Il En Avait Une Belle 1/2
Cétait une fin daprès-midi dété assez commune. Javais passé la journée à lézarder au bord de la mer. Jai toujours eu horreur de la plage, aussi avais-je jeté mon dévolu pour une crique assez isolée, bordée de rochers surplombant une petite plage. Ceux qui saventuraient là le faisaient afin de pouvoir profiter du soleil et de leau sans le moindre vêtement. Sil y avait toujours quelques couples, lendroit était fréquenté principalement par des hommes. Labsence de végétation empêchait que ce site merveilleux soit un baisodrome. On y venait avant tout pour y être tranquille, mais il était connu également pour y faire des rencontres intéressantes.
À cette époque, jétais gardien dune propriété distante dune trentaine de kilomètres dans larrière-pays. Comme très souvent, les propriétaires étaient absents et je moctroyais un peu de bon temps en ce vendredi. Livre, musique, sea and sun avait été lunique programme de la journée. Ma copine était partie dix jours chez sa sur, personne ne mattendait à la maison, javais tout mon temps. Il devait être 17h00 et je mapprêtais doucement à rassembler mes affaires lorsquun nouvel arrivant vînt sinstaller à quelques mètres de moi. À sa décharge, il ne restait plus beaucoup de places vacantes sur la petite bande de sable et les rochers étaient également bien occupés.
Bermuda, chemise et mocassins habillaient ce beau quadragénaire, plutôt grand et svelte à la peau bronzée. Caché derrière ses lunettes de soleil, il posa à terre le petit sac marin quil avait sur lépaule, puis étendit une serviette et sy assis sans ôter le moindre vêtement, se contentant de me saluer dun hochement de tête lorsquil regarde mon côté. De sa chemise ouverte séchappait une dense pilosité aussi brune que ses cheveux.
Je répondis à son salut, trouvant mon nouveau voisin plutôt à mon goût ; sil restait vêtu, peut-être alors venait-il simplement pour se rincer lil. De là à penser quil ait choisi cet emplacement pour en découvrir davantage.
Comme il ne semblait pas vraiment décidé à se dévêtir, je pensais vraiment à quitter les lieux. Mais en regardant cette belle crique, joptais pour une dernière baignade. Je me levais et descendis jusquà un petit promontoire avant de piquer une tête. Quel plaisir de nager nu ! Jinvite celui qui ne la jamais fait à découvrir les exquises sensations renforçant le sentiment de liberté que donne le naturisme. Je me rafraîchis de longues minutes avant de remonter sur mon belvédère.
Lhomme était toujours assis et vêtu quand je sortis de leau, mais il ne perdait pas une miette de mon ascension. Il souriait en me voyant me tordre les pieds sur les pierres aussi acérées que brûlantes.
Difficile de tenir debout sur ces fichus cailloux ! dit-il comme jarrivais à ma place.
En effet, mais le sable qui colle de partout, très peu pour moi. répondis-je en prenant mon temps pour remettre ma serviette en place. Sans même parler dêtre les uns sur les autres !
Sa voix grave concordait avec son physique agréable. Je mallongeais sur le ventre pour offrir ma croupe au soleil autant quà sa vue et linvitais à sinstaller plus près pour que nous puissions papoter. Il réinstalla sa serviette et se rassis à peine à un mètre de moi, puis commença à se dévêtir. Ses mains étaient magnifiques, pourvues de longs doigts, dun pouce très large, ses ongles bien coupés... Sa chemise ôtée, je découvrais son corps musclé. De ses pectoraux bien dessinés jusquà la ceinture de son bermuda, une toison brune le recouvrait.
Je ne pouvais voir son sexe dans cette position, mais jespérais quelque chose en conséquence. En létat, son physique ne me laissait pas vraiment de marbre. Nous parlions de loisirs, de temps libre et de la chance que nous avions de pouvoir être nus au soleil plutôt quhabillé sous un ciel gris. Japprenais quil sappelait Guy, quil avait 20 ans de plus que moi, jen avais presque 30... il en paraissait pourtant à peine 40. Il nétait jamais venu ici, mais fréquentait régulièrement avec Madame une plage naturiste conventionnelle. Il avait entendu parler de ce lieu à maintes reprises et profitait que son épouse est absente quelques jours pour sy risquer. Tiens !
