L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 57)

On aurait dit qu’il marchait sur l’eau, là au beau milieu du lac. Et pourtant il restait immobile mais ses pieds reposaient à fleur d’eau et il ne coulait pas à pic restant en suspension ! Cette voix qui venait de s’exprimer, c’était bien celle d’une Divinité qui saisit les regards hébétés des bisexués à la plus grande stupeur d’Hélène ! C’était Hermès Le Messager des Dieux, Donneur de la Chance et Guide des héros mais aussi le père du premier Hermaphrodite devenu bisexué. Il était dans toute sa splendeur drapé d’une magnifique toge blanche, des sandales aux pieds, une couronne de lauriers sur le crâne, la tête haute et les bras croisés. On aurait presque cru à un empereur romain sauf que la taille ne correspondait pas ! En effet Hermès mesurerai une vingtaine de mètres, ce qui impressionna Hélène, même si elle avait déjà vu une même grandeur dans une de ses aventures alors qu’elle se trouvait à l’Olympe des Dieux… La voix laconique et ferme de la Divinité avait dit simplement :

- Arrêtez …

Cette voix Divine avait eu l’effet escompté, car au son de ce simple mot, les hermaphrodites se tournèrent et stoppèrent net leurs ébats acharnés. Les verges dressées, les vagins coulant de cyprine, les tétons relevés, ils avaient l’air penaud et restèrent totalement muets et craintifs. Hélène en profita pour s’extirper de cet enchevêtrement de corps en rut en pleine méga-partouze qui se séparaient au fur et à mesure que les hermaphrodites réalisèrent l’ordre exigé par le Dieu Hermès. Celui-ci se remit à parler une fois que tous les acteurs de cette effrénée baise le regardèrent en silence immobiles et presque apeurés. Hermès leur dit clairement sur un ton des plus autoritaires :

- Je suis le Messager des Dieux et Nous savons très bien que c’est Nous qui avons uni, jadis, le corps de Salmacis et d’Hermaphrodite pour punir ce dernier, mon fils issu de mon union avec Aphrodite, d’avoir refusé les avances de la belle Naïade.

Par la suite, au fil des siècles, nous avons décidé que vous tous qui êtes venus un jour ici dans ce lac juste pour vous baigner, que vous ressortiriez comme vous êtes en ce moment, c’est-à-dire bisexués insatiables de sexe pour l’Eternité. Mais dans vos chaleurs si ardentes, nous savons aussi que vous en êtes devenus abêtis à ne plus discerner qui vous baiser. Et sachez que vous étiez en train de copuler avec la Belle Hélène, l’Epouse mortelle d’Apollon lui-même… Et c’est en son nom que j’interviens…

A ces mots, les bisexués reculèrent, démontrant à l’évidence, qu’ils craignaient plus que tout le courroux de la Divinité Apollon autant que celui d’Hermès…

- … Même si en principe, nous vous surveillons constamment, nous avions le dos tourné quand une malsaine Divinité et ennemie jurée d’Apollon, que je ne nommerai pas, a provoqué l’atterrissage d’Hélène au bord de ce lac et donc nous avons apprécié le centaure ailé Pégase de nous avoir alerté en Nous implorant, Nous les Dieux de l’Olympe pour venir l’aider à sauver sa petite protégée de mortelle… Allez maintenant les hermaphrodites, partez sur l’autre rive et allez copuler autant que vous voulez, mais laisser La Belle Hélène tranquille …

Trop pressés de s’accoupler à nouveau, les hermaphrodites obtempérèrent rapidement et en une volée de secondes, ils partirent en courant comme des fous pour au plus vite baiser de nouveau et de manière effrénée entre eux. Hélène se retrouva seule face à Hermès qui reprit de nouveau la parole :

