Ma Belle Soeur Christine (5)
5°) Masturbation
Je me réveille le lendemain matin après une nuit de sommeil bien méritée. Christine nest plus dans le lit mais jentends un léger bruit dans la salle de bain. Je me lève et me dirige vers la porte. Je la vois allongée dans la baignoire en train de se prélasser. Elle a les yeux fermés, mon instinct de voyeur revient à la surface et je décide de la contempler comme jen avais lhabitude auparavant. Ce simple moment me fait immédiatement bander. Christine na de cesse de caresser son corps en douceur avec ses deux mains. Elle effleure sa peau, passe sur ses seins, descend lentement non sans faire rouler les tétons au passage, se caresse le ventre dans des gestes très lents, rentre ses mains dans leau, passe sur ses deux cuisses jusquaux genoux repliés, descend à lintérieur de ses cuisses, passe entre ses lèvres, titille le clito et joue délicatement avec les poils soyeux de son pubis.
Ce nest pas une masturbation, juste des caresses les yeux fermés comme une forme de détente non maitrisée. On dirait que ses mains parcourent son corps sans quelle ne les dirige. Repense-t-elle à lexpérience que nous avons vécue ? Peut-être que, même si cest une femme expérimentée, ce fut un nouveau plaisir pour elle !
Toujours est-il que jai envie que le temps ne sarrête pas et quelle continue ainsi. Jai repris mon bâton entre mes mains il est de nouveau raide et prêt. Comme elle, je décide de commencer des mouvements lents et je me cale sur ses mains en me branlant.
Un bruit de fond léger minterpelle et japerçois des bulles dair remonter entre ses jambes. Lors dun passage de ses mains entre ses cuisses, Christine, dans un mouvement de bassin, relève ses fesses et sort son bas ventre de leau. Sa main descend plus profondément entre ses cuisses et fouille pour en sortir un objet. Je comprends quil sagit dun gode vibrant quelle avait depuis le début dans sa chatte. Quelle coquine !
Elle replonge de nouveau sa main droite entre ses cuisses encore plus loin et sort un nouveau jouet plus fin qui vibre tout autant.
Ma surprise ma fait légèrement bouger ce qui a eu pour effet de sortir Christine de son état semi inconscient.
Elle relâche ses muscles, laisse retomber son bassin dans leau, se redresse et se retourne.
- Dis donc petit voyeur, tu profites du spectacle ?
- Je ne savais pas que tu utilisais des jouets, dis-je intéressé
- Jen ai plusieurs en effet, ce matin en me réveillant javais envie de mamuser seule. Jaime ces membres vibrants ils mapportent beaucoup de plaisir et de détente en même temps. Je peux aussi les utiliser pour me masturber jusquà lorgasme mais ce matin cétait uniquement pour un plaisir détente.
- Mais tu en avais deux ?
Elle voyait que ma question sous entendait « tu en avais un dans le cul ? »
- Tu sais quune femme a deux trous, tu sais que ces deux trous peuvent être utilisés pour le plaisir sexuel, tu as déjà entendu parler de sodomie ?
- Oui jai même déjà vu cela sur mes revues, mais je ne pensais pas que tu étais une adepte de cela !
- Et pourquoi je nen naurais pas le droit?
- Je pensais que cétait juste pour les films porno et les revues !
- Tu as encore beaucoup à apprendre des femmes, je vais donc continuer ta formation.
- Donne-moi mon peignoir je vais sortir, leau est froide maintenant je ne voudrais pas refroidir mon corps, dit-elle en me faisant un clin dil coquin.
Je lui ai donc tendu son peignoir pour quelle se sèche, puis elle me dit :
- Il serait temps que tu te laves, si tu veux continuer à tamuser je veux que tout cela soit propre. Prends une douche et frotte bien partout.
En disant cela elle ma pris ma bite entre ses mains et a fait rapidement et assez brutalement quelques allers-retours comme pour me branler et me faire jouir. Elle navait pas fermé son peignoir, et je pouvais voir ses seins suivre le mouvement de ses mains.
- Tu vois cest tout poisseux dit-elle en se lavant les mains au lavabo.
Je me décidais dons de rentrer à mon tour dans la baignoire et de faire couler leau de la douche. Quel bonheur, non seulement cette douche rafraichissait mon hygiène mais aussi tout mon corps dont la température avait déjà atteint un sommet, tant par la situation que par la chaleur quil faisait déjà.
