Rencontre Dans La Rue ( Histoire Assez Longue )
Je me présente, je suis un étudiant de 20 ans, physiquement, je mesure environ 1m80, je suis plutôt athlétique, mes cheveux sont blonds, coupés court, avec une barbe assez bien fournis qui me fait paraître plus vieux que je ne le suis. Je n'ai pas eu beaucoup d'expérience sexuel, mais j'espère en avoir beaucoup plus !
On était jeudi, je venais de passer mes partiels du second semestre à la fac. Il était 18h30, je rentrais chez moi, en centre-ville, complètement crevé. Malheureusement je n'ai pas de garage alors j'ai dû me garer un peu loin de chez moi. En marchant vers mon appartement, je profitais du beau temps, mais au détour d'une petite rue que je devais emprunter ma vue fut subjuguée par une femme.
Elle avait la quarantaine, plutôt mince, les cheveux blonds, mi-long, relâchés sur ses épaules. Elle était habillée d'un jean clair et d'un débardeur blanc avec une veste noire. Elle portait un sac à main noir également, assortie à ses chaussures, des escarpins. Elle était à la fois très féminine et sexy.
Elle avançait vers moi, et moi vers elle, plus elle s'approchait, plus je voyais les détails de son apparence. Jusqu'à ce que je sois assez près pour voir sa poitrine, sûrement un 95C, elle ne portait pas de soutien-gorge, ses seins étaient en rythme avec ses pats et je pouvais voir ses tétons, ils pointaient, ce qui attirait encore plus mon regard.
Arrivé à ma hauteur, elle m'interpella :
- Ça va, tu profites bien de la vue ?
Je baissai la tête, honteux :
- Excusez-moi, je n'ai pas pu m'en empêcher, mais je vous trouve magnifique.
Elle me regarda avec un sourire :
- Tu sais que ce n'est pas très polie de regarder les femmes comme ça, et si je ne m', tu ne regardais pas mon visage.
Je me sentais con, mais j'ai décidé d'être sincère :
- C'est vrai, je regardais votre poitrine, que je trouve juste magnifique
Son sourire se transforma en rire :
- Je te remercie, ça fait du bien de se sentir désirée.
Je n'en revenais pas de ce qu'elle venait de dire :
- Si...si je vous trouve sexy ? Oui carrément.
Elle souriait toujours, et je voyais dans son regard qu'elle avait une idée :
- Si tu veux tu pourrais venir chez moi, j'ai envie de baiser.
Je n'en croyais pas mes oreilles :
- Maintenant ? ... là tout de suite ? Vous êtes direct.
Elle s'approcha de moi, et posa sa main sur mon sexe :
- Là je suis direct, pour la baise c'est maintenant ou jamais.
Ma bite commençais à durcir, j'avais oublié toutes mes inhibitions :
- Alors je vous suis.
On commença à marcher vers chez elle où on fut vite arrivé puisque qu'elle habitait à 30 mètres de là, mais en chemin je pu regarder ses fesses, elles n'étaient pas énormes, mais étaient bien arrondie et semblaient musclées. Elles étaient parfaitement à mon goût.
Arrivé chez elle, elle m'indiqua le salon en me disant de l'attendre nue sur le canapé, alors je suis allé dans le salon avant de me déshabiller et de m'assoir dans son canapé en cuir blanc. Après une ou deux minutes, j'entendis des bruits de talons venir de derrière moi, avant que je n'eu le temps de me retourner, je la vis.
Elle avait mis un ensemble de sous vêtement rouge, un soutien-gorge push up, un string, des bas, et même des escarpins, elle était encore plus sexy quauparavant. Elle s'agenouilla devant moi et caressa ma bite de sa main droite et ma cuisse de sa gauche tout en me regardant dans les yeux. Je commençais à bander, elle prit alors ma bite dans sa main et commença les va et vient, de son autre main elle remonta le long de mon abdomen jusqu'à mon torse et commença à me pincer les tétons. Je commençais à pointer, tout comme elle, elle me dit alors :
- Ça te plait à ce que je vois
- Plus que tu ne l'imagines
- Alors tu vas adorer ça
Elle approcha sa bouche de mon sexe mais au lieu de me sucer comme je m'y attendais, elle descendit vers mes couilles qu'elle prit en bouche tout en me branlant.
Après un moment, je sentis que j'allais venir, alors je l'ai prévenue, mais ça n'a pas eu l'air de la déranger, au contraire, elle accéléra le mouvement. J'étais de plus en plus proche, ma bite commençait à avoir des spasmes, elle le senti aussi puisqu'elle retira ma queue de sa bouche pour la présenter devant son visage, la bouche ouverte.
Mes muscles se contractèrent, et je giclai sur son visage, mon excitation était énorme, tout comme mes giclées qui allèrent de ses cheveux à sa bouche et même sur sa langue. Elle avala ce qu'elle avait dans la bouche, et avec ses doigts ramassa ce qu'elle avait sur son visage pour le ramener vers sa langue et l'avaler aussi.
Elle se releva et vînt se mette à califourchon sur moi pour me donner un baiser langoureux. Je mis mes mains dans son dos, lui empoignai les fesses et remontai jusquà son soutien-gorge que je dégrafai puis lui retirai complètement.
Je pris alors ses seins dans mes paumes et lui pinçai les tétons, tout comme son cul, ils étaient bien ronds et fermes. Jarrêtai le baiser pour le transférer à ses tétons, elle gémit doucement puis pris ma tête entre ses mains et me regarda en souriant :
- À ton tour maintenant, et je veux la totale.
Sans un mot je la retournai pour la mettre sur le dos, je l'embrassai encore puis descendit lentement vers son coup, ses seins, où je mordillai ses tétons, puis sa culotte. Je lui enlevai et commençai à embrasser son clitoris qui était déjà bien excité, je passai à son vagin, ses grandes lèvres étaient ouvertes, je léchai les petites puis plongea ma langue en elle pour agrandir son trou.
Entre temps j'étais redevenue dur, je pris la capotte qui était dans mon portefeuille, l'enfila, puis la pénétra sans effort. Je m'allongeai sur elle en m'appuyant sur ma main gauche et laissai ma main droite et ma bouche se laisser guider un peu partout, sa bouche, son cou, ses seins, son cul...
En cette instant nous ne formions plus qu'un, nos corps avaient comme fusionné, nos couts de bassins étaient synchronisés, nos gémissements résonnaient ensembles.
Ma main remontai le long de son corps pour atteindre son cou, que je serrai avec fermeté, nos regards étaient fixé l'un dans l'autre, j'accélérai le rythme de mes coup de bassin, l'intensité était à son paroxysme, elle cria, elle allait jouir, son ventre se contracta me faisant jouir par la même occasion.
Je m'effondrai sur elle, nous étions dans un état second, au bout de quelques minutes, nous avions repris nos esprits, elle me retira la capote, la porta à sa bouche, et bu tout ce qu'elle contenait, je n'en revenais pas.
Elle se leva ensuite et fit quelque pats en direction de je ne sais où, elle s'arrêta :
- Je vais sous la douche, tu viens ?
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