matelas. Je lui rendais son baiser, frissonnante de plaisir. Nos lèvres se brûlaient l’une et l’autre, nos langues s’entre-croisaient, c’était délicieux ! Puis, je me dis que j’avais fait suffisamment semblant de me laisser aller, et soudainement, j’enserrai mes jambes autour de sa taille, et la renversai. Elle poussa un petit cri de surprise, mais le temps qu’elle réagisse, je lui avais déjà saisi les poignets, pour les plaquer contre le matelas. Je la tenais en mon pouvoir. Je me penchais sur elle, et lui susurrai :

« J’ai rien d’une soumise ma belle… je t’ai attirée dans un piège et t’es tombée droit dedans. Maintenant, tu vas savoir ce que ça fait d’être le jouet de quelqu’un... »

Je lui dévorai alors le cou, puis le décolleté. Je pris le risque de lui lâcher les mains, pour lui masser ses seins vigoureusement. Ils étaient tellement gros, tellement fermes, j’avais hâte de la dénuder pour les découvrir. En attendant, je me contentais de les pétrir, de les masser, faisant gémir April. Mais elle n’avait pas capitulé. Alors que je me penchai pour l’embrasser, elle me saisit par les cheveux, et voulus me renverser. Serrant les dents à cause de la douleur, je me redressai et attrapant son bras, je lui fis lâcher prise. Puis, je la saisis par le cou, et la plaquai à nouveau contre le matelas. Elle se débattit, mais je la tins bon, et pour faire bonne mesure, lui administrai une claque. Elle eut un air indigné, et se secoua, cherchant à me renverser en m’attrapant avec ses jambes. Mais, la serrant entre mes cuisses, je la maintins clouée au matelas. Elle se débattit encore un moment, mais je tenais bon, et elle dut abandonner, du moins pour l’instant. Pendant tout le temps où elle s’était débattue, je l’avais toisée d’un regard moqueur et dominateur, la fixant dans les yeux. Et elle m’avait rendu ce regard. A présent qu’elle ne pouvait plus rien faire, notre regard avait quelque chose de plus intense encore, comme si elle prenait conscience que je prenais l’ascendant sur elle.

« Tu te laisses pas faire facilement toi, pas vrai ? Lui lançai-je. Je vais devoir te faire tourner la tête rapidement, si je veux que tu sois à mes pieds. »

Et sur ce, je lui défis le bouton de son jean, baissant son pantalon lentement, tout en la tenant fermement. J’introduisis ensuite deux doigts dans son shorty, et me mis à la doigter vigoureusement. April se tendit et se mit à gémir de plus en plus fort, à mesure que j’accélérais mes va-et-vient avec mes doigts. Je lui faisais un bien fou d’une main, et de l’autre, je lui tenais le menton et l’obligeai à me regarder pendant qu’elle se tortillait dans tous les sens. Je pouvais ainsi lui lancer un regard narquois et dominateur. Ses beaux yeux bleus chaviraient sous le plaisir que je lui infligeais, et son corps de déesse, tremblait sous le plaisir que je lui apportais. Par moments, elle tentait de se rebeller mais il me suffisait alors d’accélérer le mouvement de mes doigts pour la mettre KO et la faire se tenir tranquille.

Au bout d’un moment, je décidais de changer de position. Je la mis sur le côté, et vins me coller derrière elle, dans son dos. Je me remis alors à la doigter vigoureusement, tout en lui embrassant la nuque, et en lui massant les seins vigoureusement. J’allais si vite et si fort qu’elle resta paralysée par le plaisir, incapable de se débattre. Je me collais encore plus contre elle, et lui murmurai à l’oreille :

« Alors ? Qui est la petite chienne soumise ? Hmm ? Qui ça  ? »

J’illustrai mes propos en lui titillant le clitoris, ce qui lui fit pousser un cri de parfaite chienne soumise. J'accélérai ensuite le rythme, à la fois de mes doigts dans son intimité, et de ma main pressant sa volumineuse poitrine. Je la sentis se cambrer, et lui murmurai « allez jouis ma soumise, jouis je te l'ordonne ! » Je fis un mouvement de doigt particulièrement bon et elle explosa dans un merveilleux orgasme, qui la fit hurler de toutes ses forces.

