Complexe Vaincu 8
Je mincruste, il nest pas question de men aller comme le souhaitait visiblement Joseph. Il ne parle plus de fuite. Une sauterie, quand on voit la composition de lassemblée, on imagine facilement ce que ça peut être. Joseph aurait aimé que je ne sache rien des activités réelles de sa femme. Il ne peut pas les ignorer et il va y prendre part. Je veux savoir quel rôle mon mari va tenir dans cette assemblée. Une orgie est annoncée par Abel. Abel méclaire dun geste sans équivoque. Il menvoie une main sous la robe et tâte mes fesses, écarte mon string et envoie son majeur vers mon petit trou, dedans, et l'agite:
-Ton cul sera à moi ce soir, ma poule, il y a trop longtemps que jen ai envie.
Il donne le ton! Je nai plus de doute sur la suite. Les mains baladeuses vont exciter les sens, fouiller les culottes, ouvrir les sexes, introduire les bites et cela finira en coulées de sperme. Deux menteurs mont roulée, prise et reprise, jai même aimé leurs jeux, leurs bites, leurs combinaisons, jai joui, jai trahi pour me les garder. Maintenant jai honte, on considère que je suis une dévergondée à utiliser comme jouet, un trou à bites, une éponge à sperme.
Dans ce cercle ma réputation est faite, les mâles croient pouvoir me soumettre à leurs envies; mon passé les autorise à user de moi. Reste à savoir si mon mari est arrivé aux mêmes conclusions que Joseph, Abel et les autres. Ma présence en ces lieux est un aveu de murs dissolues, je suis une pute à leur disposition. Le geste dAbel na pas dautre signification. Il agit en maître de mes orifices. Les autres limiteront, sauf refus de ma part ou de mon mari. Et encore, serai-je capable de refuser et tiendront-ils compte de mon refus. Le piège mangoisse, je me jure de ne plus tromper Robert. J'écarte l'intrus et reporte ma résistance à plus tard:
- Patiente, attends lapéritif. La nuit sera longue.
Je veux retarder ses attaques.
- Hum
jadore lodeur de ton jus. Alors, Joseph, tu sors ton champagne ? Ho! Brigitte nous sommes arrivés.
Brigitte accourt en peignoir de bain, fait la bise aux présents Je reçois la mienne, cest incroyable, que cherche-t-elle ? Veut-elle m'amadouer, compte-t-elle m'intégrer dans son équipe de désaxés, Robert l'y a-t-il invitée, m'a-t-il piégée pour me punir en m'avilissant encore ?
- Une minute, je suis à vous. Je suis en train de convaincre un ami de rester pour samuser avec nous
Comme sa femme est là, (elle me désigne de lindex), et semble se plaire en notre compagnie, il est sur le point de céder. On nest jamais trop nombreux pour baiser.
Elle empoigne un paquet de vêtements sur une chaise et sort. Cette fois je la suis et derrière elle jentre dans la salle de bain. Robert toujours nu, pavillon en berne, ne peut pas mignorer et attaque:
-Que fais-tu ici? As-tu été invitée par Brigitte ou Joseph ?
- Non, mais toi, fais-tu partie de cette troupe, es-tu linvité dhonneur sur le point de céder aux prières de Brigitte ? Monsieur Levertueux, donneur de leçons, voudra-t-il me préciser ses intentions ? Si tu restes, je reste, comme tu te conduiras, je me conduirai.
- Dans ce cas, je rentre à la maison. J'ai réalisé mon souhait, je t'ai ouvert les yeux. A toi d'en tirer la leçon. Mais tu peux fort bien ne pas vouloir comprendre et tu peux surtout espérer élargir le cercle de tes complices sexuels et ne pas me suivre.
Brigitte sen mêle avec son optimisme évident:
-Allons, jugez sur pièce. Je vous propose dassister en spectateurs aujourdhui. Vous êtes deux innocents, voyez et vous déciderez, aujourdhui ou un autre jour. Mais restez ensemble pour un round dobservation. Robert, fais-moi plaisir, tu me dois bien ça. Tu vas découvrir une vie formidable.
