La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°972)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°971)
On passait en gros deux heure et demie par "atelier". La soirée avait commencé à 18h30 et finit un peu plus tard que 7h
Sur la deuxième zone, je fus mise sur la sexe-machine qui comportait trois sexes factices, un pour chacun des orifices féminins. Mon éducation était vraiment bien ancrée en moi, et j'eus du mal à me lâcher et à me laisser aller à crier et à jouir, sans que cela soit fait sous ordre. Comme cela était paradoxal ! Si j'étais contrainte de me taire et de me contenir, j'avais envie de me lâcher. Et là que j'avais toute latitude pour laisser mon corps s'exprimer librement, j'en éprouvais de la difficulté. Cependant, la machine infernale qui me labourait mes trois trous me mit rapidement en émoi, me projetant dans un autre monde. Lorsque je réussis à intégrer la liberté sexuelle dont j'avais l'autorisation pour l'occasion, je finis par me laisser aller et j'eus un nombre incalculable d'orgasmes sur ce qui restait de la demi-heure où le nouveau dominant qui s'occupait de Kutiya et moi, qui se nommait Maître Choosa, me laissa ainsi appareillée en augmentant souvent les intensités de mouvements de ses sexes d'une épaisseur limite hors norme. Kutiya, elle, passa sa demi-heure à sucer et baver sur la queue du Dominant qui lui baisait la bouche sans relâche, même lorsque son sexe se ramollissait. Dans ces moments là, lorsque cela arrivait à n'importe lequel des hommes présents, il claquait des doigts et un domestique lui apportait une tisane d'un mélange typique de ce pays et qui leur donnait une nouvelle vitalité, ce qui leur permit sans difficulté de tenir les 10h30 d'orgie.
Sur le troisième espace de la soirée, un des Dominant décida de nous faire nous allonger l'une sur l'autre, toutes les deux sur le dos. J'étais la plus grande donc je fus celle qui fut placé sur la table. Il nous attacha de telle manière que nos deux culs et nos deux chattes lui étaient accessibles.
Et enfin, le tapis, où suivant les Dominants, nous étions prises dans de multiples positions, à deux ou à trois, sexes mélangés ou du même sexe. Tous les orifices étant les uns après les autres occupés par une chatte ou une queue. Cinq fois dans la soirée je pus me dévouer au Maître que je vénérais. Mais je n'avais aucune préséance par rapport à Kutiya, Il nous utilisait également à chaque fois. J'eus du mal à me laisser aller à crier et à jouir la première fois avec Lui. Il s'en aperçut et eut la bonté de me l'ordonner à chaque fois. Je Lui en fus reconnaissante car je n'aurai pas pu renier mon éducation avec et devant Lui. La soirée se termina après que les domestiques soient allés chercher une sorte de grande pataugeoire, où toutes les chiennes furent regroupées à genoux, mains dans le dos, yeux fermés, la tête levée vers le ciel, et la bouche ouverte.
Deux jours plus tard, le Maître revint le soir dans la suite avec une housse de vêtements. Il louvrit et jy découvris un mini top en cuir, une mini-jupe dans le même tissu et des bas-résilles auto-fixants. Et il apportait également des bottes à haut talon.
- Je tavais dit que tu aurais le droit de sortir une fois en dehors de ce palais. Ce sera ce soir ! Tu vas mettre les vêtements que je tai apportés. Je vais à nouveau te bander les yeux. Tu ne dis rien, tu te laisses guider. Le Maharadjah ma conseillé de te conduire dans un des quartiers de Jaipur. Même si le sexe na pas à être exhibé, il est néanmoins présent, comme partout dans le monde.
Il ne me dit rien de plus. Je passais donc ces vêtements, et le suivais, debout suivant Son ordre pour ne pas risquer dabîmer ou de salir la tenue, hautement provocante pour ne pas dire plus. Il me conduisit à Chandpole, un quartier chaud, pour ne pas dire très chaud, une zone où se situaient des maisons ayant des barreaux aux fenêtres, et dans lesquelles on trouvait derrière les fenêtres de létage des prostituées bon marché. Les clients aux modestes moyens venaient passer de chaudes soirées avec la fille quils repéraient de la rue et quils réclamaient en entrant. Ils devaient régler avant dêtre conduit dans une des chambres, sales, glauques, avec un unique matelas posé au sol, celui-ci étant bien souvent tâché, et mal odorant. Les gens plus aisés préféraient séloigner un peu pour aller jusquà Teelawal ou encore Jai Singhpura, payant un peu plus mais pouvant baiser dans des lieux un peu plus reluisants.
