Une Tranche De Vie
Ma femme Anne-Laure, que tout le monde appelle AL et moi-même, Jean, nous nous connaissons depuis les années du bac. Pratiquement même quartier, même lycée, mais dans des sections différentes, elle, littéraire, moi scientifique.
En fait cest lors dun double mixte, par tirage au sort, organisé par le club que nous avons vraiment fait connaissance. AL, 20 ans, une jolie fille denviron 1,70m, cheveux longs bruns, yeux noisettes claires avec une poitrine agréable un 90 B (cest elle qui me lavait dit), sportive, tennis, natation et volley au lycée. Moi, jean, 21 ans, 1,77 m cheveux courts bruns, yeux bruns foncés, rien de bien spéciale, sportif tennis et sports nautiques.
Comment jai connu ma femme
Jeudi 4 Juillet 1985 Boom de fin dannée la 1ère fois avec AL
Nous avons vraiment commencé à nous connaître, disons à nous fréquenter, en terminale. Cétait ma copine, jétais son copain. À lépoque les relations entre une fille et un garçon étaient dirigées par la règle suivante : « cétait la main dans la main, la main dans le machin, le machin dans la main, mais jamais le machin dans le machin ». Disons quaprès le bac, environ, javais réussi à explorer ce quil y avait sous sa jupe et même à glisser une main dans sa petite culotte pour y sentir ses grosses lèvres chaudes et humides. Quant à elle, quelque fois, elle avait glissé sa main dans ma braguette et avait caressé mon sexe, jusquà, un jour, me faire exploser. Pendant la dernière année du lycée, nous avions continué à nous fréquenter, sans aller au delà de ce que nous avions déjà atteint lun et lautre. La situation était stable. Après le bac un copain avait décidé de fêter son anniversaire et nos réussites au bac, par une soirée. Les parents dAL, avaient proposé gentiment de faire cette soirée chez eux. Ce qui était formidable, étant donné quils avaient une grande et grosse maison avec des dépendances sur les deux cotés. Sur le coté droit, une, avait été transformée en garage pour une caravane, un zodiaque et 2 voitures.
Jules « Tu connais la mère dAL ? »
Moi « Oui, bien sur. Normalement les parents de AL doivent diner avec nous »
Jules « Non, ils viennent de partir et vont chez des amis pour passer la soirée »
Moi « OK ; ils sont partis, ben tant mieux. Et pourquoi cette question sur la mère de AL »
Jules « Cest une sacrée nana, elle est drôlement bien foutue et sacrément sexy »
Moi « Ah, .. Ouhais, elle est toujours élégante, et classe, cest vrai »
Jules « Élégante, tu parles, sexy oui. Les filles en bavaient de la voir ainsi. Une robe de toutes les couleurs quon aurait dit cousue sur elle avec un décolleté pas possible. Tu lui voyais presque les nénés
Moi « Tu temballes, Jules, mais cest vrai, je lavais remarqué il y a une quinzaine quand jétais venu me baigner, avant les résultats, bon on a autre chose à faire maintenant »
Et nous sommes passé à autres choses. Préparation du barbecue (électrique, plus facile que le charbon de bois),
apéritif, grillades,
. Danse, plus slow que rock,
la soirée était agréable, ça flirtait gentiment. La soirée avançant, disons vers 11,00 heures, un couple décida quil était temps de profiter de la piscine et se fut le signal, tout le monde se retrouva dans la piscine. Les plus rapides avaient squatté les coins de la piscine et les mains partaient à lexploration des intérieurs des maillots de bains tant féminins que masculins.
Jattendis et le temps étant passé, du moins je le pensais, je me dirigeais vers la caravane, me demandant si AL y était. Je pénétrais dans la caravane une légère pénombre régnait à lintérieur, le peu de lumière venant de lextérieur. Mais il ny avait personne, je métais bien fait posséder, cétait un beau lapin. Jétais en train de me décider à partir, en arrivant à la porte de la caravane celle-ci souvrit et AL arriva.
« Tes déjà là,
., tétais pas en train de partir ? Jai voulu me changer»
et elle se colla à moi et me dit :
« Embrasses moi »
Ce devait être la première fois quelle le demandait, je pensais que ma cote remontait. Ceci étant gros baisers sur la bouche ou nos langues se cherchaient, se trouvaient, se suçaient,
et nous étions au bord du lit.
Qui poussa lautre,
, mais nous étions sur le lit. AL sur le dos et moi entrain de lembrasser et poussant lavantage, je glissais une main sous son T-shirt et jarrivais sans encombre à ses seins qui navaient plus cet éternel obstacle quest le SG. Mes mains sempressèrent de soccuper de ces deux globes sympathiques, chauds et souples, avec les pointes qui dardaient avec vigueur.
Et comme je commençais à caresser ses lèvres et que jentrais discrètement dans son intimité, elle agrippa ma main et me dit : « Attends », et sans hésiter, elle enleva sa petite culote. Alors je plongeais entre ses cuisses et commençais à lui « bouffer » la chatte.
AL « NON,
, pas ça,
., OH,
., arrêtes
. Oh, non,
non,
, OH, cest bon,
OUIiiiiiii,
continues,
»
Au son je savais quelle appréciait, et malgré ses dires, qui voulaient que jarrête, elle avait ses mains sur ma tête et me tenait fermement la où jétais, ainsi, il maurait été difficile de me retirer. Ma langue continuait donc à soccuper de son abricot, en léchant ses grosses lèvres et en la pénétrant. Pénétration dautant plus facile quelle se cambrait chaque fois que ma langue linvestissait. Tout à coup, AL menserra la tête de ses cuisses et me dit : « Arrêtes, arrêtes, viens
fais moi lamour ». Rapidement, je remontais vers ses seins, sa bouche,
me trouvant entre ses cuisses quelle avait largement écartées, elle neut pas difficultés à me guider vers et dans elle.
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