L'Inconnu De Mes Contacts Est Un Mec Bien Chaud...
La technologie est parfois incroyable ! Il marrive parfois de faire un peu de tri et de nettoyage dans mes contacts. Comme tout le monde, jai tendance à enregistrer les numéros de gens que je croise ici ou là dans le cadre de mon boulot ou en dehors. On échange nos 06 ou 07, cest pratique, on senvoie, dans le meilleur des cas, un texto ou deux et puis plus rien ! Et voilà que ce numéro reste dans notre répertoire, on finit même par oublier à qui il est ! Donc, de temps en temps, jefface ces numéros devenus inutiles
Parmi les numéros que je conserve le moins longtemps, il y a ceux des rencontres faites ici ou là et qui nous amènent au lit pour un soir à la deuxième ou troisième rencontre. Ce fut le cas de ce 06 suivi de deux 69 qui mavait amusé tant javais trouvé ça prometteur
Cétait il y a près de deux ans, jétais déjà en couple avec ma compagne, elle sétait absentée pour son travail, je métais retrouvé seul, javais décidé daller me balader sur le front de mer un soir, avec un pack de bières à la main, javais tapé lincruste dans un groupe damis assis sur un ponton
Bref, une soirée sympa et détendue entre mecs et lun deux, Stéphane, 22 ans à lépoque, mavait paru vraiment sympa, on avait discuté de tout et de rien et fini par échanger ces fameux 06 pour prendre un verre à loccasion.
On sétait contacté deux jours après puis revus dans la foulée. Je lavais trouvé mignon, 1m80 pour 75 kg, musclé mais pas trop, bien foutu, brun aux yeux clairs, une barbe de plusieurs jours de mec qui est en vacances avais-je pensé, un T-shirt blanc un peu moulant, un jeans bleu délavé avec des revers dont lun était plus large que lautre, ça mavait frappé. Je métais dit quil navait sûrement pas de compagne, aucune femme naurait laissé son mec sortir avec deux revers pas de la même longueur ! Moi, je portais une chemise blanche manches courtes, les premiers boutons ouverts dévoilant mon torse quasi-imberbe, un jean noir avec deux revers parfaitement égaux et, comme lui, des baskets blanches.
-« Mouais, canon, par contre le mec qui la suit me fait plus deffet. Pas toi ? »
-« Ok, je vois ! Bah moi, tu sais, je trouve les deux à mon goût ».
Je navais pas fini de dire ça que son genou est venu contre le mien et, très vite, sa main sest posée sur ma cuisse. Là, en principe, les choses saccélèrent ! On sest lancé deux regards très convenus, on a terminé nos verres cul sec, on sest levé pour se diriger vers sa location à trois rues de là. Je ne me souviens plus vraiment de la location, par contre, jai encore en tête la super pipe quil ma faite alors que jétais dos à la porte, le jeans sur les cuisses, il suçait super bien, ses mains me caressaient le ventre et le torse, je gémissais de plaisir. Je lai relevé, je lai plaqué sur la table, jai baissé son jean pour lui bouffer la rondelle et la lui doigter pour la lui ouvrir. Jai sorti le préservatif que javais dans ma poche, je lai enfilé et je lai baisé pendant un bon moment avant de remplir la capote et le faire cracher sur le sol.
Cétait un très bon coup mais on ne sétait jamais revu. Depuis, javais effacé son numéro et, pour tout dire, je lavais un peu oublié aussi.
Un jour, je reçois un texto dun numéro inconnu : « Putain de soirée mec, jai kiffé ta bite, on remet ça quand tu veux lol ». Le genre de message qui flatte notre virilité, qui mexcite en général mais bon, là, jai bien compris que cétait pas pour moi. Jai réfléchis et me suis souvenu de ce numéro, grâce au deux 69 ! Du coup, ça ma un peu excité mais jai laissé tomber en souriant
Le soir même, je repense à ce texto et, allez savoir pourquoi, jy réponds :
-« Salut, comme ça, taime toujours autant la bite ? »
-« Carrément ! Surtout quand le mec sait bien sen servir comme tu las fait hier soir lol ».
-« Ben disons que je men suis bien servi avec toi mais cétait pas hier mais je prends le compliment quand même lol »
-« Tes qui du coup ? »
Jai remémoré notre précédente rencontre à ce beau gosse, ça ma foutu la trique évidemment, ce dont je lui ai fait part :
-« Je peux voir ? »
Jai envoyé un cliché de ma bite bien raide du haut de ses 19 cm par 5, le gland décalotté, un peu luisant de mouille :
« Hummm, oui, je me souviens parfaitement maintenant. Faut croire que les Pascal sont faits pour me faire plaisir
»
-« Et, taurais pas envie dy regoûter ? »
-« Si tu le proposes, je moppose pas lol »
On a mis au point les derniers détails puisquil habite à environ une heure de chez moi. On était jeudi, il ne pouvait pas venir avant le dimanche soir, il devait repartir lundi en fin de matinée. Ça marchait vu que ma compagne devait partir pour son travail dimanche après-midi.
Plus la fin de semaine arrivait, plus mes hormones sactivaient et ma libido me travaillait. Je revoyais ce petit cul imberbe, ferme dressé avec un trou serré mais accueillant, chaud et humide dans lequel javais pris mon pied et je comptais bien remettre ça toute une nuit ! On sest envoyés quelques textos bien chauds avec quelques clichés très explicites qui ne laissaient planer aucun doute quant au but de nos retrouvailles
Dimanche soir, un texto de Stéphane : « Désolé, je ne peux pas venir, imprévu de dernière minute, partie remise
». Ah le salaud, un mytho ! Javais les crocs et la rage ! Je réponds :
-« Tu me fais quoi là ? Pauvmytho ! »
-« Non, javais prévu de venir mais une tuile au taf, je bosse ce soir, désolé »
-« Tu bosses où ? »
-« Un bar
»
Je lai harcelé jusquà avoir ladresse, jai pris la voiture et jy suis allé. Je voulais le cul de ce mec et je laurais !