- Va jusqu’au bout du lac pour y retrouver sain et sauf Pégase et avec lui, rends-toi sur l’île de l’Ééa, pour y rencontrer Tirésias qui te donnera ‘’le sceptre Divin’’… Sache pour la petite histoire que Tirésias se promenait un jour en forêt sur cette île, il troubla de son banal bâton l'accouplement de deux serpents. Aussitôt, il fut transformé en femme par Nous, les Dieux. Tirésias resta sous cette apparence pendant sept ans. La huitième année, il revit les mêmes serpents s'accoupler. « Si quand on vous blesse, votre pouvoir est assez grand pour changer la nature de l’Homme, je vais vous frapper une seconde fois. » en avait décidé Zeus. Et, ainsi, Tirésias redevint un homme mâle... Quand Zeus prétendit que la femme prenait plus de plaisir que l'homme à l'acte sexuel et que son épouse Héra prétendit le contraire, les Dieux demandèrent l'avis de Tirésias qui avait l'expérience des deux sexes. Tirésias se rangea de l'avis de Zeus. Il expliqua que si le plaisir de l'acte sexuel serait divisé en dix parts, la femme en prendrait neuf alors que l'homme n'en prendrait qu'une. Et Héra, « Plus offensée qu'il ne convenait de l'être pour un sujet aussi léger, condamna les yeux de son juge à des ténèbres éternelles par la cécité ». Ainsi Tirésias devint aveugle. Zeus ne pouvait aller à l'encontre de la décision d'Héra, alors pour compenser sa cécité, il transforma le banal bâton de Tirésias en un sceptre Divin qu’il lui offrit, car ce sceptre a le pouvoir de déplacer son porteur en une fraction de secondes à n’importe quel endroit sur cette belle terre des humains … C’est ce sceptre Divin qu’il te faut solliciter auprès de Tirésias, ami de Zeus et d’Apollon et qui devrait t’aider à retrouver Alcmène car ce sceptre te mènera jusqu’à elle… Mais pour mériter ce magique sceptre, tu devras t’offrir sexuellement à Tirésias et le contenter seule condition pour que celui-ci accepte de te le donner… Telle est la Volonté de ton Epoux Apollon… Mais il te faut savoir que désormais, et selon la Volonté de Zeus, Tirésias a toujours gardé en héritage de ses sept années vécues en femme, le pouvoir de changer d’apparence d’âge et surtout de sexe en un clin d’œil selon son humeur ou sa perversité comme bon lui semble, quand bon lui semble…

Puis la Divinité sourit, montrant ainsi qu’il parlait à la protégée d’Apollon et après un agréable salut de la main comme pour dire un aimable ‘‘bonne chance’’, il disparut comme par magie et le calme plat régnait de nouveau sur les eaux inertes du lac… Hélène comprit que se donner à cet aveugle de Tirésias était encore une fois une sorte d’épreuve imposée par son Divin Epoux... Quand la Troyenne retrouva Pégase tout au bout du lac après une demi-heure de marche, celui-ci était couché tranquillement dans l’herbe sur ses quatre sabots et semblait attendre sans trop d’inquiétude, comme s’il savait que la Belle Hélène allait lui revenir au plus vite. En effet, il expliqua à Hélène qu’une fois qu’il fut transporté par la tornade, celle-ci stoppa d’elle-même aussi vite qu’elle fut venue et il se retrouva ici, indemne. La voix Divine d’Hermès lui parvint alors et lui intima de ne pas bouger car la Divinité allait intervenir pour sortir Hélène d’entre les mains des hermaphrodites, ce qui avait de suite rassuré le centaure ailé et donc il n’avait plus qu’à attendre le retour de son amie la Troyenne…

Il faisait presque nuit quand Pégase arriva sur l’île de l’Ééa avec sur son dos la Belle Hélène. Ils savaient pourquoi ils se rendaient sur ce bout de terre verdoyante mais ne savaient pas comment trouver Tirésias. Un petit village avec seulement quelques maisons semblait occuper le centre de cette petite île, village entouré par une grande forêt, celle où jadis Tirésias avait rencontré les deux serpents en train de s’accoupler. Hélène demanda à un pauvre mendiant, qui rentrait se coucher sous un pont de pierre traversé par un petit cours d’eau, s’il connaissait Tirésias et où elle pourrait le trouver.

- Tirésias ? L’aveugle ! C’est la dernière maison avant la forêt au bout de cette seule et unique grande rue… Vous ne pouvez pas vous tromper car sur sa porte, il est écrit une phrase que l’aveugle affirme qu’elle a été dite par le Divin Zeus, Lui-même : « Si quand on vous blesse, votre pouvoir est assez grand pour changer la nature de l’Homme, je vais vous frapper une seconde fois. »

Hélène remercia poliment le mendiant et accompagnée de son ami Pégase, elle ne tarda pas de se trouver devant ladite maison. C’est un vieillard qui ouvrit la porte une fois qu’Hélène eut frappé celle-ci. L’homme fortement ridé aux yeux fixes tel un aveugle n’eut besoin d’aucunes explications, comme s’il attendait cette tardive visite. Car il s’exclama avec l’évident constat qu’il savait à qui il s’adressait :

- La Belle Hélène ! Entre ! Je t’attendais ! Ton Divin Epoux Apollon puis Hermès m’ont informé de ta visite de ce soir… Toi, Pégase reste dehors à la porte et attend toute la nuit. Mais ne craint rien pour ta petite protégée. Nous savons tous pourquoi elle est là et quand elle sortira de ma maison au petit matin, tu l’as retrouveras telle qu’elle est venue, en bonne santé. A la différence près que si elle m’a contenté dans les ébats charnels, je lui donnerai le sceptre Divin et si elle n’est pas arrivée à me faire jouir autant de fois que je le veux, elle s’en ira comme elle est venue ce soir, sans ce sceptre…