Ma toilette terminée je sortais de la salle de bain séché et passais le seuil de la porte fenêtre pour rejoindre Christine déjà dehors à soccuper à préparer notre espace de détente (bains de soleil, table chaises, parasol
). Elle était magnifique comme ça, elle était bien sûr restée toute nue sans aucune pudeur. Elle avait de la chance davoir un terrain clos.
- Viens maider à porter la table à lombre on va prendre un café.
Le petit déjeuner me fit beaucoup de bien, je me sentais reprendre la forme au fur et à mesure. Notre discussion autour de lévénement de la salle de bain mexcitait déjà, je ne sais pas quand mon sexe va décider à se ramollir je crois que Christine na pas fini de me faire bander. En me lavant jai senti quil était très sensible et rouge certainement du à mon dépucelage dhier. Jinterpella Christine à ce sujet :
- Cela ne métonne pas, rappelle-toi ce que nous avons fait, moi aussi jai la chatte en feu, dit-elle en éclatant de rire. Mes godes ont également servis à refroidir un peu à lintérieur de ma caverne.
- Ça va se calmer tout seul pour moi ?
- Oui je vais te chercher une crème, ça taidera
Elle se leva immédiatement et se dirigea vers la maison. Je la suivais du regard, elle avait vraiment un corps magnifique avec un cul tout aussi beau et bronzé que le reste. Quand elle revint avec son tube à la main, elle me demanda de tourner ma chaise pour sortir de sous la table.
Elle saisit mon membre et ne put sempêcher de lavaler délicatement tout en douceur.
- Ça fait du bien ? lhumidité de ma bouche a préparé ta peau je vais pouvoir maintenant mettre un peu de crème.
Cette crème étalée avec grand soin me fit beaucoup de bien !
- Nen profite pas pour méjaculer à la figure quand même
- Si tu continuais ainsi plus longtemps je pense que je ne pourrais même pas retenir mes jets, je le sens.
Son soin terminé elle se releva et regagna sa place pour terminer son petit dej.
- Alors dis-moi ce que tu as vu ce matin et pose les questions qui te brulent la langue.
- Cette vue au réveil était un vrai délice. Jaimais beaucoup la manière dont tu te caressais. Je navais pas limpression que tu le faisais pour te masturber et atteindre un orgasme mais je te sentais dans un état second.
- Tu as bien analysé la situation, dans le bain jaime me détendre ainsi, mes caresses maide à décrocher et partir dans un rêve de bien-être. Ça mapporte du plaisir sexuel mais pas dorgasme. Le sexe nest pas limité aux jouissances physiques, il apporte beaucoup de jouissance mentale voire même théutique.
- Mais pourtant tu avais deux jouets en toi, en général ils servent pour se branler non ?
- Tu as raison, mais pas seulement. Ce matin ils mont servi à me détendre simplement, relâcher les muscles internes de mon vagin et de mon anus.
- Quand tu mets quelque chose dans ton cul, ça tapporte un plaisir sexuel aussi ? tu as déjà joui seulement par-là ?
- Bien sûr, cest différent mais apporte aussi du plaisir. En générale jaccompagne cette sodomie par une masturbation de mon clito par exemple. Il faut que tu comprennes quune femme à des dizaines de solution pour prendre son pied. Tous ces orgasmes sont différents, mais tous aussi bon les uns que les autres.
Je réfléchissais à ce quelle me racontait dans un long silence.
Christine sen rendit compte et rompit le silence
- Ne te prends pas la tête, je te propose de te montrer tout ce que tu veux, mais cela va prendre beaucoup de temps alors procédons étape par étape. Je connais maintenant bien ton côté voyeur, je te propose de nous installer confortablement dehors et de te montrer ce que je peux faire avec mon petit trou. Je vois que ça tintéresse et en plus jai préparé le terrain ce matin, il nattend plus quon soccupe de lui, ça permettra à mon sexe de se reposer un peu.
- Daccord mais ça va encore mexciter, je fais quoi de mon gourdin avec la crème ?
- Tu ny touches pas et si tu nen peux plus tu le caresses en douceur comme moi ce matin. Tu tinterdis daccélérer le mouvement et tu verras quavec des caresses très légères tu seras capable dexploser. Ça durera plus longtemps mais quand ça va partir tu vas comprendre ce quest le septième ciel.
Je lécoutais religieusement et japprenais. Le petit déjeuner terminé et débarrassé nous nous retrouvions donc allongés sur nos bains de soleil. Christine mavait juste demandé de me taire, de me détendre et de la laisser se mettre en condition pour réussir au mieux sa montée en puissance, elle voulait réussir sa masturbation, elle disait quelle navait jamais fait cela devant quelquun.