Elle resta un petit moment, étendue et sonnée par le plaisir. Puis, elle finit par se tourner vers moi, et me dire en souriant :

« C’était tellement booon ! Tu es vachement douée. Il y a pleins de mecs qui n’ont jamais pu me faire autant de bien avec une bite… »

Je fronçai les sourcils.

« Tu n’es pas vexée ? »

« Pas du tout, j’ai aimé être soumise par toi. »

Je ne pus m’empêcher de ressentir une puissante déception. J’avais cru que cette fille était une véritable dominante dans l’âme, et que j’aurais le droit à une sacré bataille en essayant de la dominer. J’étais déçue de la voir se soumettre après une seule baise.

« J’ai un texto à envoyer, excuse moi. »

Je me levai du lit, et envoyai un SMS à mon beau brun, pour lui dire que j’étais un peu déçue de sa copine, et qu’elle était pas à la hauteur de mes attentes. Je me consolais en me disant qu’elle était ultra-sexy, et que la baiser était déjà plaisant. Mais j’étais déçue de ne pas avoir une baise plus sauvage et batailleuse avec une fille si sexy.

J’avais à peine fini mon texto, que je fus soudain poussée en avant, et plaquée fermement et de face contre le mur. Dans mon dos, April murmura :

« Je vais te faire ta fête pour ce que tu viens de me faire, tu vas le payer cher. »

Je ne pus m’empêcher d’avoir un frisson de plaisir : j’allais l’avoir ma bataille sexy ! April glissa sa main dans mon soutif, et se mit à masser vigoureusement ma poitrine, me faisant frissonner de plaisir. Puis, elle saisit mon mini-short et l’ouvrit, avant de glisser sa main dans mon shorty et de me glisser deux doigts dans mon intimité. Elle se mit à aller et venir très rapidement, bien décidée à me faire perdre la tête. En même temps, elle continuait à me masser les seins, si bien que ce qu’elle me faisait était absolument délicieux. J’en tremblais d’extase, de la tête aux pieds. April me murmura à l’oreille : « alors, qui est la chienne de qui maintenant ? » Je voulus me débattre, mais elle accéléra le mouvement de ses doigts, et je ne pus que pousser un gémissement et me laisser aller. Elle me doigta ainsi pendant un long moment, me rendant complètement folle, jusqu’à ce que je me sente me cambrer, et exploser dans un frisson orgasmique.

April se pencha vers moi, et me mordilla l’oreille « tu vas apprendre à être docile, sinon je te corrigerai encore et encore... »

Je souris, vraiment ravie de la tournure que prenaient les événements. Je me retournai, et la poussai jusqu’à son bureau, l’étalant dessus. Avec autorité, j’ouvris son jean, et baissai son shorty. Je me jetai sur son intimité, et fis tourbillonner ma langue dessus, tout en massant vigoureusement ses énormes seins à travers son débardeur. April gémissait, et se débattait sur le bureau, mais je la tenais fermement, et elle resta immobilisée contre le bureau. Ma langue continuait de s’activer en elle, et il semblait bien qu’elle ne pouvait rien contre ça. Mais j’étais trop en confiance : April ne se rendait jamais. Alors que je la léchais, elle enroula soudain ses jambes autour de ma nuque, afin de diriger le rythme du cuni. Je me débattis, pour tenter de briser l’étreinte de ses jambes, mais elle tint bon. Pire, elle se bougea vers l’avant du bureau, pour pouvoir enserrer ma tête avec ses cuisses, rafermisant son étreinte. Je retirai mes mains de ses seins, pour tenter de me dégager, et c’est alors qu’April renforça son ascendant sur moi. Elle se redressa, et me saisit par les cheveux, et poussant sur ma tête, m’obligea à m’agenouiller. Elle écarta ses cuisses, et me tirant par les cheveux, me fit me remettre à l’ouvrage. Je repris mon cuni, mais cette fois, April dirigeait tout, le rythme, l’intensité, tout. A genoux devant elle, contrainte de lui faire plaisir comme elle le voulait, dirigée par sa poigne de fer qui tenait mes cheveux, je me sentais vraiment soumise. Surtout que régulièrement, elle me tirait par les cheveux et me forçait à la regarder dans les yeux, en me toisant d’un air dominateur. Et elle commentait abondamment ce qui se passait.