Tirésias fit donc entrer la Troyenne et referma la porte sous le nez de Pégase qui accepta sans hésiter ce que le vieillard exigeait car il savait que tout était orchestré par les deux Divinités. Alors, rassuré, il alla boire dans un abreuvoir à deux pas de la maison de Tirésias pour ensuite se reposer au pas de porte extérieur pour une nuit qui allait sans aucun doute être chaude pour la Belle Hélène… Tirésias n’alla pas par quatre chemins et sitôt la porte refermée, il se tourna vers la Belle Hélène pour lui dire sans détour :

- Allez, commence par venir me sucer et je peux t’assurer que tu ne seras pas au bout de tes surprises durant cette nuitée qui s’annonce délicieuse et je te rappelle que ton seul but est de m’apporter une entière satisfaction…

C’est une verge molle que sortit le vieillard de sa flanelle qui lui recouvrait le corps et qui était le seul vêtement qu’il portait. Hélène sachant très bien ce qu’elle avait à faire s’agenouilla devant Tirésias et commença par lui lécher ses bourses et la bite qui avait l’air de peiner à prendre du volume… Les mains ridées du vieillard se posèrent sur les épaules de la Troyenne et lui imposèrent ainsi un certain rythme quand Hélène pris le flaque sexe en bouche. Mais même après de multiples et savantes actions buccales qui auraient fait bander n’importe qui, pas moyen de faire bander cette nouille pendante. Hélène se demanda comment contenter un vieillard de cet âge qui me bande plus ! Quand, tout d’un coup sans aucun signe avant-coureur, la verge se raidit d’un coup en une fraction de secondes et elle ressemblait à un énorme phallus impressionnant de volume, un sexe droit, raide gorgé de sang au gland violacé et gonflé. Par quelle magie ? Hélène releva la tête un instant pour découvrir effarée que le vieillard qui se trouvait là, s’était transformer en un beau et jeune homme musclé en pleine force de l’âge. Alors Hélène se souvint des mots d’Hermès : ‘‘… selon la Volonté de Zeus, Tirésias a le pouvoir de changer d’apparence d’âge et surtout de sexe en un clin d’œil selon son humeur ou sa perversité comme bon lui semble, quand bon lui semble …’’ Alors elle comprit et ne s’étonna pas que Tirésias s’était simplement amusé à commencer par prendre une apparence de vieillard ne bandant plus du tout pour se transformer en un viril jeune homme au phallus dressé !

Tirésias plongea alors Son épais et rigide pieu dans l'orifice buccal totalement offert. Brutalement, il s'enfonça entre les lèvres de la belle et plongea jusqu'au plus profond de sa gorge... Ne prêtant aucune attention aux efforts qu'elle fit pour récupérer un peu d'air, il violenta le fourreau de chair dans lequel il glissa, alla et vint sans ménagement, s'enfonça, usant et abusant de cet écrin humide qu'elle offrit à Sa Queue qui durcit encore jusqu'à envahir tout l'espace de la bouche docile de la Belle Hélène... Au bout d’un moment, alors qu’il ramonait abondement la bouche de la Troyenne, il sembla tout près de jouir, mais en râlant son plaisir, il s'extirpa de la bouche si douce et tira sur l'épaisse chevelure dorée d’Hélène afin de contraindre celle-ci à se relever. Tirésias la contraint aussi à s'allonger sur le ventre par-dessus l’unique table, écarta les jambes de la femelle qui pendaient dans le vide, et glissa un pouce dans son anus étroit... appuya jusqu'à faire entrer l'intégralité du doigt court mais épais en elle... Tirésias joua avec et apprécia l'élasticité du petit trou qui lentement s'élargit... il cracha alors dans ses mains, et fourra plusieurs doigts dégoulinants de salive dans le cul de la belle... il macula ainsi l'anus, puis le détendit encore, avant d'y fourrer Son énorme sexe qui n'avait aucunement débandé... Et il encula la chienne hélène, comme il s’appela à ce moment-là, en la baisant à grands coups de reins violents, virils, puissants, profonds, jusqu'à inonder son fondement d'un flot épais et abondant de sa semence, tandis qu'elle gémit d'excitation, de douleur et de plaisir mêlés... En effet, la Belle Hélène était très excitée de cette première saillie sauvage … Et quand, Tirésias se retira de ce cul au trou béant, elle sentit deux douces mains lui diriger la tête vers le haut afin de trouver le regard du jeune homme. Et ainsi elle leva les yeux sur Tirésias et quelle ne fut pas la surprise pour Hélène de se retrouver face à une magnifique femme à la chevelure ondulée brune et à la poitrine généreuse, aux somptueux tétons, aux courbes magnifiques et à un vagin dégoulinant de cyprine … Tirésias venait de changer d’apparence et de sexe et la nuit ne faisait que commencer et Hélène devra se faire baiser selon les caprices changeant du coquin de Tirésias …

(A suivre …)