Collection Cocu. La Leçon De Piano (1/1)

• Bonjour Christian, tu m’as fait peur.

J’allais sonner chez Jennifer et Nicolas nos voisins quand il a ouvert la porte de son appartement.
Je viens pour ma leçon de piano que Jennifer me donne depuis bientôt cinq ans.
Il est en tenue de jogging, sport qu’il pratique depuis 2 ans ayant pris conscience qu’à quarante-cinq ans ses poignées d’amour devenaient de plus en plus imposantes.
Depuis cette même période chaque mercredi après-midi à 17 heures, Jennifer qui aurait pu devenir concertiste me donne des cours de solfège et de piano payés par mes parents.
Je sors de l’adolescence et souvent pendant le cours où elle est assise à mes côtés nos jambes se touchent me faisant bander.
J’ai pris l’habitude de venir en survêtement me permettant de cacher ma turgescence dans l’ampleur du tissu.
De retour dans ma chambre, il est fréquent que je ferme les yeux revoyant la partie des seins mal cachés par un chemisier très peu boutonné me masturbant et lançant mes flèches au risque que ma mère s’aperçoive que j’ai arrosé et taché la descente de lit.

• Entre, je pars courir, va t’asseoir sur le tabouret du piano, ma femme va arriver, elle se prépare, car dès mon retour je l’emmène au restaurant pour son anniversaire.
• A-t-elle vingt ans ?
• Tu es drôle, un peu plus du double, tu peux dire.
• Merci Nicolas bonne course.
• Une heure montre en main, quand je rentrerai, tu seras encore là, ta leçon se terminera.

Il part courir et referme la porte alors que j’entre dans le salon où elle possède un magnifique piano à queue.
Je m’assieds et je patiente, quelques minutes me semblant une éternité, je finis par me lever et me diriger vers le couloir ou j’entends une voix de femme qui chante.
C’est la première fois que je l’entends chanter ce qui me déboussole.
Je jette un œil dans ce qui est leur salle de bains, la porte étant entrouverte et je vois Jennifer nue devant sa glace qui se passe des crèmes sur le corps, elle est magnifique dans sa nudité.


Je me recule, mais la vision de cette femme dénudée me fait immédiatement bander, je retourne dans la salle où je sors mon sexe bien plus dur que les autres fois où le peu que je voyais d’elle au cœur de son décolleté me faisaient bander.
Je le range de peur de décharger sur la moquette du salon voire arroser les touches du piano.
J’espère qu’elle vienne et que nous démariions les gammes afin d’aller dans ma chambre me masturber.
Je l’entends continuer à chanter aussi je retourne à pas de loup voir si elle en a bientôt terminé.
Jennifer brosse ses longs cheveux blonds qui lui descendent jusqu’au creux des reins ayant défait son chignon que je lui ai toujours vue parfaitement ordonnée qui avec ses lunettes à monture noire la fait ressembler à une institutrice.
C’est à ce moment que je comprends ce qui se passe, Nicolas m’a fait entrer ayant ouvert la porte avant que je n’aie sonné, Jennifer ignore que je suis dans la maison et prend son temps pour se faire belle puisqu’elle sort avec lui pour son anniversaire.
Je devrais ressortir et sonner, mais mon cerveau s’embrume et j’avance jusqu’à elle, je me sers contre son corps, ma queue entre ses fesses que j’ai eu le temps de voir sans trace de cellulite malgré le nombre de ces années.
C’est à ce moment qu’elle me voit dans sa glace me la montrant en pied et surtout sa chatte épilée et ses magnifiques seins que dans le mouvement j’enserre.
Ma bouche est à la hauteur de son cou et tout naturellement je l’embrasse, je la sens, frisonnez-m’enivrant de son parfum capiteux qu’elle vient certainement de mettre après le bain et la crème.
Je dis le bain, car la baignoire à nos côtés est encore pleine d’une eau limpide entre les paquets de mousse, car cette femme est toujours propre et doit se prélasser régulièrement dans cette pièce.

• Christian, tu es fou, que fais-tu là, j’ignorais que tu étais entré, je pourrais être ta maman.
• Ou ma maîtresse, mieux mon initiatrice à l’amour, je dois t’avouer que je suis vierge et que, depuis plusieurs semaines tu me faisais envie à chaque leçon chaque fois que ma jambe frôle la mienne.

• Je n’ai jamais eu conscience de l’effet que je te faisais, tu sais, c’est fréquent qu’avec un élève nos jambes se touchent, car je suis assise à leurs côtés.
Je sens que je te fais de l’effet, mais lâche moi mon mari va bientôt revenir.
• C’est lui qui m’a fait entrer me disant qu’il rentre dans une heure, nous avons le temps que tu m’apprennes l’amour, je t’en supplie.