« Lèche moi, esclave, me disait-elle, donne du plaisir à ta maîtresse, comble moi et fais toi pardonner de m’avoir piquée Scott. »

J’accélérai le rythme, et sentis April trembler de tout son corps, j’accélérais encore, et elle poussa un grand gémissement.

« Oh bordel ! T’es bien meilleure que lui avec ta langue, et pourtant c’est le roi du cuni ! »

Je lu donnai un coup de langue particulièrement bon, et elle poussa un cri. Elle me tira à nouveau la tête en arrière, et me lança :

« Doucement belle brune, tu vas me faire jouir ! »

« Et alors ? »

« Je sais que tu vas en profiter pour reprendre le dessus. On va faire autrement. »

Me tenant toujours par les cheveu, elle se leva du bureau, puis, m’entraîna sur le lit. Je tentai de me débattre, mais en me tirant sur les cheveux, elle me faisait mal, et m’obligea à me plier à sa volonté. Elle me jeta sur le lit, m’étalant dessus, et rapide comme l’éclair, vint s’asseoir sur mon visage.

« Lèche moi, fais moi jouir sur ta gueule d’ange ! M’ordonna-t-elle. »

Je saisis ses cuisses, et m’appliquai à lui administrer un brûlant cuni, tournoyant ma langue sur son minou. Elle poussa un gémissement, et se tortilla, me baisant la bouche avec application. Je saisis en sorte qu’elle ait le cuni de sa vie, aussi je m’appliquais comme jamais, allant profondément en elle, tournoyant comme un ouragan, asticotant son clitoris comme jamais. April gémissait, se tortillait, m’ordonnait d’aller plus vite, et je m’exécutai, renforçant encore et encore son plaisir, jusqu’à ce qu’elle explose dans un orgasme qui la laissa sans voix, et qui la fit inonder mon visage de cyprine.

Elle s’allongea sur le lit, et se tournant vers moi, me nargua :

« Je t’ai bien eue, pas vrai ? Je pensais que tu serais plus difficile à mâter que ça… je suis un peu déçue quand même... »

Je lui jetai un regard noir, mais j’étais trop vexée pour trouver de quoi répondre. J’avais adoré ce qui venait de se passer, mais j’étais vexée quand même. Je me retournai, lui tournant le dos, désirant attendre un peu avant de reprendre les hostilités. April eut un petit rire :

« Tu boudes ? »

Elle vint se coller à moi, et se mit à m’embrasser la nuque doucement. Elle se fit de plus en plus pressante, ses mains se mirent même à pétrir ma poitrine. Je frissonnai de plaisir.

« Allez… ne boude pas, et occupe toi plutôt de me satisfaire... »

Sur ce, elle me retourna soudainement m’allongeant sur le dos, et me tenant plaquée contre le matelas. Avec un sourire diabolique, elle se rassit sur mon visage, pour que je la lèche à nouveau en face-sitting. Mais cette fois-ci, pas question que je me laisse faire. Je m’appliquai aussitôt à lui administrer un incroyable cuni, ma langue s’activant comme jamais sur son intimité, si bien que April poussa aussitôt un hurlement de plaisir, et fut paralysée par l’extase. J’en profitai aussitôt pour la renverser, la plaquant à son tour contre le matelas, tout en continuant de lui dévorer son intimité, m’appliquant pour que chacun de mes coups de langue la fassent vibrer de la tête aux pieds. C’était réussi : April gémissait, et se tortillait de plaisir, et je la sentais proche de l’orgasme. J’accélérai alors le rythme de ma langue, et sentis April se cambrer. Je m’acharnai sur son clitoris, jusqu’à ce que, après un énième brûlant coup de langue de ma part, elle explose dans un orgasme qui la fit hurler à s’en casser la voix.

Je me redressai, et pris deux secondes pour l’observer : elle était tellement sexy, le corps tremblant après son orgasme, le visage comblé, ses cheveux blonds en bataille, et son souffle encore court, qui faisait se soulever son imposante poitrine. C’est en observant sa poitrine, encore dissimulée par son débardeur et son soutif, que j’eus une idée.

