Complexe Vaincu 7
Brigitte referme ses jambes grasses sur sa moule fripée débordante de sperme, du sperme volé à mon mari. Elle nous regarde, à peine étonnée, comme si la situation était banale, se moque de son mari :
- Alors Joseph tu ne sais pas respecter un horaire. Vous arrivez plus tôt que prévu. Enfin tu tes trouvé une fille pour la partouze, cest lessentiel. Qui est-ce ? Mais, ce n'est pas vrai, cest cette chère Simone! Comment las-tu décidée? Elle vient pour la partouze, jespère. Raison de plus pour que tu restes mon cher Robert, tu découvriras des dons cachés de ta femme, devenue salope grâce à mon homme. Entre cocus on va s'amuser!
Robert reprend son souffle après la charge, sa queue retourne à un état normal. Le salaud me faisait la morale, me réclamait un certificat médical avant de me baiser après mes deux amants, leur imposait le préservatif et refusait dadmettre mon retour à une vie normale dépouse. Il ne baisse pas les yeux, na pas honte de mavoir invitée à venir près du lit de son adultère. Joseph nest pas fier, il ne peut plus invoquer la frigidité de Brigitte pour me faire pitié. Il voit monter ma colère.
- Menteur, ta femme est frigide ? Joseph tu es cocu!
- Tu ne m'apprends rien
- Belle démonstration, je comprends pourquoi tu ne voulais pas me conduire chez toi cet après-midi. Et Brigitte couche avec mon mari. Elle navait pas réussi à me le prendre quand nous étions étudiants, mais elle se ratt la garce.Ah! Regarde ces deux hypocrites!
Brigitte, assise dans son lit, étale un sourire goguenard, reprend en main le sexe recroquevillé de son voisin et entreprend de lui redonner vie en le masturbant. Elle me toise en souriant. "Garce?" Le mot la fait rire, elle tient mon homme par les couilles et triomphe. Mon vocabulaire, cest du vent, elle préfère le concret et elle le tient en main, là, sous mes yeux furieux.
- Simone, je suis garce, mais moi au moins je suis capable de faire bander ton homme et de le faire jouir.
La garce a un plan. En premier prendre sa revanche sur le passé, conquérir le mari déçu et ensuite m'attirer dans un piège où je ternirai définitivement ma réputation. L'étape suivante sera ma répudiation, des divorces et ...imaginez des remariages. Elle a le beau rôle dans son lit avec un Robert soumis et loin d'être contrit. Brigitte insiste lourdement :
- Je suis heureuse de consoler ce mari bafoué, trompé et délaissé par sa putain de femme. Je suis heureuse d'être aussi généreuse que toi et de savoir apporter mon aide à un homme que sa femme humilie et rabaisse pour quelques centimètres de verge, faute de savoir la mettre en valeur. Bienvenue chez nous, chère garce. Tu voudrais jouer l'indignation. Qui en premier a couché avec le mari de lautre ou avec notre copain Abel ? Qui néglige ce pénis délicieux en bouche, agréable au toucher et si efficace dans une cramouille. Désormais tu fais partie du club des garces, tu mériterais même la couronne de reine. Tu cherches les déhérités ou prétendus tels pour voler à leur secours. Jolie vocation. Je te promets des moments inoubliables dans notre confrérie de libertins éclairés.
Avec une serviette de toilette, Brigitte essuie une coulée blanchâtre de jus épais au bas de sa vulve encore enflée et continue son discours d'accueil.
- Ce cher Robert avait les couilles bien pleines grâce à ta négligence, il m'a foutu une sacrée charge, ça n'arrête pas de couler! Il m'a peut-être fait un gosse ! Reste avec nous et tu constateras combien de plaisir Robert va me redonner.
Simone se révolte :
- Pas question! Tu as enfin réalisé ton rêve de frustrée. Rends-moi mon homme.
- Tu nas pas su le garder. Vois comment il faut faire, le masturber, le sucer. (Elle joint le geste à la parole.) Il était en manque, il me la dit, je le réconforte.
- Il y a un malentendu, nous navons plus rien à chercher dans cette maison. Partons, dit Joseph honteux.
