La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°975)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode N°972)
« Je suis la soumise du Maître, Monsieur le Marquis dEvans. Jobéirai à tout ce quIl exigera de moi sans me poser de question. Je Lui appartiens corps et âme et je Le remercie de soccuper de mon éducation de soumise. »
Ces mots résonnaient en mon esprit encore et encore, si souvent, durant tout le voyage jusquà notre retour car en effet, nous étions donc rentrés en France. J'avais fait le voyage depuis l'aéroport de Lyon St Exupéry jusqu'au Château dans le coffre de la voiture avec laquelle Walter était venu nous chercher. Le Maître avait exigé que dès que les grilles de Ses terres seraient passées, je me dévêtisse, et je devais avoir finie avant que le véhicule ne soit arrêté. Ce fut le Majordome qui ouvrit la porte du coffre, le Châtelain, Lui était déjà arrivé à la grande porte de la bâtisse et s'y engouffra rapidement. Walter me passa mon collier, que le Maître venait certainement de lui confier, y attacha ma laisse, et me fit descendre. Puis le Majordome me fit faire un tour dans le parc pour que je puisse me vider la vessie, avant qu'il ne me raccompagne dans mon Cachot. Je le retrouvai avec plaisir, me sentant de retour chez moi.
- Monsieur le Marquis t'ordonne de te reposer ici le temps qu'Il le décidera. Tu as du être énormément utilisée pour qu'Il daigne te laisser fainéanter ainsi ! lui lança Walter.
Et il se dirigea vers la porte, se retourna, et m'adressa un léger sourire, qui semblait être presque chaleureux, comme s'il me souhaitait un bon retour. Je me couchais dans la panière qui était posée au sol et dans laquelle se trouvait une douce couverture, et je m'endormis très vite, heureuse de me retrouver en ce lieu. Je passais cette fin de journée ainsi que la suivante ainsi, sans que personne ne me sollicite. Jen profitais pour me reposer, comme cela me l'était exigé, et pour réfléchir à tout ce qui c'était passé depuis plus d'un mois.
Le jour suivant, Walter vint me chercher en même temps que mes surs de soumission, lesquelles jétais si heureuse de retrouver, et je repris très vite les habitudes du Château, la douche froide et le repas pris en commun avec tous les chiens et chiennes du Cheptel, puis les corvées suivant la répartition du Majordome, et enfin nos tâches quotidiennes, suivant nos spécialités professionnelles. Je repris avec bonheur le chemin menant au bureau du Maître. La porte était ouverte, et le Noble n'était pas présent à l'intérieur de la pièce. Je rentrais donc et attendis en position prosternée, mon cul et ma chatte présentés face à la porte. Au bout de quelques minutes, j'entendis Son pas, que j'aurai pu reconnaître au milieu de mille autres. Sans aucun mot, il alla s'installer dans Son confortable fauteuil et commença à travailler, mais rapidement, Il s'arrêta, et posa sur moi un regard Dominateur que je sentais peser sur moi. Sa voix s'éleva, laconique.
- Bonjour Ma chienne.
Je n'avais pas bougé de tout le temps que dura Son discours. J'étais partagée entre la joie de revoir mes filles après si longtemps, et la tristesse de devoir quitter le Château. Mais je ne dis rien. Il ne m'appartenait pas de choisir. Ma vie ne m'appartenait plus. Je n'eus pas longtemps le temps de réfléchir, car Il claqua des doigts, et je me dirigeai à quatre pattes jusqu'à Lui. Il avait déjà écarté les jambes et défait sa ceinture. Je m'agenouillai pour ouvrir son pantalon et sortir son sexe de son sous-vêtement. Sa noble verge était déjà bien dressée, longue, épaisse, et son gland violacé bien décalotté. Je mhumidifiai les lèvres et commença par déposer des baisers de vénération tout le long de Sa hampe et sur Ses bourses bien remplies qui ne demandaient qu'à se vider. Puis doucement, je fis le chemin inverse avec ma langue, léchant le gland comme je l'aurai fait d'une glace, avec gourmandise et envie. Alors que je le faisais entrer dans ma bouche chaude, humide et accueillante, une de mes mains le prit à la base de Son sexe et je commençais à le branler doucement d'une main, tandis que de l'autre main je me stabilisais et que je le suçais avec une grande douceur, mais très vite j'accélérais mes mouvements
Alors que Sa respiration s'accélérait de plus en plus, ma main descendit sur Ses couilles pour les malaxer, et ma bouche s'avança jusqu'à la garde du long vit, le gardant quelques secondes en gorge profonde.