Elle se met le doigt dans lil si elle croit memprunter aussi facilement mon mari en échange de grands calibres. A moins que Robert
. Pour linstant il nest pas glorieux, mais me glisse dans loreille
- Ce sont des détraqués et Brigitte est loin dêtre frigide, tu lauras remarqué à ton arrivée.
- Jai surtout vu que jétais cocue. Il y a longtemps que ça dure?
- Première et dernière fois aujourdhui, pour te fournir les preuves que tu réclamais, je le répète.
Cest vrai, javais douté de sa parole, je reçois la leçon. Au salon les coupes sont remplies. Dans un coin sentassent pêle-mêle blouses, jupes, robes, pulls, pantalons. Deux hommes sont arrivés, un beau blond déjà en slip et chaussettes et un grand noir sans complexe, nu à côté dAbel nu. Tous deux paradent bite en main et se masturbent tranquillement pour comparer leurs morceaux danthologie sous les yeux émerveillés des femmes en culotte et soutien-gorge. Ca na pas traîné, sous limpulsion dAbel. Les festivités peuvent débuter. Le noir prend le chemin du grand lit avec Denise, fait tomber les derniers tissus, je refuse gentiment à Abel de les imiter avec lui et je maccroche à Robert. Abel invite la quadragénaire. Robert dit:
- Oh, non, vois comme Abel a abîmé Denise.!
Denise offre le spectacle de ce que je deviendrai si je continue à user de verges inadaptées, trop longues et trop épaisses et parfois peu délicates dans leur chasse à lorgasme. Avoir une grosse queue raide ne donne pas lobligation de démolir un vagin, mais hélas le détenteur gonflé dorgueil perd le contrôle et abîme ce quil devrait chérir.
Il nhésite pas, son index trouve la faille, écarte les escalopes tombantes et y fraie un passage pour plusieurs doigts. Denise est en main. Moussa la pousse contre le lit, amortit sa chute sur le matelas, la dispose sur le dos. Il a de bonnes habitudes, il ne saute pas sur sa proie comme un sauvage, mais la couvre à lenvers: elle peut samuser avec la longue queue noire, la bichonner, lécher et sucer pendant quentre ses cuisses la tête du monsieur disparaît. Nous assistons au 69.
Abel sest placé derrière Angèle, il lui a glissé son bâton entre les jambes et par petits bonds la conduit vers le côté resté libre du matelas. Il courbe la femme, lui fait poser bras et tête sur le lit. Ainsi, debout jambes ouvertes elle attend le bon vouloir de lhomme. Il se déplace, se met de côté et expédie sans ménagement sa main sur le sexe de la quadragénaire croqueuse dhommes. Nous le voyons introduire plusieurs doigts dans le conduit de la dame. Il la baratte violemment, longuement, avec la ferme intention dobtenir rapidement un lubrifiant naturel favorable à une pénétration aisée. Je reconnais ses manières. Sous limpact des doigts du colosse, Angèle glapit, comme je lai fait en croyant être la seule capable de le subir. Ce que jai été stupide et prétentieuse!
- Allez, dit Abel, Simone vient me la tenir et me guider dans ce joli con.
Brigitte vole à mon secours après avoir vu mon immobilité. Elle tient à me convertir à ses pratiques et épargne momentanément ma pudeur et ma susceptibilité. Elle me sait en colère, ma mine léclaire sur mes sentiments. Donc elle se charge de prendre en main le gourdin, elle laffermit de quelques mouvements de poignet avant daider Angèle à présenter au mieux le losange rosâtre de sa chatière.
-Vas-y, baise-moi. Fais-moi jouir. Ahhh!
Ses deux filles accourent en faisant sautiller leurs seins dénudés pour voir leur mère à luvre, lune a un poing dans la bouche, lautre secoue sa main: elles admirent mais plaignent leur mère exemplaire, joignent leurs voix à la complainte bien naturelle de la défoncée. Baiser et devant un public admiratif donne de lénergie à lassaillant. Abel joue au costaud, au grand défricheur, au mâle dominateur, au vainqueur des femelles soumises.
- Regardez bien, les filles, voyez ma lance percer son con, voyez la ressortir couverte du jus de votre mère. Inspirez-vous de son exemple, générosité, courage, endurance. Apprenez, donzelles, votre tour viendra.