Je vins sur elle, et m’installai sur sa poitrine. Je me mis ensuite à me déhancher lentement sur ses seins, frottant mon intimité contre eux, frissonnant de plaisir. Je dansais ainsi, allant de plus en vite, me délectant de sentir ces deux obus si ronds et fermes sous moi. Je regardai April bien droit dans les yeux, histoire qu’elle sente bien qu’elle était à moi, et que je disposais de son corps comme je l’entendais. Elle se redressa, voulant reprendre le dessus, mais la saisis par le cou, et la plaquai contre le matelas. Je me déhanchai sur ses seins, encore et encore, accélérant le rythme, vibrant de plaisir. C’était tellement bon, que je relevai la tête en fermant les yeux, savourant cet instant.

April en profita. Elle saisit ma main qui tenait son cou, et tira dessus, m’attirant près d’elle. Elle me saisit ensuite par les cheveux, et me renversa. Je me débattis, mais elle me tint à son tour par le cou, et je ne pus me défaire de sa prise. Souriante, elle me glissa deux doigts dans mon intimité, et se mit à aller et venir, de plus en plus vite, ravie d’avoir à nouveau le dessus sur moi. Elle accéléra le mouvement, veillant bien à me titiller le clitoris histoire de me faire vibrer le plus possible. Je me mordis les lèvres pour ne pas gémir, tant c’était bon, mais plus elle accélérait, plus ça devenait difficile de masquer le plaisir énorme que j’en tirais. Lorsque je finis par lâcher un gémissement de plaisir, April eut un sourire satisfait, et arrêta deux seconde de me doigter, pour me saisir par le menton.

« Alors, petite soumise, on aime se faire malmener ? »

En guise de réponse, je lui mordis le doigt. Pas très fort, mais juste assez pour la surprendre. Elle eut un mouvement de recul, et me lâcha le menton. J’en profitai pour la saisir par les hanches, et la plaquer contre le matelas. Avec autorité, je lui retirai son débardeur, puis lui arrachai son soutif bleu clair, dévoilant enfin sa magnifique poitrine. Je me jetai sur ses seins, et les dévorai avidement, les léchant, les embrassant, les mordant même, faisant frémir April. Elle voulut se débattre, mais je lui tenais les mains plaquées contre le matelas, tout en lui dévorant la poitrine goulûment.

Quand j’en eus fini, je me redressai, et pris le temps de toiser April d’un air supérieur. La belle était tremblante de plaisir, et légèrement essoufflée. Je voulais en rajouter encore, lui faire bien sentir qu’elle était ma soumise. Alors, je la retournai soudainement, la mettant allongée sur le ventre.

Doucement, j’insérai un doigt dans son anus, et fis quelques mouvements d’avant en arrière. April poussa un léger soupir de plaisir, et je constatai, satisfaite qu’elle ne semblait pas avoir mal. Je décidai donc de passer à la vitesse supérieure, et lui insérai carrément trois doigts dans son magnifique cul. Je me mis à aller et venir à toute vitesse, bien décidée à la baiser le plus sauvagement possible. April ne soupirait plus de plaisir, elle gémissait et hurlait même, en proie visiblement à quelque chose d’intense. Je me penchai sur elle, et tout en continuant à lui doigter l’anus, je lui embrassai la clavicule, puis la nuque, et remontai jusqu’à son oreille :

« Tu aimes comme je te prends le cul, beauté ? Lui soufflai-je d’un ton narquois. »

J’accélérai le rythme, bougeant mon poignet de gauche à droite, lui arrachant un véritable hurlement.

« Non arrête ! Tu me rends folle, c’est trop bon, stooop ! »

Ravie de l’entendre crier ainsi, j’accélérai encore le rythme, glissant au passage un quatrième doigt, la limant aussi bien que l’aurait fait une bite. Elle ne tint pas longtemps et explosa dans un orgasme qui la laissa écroulée sur le lit, sans force, presque évanouie.

Elle avait joui, mais pas moi. Je l’observai un moment, allongée sur le dos, et eus une idée. Je vins au-dessus d’elle, et me mis à chevaucher son magnifique fessier, rond ferme, et bien bombé, et frottai mon intimité contre lui, encore et encore, y allant à fond me déhanchant dessus comme une folle dansant dessus de gauche à droite. C’était vraiment bon, délicieux de sentir ce boul si ferme sous moi. Je ne pus tenir très longtemps, excitée comme j’étais et eus à mon tour un délicieux orgasme qui me fit m’effondre sur le matelas, ivre de plaisir.

