Collection Agent S69. En Formation (6/14)

Je continue d'apprendre mon travail d’agent secret si c’est un travail à bien y regarder.
Ce matin comme prévu j’ai préparé mon sac de sport avec la liste que Virginie m’a remise ou j’ai le droit principalement à mes petites culottes le reste semblant être proscrit, je vais être vêtu de pied en cap pour les trois mois prochains.

Le taxi me dépose en région parisienne dans le centre d’entraînement des personnes chargées de la sécurité intérieure du pays.

• Bonjour messieurs, pardon dame, vous êtes là après les premiers tests que vous avez passés et qui ont retenu notre attention.
Avez-vous des questions ?
Non, c’est bien, je vois que vous avez suivi, notre demande d’être en tenue de sport avec basket, sauf vous jeune homme qui vous prenez pour un dandy avec vos pompes à l’italienne.
Vous voyez ce chemin, il fait le tour du complexe, il fait 2,5 kilomètres, votre faîte quatre tours, le dernier qui arrive devant nous reprend son sac, passe ce grillage et se casse, la ville la plus proche est à 20 kilomètres comme vous l’avez vu en venant, il se démerdera pour rentrer chez lui.
• Et elle, elle est hors course, elle est qualifiée d’avance, c’est parce qu’elle a une chatte que vous aimeriez bien baiser, inutile, je l’ai vu le premier, elle est ma chasse gardée, poupée, ma belle gueule te fait mouiller.

C’est le dandy qui voulant se faire remarquer a prononcé cette tirade, je sors du rang, viens à sa hauteur et je lui balance une baffe encore plus forte que celle assénée à Valentin, car je me souvenais qu’il m’avait fait du bien en me sodomisant, mais cela je l’ai déjà expliqué.

• Partez, je vous rappelle que le dernier retour chez lui.
• Chef attendez que je me chance, j’ai mes baskets et mon jogging dans mon sac, je vais les mettre, rappelez-les.
• 4 tours, 10 kilomètres, le dernier sera éliminé.

Je suis dans le peloton, j’ai un peu de difficulté au début car depuis la fois ou j’ai couru avec Benjamin et que Virginie m’a donné la carte qui a bouleversé ma vie, j’ai fait du sport au lit mais pas dans la nature.

Nous finissons le premier tour, quand nous voyons le dandy une cinquantaine de mètres devant nous, il est en slip et en baskets et est déjà presque à cloche pied, car il court sans chaussette et ses chaussures doivent déjà l’attaquer.

• Les mecs, levons le pied, gardons la gonzesse avec nous, elle voudra peut-être nous récompenser avec son joli petit cul.
• Comment-tu t’appelles ?
• Thierry, ma belle.
• Si tu arrives derrière moi à la fin de cette course, tous les autres auront peut-être le plaisir de me baiser, mais toi, tu devras ramper à mes pieds pour supplier de lever la sanction.

Et sans attendre je prends la tête du groupe doublant cinq minutes plus tard le dandy qui s’écroule, ce sera la dernière fois que nous le verrons.

• Dernier tour, allez, cette course, c’est une partie de plaisir en rapport de ce qui vous attend, une nana qui mène le bal, vous êtes des vraies gonzesses, aller Juliette fait le voir pourquoi on t’a choisi.

Je suis naze, mais ces mots de réconfort me redonnent du pep, d'autant plus que je sens Thierry sur mes talons et j’en ai trop dit sur celui que je suppute devenir le leader de notre groupe.
Sa belle gueule ainsi que la tchatche qu’il a l’air d’avoir naturellement m’a montré dans ma vie que ce genre de garçon est souvent plébiscité au sein d’un groupe, je vais avoir à me méfier à la buvette existante obligatoirement dans ce genre de rassemblement d’hommes si je me trompe.

Excusez, je me tais, car mon souffle est de plus en plus court au moment de l’emballement final et je dois ma deuxième place à un des garçons suivant Thierry qui au moment où il va me doubler lui touche le talon le déséquilibrant le faisant finir onzième et surtout derrière moi.
C’est du moins ce que je comprends quand je le vois arriver sur sa chaussette sa chaussure à la main et qu’il saute à la gorge de Sébastien, nom du gars qui est donné par le moniteur de notre groupe.
Je suis la plus proche et c’est moi qui dois les séparer, mais nous allons apprendre rapidement comment dans le centre d’entraînement les conflits se gèrent.

• Messieurs suivez-moi dans la salle de sport, vous allez boxer en trois rounds et Juliette sera l’arbitre.

La salle est à quelques dizaines de mètres de là et les garçons ont le temps de mettre les gants prêts sur le ring où je pense, nous allons nous entraîner au sport de combat.

• 1er round.

Les garçons se rendent coup pour coup.

• 1er round, vainqueur Thierry.

Les deux garçons soufflent une minute.

• Messieurs ont est prêt, 2e round.
• 2e round vainqueur Sébastien.

Je vois Thierry me regarder d’un œil noir, il est vrai qu’il a touché deux fois son adversaire, mais je veux qu’il comprenne qui va diriger le groupe.

• 3ème round, messieurs ce round est décisif.

À mauvaise fois, mauvaise fois jusqu’au bout.