Il avait lair rustre, sentait lalcool, ses vêtements étaient vieux et sales, en mauvais état avec une odeur nauséabonde, et visiblement pouvoir baiser une européenne lexcitait grandement ! Une seule contrainte pour la clientèle était imposée, le port du préservatif et cela me rassura grandement car au vue des conditions dhygiène, une MST aurait vite été attrapée. Et effectivement le tenancier du bordel avait du lui donné une capote car il lenfilait devant moi avec excitation arborant une queue en forte érection. La situation était dégradante et humiliante, mais je ne voulais pas décevoir le Maître, alors je me laissais totalement faire, aillant bien retenu que crier et jouir souvent était gratifiant pour lhomme. Par une étrange coïncidence, je tombais visiblement à chaque fois sur des mâles à tendance plus ou moins forte dominante. Je fus baisée de nombreuses heures, par tous mes trous de chienne en chaleur, dans de nombreuses positions de leur culture du kamasoutra que je naurai jamais pensé pouvoir tenir. Cela dit, il ny avait aucun hasard. Monsieur le Marquis dEvans nallait pas laisser Sa propriété aux mains de nimporte qui, et tous les clients qui me passèrent dessus cette nuit-là étaient de véritables Dominants de la petite société, effectivement avec peu de moyens, mais tous respectueux dun certain code dhonneur.
Ce fût le Maître Lui-même qui vint me chercher au petit matin, voulant Lui aussi profiter de Son bien. Et malgré la nuit épuisante que javais passé, jétais plus quheureuse de recevoir en moi Sa noble queue que je vénérais autant que Lui, ainsi que Son précieux nectar que je reçus au fond de ma gorge. Nous étions seuls, je redevins alors la chienne européenne bien éduquée, et ne fis pas le moindre bruit, ne laissant pas échapper le plus petit gémissement, ni le moindre orgasme, car je neus pas lautorisation de jouir. Et ainsi utilisée par Celui à qui jappartenais, je me retrouvais à ma vraie place
Le lendemain après-midi, nous quittâmes lInde après une grande soirée orgiaque organisée par le Maharadjah en honneur du Maître afin dhonorer sa présence et le remercier de sa venue
Je suis donc baisée et rebaissée à outrance de nouveau, utilisée avec tant de perversité et luxure pour mon plus grand bonheur
Durant un mois, nous voyageâmes à travers le monde. A chaque fois, javais mon travail de secrétaire particulière à remplir, ajustant dès quil le fallait le budget des travaux exigés par le Châtelain. Et à chaque fois, jétais prêtée, découvrant que le monde du sexe et du bdsm était finalement universel et quil ny avait pas besoin de parler la même langue pour Dominer ou se soumettre...
Nous rentrâmes en France, peu de temps avant la fête des mères. Et tout ce temps de voyage, tellement enrichissant pour moi, qui à part Nouméa, navais jamais quitté mon pays dorigine, jeus la chance de passer des moments privilégiés avec le Maître. Je pensais ne pas pouvoir être plus soumise, plus dévouée. Mais je revins avec un sentiment difficilement descriptible
Je ne me voyais plus faire la moindre chose dans ma vie qui nait un rapport de près ou de loin avec Monsieur le Marquis dEvans, la moindre de mes pensées Lui était liée. Tout mon corps ne vibrait que pour Sa satisfaction. Cétait quelque chose que je ressentais déjà avant, mais cétait encore plus fort maintenant, mais je Lui appartenais encore plus complètement, je donnerai ma vie pour Lui, ma dévotion était tellement profonde et sincère. Je ressentais et vivais sincèrement et plus que jamais la phrase que javais du apprendre au début de mon éducation. Cétait ce que jétais, et jen étais heureuse et fière ! Et je répétais avec tant de dévotion et si souvent ces mots dans ma tête desclave
« Je suis la soumise du Maître, Monsieur le Marquis dEvans. Jobéirai à tout ce quIl exigera de moi sans me poser de question. Je Lui appartiens corps et âme et je Le remercie de soccuper de mon éducation de soumise.»
(A suivre
)
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