Nous restâmes un moment étendues sur le lit, savourant notre plaisir. Puis j’eus une brûlante envie de prendre une douche : après une baise, et particulièrement après une baise sauvage, j’adorais aller me doucher.

« Je vais sous la douche, je reviens m’occuper de ton cas après. »

April semblait vraiment sonnée, mais me répondit quand même, d’une voix faible :

« N’oublie pas que t’es pas chez toi, c’est Scott qui paie l’eau, alors explose pas la facture. »

« Je suis chez moi chez tous les mecs que j’ai baisés, répliquai-je avec un clin d’oeil. »

J’entrai dans la salle de bains, me déshabillai, et allai sous la douche. Je restai dessous un bon moment, profitant de l’eau chaude qui allait parfaitement bien avec ce que j’avais éprouvé durant ces trois premières baises que j’avais eues avec April. J’étais satisfaite d’avoir réussi à la mâter par deux fois, et étais même contente qu’elle se soit suffisamment bien défendue pour réussir à me malmener le temps d’une baise.

Je savourais donc le souvenir de ces moments, quand soudain la porte de la salle de bains s’ouvrit à la volée. April entra, ses yeux bleus brillant d’envie. Elle ouvrit la douche d’un coup sec, et entra dedans. Elle me saisit par les hanches, et me plaqua contre la paroi. Je me débattis un peu, mais elle me tenait bien. Elle pressait son corps contre le mien, serrant son imposante poitrine contre la mienne et me collant à la paroi de la douche. Puis, elle glissa deux doigts dans mon intimité, et se mit à me doigter, secouant son poignet encore et encore, me vrillant comme rarement on m’avait fait. Elle me regardait droit dans les yeux, les yeux brillant de plaisir, d’une joie sadique de me malmener comme elle le faisait. A nouveau, je ne fus pas longue à gémir comme une chienne, car ce qu’elle me faisait était incroyablement bon, ses doigts allaient et venaient en moi, aussi dévastateurs qu’une bite, avec l’assurance et l’expertise que seule une fille peut avoir.

Comme tout à l’heure, elle me saisit par le menton, et m’obligea à la regarder dans les yeux, mais cette fois-ci, elle continuait à me doigter, me privant de toute possibilité de rébellion. Et elle continuait, inlassablement, me doigtant encore et encore, me mettant le corps et le cerveau en ébullition.

Lorsqu’elle s’arrêta enfin, j’étais tremblante, sonnée, haletante, je devais me coller contre la paroi pour ne pas chanceler. Elle me regardait fixement, un sourire de triomphe aux lèvres. Qu’est ce qu’elle était sexy comme ça, les cheveux trempés dégageant son visage, le corps ruisselant d’eau, l’air satisfait d’elle ! J’avais envie de lui faire passer son air réjoui.

Je la saisis par les hanches, et voulus la retourner et la plaquer à son tour contre la paroi. Mais elle saisit alors mes seins, et se mit à les masser vigoureusement, si bien que ma tentative de reprendre le dessus fut faiblarde, car elle était vraiment experte avec ses mains, et savait comment faire vibrer une fille juste en lui touchant la poitrine. Elle les pétrissait, avec force, me regardant dans les yeux, ravie de me voir gémir.

« Ils sont moins gros que les tiens, mais qu’est ce qu’ils sont beaux tes seins ! Lâcha-t-elle. »

Je voulus bien répondre, mais au même moment, elle fit un mouvement de main particulièrement bon sur mes seins, et je ne pus que lâcher un hurlement. Elle continua ainsi à me malaxer les seins, jusqu’à ce qu’elle veuille faire autre chose. Elle me retourna, et à son tour, m’inséra trois doigts dans l’anus. Je poussai un petit cri, qui se transforma carrément en hurlement lorsqu’elle se mit à aller et venir dedans, me malmenant de plus en plus fort, me tenant par la nuque pour que je ne bouge pas. Le plaisir montait en moi comme dans une inondation, je frappais la paroi de la douche de façon incontrôlée tant le c’était intense. April augmenta l’intensité, me donnant des coups de doigts encore plus marqués, et le plaisir devint insupportable. Je ne pus me contenir plus longtemps et eus un orgasme qui me fit hurler, et m’écrouler dans la douche.

