En Mars, Fais Ce Qu'il Te Plait !
Françoise et moi continuions à nous voir plus ou moins régulièrement. Soit en cachette de ma femme, soit parce quelle avait besoin dun coup de main chez elle. Nos filles sentendaient très bien, cétait encore une raison de plus pour nous voir à la dérobée (combien de fois ai-je pris un café gourmand en allant chercher les filles chez elle ?)
Bref
Nous devenions de plus en plus proches et nous partagions nos fantasmes. Françoise exigeait de connaître les miens afin de me préparer quelques surprises
Je les lui indiquais volontiers, même sil ny a là rien de très original : le faire à 3, le faire dehors ou dans un lieu public, avec un inconnu, avec un homme éventuellement
Et puis
Je lui ai laissé entendre que jaurais bien aimé tenter le coup avec une femme portant un gode-ceinture.
La semaine suivante, elle téléphona à ma femme pour organiser un week-end. Elle avait besoin de moi pour aller acheter un peu de matériel de jardin et laider à remettre celui-ci en état. Jirai chez elle et, pour être tranquille, ma femme garderait les filles toute la journée. Rendez-vous était donc pris sans que jaie même mon mot à dire. Quelle ironie quand on y pense
Jarrivais le samedi matin chez elle. Bien sûr, pas de courses à faire. Ni même de préliminaire. A peine arrivé, elle me fit monter dans sa chambre et me fit mettre tout nu. Pendant que je me déshabillais, elle sortit un gode-ceinture tout neuf de sa table de nuit. « Tu aimes ? Je lai acheté exprès pour toi
»
Un peu angoissé, je finissais de me déshabiller, à moitié en érection pour cette « première ». Elle me demanda alors de me mettre sur le lit, sur le dos. Elle sortit des menottes (4 paires) et commença alors à minstaller de manière à ce que je me retrouve très cambré, les fesses en lair au bord du lit, prêt à me faire prendre sans pouvoir bouger ou y faire quoi que ce soit.
Elle se déshabilla alors et installa son gode, de belle taille (quelque part, jétais un peu vexé quelle soit mieux équipée que moi de ce côté-là du coup), ferme mais assez souple et de texture assez réaliste, et sapprocha de moi pour me le faire sucer.
« Cest lheure de passer aux choses sérieuses » me dit-elle. Elle sortit un préservatif quelle passa sur sa queue. Voyant mon air étonné (depuis la dernière séance dans la salle de bain, nous nen utilisions plus), elle me dit : « ce sera plus agréable pour toi. » Pour parfaire la mise en scène, elle me mit un bandeau sur les yeux, jétais ainsi totalement à sa merci. Sur ce, elle commença à étaler du lubrifiant sur mes fesses et sur ma rondelles quelle commença ainsi à masser, à assouplir
Quand on frappa à la porte. « Jattends un colis, je suis désolée
Il faut que jy aille, cest important ! Ou si ça se trouve, cest ta femme ! » Elle enfila un peignoir et descendit sans que je puisse la voir. Ses derniers mots mavaient glacé le sang mais jessayais de ne pas y penser. Ça ne pouvait pas être ma femme, voyons
En bas, jentendais les bruits habituels liés à une livraison (merci, déposez-ça là, voilà la signature, au revoir, bruit de porte qui claque
)
Puis, jentendis ses pas dans lescalier. Françoise arriva derrière moi, et reprit ses caresses.
_ Ça va ? Tu es toujours excité ? Près à te faire prendre le cul ?
_ Oh ! Oui ! Prêt à tout avec toi !
_ Hmm
oui ! Je vais tenculer comme tu mencules, sans ménagement, bien profondément dans ton petit cul vierge ! (Je navais jamais dit à François que javais déjà eu quelques expériences avec des hommes
)
Elle me mit un doigt dans le cul, bientôt deux, et commença de me branler. Elle sortit ensuite ses doigts et écarta des deux mains mes fesses. Jessayais de pousser de mon côté pour ouvrir mon anus quand je sentis son gland se poser sur mon petit trou et pousser pour entrer.
_ Oh ! Oui ! Cria-t-elle alors que le gode entrait en moi. Tu aimes ça salop, hein ! Continua-t-elle à crier
_Oui, jaime ça ! Encule-moi !
Le gode, immense, encore plus que dans mes souvenirs il me semble, continuait à se frayer un chemin en moi.
Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais au bout de quelques minutes, alors que je ne voyais toujours rien, je sentis le lit saffaisser devant moi, comme si quelquun était en train de sassoir dessus ! Alors que dans le même temps, je sentais toujours Françoise qui me sodomisait
_ He ! Quest-ce qui se passe ?!
_ Ne ten occupe pas et lèche moi la chatte plutôt que de parler !
Je reconnaissais la voix de Françoise devant moi et je sentis ses mains se poser sur mon crâne pour guider ma tête jusquà sa chatte dégoulinante : elle était assise jambes écartées devant moi. Ce qui posait la question de savoir qui menculait derrière bien sûr !
Javais la tête en feu et jimaginais les pires choses possibles
Mais comme javais cette chatte devant moi et que je ne pouvais de toute manière rien y faire, je me mis à la lécher, à boire son jus
Jentendais toujours derrière moi le souffle rauque et de plus en plus court, que je ne pouvais plus, maintenant, quattribuer à un homme
Il me donna bientôt de grands coups de reins, défonçant mon cul comme jamais il ne lavait été avant. Puis je le sentis se vider en moi ! Il portait, heureusement, un préservatif, mais je sentais ses spasmes en moi, je sentais le flot de sperme dans sa queue, sortir et remplir la capote. Il posa ses mains sur mes fesses, sortit de mon cul et me laissa ainsi, béant, ouvert, en train de lécher Françoise
Celle-ci lui dit « au revoir, ferme bien la porte » et je lentendis descendre et sortir sans que jai pu le voir ou lentendre.
_ Alors ? Cétait bien ? Tu vas me baiser maintenant
Elle changea de position et glissa sous moi, sassurant que ma queue était bien raide. Elle défit les menottes qui me tenait les bras (mais pas les jambes) et je pus me déplier, mallongeant sur elle, ma queue trouvant naturellement sa place entre ses jambes, dans sa chatte si mouillée, trempée, ouverte, que je rentrai dedans sans avoir besoin de forcer ou de me guider.
Alors je la baisais. Avec fougue, en la traitant de salope. Narrivant pas à savoir si je devais la haïr ou la remercier pour ce quelle venait de me faire !
Rapidement, excité par tout ce qui sétait passé auparavant, je me vidais en elle. De longs jets de foutre inondèrent sa chatte tandis que je jouissais comme je lavais rarement fait ! Elle aussi prit son pied, entourant mes hanches de ses jambes, elle profita du moindre jet, du moindre de mes spasmes
Jusquà ce que nous nous retrouvions épuisés, pantelant, tous les deux dans les bras de lautre
Après quelques temps, elle sortit du lit et me libéra. Je devais malgré tout faire un peu la gueule, toujours pas très au clair avec moi-même sur lattitude à adopter
« Hé ! Bien quoi ? Que veux-tu de plus ? Tu las fait à 3, avec un inconnu et avec un homme. Trois fantasmes en une seule fois ! Tu devrais être content, non ? »
Vu comme ça
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