Mais le beau blond et Gino approchent. Gino désigne sa quéquette tendue et veut me proposer de laccompagner. Robert observe le jeu de séduction et mes réactions en silence. Je remercie le tentateur. Il ne perd pas de temps avec moi et att la poitrine de la jeune Malou immédiatement consentante. Le blond saisit Gigi par un bras, lui insinue un doigt dans la raie des fesses et ils suivent Gino en direction du salon. Brigitte est passée sous Angèle et semploie à titiller le clitoris dAngèle et à presser les couilles dAbel. Ainsi sollicité limportant sactive en longues pénétrations et madresse un clin dil pour attirer mon attention sur les gémissements en ah ou euh de sa suppliciée volontaire et il minterpelle :
-Simone, veux-tu la remplacer? Viens. Robert, cest jeudi, jour de liberté, amène-la ici et écoute la jouir.
La main de Robert se crispe sur mon bras, me fait mal, mais me réjouit. Il me garde.
Passe Joseph désuvré, sans femme. Il nose plus me regarder, encore moins minviter. Il attend une proie. Seule est disponible sa propre épouse trop occupée à replacer Abel en vagin lorsquil sort trop de la moule éclatée dAngèle. Brigitte sait lui rendre sa raideur en quelques coups de main ou en recevant son gland dans sa bouche distendue avant de le replacer devant louverture en feu.
Il y a du nouveau sur le lit. Moussa appelle Denise, lui fait signe de venir sembrocher sur son pieu dressé droit. Avec une facilité déconcertante Denise saccroupit et se laisse descendre le long de lénorme tringle noire enrobée de salive. Elle ne crie pas, souffle à peine, sinstalle et commence un lent mouvement à deux temps de remontée puis de retour sur labdomen. Moussa rit de toutes ses dents, réclame un baiser. Denise se penche sans cesser son va-et-vient, mais nous apercevons lécartement de ses lèvres autour de la trique qui dilate son vagin, cest une exposition incroyable de chairs à vif.
Joseph se frotte les mains, attend que laccouplement émousse les énergies. Je connais sa spécialité et lanus épanoui de Denise est un appel à la sodomie : il monte, pointe et envahit ce trou béant. Cest dans cette position que Robert ma trouvée. Je nose plus bouger, glacée de honte à ce souvenir. En parallèle Abel sest couché le long du trio, Brigitte a aidé Angèle à sasseoir sur le pieu et à lengloutir. Et Angèle imite Denise. Joseph change de monture et encule la mère de famille. Il va passer régulièrement dun fondement à lautre et samuse à les tourmenter alors quelles endurent les étirements de leur vagin défoncé par les manches monumentaux.
- Alors, nest-ce pas formidable ? Si on allait à trois dans une autre chambre ? nous propose Brigitte, toujours décidée à me piquer mon homme..
Je ne réponds pas. Robert prétexte quil veut encore observer. Brigitte passe dans le salon. Jy jette un il. Les deux gaillards sont courbés sur les gazelles agenouillées et leur tripotent les seins ou les fesses pendant quelles taillent des pipes avec habileté. Jeunes mais pas vraiment débutantes. Les attouchements insistants des deux hommes sur leurs parties génitales leur plaisent et augmentent la voracité de leur bouche remplie dun vit en pleine expansion. Et tout à coup de tous côtés jentends des cris,
- Oui, remplissez-moi, crie Denise soumise au double assaut de Moussa et de Joseph.
Elle ne bouge plus et annonce chaque jet contre son utérus en émettant un chant de satisfaction syncopé :
- Vas-y Abel, crache, je te sens. Reste au fond.
Angèle braille son plaisir, cest impressionnant et son baiseur bombe le torse, fier de déclencher pareille clameur.
Dans lautre pièce, les deux hommes inondent les visages des gamines dAngèle. Le foutre coule à flot sur les visages, colle dans les cheveux, dégouline au menton et atterrit sur les nichons tout roses davoir été chahutés. Brigitte ordonne un changement de partenaire.
- Simone, tu peux choisir qui tu veux...priorité aux nouveaux membres. Ne t'inquiète pas, j'occuperai ton Robert.
- Mon choix est fait, ma chère amie! Viens Robert, allons nous aimer à la maison.
Il prend ma main. Enfin!
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