• Messieurs match nul.

Je suis à la limite de recevoir un coup de Thierry qui a de l’éducation, car au dernier moment retient son coup.

• C’est bien on se calme, vous voyez ce ring, chaque fois que deux d’entre vous auront envie de se prendre la tête, les gants seront à votre disposition et à la sortie le groupe devra rester souder.

Virginie est-elle passée par ici, car elle a employé la même tactique entre moi et Valentin, elle a eu raison, nous avons fini dans un lit sellant notre réconciliation par sa sodomie.

• Bien, tout le monde est calmé, retournez chercher vos affaires, et suivez l’instructeur Nicolas qui va vous montrer vos chambres, vous serez deux par chambre.
• Juliette tu viens avec moi, nous ferons chambre commune.
• On peut, mais avant tu dois ramper devant moi Thierry pour me supplier de te pardonner d’avoir perdu tout à l’heure.
• Bien jouer Juliette, mais tu auras une chambre seule d’ailleurs, c’est celle-là, les autres démerdez-vous.

Une fois installé on nous habille et à midi on passe à table.
Je passe le travaille de l’après-midi pour arriver à la soirée.

• Juliette, avec Christian on se demandait si tu étais pucelle.
• Tu m’insultes, je crois que tu vas venir avec moi sur le ring.
• Me cogner avec une gonzesse, pour qui me prends-tu ?
• Un puceau.
• Christian, tu es mal, elle m’aurait dit la même chose je lui montrerais ma bite.

J’avais raison, c’est Thierry qui la ramène.

• Alors, tu viens, les moniteurs sont rentrés chez eux, nous sommes seuls.

Je prends des risques, mais toutes ces queues à ma disposition me font envie, je suis une accro du sexe et si je dois me servir de mon corps dans mes missions futures, il faut que j’entretienne ma libido, je suis sûr qu’à ma place Virginie en ferait de même.
J’ai deux solutions, soit mettre les gants et en ramasser plein la figure, je choisis la deuxième, je monte sur le ring et pendant que Christian met les gants, je m’agenouille devant, lui baisse son jogging et prenant sa bite en main je commence à le sucer.
J’entends un brouhaha autour du Ring, les garçons étant médusés, je vois Nicolas monter et venir vers moi ayant descendu son pantalon, je lui prends la queue et je le masturbe suivi d’un autre dont le nom m’est inconnu.
J’ai trop bite à ma disposition et j’avale le sperme de celui qui est dans ma bouche, vite remplacé par un autre, je sens ma main droite devenir poisseuse et une verge noire prendre sa place.
C’est à ce moment que Thierry monté à son tour se présente sa verge bien bandée en main pour prendre la place dans ma bouche qui vient de recevoir une nouvelle rasade de sperme.
J’avale.

• Thierry si tu veux que je te suce tu rampes comme prévu pour me demander l’autorisation, si tu le fais, je me place en levrette et tu seras le premier des dix à me sauter.
• Tu as entendu, elle veut se faire baiser, aller rampe devant elle.

Tous les garçons exhortent Thierry à s’exécuter, mais il se retourne, passe entre les cordes et repart vers les piolles.
Je fais éjaculer tous les autres et les mains et la bouche emplie de sperme je pars vers ma chambre et ma douche.
Thierry va lutter les trois mois avant de céder, comme je l’avais dit, jusque-là je refuse tout contact avec chacun des garçons bien que j’aie envie de recevoir ces belles queues bien jeunes en moi.

Pendant tout ce temps j’apprends à grimper aux murs de maisons, de faire de la varappe sur les rochers de la forêt de Fontainebleau, je fais du karaté, clause combat et tire au pistolet jusqu’à la mitraillette sans jamais flancher.
Le dernier soir avant que ces garçons soient répartis dans différentes sections du groupe de défense française, les chefs nous salut et, donne rendez-vous pour le lendemain matin en salle de cours à tout le groupe.
J’ai remplacé ma frustration que le garçon reste sur sa position en passant mes soirées sur Internet à apprendre le hongrois, je serais plus que prête pour ma mission à Budapest, du moins si elle est maintenue.
J’en profite pour commencer aussi à apprendre le chinois voulant prouver à Virginie qu’elle a eu raison de me faire confiance.

• Juliette, demain on se quitte, je voulais m’excuser, peux-tu lever la sanction.

C’est comme cela que tous se retrouvent dans ma chambre, toute la soirée et la nuit je suis baisé par Thierry dans ma chatte et Christian dans mon anus en double pénétration, chacun leur tour ils remplissent leur capote et je jouis comme jamais sous les coups de boutoir de tous ces hommes d’une virilité exacerbée par trois mois de privation.
Le lendemain, ont les yeux au milieu de la figure et moi encore plus, ils attendent avec impatience ou je vais être affecté, mais ils sont déçus quand tous les postes sont attribués et qu’ils ignorent ou je vais me retrouver.
Pourtant, au classement je suis toujours première ou au plus mal troisième en course avec Thierry et Christian qui sont les meilleurs éléments.

• Allo Virginie, je t’attends demain à 10 heures au parc Montsouris pour voir qui de toi ou de moi est la plus rapide…