Une heure et demie après, jentrais dans le bar. Je crois que cest lui que jai vu en premier, il servait des consommations à une table, il était penché, souriait aux clients tout en déposant les verres, je lai trouvé super sexy dans son « uniforme » chemisette blanche, pantalon et baskets noirs.
Je me suis assis sur un tabouret près dun groupe de potes. Il a bien mis 10 minutes à me remarquer, jai cru quil allait échapper son plateau et que sa mâchoire allait de décrocher tellement il a été surpris :
-« Salut, ben sois pas surpris comme ça, tes pas content de me voir ? »
-« Ben, javoue que cest une sacrée surprise ! Je bosse tard tu sais. »
-« Tinquiète pas, jai tout mon temps ! »
-« Ok, tu veux quoi ? »
-« Ce que je veux vraiment peut encore attendre, pour linstant, sers-moi une bière »
Il a souri et ma apporté mon demi. Je suis resté là à boire quelques verres, à discuter avec dautres clients, à profiter de lambiance plutôt sympa. Vers une heure du matin, les derniers clients partaient, je suis sorti aussi attendre Stéphane adossé à ma voiture. Une demi-heure après, les lumières se sont éteintes et tous les employés sont sortis. Jai fini par voir Stéphane se diriger vers moi :
-« Ben toi, tes un cas ! Jen reviens pas que tu sois venu et que taies attendu tout ce temps ! »
-« Ya des causes qui valent le coup quon fasse preuve de patience. »
En disant cela, je le matais de la tête aux pieds, jaurais pu le prendre sauvagement là, dans la rue tellement javais envie de lui. Il sest collé à moi, ma embrassé et a mis sa main sur mon paquet. Tellement jétais excité, une onde électrique ma parcouru le corps de la tête aux pieds, je bandais si fort que jen avais mal, jétais super serré dans mon jeans. Il a senti tout cela et, dans le creux de loreille, ma dit : « Jhabite à 10 minutes, tu vas lavoir ta récompense et moi ma dose ! »
Je ne suis pas sûr quon ait mis 10 minutes pour arriver chez lui. Par contre, il était déjà torse-nu et le pantalon baissé quand on est entré dans son appartement au deuxième étage. Ma main parcourait déjà sa raie. Il ma juste dit quil passait vite fait sous la douche, il ma montré le salon et les bouteilles pour que je lui serve un whisky et ce que je voulais.
Un puis deux doigts sont entré en lui, dabord les premières phalanges puis un peu plus, ils ont tournés à lintérieur, se sont écartés lun de lautre pour louvrir et détendre son sphincter. Son souffle était saccadé, il cognait parfois son front sur la paroi de la douche et se branlait de plus en plus frénétiquement. Il a fini par me dire : « Je vais pas tarder à jouir si tu continues comme ça ».
Je me suis donc relevé, je suis sorti de la douche, jai tendu la main pour quil la saisisse et lon sest dirigé vers la chambre. Il y avait un petit couloir, je me suis adossé au mur et je lui ai dit : « Suce-moi, là ! »
Il sest mis à genoux, a déboutonné mon jeans tout en léchant ma bite à travers le tissu, il a écarté les deux pans de la braguette et ma léché à travers le boxer pendant un bon moment, il a fini par le baisser et libérer la « bête ». Jai ondulé du bassin pour le biffler, il avait la bouche ouverte mais accentuait mes mouvements pour que ma bite claque sur ses joues puis, dun coup, il la prise fermement dans sa main et la gobée. Sa langue sest enroulée autour du gland, un flot de salive est arrivé, cétait trop bon, jai poussé un long râle de plaisir qui venait directement de mes couilles !
Il ma fait une pipe incroyable alternant le travail du gland du méat jusquau frein, puis des va-et-vient tantôt rapides et bruyants, tantôt plus lents et extrêmement sensuels. Il ma même gratifié de plusieurs gorges profondes. Après un long moment, il est ressorti, ma regardé et ma dit : « Je veux que tu baises ma gueule et que tu menvoies ton jus. Là, il sest calé le dos et la tête contre le mur du couloir, jai avancé et je me suis mis à aller et venir dans sa bouche, de plus en plus fort, vite et profondément, ses mains, posées sur mes fesses amplifiaient les mouvements, cétait vraiment bon, il encaissait bien. Il sest mis à me masser les couilles dune main et me caresser le ventre de lautre.
Jai senti le plaisir monter, jai rejeté ma tête en arrière, jai senti quil étirait mes couilles en arrière, la sensation était incroyable, ses lèvres se sont serrées contre mon gland et jai vidé tout mon jus dans sa bouche en 7 ou 8 jets. Jai cru que je ne marrêterais jamais. Quand jai eu fini, il a ouvert la bouche pour me montrer quelle était pleine de jus, un filet avait coulé sur une des commissures, il a avalé et ma souri. Jai fait de même, avec mon pouce, jai récolté le sperme qui avait coulé pour quil lavale. Il a bien sucé mon pouce et a repris ma bite pendant une bonne minute pour bien la nettoyer.
Il sest relevé et ma dit : « Ya deux whisky qui nous attendent je crois !». Il est parti vers le salon, je lui ai mis une tape sur les fesses et jai rajouté : « Ouais, on va prendre quelques forces pour la suite, jen ai pas fini avec toi. ». « Cest clair » ma-t-il dit
.
Si ça vous intéresse de savoir si le whisky était bon lol, faîtes-le moi savoir, je vous raconterai ça !
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