La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 974)
Eriliel au Château (suite de l'épisode précédent 973) -
Le lendemain, jouvris les yeux. Les rayons du soleil perçaient à travers le beau rideau bordeaux de soie. Doucement, je me relevais et tournais la tête en direction du lit. Monsieur Le Marquis dormait encore. Je ne savais que faire. Je me mis à genoux la tête baissée, les mains derrière le dos et tournée vers le lit pour attendre, mieux valait de rester en place plutôt que de vagabonder dans les couloirs, ce qui je suppose, nétait pas autorisé sans un ordre donné. Mes pensées dérivaient dans lattente. Jétais étonnée de ne pas avoir de courbatures, ayant dormi sur le sol, et je me sentais parfaitement reposée. Je repensais également à la veille. Tout avait été si vite, mais cela ne me gênait pas, si fort, si intense en émotions et plaisirs, cela menchantait et me rappelait là où était ma place. Jentendis un bruit de porte. Je tournais la tête et aperçus une grande femme noire entrer au corps magnifique et je pouvais aisément la détailler du fait quelle était entièrement dénudée. Elle avait une poitrine très généreuse avec ses gros seins possédant des tétons annelés. Elle portait un plateau remplit de victuaille pour le déjeuner. Elle le posa sur la table puis vint me chuchoter tout bas tout en arborant un aimable sourire :
- Tu vas me donner un petit coup de main pour réveiller le Maitre, daccord ?
Jhochais la tête exprimant mon approbation et mapprochais du lit avec elle. Elle fit le tour et se mit de lautre côté, me faisant signe de rester là. Elle grimpa sur le lit et sapprocha de Monsieur le Marquis. Je fis de même. Nous nous glissions toutes deux sous la couverture. Elle me fit signe de prendre le sexe du Noble doucement. Je mexécutais donc, et calmement je léchai sa queue dans toute sa hauteur pendant que la femme soccupait de son gland. Jentendis un râle de plaisir du Maitre à travers les couvertures. Ses mains se posèrent sur nos têtes.
Au bout dun moment, toujours sans un mot, il nous écarta de la main toutes les deux, puis il se leva. Je descendis du lit et magenouillais en position dattente. Le Maitre mit lesclave sur le dos. Il alla ensuite chercher deux godes de belle taille. Il me fit monter au-dessus de la femme. Javais son sexe épilé juste en dessous de ma tête. Il nous donna à chacune un gode et dans un sourire il gagna sa table où son déjeuner lattendait. Aucun ordre nétait sorti de la bouche du Maitre, mais les caresses de la femme sous moi me firent comprendre de répondre aux douces mains saphiques de la soumise annelée. Je ne savais pas vraiment par quoi commencer, cétait la première fois que je moccupais dune femme. Je sentais sa langue jouer sur mon clitoris pendant quelle humidifiait le gode avec mes secrétions vaginales. Javais envie de gémir mais je me retins.
Je baissais la tête et présentais le gode à lentrée du vagin de lesclave. Ma langue lécha son clitoris et ses lèvres intimes déjà bien humides et timidement pendant que jenfonçais doucement le sextoy, je fis quelques vas et viens pour le lubrifier puis je le sortis. Je me penchais davantage et léchais avec application son anus. Jenfonçais ma langue dans le moindre recoin de son petit trou. Cela et les caresses que me prodiguaient lesclave me rendait folle, jadorais, si bien que joubliais ce quil y avait autour.
Ma langue jouait également sur son clitoris et lesclave de couleur avait lair dapprécier amplement le savoureux traitement que jofficiais sur ses deux orifices intimes. De mon côté, je sentais mon plaisir monter aussi vite que le sien. Ses caresses étaient divines, le gode était dans ma chatte, sa bouche contre mon clitoris et elle avait plusieurs doigts dans mon cul. Bref, nous nous pénétrâmes mutuellement nos intimités et des gémissements de plaisirs échappaient de nos bouches. Javais le souffle court. Je me sentais proche de la jouissance tant la situation était excitante par des montées de plaisirs jouissifs de plus en plus puissants. Tout à coup, je sentis les doigts et le gode quitter mes orifices alors que jétais sur le point de ne plus pouvoir me contenir étant à deux doigts de lâcher un puissant orgasme qui ne métait pas autorisé. Les deux mains du Maitre vinrent se poser sur mes fesses. Il se baissa légèrement et enfonça son énorme sexe dressé dans la bouche ouverte de lesclave noire. Il lui baisa la gorge à grands coups de reins, mais elle ne bougea pas, se contentant de caresser les fesses et les jambes du Maitre. Elle nétait plus quun trou à bite, un réceptacle de plaisirs, une cavité chaude et humide pour vide-couilles
- Continue esclave, me dit-il en me claquant les fesses en guise de bonjour !
Je repris les caresses avec application. Je sentais le Maitre jouer avec mon anus. Ses doigts lécartaient, plongeaient en moi, testant son élasticité.
Lesclave sactiva alors sur ce sexe si raide que ses lèvres buccales enserrent. Elle l'avala, l'aspira jusqu'à sentir le gland qui frotta contre son palais, les couilles du Maître à son menton... La bouche bien remplie par la tige longue et épaisse, elle suça ce sexe avec un délice évident. Elle avala vaillamment cette queue, la fit aller et venir entre ses grosses lèvres roses et pulpeuses... L'aspira, lécha, suça avidement toute entière. Sa langue titilla le gland et elle sentit la verge se tendre encore plus, durcir à son maximum jusqu'à éclater... Quand après avoir bien besogné cette bouche et dans de longs râles de Monsieur le Marquis, tel un cerf en rut, il laissa éclater sa forte jouissance matinale. Un flot épais inonda la gorge de lesclave noire, le jet envahit sa bouche et elle savoura son goût qui visiblement elle avait lair dadorer
Quant à moi je baissais toujours la tête, honteuse davoir joui si facilement. Le Maitre vint sessuyer sur mes joues et retourna à table. Je sentais de nouveau son regard courroucé sur moi, mais je nosais pas lever les yeux
- Debout. Pour linstant tu vas suivre
elle va texpliquer tes tâches pour ce matin, dit-il froidement.
- Oui Maître, jai joui sans votre permission. Je vous prie de men excuser..
- Ici, on implore Mon pardon après avoir imploré et exécuté une punition pour la faute commise
Vas maintenant.
Je me relevais et suivis tête baissée et toute penaude, la grande esclave qui avait pris le plateau et qui arborait une certaine fierté davoir su contenter le Maître...
(A suivre
)
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