Jacceptais donc les termes du « contrat » et jessayais de trouver la meilleure position possible. Je décalais légèrement mon transat. Elle était allongée sur le dos, elle avait ramené un sac avec de nombreux objets dedans.
Elle recommençait à se caresser comme ce matin, mais cette fois je la sentais prête à chercher plus que de la détente. Elle sattardait par exemple plus sur ses tétons déjà bien durs, elle se mouillait les doigts et les faisait rouler longuement en les pressant de temps en temps. Elle sattardait aussi de la même manière sur son bouton, elle sy appliquait exactement comme sur ses tétons. Elle passait souvent un doigt entre ses lèvres déjà fort humides, elle remontait ensuite son doigt rempli de mouille sur son clito pour de nouveau le frotter.
Tout en gardant ce rythme avec sa main gauche elle souleva légèrement les fesses, se contorsionna pour passer sa main droite en dessous et permettre à son majeur datteindre son anus.
Je me penchais pour ne rien rater. Elle avait ramené ses talons le plus près possible de ses fesses et avait largement écarté les genoux. Son intimité était parfaitement offerte aux rayons du soleil qui ajoutaient à la montée de température ambiante et corporelle.
Sa main gauche commençait doucement à faire des allers retours entre ses lèvres, elle passait par son bouton, appuya à chaque passage et glissait ensuite son doigt vers le bas. Je compris rapidement quelle faisait tout pour se faire mouiller et ainsi faire couler sa cyprine vers son anus.
De son autre main, son majeur récupérait ainsi cette humidité naturelle et massait lentrée de son petit trou. Tout était parfaitement prévu.
Elle faisait durer le plaisir de la préparation, son anus était maintenant trempé comme si son jus sortait de là. Elle commençait sans problème à faire pénétrer le bout de son doigt, je voyais son anus souvrir et se détendre de plus en plus.
Je nen pouvais plus, je saisi délicatement ma queue et comme elle me lavait commandé, je la caressais sans la serrer.
Au bout dun moment interminable elle retira ses mains du bas de son corps, allongea de nouveau ses jambes et se redressa. Très lentement comme si elle ne voulait pas sortir de létat dans lequel elle sétait mise, elle se retourna, se mis à genoux sur son transat et ouvra son sac de jouet. Elle en sortit des boules de geisha (jai appris par la suite que ça sappelait comme ça et lutilité quelles avaient) et deux godes, un assez fin et un beaucoup plus gros.
A genoux mais redressée, elle prit les boules quelle fit rentrer en douceur et une à une dans sa chatte. Jai entendu le bruit quand ils sentrechoquaient et compris que ça vibrait énormément. Elle y prenait beaucoup de plaisir, elle me tournait le dos mais avait balancé la tête en arrière et gémissait.
Tout en maintenant sa main entre ses jambes pour empêcher les boules de sortir, elle se pencha et laissa tomber sa tête sur le transat. Cette position donnait une perspective complétement différente de son fessier. Il prenait une forme beaucoup plus imposante et se dressait fièrement au soleil.
Je me décalais de nouveau pour la voir légèrement de côté. Elle positionnait sa tête sur le transat de manière à ce quelle puisse elle aussi me regarder.
Son trou était ouvert, je pouvais apercevoir ce tunnel comme jamais javais pu le faire. Sa chatte ruisselait, elle remuait régulièrement les fesses pour entendre le gling gling des boules. Je voyais ses seins suspendus dans le vide qui ne demandaient quà bouger au rythme de ses spasmes de plaisir.
Elle prit alors jouet le plus fin, passa entre ses jambes et amena le bout en forme dogive pointue vers lentrée de son petit trou. Elle le poussa doucement vers lintérieur jusquà ce quil soit presque en totalité inséré. Elle tourna ensuite le bout du gode pour mettre en marche la vibration. Je voyais Christine remuer de plus en plus ce cul, ça dégoulinait, elle se tenait un sein et tirait sur ce pauvre téton. Elle se caressait le clito, elle haletait jusquà atteindre un orgasme long mais doux, pas de cris juste une jouissance avec des râles. Le gode anal commençait à sortir, elle prit soin de le retirer et vite prendre le gros. Je voyais un changement dans son comportement, elle était beaucoup plus excitée et voulais en découdre. Elle amena rapidement ce gros gode que faisait deux ou trois fois la grosseur de son trou du cul et se pénétra sans attendre dun coup jusquau bout, cest dire à quel point ce tunnel avait été bien préparé et détendu. Elle entreprit celle fois de réellement se branler. Elle faisait de nombreux va et vient, à chaque pénétration jentendais les boules vibrer et elle avait comme un spasme qui saccompagnait dun jet de cyprine qui sortait de sa chatte. Elle sest branlée ainsi pendant un quart dheure au cours duquel elle a déversé une quantité énorme de liquide.