April avait vraiment un air réjoui, fière d’elle et triomphante. Je ne voulais pas la rendre insupportable de prétention, mais je ne pus m’empêcher d’être honnête :

« Aucune fille ne m’a baisée comme tu l’as fait, c’était vraiment géant. »

Elle eut un sourire prétentieux.

« Je sais. Et c’est pas fini ! »

Elle m’attrapa par le poignet, et m’entraîna dans la chambre. Elle me jeta sur le lit, et vint sur moi, un sourire narquois aux lèvres. Elle prenait trop la confiance, et ne se méfiait pas assez. La punition vint aussitôt. Alors qu’elle se penchait vers moi, je l’attrapai par les cheveux, enroulai mes jambes autour de sa taille, et la fis basculer, venant au-dessus d’elle. Elle tenta à son tour de me renverser, mais tirant sur ses cheveux, je l’obligeai à se tenir tranquille. En un clin d’oeil, j’avais renversé la situation.

Une fois bien installée sur elle, je décidai de passer à la suite. Je lui écartai les jambes, et me mis à frotter mon sexe contre le sien, allant à grande vitesse. Je me déhanchai de gauche à droite, de droite à gauche, frissonnante de plaisir, sous ce contact intime et électrique. April elle gémissait, et se tortillait, si bien que je décidai d’accélérer le rythme, histoire de lui faire encore plus de bien. La belle blonde tentait bien de se débattre, et de reprendre le dessus, mais je la maintenais aisément en mon pouvoir en accélérant le rythme ou en la refoulant d’une gifle bien placée. Je lui saisis le menton, et l’obligeant à me regarder, je lui lançai : « tu ferais bien d’arrêter de te rebeller, sinon, je te punirais plus sévèrement encore ». Pour appuyer mes propos, je donnais un coup de rein plus puissant encore, provoquant une véritable décharge de plaisir en nous deux, nous faisant gémir. Une petite lueur de soumission passa dans ses yeux, et ravie de cela, je continuais notre délicieux frottement, nous faisant bouillir de plaisir. C’était tellement bon que ça ne pouvait finir que d’une seule manière : nous eûmes un merveilleux orgasme qui nous fit trembler de tous nos membres, et nous écrouler sur le matelas, ivres de bonheur.

Mais April n’avait pas renoncé : elle se releva aussitôt et vint au-dessus de moi. Avec autorité, elle s’assit sur mon visage, et m’ordonna de la lécher. Cette fois-ci, elle faisait bien attention à ce que je ne profite pas de son plaisir pour reprendre le dessus. Elle se déhanchait sur mon visage, exigeant de moi que je la lèche toujours plus fort, toujours mieux, toujours plus vite. Elle gémissait en se tortillant, mais restait vigilante. Ma langue tourbillonnait sur elle, s’enfonçait en elle, assaillait son clitoris encore et encore lui procurant un plaisir fou. Mais j’en eus vite assez d’être en position de soumise. Si April surveillait ce que je faisais avec ma langue, elle ne surveillait pas mes mains suffisamment. Elle s’attendait sûrement à ce que je cherche à la renverser en la prenant par les hanches, mais ce ne fut pas ce que je fis. Soudainement, je lui insérai un doigt dans l’anus, la prenant totalement au dépourvu. Je me mis à aller et venir en elle, tout en continuant mon cuni d’enfer. April se mit aussitôt à se cambrer, et à gémir, en proie à une brusque montée de plaisir. J’en profitai pour la saisir par les hanches, et la renverser, tant qu’elle était sonnée par le plaisir.