Puis, je me détendis, gémis en silence ayant appris à nexprimer aucun mot, aucun son malgré la petite douleur que je ressentais dans mon cul dilaté ... Alors Il poussa... les doigts m'écartèrent, m'ouvrirent... Il les retira, je sentis autre chose... son gland ! Il poussa... poussa... et me pénétra sans autre préambule ! Je retins mes cris mélangés de plaisirs et douleurs qui ne sortirent donc pas de ma bouche ! Il était en moi et me posséda virilement... Il allait et venait entre mes fesses, avec une force, une autorité qui me firent comprendre qu'il ne me baisait pas seulement, mais qu'il prit réellement possession de moi jusqu'au plus profond de mon être, comme il en avait lhabitude pour mon plus grand bonheur. Il exigea que je mette mes bras le long de mon corps et ainsi il put se saisir de mes poignets et les réunit dans mon dos en les maintenant d'une seule main... Tandis que de l'autre, il me fessait allègrement. Les claques venaient s'ajouter à la sodomie comme un cadeau imposé mais si délicieux.
Après cette fulgurante sodomie profonde telle une saillie digne de ce nom, il décida de ne pas se vider dans mes entrailles mais préféra revenir dans ma bouche afin de se soulager, alors il se retira de mon cul revint face à moi, me fit mettre rapidement agenouillée et il enfonça sa verge dressée au zénith au plus profond qu'Il put et se vida sans tarder au fond de ma gorge en de longs jets épais et puissants, que je m'empressais d'avaler pour ne pas en laisser perdre une goutte de ce divin nectar. Lorsqu'Il se fut entièrement vidé, je le gardai en bouche. Le Châtelain avait relâché ma tête. Je le léchais longuement afin d'être sûre qu'Il soit totalement nettoyé. Il m'attrapa par les cheveux pour faire reculer ma tête et Il essuya Son noble sexe sur mes cheveux pour en retirer toute trace de ma salive.
- Bien, maintenant, va travailler. Finis tous les dossiers afin que les travaux puissent commencer dans les plus brefs délais !
Je gagnai la petite pièce d'à-côté à quatre pattes et ne me redressai que pour m'asseoir sur ma chaise spéciale. Mais je vis qu'elle avait été modifiée. Il n'y avait pas un seul gode vertical fixé sur le plat de cette chaise, mais deux avec pour ce deuxième fraichement installé une forme incurvée permettant une double pénétration de mes deux orifices intimes. Et je m'aidais donc de mes mains pour les faire pénétrer le premier dans mon cul et le second dans ma chatte déjà humide par cette perspective de double pénétration insolite. Nous travaillâmes ainsi chacun de notre côté de longues heures. Alors que je venais de finaliser le dernier dossier, et que j'avais fait parvenir par mail à chaque service concerné les derniers détails, je me demandais comment prévenir le Maître que j'avais terminé. Et comme s'Il m'avait entendu penser, Il claqua au même moment des doigts. Je me relevais de la chaise, et retint de justesse un soupir de plaisir en sentant les godes sortir de leurs cavernes, et je me précipitais à Ses pieds ne voulant pas le faire attendre.
- As-tu fini chienne ? Remue le bout de tes doigts si c'est effectivement le cas, ne bouge pas si c'est le contraire. (Il m'observa attentivement et je bougeais légèrement.) Bien ! Je ne t'avais exigé aucun délai, donc je ne t'aurai pas sanctionné, mais c'est-ce que je voulais ! Les travaux devraient pouvoir commencer dès lundi, et devrait pouvoir être terminés un mois après... Ceci me satisfait grandement !
Et Il sembla se perdre dans Ses pensées, oubliant ma présence. Le gong de l'horloge, sonnant midi, sembla le sortir de Sa torpeur.
- Bien, allons déjeuner ! Tu restes dans cette position pendant cinq minutes après mon départ, et ensuite, seulement, tu pourras descendre aux cuisines pour manger, à moins que Marie n'ait besoin de toi pour autre chose.
Et Il quitta rapidement la pièce. Je comptais silencieusement les secondes jusqu'à atteindre le temps exigé
Puis je me dirigeais vers les escaliers pour rejoindre Marie, la sévère cuisinière...
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!