Pendant tout ce temps je continuais à me caresser sans brutalité, et à chaque étape nouvelle, je sentais mon cur battre de plus en plus fort, ma bouche sassécher, et mes jets de sperme sortir à grande puissance. La plupart atteignaient le cul de Christine.
Nous avons fini tous les deux par nous laisser tomber sur le transat, épuisés. Christine sétait juste allongée en position latérale, tournée vers moi.
Je la contemplais et je me dit que dans nimporte quelle position ses courbes étaient tout simplement belles.
Curieux je me redressais et regardais larrière de son fessier. Je voyais que son gros gode était encore enfoncé à moitié dans son cul. A ce moment jai pris linitiative de lattr et de tirer tout doucement pour le sortir. Cétait jouissif pour moi sachant doù il sortait. Au fur et à mesure quil sortait je sentais Christine avoir de petites réactions, comme si elle terminait sa jouissance.
Le gode sorti de sorti laissait place à un trou béant ! Je nai jamais vu un trou du cul aussi large. Puis petit à petit reprenait sa forme initiale et se refermait.
Christine sallongea ensuite sur le dos, complétement détendue et ouvrait largement les jambes. Je voyais un fil sortir de sa chatte toujours ruisselante. Jai compris quelle minvitait à retirer également ses boules de geisha. Javançais alors ma main, pris le fil et tirais doucement. Je voyais ses lèvres sécarter et la première boule apparaitre. Je tirais encore et la boule sortant dun coup amena avec elle une cascade odorante de mouille. Sans plus tirer la deuxième boule est sortie delle-même.
Sa chatte a eu la même réaction que son anus. Largement ouverte, elle ma laissé le temps dadmirer cette cannelure à lintérieur avant de se refermer. Son bouton était écarlate. Il fallait maintenant laisser ces organes du plaisir se reposer.
Je décidais de profiter un peu de son semi sommeil pour moccuper de ses seins. Ils soffraient à moi et mappelaient pour profiter aussi du plaisir de son bas ventre a largement bénéficier.
Sans bruit et tout en douceur je mapprochais deux pour les prendre délicatement dans me mains. Je les caressais longuement pour mon plus grand plaisir. Avoir ces seins en main était un réel plaisir indescriptible. Je les palpais, les caressais. Je passais sur les tétons toujours aussi tendus. Après de longues minutes à les caresser je les ai pris en mains en les serrant légèrement pour pointer encore plus les tétons. Jai commencé à les lécher juste avec le bout de la langue. Christine ouvrait légèrement la bouche et respirait plus rapidement. A ce moment je me suis lancé le pari de la faire jouir uniquement avec ses tétons.
Jai donc testé plusieurs approches, lécher, aspirer, mordiller
.
Je sentais au final que cétait lensemble de ses actions qui la faisait réagir et quil fallait donc un ensemble de tout cela si je voulais quelle jouisse.
Je décidais donc de la chevaucher et de masseoir sur son bassin, elle me laissait faire.
Jai repris ses deux seins, les ai rapprochés et jai commencé à moccuper deux. Le fait de passer ma langue et aspirer ses tétons la préparait et à chaque fois que je mordillais elle laisser séchapper un petit râle. Jétais sur la bonne piste.
Jai longuement procédé méthodiquement à ce mélange dapproches longtemps, très longtemps.
Jy prenais un réel plaisir, jaimais regarder son visage à chacun de mes mouvements. Je voulais sentir quand elle était prête à jouir.
Cela a duré au moins une heure pour arriver à un point de non-retour. Je continuais dalterner mes actions et faisait grimper le plaisir de Christine. Au final, mon pari fut réussi, au dernier pincement entre mes doigts de ces magnifiques tétons qui faisait maintenant le double de leur taille normale, elle sest mise à crier et se tordre le bassin. Mes fesses posaient dessus ont senti un jet chaud les atteindre.
Jai lâché un sein pour attr ma queue, moi aussi je nen pouvais plus et je me suis branlé tout en continuant de moccuper de son sein. Ses jets dans mes fesses, la masturbation de son sein, son visage jouissant, et ma branlette manuelle ma fait gicler en deux mouvements. Mes jets puissants se sont étalés sur son ventre et nous avons jouis ainsi pendant près dune minute.
Quels plaisirs !
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