Je sens qu’elle est à deux doigts de céder, j’ai peur une fraction de seconde qu’elle m’échappe quand elle se retourne doucement frottante ma verge tout autour de son bassin, jusqu’à sa fente que je sens malgré mon pantalon.
Ma bouche reste là où elle était et c’est naturellement que ma bouche trouve la sienne me faisant sentir que c’est dans la poche.
Elle me confirme qu’elle a cédé quand elle se laisse couler le long de mon corps et qu’elle fait glisser mon pantalon sortant comme je l’ai fait, ma verge qui va exploser la plaçant dans sa bouche chaude.
J’espérais perdre mon pucelage, mais une fellation avec cette femme mûre c’est déjà beaucoup, mais j’arrive à me ressaisir au moment où je sens mon sperme monter.
Pourquoi la vue de la verge de mon père enfilant ma mère à quatre pattes dans leur chambre grâce là encore à la glace de leur armoire et de leur porte entrouverte me fait reprendre pied, il est certain que je pensais que tous deux étaient asexués ?
Une maman sa cagole son petit et même si elle a des seins aussi beaux que ceux de Jennifer, je l’ai toujours vu en maillot une pièce à la mer et dans mon esprit son entre-jambe était lisse de tout vagin.

Jennifer arrête de se masturber et s’allonge sur le tapis de bain très épais.
Sa main prend ma main et me permet de m’abaisser entre ses longues jambes, je suis de plus en plus dans le brouillard, elle me guide en même temps que je m’allonge sur elle.
J’ai le temps de donner quelques coups de cul m’apportant une sensation de chaleur autour de ma verge.

• Attends Christian retire-toi, je vais me mettre dans ma position préférée pour que tu me fasses jouir.


Je me redresse la quittant avec regret, mais ce mouvement a le temps de me faire voir sa chatte encore tout ouverte.

• Attends, je voudrais te la manger.
• Gourmand, tu veux me faire minette, tu as raison, la pression de ta queue va retomber et je n’en aurais que plus de plaisir surtout que si tu t’occupes de mon clitoris, je vais certainement jouir une première fois.

Elle me dit cela dans un souffle et quand ma bouche vient là où il y a quelques secondes ma verge est venu écarter ses chaires je trouve une excroissance qui réagit immédiatement me montrant que je venais certainement de découvrir ce qu’elle appelle son clitoris.
Pour la deuxième fois, j’entends une femme crier son plaisir la première fois étant maman prise par la verge de papa alors que je retournais dans ma chambre sans bruit.

• Merci, tu es un merveilleux amant, attends, l’heure avance, laisse-moi me placer en levrette, tu vas voir, tu iras plus loin en moi.

La leçon de piano dans un premier temps se transforme en apprentissage des mots dédiés au sexe, clitoris, levrette position qu’avait ma maman alors que je disais qu’elle était à quatre pattes.
Je glisse en elle tellement sa chatte que je viens de sucer ai trempée et après de grands coups de verge elle hurle sans penser que son mari pourrait nous surprendre, je la tiens par les hanches et je sens qu’elle vibre au même moment ou j’éjacule lui remplissant le vagin.
Elle s’affaisse sur la descente de bain et je la regarde se lover sur les poils longs comme une chatte le ferait avant de réagir.
Elle me caresse la joue.

• Tu es un exceptionnel amant Christian, tu m’as apporté un magnifique orgasme, mais il faut bouger, ce qui vient de se passer restera entre nous comme un moment extraordinaire, va m’attendre devant le piano je me dépêche et j’arrive.

Il se passe à peine trois minutes quand elle me rejoint ses cheveux à peine attachés, elle est en peignoir et vient à mon côté, je commence à pianotter, faisant des fausses notes, car chaque fois que je tourne légèrement la tête, je vois le soutien-gorge à dentelles qu’elle a passées.

Je pense que si je glissais ma main, je trouverais une petite culotte avec les mêmes dentelles, mais je reste sage, car j’entends la porte s’ouvrir.

• Tu vas bientôt être prête Chérie, nous avons de la route à faire, je vais prendre un bain, je suis en sueur, j’ai bien couru.
• Il me reste à me coiffer et à passer ma robe.
• Christian, j’espère que tu es un gentleman, ma femme semble te montrer le début de ses seins, tu verras dans peu de temps, tu en verras des aussi beaux et tu les auras même dans ta main.
• Aller file, je verrais ta mère demain, je pense que je t’ai tout appris, tu es capable de te débrouiller seule.

Je lui fais la bise comme chaque fois et je la quitte, j’ai une certitude, c’est que le temps qu’elle se recoiffe même mal dans notre pièce d’amour, elle est encore pleine de mon sperme dans son vagin.
Penser qu’elle va être au restaurant avec moi tout au fond-elle me met en joie.

Le lendemain maman m'annoncent que les leçons sont terminées, j’ai le bourdon pendant deux jours, mais j’ai la chance de raccompagner Valériane, ma copine de classe chez elle, ses parents étant absents, c’est moi qui la dépucelle sachant comment faire pour qu’elle est dès la première fois du plaisir.
Depuis je suis l’étalon des derniers jours du lycée et de mes débuts de fac.
Mon terrain de chasse favori ce sont les femmes d’âges mûres, les couguars, je viens d’arrêter mes études et je me suis inscrit à un site d’escortboy pour ces femmes délaissées par leurs maris.
Cette après-midi j’ai mon premier rencard tarifé très largement d’ailleurs ce qui va me permettre de quitter mes parents afin de les recevoir dans un appartement discret.
Merci Jennifer peut-être qu’un jour tu feras appel à mes services et je te jure que je serais une fois encore un merveilleux amant pour toi.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!