Ma Petite Artiste 2

Nos lèvres s’effleurent, nos langues se lient et se délient, nos caresses se font plus sensuelles, plus excitantes. J’ai de plus en plus de mal à résister...
- Arrête !, lui dis-je. Ce n’est pas raisonnable. Je ne suis pas lesbienne ! (Quelle bêtise de ma part, et vraiment nul comme moyen de défense).
- Moi non plus, me rétorque-t-elle, moqueuse. Elle ajoute : «Nous sommes deux femmes qui éprouvons du désir l’une pour l’autre et qui avons décidé de le vivre. Pourquoi veux-tu t’attarder sur des questions de genre et puis qu’y a-t-il de mal à être lesbienne ! J’ai envie de toi».
Elle ne me laisse pas en placer une, elle pose ses doigts sur mes lèvres et commence à me caresser la joue, le cou, tout en déposant des petits baisers sur mes lèvres, mes yeux, mon front...
Je brûle de désir, je ne sais plus lui résister et je me laisse faire. Elle m’enlève mon pantalon et commence à me caresser les hanches, puis dépose des baisers mouillés sur mon nombril, à l’intérieur de mes cuisses, sur ma culotte qui est déjà toute mouillée (j’ai honte de ne pas me contrôler ainsi !)
Meriem met un doigt dans ma culotte et découvre l’ampleur de mon désir pour elle, ce qui la rend encore plus entreprenante : elle caresse mon bouton puis se lèche les doigts, et me dit :
- Oh ma chérie, tu as bon goût.
Je réponds par un petit râle et écarte davantage les jambes pour qu’elle puisse faire de mon tout ce qu’elle veut. Elle se met sur moi sur mon canapé, me domine et vient déposer un tendre baiser. Avec sa langue, elle me lèche le visage, le cou, s’attarde encore une fois son mon 90 D, passe sa langue sur mon nombril, puis m’enlève ma culotte et remonte mes jambes sur ses épaules. Ma chatte épilée est face à son visage, elle lui est entièrement offerte et totalement dévouée. Je veux sentir sa langue sur moi, en moi, je veux qu’elle me bouffe le minou, que nous ne fassions plus qu’un(e).
Elle m’embrasse le bouton, les lèvres, introduit sa langue en moi, me lèche avec envie, avidité, désir.

.. Je ne tiens plus, je râle, je halète, je crie, je deviens folle...C’est ce moment qu’elle choisit pour introduire un doigt puis deux en moi. Tout en continuant à me lécher, elle fait des mouvements de va et vient avec ses doigts jusqu’à me faire jouir. Ce que c’est bon d’être aimée par une femme. J’explose alors que ses doigts sont encore en moi, j’explose sur ses doigts, pour ses doigts, pour sa langue, pour elle, ma petite chérie, ma petite artiste chérie.
Je suis à bout de souffle. Elle m’embrasse goulument, et reste sur moi un moment jusqu’à ce que je reprenne mes esprits, jusqu’à ce que je sorte enfin de ma transe. On reste enlacé un long moment, je ne vois pas le temps passé.
Je me lève, me sert un verre d’eau, puis la prend par la main et l’emmène dans ma chambre. Debout je la déshabille totalement, admire son corps : ses petits seins dressés comme des poires, sa petite chatte poilue, ses fesses bien galbées, son ventre plat, son corps svelte, son long cou séduisant, ses longs cheveux châtains qui tombent sur ses épaules et ses bras, ses longues jambes. Ma Meriem est à croquer !
Après ce moment d’admiration, je me rapproche d’elle, lui écarte un peu les cheveux et lui dépose un baiser sur les lèvres. Je la fais asseoir sur le lit, lui écarte les jambes et les cuisses, me mets à genoux devant elle, et commence à lui embrasser le cou. Elle laisse filer un râle en fermant les yeux et je continue à jouer avec son cou avec ma langue qui brûle pour elle (tout en moi brûle pour elle en réalité). Je descends vers sa poitrine et commence à m’occuper de son magnifique 85 B tout rebondi. Ce que j’aime ses seins ! J’avale son sein, joue avec son téton avec mes dents, fait tourner ma langue et le bouffe littéralement. Puis, je la fait monter sur ma cuisse qui atteint sa chatte, son petit minou tout poilu, et la prend par les fesses pour la laisser faire des mouvements de va-et-vient. Ses pupilles se dilatent, sa respiration se fait plus saccadée, elle commence à venir.
.. Mais non, je ne veux pas qu’elle jouisse tout de suite. Je veux qu’elle vive ce moment d’amour dans ma bouche. Alors je la mets à quatre pattes, me mets derrière elle, et introduit ma langue entre ses fesses. Son intimité totalement offerte à moi, je la lèche, introduit ma langue en elle et la fait venir dans ma bouche. Son plaisir me fait plaisir, sa jouissance est bruyante et tellement généreuse : elle m’inonde de plaisir ! Elle retombe sur le lit sur le ventre, et je me mets sur elle. Nous restons encore un long moment, l’une sur l’autre, les jambes enlacées. Puis je lui dis :
- J’ai quitté mon mari parce qu’il m’a trompé avec un autre homme. C’es ironique comme situation, non ?
- Il était gay ?, me demande-t-elle ;
- Oui, et il vit toujours avec cet homme. Nous avons gardé de bons rapports. Mais je vais t’avouer quelque chose : tu n’es pas la première femme avec qui je couche.
- C’est clair que je ne suis pas ta première ma chérie. J’ai encore envie de toi tu sais ?
- Je te veux aussi...
Avant de dormir et avant de prolonger encore nos soirées, nos ébats, nos amours qui durent encore, on a fait un 69.

Hé les filles et les garçons qui lisent cette histoire, peut-être que la prochaine fois, je vous raconterai ma première expérience sexuelle avec une femme. J’avais 18 ans.

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