Un sourire satisfait aux lèvres, je la retournai et, sauvagement, lui réinsérai deux doigts dans son anus. Elle poussa un petit couinement, qui se transforma en hurlement véritable, lorsque je me mis à aller et venir dans son petit trou. Elle sembla devenir folle, lorsque je me mis à faire des petits mouvements tournants et secs avec mon poignet, tournicotant de façon infernale dans son cul. Elle gémissait, se débattait, se tortillait, mais je ne voulais pas qu’elle se libère, aussi je la saisis par les cheveux, et plaquai son visage contre le matelas, histoire de bien lui faire sentir ma domination sur elle. Je continuai à lui limer le cul ainsi pendant de longues secondes, frissonnante d’excitation, ravie de l’entendre gémir, de la voir se démener sous mes doigts experts. Je finis par lui lâcher la tête, pour, de mon autre main, lui titiller le clitoris, tout en lui limant le cul, April redressa la tête, mais ce ne fut que pour pousser un véritable hurlement de plaisir, pas pour se rebeller. Je la malmenai ainsi pendant un bon moment, jouant de mes doigts pour la faire vibrer, pratiquant cette gymnastique en véritable experte. Au bout d’un moment, je vis qu’elle était tremblante, que sa respiration était de plus en plus haletante, et ses gémissements de plus en plus incontrôlables. Je compris que l’orgasme approchait. J’accélérai furieusement, jouant des doigts comme jamais, et April vibra littéralement de la tête aux pieds. Encore quelques secondes et elle allait jouir… alors j’arrêtai tout, retirant mes mains.

Elle tourna la tête vers moi, le visage déformé par le plaisir… ainsi que la frustration.

« Qu’est ce que tu fais ? »

D’une main, je lui saisis les cheveux, et de l’autre, je lui attrapai les mains pour la tenir immobilisée. Je tirai sa tête en arrière, et me penchai sur elle pour pouvoir lui murmurer à l’oreille :

« Tais toi, belle blonde. C’est moi qui décide comment je te baise, et quand je te fais jouir. J’ai décidé que t’aurais pas de nouvel orgasme tant que tu m’aurais pas suppliée, et appelée maîtresse. »

« Tu rêves ! Je ferai jamais ça ! »

« Alors tu jouiras pas. »

Pour appuyer mes propos, je fis courir un doigt sur son clitoris, la faisant frémir doucement. Elle frissonna de plaisir, et je sentis sans peine sa frustration de ne pas en avoir plus. En tant que dominante, elle devait très bien connaître ce petit jeu, sans doute même qu’elle l’avait fait très souvent. Elle savait très bien que me supplier maintenant, et m’appeler maîtresse, serait admettre sa défaite, et ça, ça devait lui être insupportable.

Mais après ce que je venais de lui faire, il était difficile de me résister pour elle. Je l’avais mise dans un état de plaisir insupportable, et maintenant, tout ce plaisir se transformait en frustration. Frustration que je devais entretenir. Tout en m’assurant qu’elle ne se rebellerait pas, je me penchai sur elle, et me mis à doucement effleurer l’entrée de son cul, puis son clitoris, puis son intimité, avec ma langue. April eut un nouveau frisson, et n’y tenant plus, elle me lança :

«  S’il te plaît, Katherine, fais moi jouir. »

Elle cherchait à s’en tirer à bon compte. Je ne devais pas céder.

«  Supplie moi. Et appelle moi maîtresse. »

Je donnais un puissant coup de langue sur son clitoris, et elle poussa un hurlement, plus de frustration que de plaisir.

«  Bordel ! Je t’en supplie ! Maîtresse je t’en supplie, fais moi jouir ! »

Satisfaite, je me mis à la lécher avec plus d’entrain, frottant ma langue contre son intimité à fond, secouant son clito dans toutes les directions. April se tortillait, et gémissait. Je fis jouer de ma langue un bon moment, me délectant de l’entendre hurler, puis je décidai de changer de technique. Je la retournai, l’allongeant sur le dos, et insérai deux doigts dans anus, puis me mis à la limer avec vigueur, lui tirant les cheveux en arrière pour lui faire bien sentir qui était la patronne. Comme je la sentais sur le point de défaillir, je me mis à accélérer, et eus la satisfaction de l’entendre hurler, et de la voir vibrer. Tirant sur ses cheveux je lui murmurai à l’oreille :

« Retiens bien la leçon, et ne cherche plus jamais à me résister, compris ? »

April poussa un gémissement, car je venais de lui donner un coup de doigt plus marqué que les autres. Elle n’avait pas répondu cependant, aussi je tirai encore un grand coup sur ses cheveux pour lui lancer :

« Alors ? J’ai pas entendu de réponses ? »

« Oui, j’ai compris ! »

« Oui qui ? »

« Oui maîtresse ! »

Frissonnante de plaisir, ravie de ma victoire, j’accélérai encore le rythme de mon doigtage, accélérant jusqu’à ce que dans grand cri et dans un grand frisson, April eut enfin son orgasme final.