- Mais moi, foi de Simone, malentendu ou pas, je tiens à savoir quel est le rôle de Robert. Suis-je une monnaie déchange, quel accord a-t-il conclu avec toi et avec Abel et où veut-il en venir ?, Tu ne réponds pas, Joseph, tu as perdu ta langue ?
Je madresse à mon mari pris en flagrant délit dadultère à son tour:
-Robert as-tu dit à Joseph:
« Joseph je te refile ma femme et je saute la tienne, on échange »
Est-ce un marché, viande contre viande entre deux maquignons ? Brigitte tu es comme moi un objet déchange entre ces deux lascars, ne crois pas avoir reconquis Robert: ces deux là ont un sexe à la place du cur.
Enfin Robert se lève, soustrait sa bite tumescente à la main masturbatrice et fait front avec sang froid:
- Calme-toi, Simone. Suis-je plus coupable que toi? Tu refusais dentendre que Joseph tavait abusée; en te fixant ce rendez-vous chez ce couple, je me suis mis en situation de te prouver que Brigitte avait du tempérament. Je viens de le constater avec bonheur, car notre rencontre a été fort agréable et pleine denseignement. Jusquà ce jour jamais je navais fait lamour avec une autre que toi. Comme dautres lont fait avec toi, jai joué au misérable mari pour apitoyer Brigitte. Je lui ai raconté ta conduite avec Abel et avec Joseph son propre mari.
- Tout le plaisir a été pour moi. Tu pourras revenir quand tu le voudras, je taccueillerai les jambes et les bras ouverts, tu seras toujours le bienvenu chez moi et je ne connais rien de meilleur que de faire lamour avec toi. Dailleurs je suis prête à recommencer. Suis-moi.
Elle sort en poussant son amant devant elle, tortille du cul derrière lui. Elle est aussi large quune jument et trimbale une imposante paire de fesses au-dessus de cuisses solides et qui frottent ensemble. Elle a changé, sest épaissie. Ses seins flétris saffaissent déjà comme des outres vides. Comment mon mari a-t-il pu se rabattre sur une femme aussi quelconque ? Baiser ce tas est un exploit athlétique, mais il faut en avoir envie ou être désespéré ou aveugle. Hélas, jai désespéré Robert.
- On naurait pas dû venir tente Joseph.
- Oh! Si,la situation est claire, mais ferme-la, salopard. Tu vas payer tes coups tordus. Ne madresse plus jamais la parole, tu me dégoûtes.
Il ne sait plus où se cacher. La situation lui échappe complètement. Sa femme et mon mari, sous notre nez sisolent nus dans la salle de bain. Jenrage, lautre idiot laisse faire comme si la chose était normale dans cette maison. La porte de la salle de bain est restée ouverte, Brigitte rit à gorge déployée et s'exclame pour que j'entende son message:
- Tu as vu sa tête. Ca lui apprendra. Cest bien réussi mon chou. Tu restes pour la suite ?
De qui rit-elle? De son mari apparemment consterné ou de moi, sa rivale au tapis. Je nentends pas la réponse de mon homme, Joseph veut quitter les lieux. Pourquoi cette hâte? Que sont-ils partis faire, jai reçu la démonstration cinq sur cinq, je nai pas besoin dune deuxième séance.
Cette saleté de Brigitte est prête à recommencer. Robert a insisté pour que je vienne accompagnée de Joseph. Il a fait dune pierre deux coups. Joseph a appris quil était cocu à son tour du fait du mari de sa maîtresse et moi jai enregistré que Brigitte jouissait même avec la courte tige de mon mari. Joseph est bien un tricheur, sa femme une salope
Pour être sûr du résultat, Robert na pas eu peur de déballer sa petite queue devant son ancienne prétendante, malgré le risque de moqueries et il sen est tiré comme un chef.Je dois reconnaître mes erreurs. J'avais plus de bon sens jadis.
