Cours De Danse Avec Ma Cousine
Bonjour, c'est votre folle de lycra
Dans ma jeunesse je me rendais souvent chez ma cousine Geneviève, elle était danseuse et avait plusieurs années de plus que moi. Quand jétais jeune jadorais traîner avec elle car en général il y avait toutes ses copines et du coup jétais le seul garçon avec 6,8 voire 10 filles.
Par moments je me rendais compte que jétais un peu le boulet de léquipe mais je prenais tant de plaisir à être entouré de ses jolies filles. Régulièrement je les voyais toutes en body et dans les loges cela sentait bon le minou... En jeunes filles quelles étaient, elles adoraient se vêtir de tenues affriolantes. Javais le privilège de les voir tout se changer.
Je les regardais dun regard innocent, émerveillé et pas encore coquin.
Au tout début de mon adolescence, voir ma cousine et ses amies se dénuder devant moi comme si je nétais pas là commençait à me faire de leffet entre les jambes, ce que je préférerais par-dessus tout cest lodeur de femme qui régnait dans les loges.
Cest à cette époque que jai commencé à leur emprunter leurs petites culottes pour menivrer de leurs odeurs intimes​ pendant que elles, étaient en représentation ou à des répétitions. Je me masturbais maintenant régulièrement dans leurs culottes odorantes puis jai passé un cap en les enfilant. La douceur de ses dessous me mettait dans tous mes états. Vu que leurs absences duraient une heure, une heure et demie voire quelquefois 2h cela me laissait beaucoup de temps libre pour moi et me faire plaisir. Cest ainsi quavec le temps je prenais confiance en moi et je gérais surtout très bien mon timing, ce qui me permettait désormais de pouvoir même enfiler une robe, un collant, un body.
Tout cela dans des matières douces qui me mettaient dans tous mes états.
Il marrivait maintenant de me travestir totalement durant ces moments de solitude à attendre ma cousine et ses amies, jen étais arrivée maintenant à même enfiler leurs escarpins leurs bottines et madmirer sous tous les angles dans les miroirs éclairés.
Voilà des années maintenant que jagissais ainsi, je prenais confiance et poussais le bouchon toujours plus loin. Maintenant Je poussais le vice jusquà me parer de leurs perruques et accessoires divers pour me faire plus belle. Souvent il mest arrivé de passer tout près de me faire prendre mais à chaque fois jai échappé à la honte de ma vie. Cela a duré encore quelques temps jusquà ce que je finisse par me faire prendre par une des amies de ma cousine.
Je la connaissais depuis très longtemps, jétais rouge comme une pivoine et ne savais pas où me mettre.
Quand elle ma surpris complètement en femme javais presque 16 ans. Hélène, cétait son prénom, a été très compréhensive. Elle était grande belle avec ce petit brin de folie qui me plaisait beaucoup, mais toutes ses amies étaient comme elle. Hélène ma avoué quelle avait des petits doutes car souvent elle retrouvait ses culottes souillées ou avec des odeurs masculines sur le reste de ses vêtements.
Ce jour-là de la part dHélène jai juste eu le droit à quelques moqueries gentilles, elle ma juste dit que jétais très belle et de faire attention à ne pas me faire attr trop souvent ainsi vêtue...
Maintenant tous les samedis après-midi jaccompagnais ma cousine et ses amies et je me faisais un petit plaisir une fois travestie. Maintenant quand léquipe quitté la loge javais toujours droit à un regard complice de la part dHélène. Durant les 2 années suivantes je me suis faite surprendre par Patricia Véronique Sophie Caroline.., même ma cousine Geneviève mavait surprise. À ce rythme-là cétait en train de devenir un secret de polichinelle, comme quoi jabusais de leurs dessous en leur absence.
Avec elle cétait plus gênant car javais peur que ce secret se propage au sein de la famille, mais ce secret est resté notre, au sein de la famille. Étant né le 13 novembre 1964 je devenais majeure un samedi en 1982.
Cela faisait maintenant plus de 8 ans que plusieurs samedis par mois, je le passais avec mes danseuses. Au début je me rinçais les yeux, après je me faisais des petits plaisirs et jai fini par me travestir dans leurs tenues qui me faisaient rêver, dans leurs odeurs intimes qui me faisaient tant deffet.
Quelle ne fut pas ma surprise ce samedi-là quand je me suis rendue dans les loges de mes amies, de trouver plein de cadeaux pour moi; jétais émue, touchée, les larmes aux yeux.
Ce jour-là toutes les amies de Geneviève étaient là il ny en avait pas 5 ou 10 mais 15 ou 20...
En 82 le jour de mes 18 ans, toutes ses amies mavouaient quen fait toutes étaient au courant de ce que je faisais en leur absence dans les loges.
Toutes mavaient fait un cadeau; en ouvrant ces derniers je constatais queffectivement toutes étaient au courant de ce que je faisais en leur absence. Toutes mavaient offert pratiquement une tenue intégrale pour me travestir ; en partant des chaussures jusquà la perruque.
Bref pour mes 18 ans on venait de moffrir ma garde-robe pour les années à venir. Toutes avaient poussé le détail jusquà laisser leur odeur intime là où il fallait... Jai eu le droit à un baiser très intime (un roulage de pelle en règle) de chacune. Voilà comment entre 10 ans et 18 ans javais fait un apprentissage de la vie de femme.
Tout laprès-midi, en galante compagnie, jai dû essayer tout ce qui mavait été offert. Quelques gestes déplacés de leur part venaient signaler leffet que me faisait cette séance dessayage. Jai fini par comprendre que depuis plusieurs années toutes étaient au courant et que en fait jétais un peu devenue leur copine complice, leur copine coquine.
Javais une érection monstrueuse mais devant elles, devant toutes ces jolies femmes denviron 25 ans, 28 ans; je devais enfiler des robes, enfiler des bas, enfiler des bodys, enfiler des tanga ou de jolies culottes, enfiler des gaines, enfiler des bottines enfiler des escarpins ou mettre des perruques.
Au début javais honte mais avec lexcitation je me sentais femelle parmi des femmes et je me sentais bien.
Le plus gênant cest que trois dentre elles mont même offert un vibromasseur, un plug et un gode; le plus gênant cest que toutes mont obligée à essayer ces instruments très intimes.
Mon petit doigt me dit que la soirée à venir allait être bien fade à côté de cet après-midi...
En espérant que cette histoire vous ait plu, si cest le cas il y aura une suite
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