Je lui laissai quelques secondes pour se remettre, car elle était essoufflée et hors d’haleine.

« Alors, ça te fait quoi d’avoir été mon jouet ? »

Elle me jeta un regard vexé, mais en même temps, je voyais bien qu’elle avait pris énormément de plaisir.

« Ceci dit, t’es pas super comme jouet, poursuivis-je, j’ai pas encore joui. »

Avant qu’elle ait pu répliquer, je la plaquai sur le matelas, l’étalant sur le dos. Je vins au-dessus d’elle, et me mis à chevaucher ses seins, qui cette fois-ci étaient dénudés. Je me déhanchais sur ces magnifiques seins, les secouant de gauche à droite, profitant de leur grosseur, de leur rondeur et de leur fermeté pour me frotter vigoureusement contre eux, frissonnant de plaisir. April elle aussi, profitait de cet instant, gémissant de plaisir, me caressant les fesses doucement, tandis que celles-ci s’activaient encore et encore au-dessus de sa parfaite poitrine. Me frotter sur ses seins me faisait vibrer de plaisir, et je poussai des petits gémissements, tout en fermant les yeux et en me passant la main dans les cheveux. April me palpait les fesses, et c’était très bon, mais surtout, j’étais ravie de voir qu’elle ne cherchait pas à reprendre le dessus. Elle avait bel et bien accepté ma domination. Je me frottai contre ses seins aussi longtemps que je voulais, profitant à fond de ce 95D de folie, puis, quand je voulus jouir, je changeai de position.

Je m’assis sur le bord du lit, et ordonnai à April :

« Viens me lécher, viens me faire jouir. »

Docilement, elle vint se mettre à genoux devant moi, et se mit à me lécher, tourbillonnant sa langue sur mon intimité, m’en donnant de grands coups sur mon clitoris, me faisant frissonner de plaisir. Je dirigeai ce cuni en la tenant par les cheveux, contrôlant le rythme et l’intensité au gré de mes envies. Très souvent, je tirai ses cheveux en arrière, pour l’obliger à me regarder. Je plantais mes yeux marrons dans ses yeux bleus, la toisant d’un air dominateur, et me réjouissais de voir en réponse son regard soumis. Je m’amusai ainsi à la diriger pendant un moment, la faisant accélérer, puis ralentir, me servant de sa chevelure comme d’une ficelle de marionnettes. Elle sentait ainsi bien qu’elle était en mon pouvoir. Au bout d’un moment, je voulus jouir, et je la tirai alors pour qu’elle vienne me lécher et lui fis comprendre qu’elle devait aller vite. April se mit à me dévorer l’intimité comme une folle, sa langue entrant en moi, me vrillant le clitoris, tourbillonnant, à fond. Le plaisir monta en moi en une vague brutale, je serrai les dents pour la contenir, tâchant d’en profiter un maximum, et serrai les cheveux d’April pour lui faire savoir qu’elle ne devait surtout pas s’arrêter. La langue d’April continuait de me malmener, encore et encore, et ce fut rapidement trop insupportable pour moi. J’eus un merveilleux orgasme, qui me fit vibrer de la tête aux pieds, et me fit m’écrouler sur le lit, ravie et comblée.

April vint s’installer sur le lit, non loin de moi.

« Tu es satisfaite ? Me demanda-t-elle. »

« Oui, finalement tu es un super jouet. »

Elle eut un léger sourire.

« Je reconnais que tu m’as bien eue, y a pas beaucoup de filles qui m’ont dominé comme ça. »

J’eus un sourire satisfait, mais April n’avait pas fini :

« Mais te réjouis pas trop, j’aurais ma revanche, c’est tout. »

Je me redressai et l’embrassai, elle me rendit mon baiser avec un brin de sauvagerie.

« J’attends ça avec impatience, lui dis-je avec un sourire provocateur. »