Exploit unique ou suite dune longue série de rencontres ? Brigitte est-elle sa maîtresse, depuis quand ? Ont-ils commencé avant moi ? Est-ce la vengeance de mon chéri après la découverte de mes aventures avec Abel et Joseph ou me cocufie-t-il juste dans le but de montrer sa capacité à faire reluire une autre femme. Qui le premier ? Quelle sera la suite ? Dès que jaurai trouvé la réponse à ces questions, je quitterai cette maison. Il peut bien affirmer que cest la première et dernière fois, leur familiarité me laisse un doute, comme leur parfaite entente au lit. Et sil prenait goût à cette fréquentation. Je sais, la jalousie dune femme adultère est ridicule. Mais
Que va faire Robert ? Joseph insiste pour memmener. Je reste pour savoir. De plus, tout à coup, la retraite est coupée; un groupe joyeux pénètre dans le vestibule mêlant voix graves et voix de femmes. Les arrivants montent. En tête le meneur, Abel, marque un temps darrêt, me regarde avec un plaisir non dissimulé et interpelle Joseph :
-Eh! Bien, Joseph, tu as réfléchi, bravo tu es là. Ta femme avait un doute quand elle ma invité à sa petite sauterie. Cest parfait, plus on est de fous, plus on rit. Et qui est avec toi ? Oh! le voleur : La divine Simone! Amis, je vous présente Simone, la femme de notre patron, grande rôtisseuse de pines, qui va prendre part aux festivités. La fête sera magnifique, c'est la reine des baiseuses. Son four a bénéficié de mes travaux et offre confort et volupté aux bites de toutes dimensions. Cest désormais une experte, à prendre par devant et/ou par derrière. Deux verges ne lui font pas peur. Elle cocufie avec bonheur son mari, notre pitoyable patron. Avancez. Simone, voici Gino, mitrailleuse lourde que nous pensions te présenter prochainement, un lundi ou un jeudi: tu seras heureuse de tomber sous son charme et de mourir de plaisir sous ses coups à répétition dès cette nuit.
Si, de la salle de bain, Robert entend ces propos, il va être humilié publiquement, très malheureux, par ma faute. Abel reprend :
-Ta présence ici ce soir ma chérie est un bonheur et un grand honneur. Tu connais Denise ?
- Ta femme?
- Ah! Le cocu a parlé ! Je len croyais incapable, ce coincé du calcif. Un mec qui accorde des jours de libertinage à sa femme na pas de couilles, cest un con ou il participe aux fêtes du sexe! Sans mon petit mensonge, tu naurais jamais goûté à mon royal pénis et aux joies des gros volumes. Oui, je suis marié, mais jaime révéler les mal baisées. Reconnais que ça ta plu. Denise nest pas jalouse, vous vous entendrez bien. Elle a toujours apprécié mes avantages mais admet que d'autres la soulagent parfois.
Tout à lheure Denise se fera une joie de présenter mon sceptre à la couronne de ton cul, car tu vas y passer, je veux te péter la rondelle, en faire un passage pour tout calibre! Derrière moi, vient Angèle, quadragénaire qui ne fait pas son âge, elle aussi possède une sérieuse réputation de croqueuse dhommes, elle est presque aussi bonne que toi. Enfin ses deux mignonnes filles viennent pour sencanailler. Leur mère les forme. Ce sont Malou et Gigi. Ca manque dhommes ce soir! Où est donc la maîtresse de maison ? Vous attendez dautres invités ?
Une sauterie, ici, ce soir réunit Brigitte, Denise, Angèle, Malou et Gigi dune part et Joseph, Abel, Gino, dautre part; cinq femmes pour trois hommes, il en manque deux ou un, serait-ce mon Robert ? Aurait-il prévu de me faire dautres démonstrations avec ces femmes ? Moffrira-t-il aux autres hommes pour payer ses galipettes avec tout ce poulailler caquetant ? Il est dans la place, et pourrait être le quatrième larron, malgré un capital sexuel déjà entamé
Brigitte, la fausse frigide, organise des orgies, cest un comble. Ce saligaud de Joseph savait ! Robert fait-il partie de la bande ? Ma-t-il fait venir pour m'offrir aux autres mâles présents ou encore attendus ? Est-il candauliste ou échangiste? Je nose limaginer. L'est-il depuis longtemps ou l'est-il devenu par ma faute à la suite de mes égarements à répétition ?
à suivre
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