Je comprenais mieux sa réserve et cela le rendait à mes yeux encore plus charmant. Monsieur espérait probablement tirer quelques bénéfices de son audace ! Quand il sallongea, je pus mapercevoir que lhomme était puissant. Un beau cylindre brun dune longueur déjà conséquente reposait sur son bas-ventre, écrasant une belle touffe de poil. Si ses bourses, de là où je lobservais, demeuraient encore un mystère, le haut moteur me convenait amplement. Et dire que je voulais partir...
Je mallongeais sur le côté, campé sur mon coude, espérant pouvoir réfréner un début dérection en regardant le paysage. Mais mon regard revenait sans cesse vers cette verge si présente et ne semblant pas le moins du monde tisser. Ses bourses avaient elles aussi bénéficié de ses hormones de croissance et je regrettais quil y ait tant de monde autour de nous. Me saisir de cette verge et faire glisser son prépuce pour découvrir son gland bien en relief sous la fine peau...
Est pour voir dautres rivages que vous êtes venu, ou pour dautres envies ? osais-je demander pour éclaircir la situation.
Euh... comment dire ? Un peu des deux, peut-être.
Je peux vous mettre à laise ?
Ça se voit tant que ça que je suis stressé ?
Un peu. Moi, jaime autant les femmes que les hommes, si cela peut vous rassurer. Ce sont deux plaisirs totalement différents et il mest à ce jour impossible de faire un choix tranché.
Vous ny allez pas par quatre chemins !
Je vous mets à laise : tout plaisir perdu nest pas récupérable. Si vous nêtes pas là pour le décor, quespérez-vous, honnêtement ?
Ça fait des années que jai ce que lon pourrait appeler des fantasmes, mais je nai pas vraiment eu loccasion de tenter quoi que ce soit. Ou plutôt pas eu le courage.
Jai eu longtemps ce type de fantasmes, jusquau jour où jai enfin décidé de me jeter à leau.
Puis-je vous demander ce qui a motivé votre essai ?
Par où commencer ? Déjà, léducation est un vrai conditionnement. Pourtant, je rêvais éveillé de sexe dhommes dès ladolescence. Pour faire court, un soir, je venais de quitter ma copine et me suis dit : ce soir ou jamais.
Et cétait le bon soir, de toute évidence.
Exact. La meilleure façon de se débarrasser dun fantasme, cest finalement dy céder. Les regrets viennent après si cétait foireux. Si on ne tente rien, ils sinstallent doucement, et un jour on se retrouve à penser : merde, jaurais du... Enfin, cest comme ça que je fonctionne.
Des regrets après ce fameux soir ?
Oh que non, même sil ma fallu du temps pour accepter davoir fait des trucs avec un homme. À 19 ans, on nest pas assez mûr !
Je commençais à le sentir se détendre et lui proposais de nous tutoyer. Je nai jamais aimé jouer les folles ni les salopes et je vais voir un homme pour sa virilité, pas pour me sentir femme, même si avec certains... Vivant avec une femme, je lui expliquais longuement ce que jattendais dun homme et ce que je leur refusais.
Le soleil commençait à se casser la figure, glissant lentement sur lhorizon quand je lui demandais sil me trouvait suffisamment à son idée pour oser tenter quelque chose, en lui précisant quil me plaisait énormément. Je le mettais en garde sur le fait que je nembrasse pas les hommes, ce quil navait par ailleurs même pas imaginé. Après de longs palabres, nous renfilâmes nos vêtements et quittâmes les lieux ensemble jusquau parking, en lui demandant sil préférait venir chez moi ou plutôt un endroit neutre. La nature lui convenait, je connaissais un petit coin sympa, et il faisait si beau !
Nous sommes partis avec sa voiture plutôt que de nous suivre. Nous navions que 5 ou 6 kilomètres à parcourir pour nous éloigner de la côte et retrouver la petite clairière dans laquelle javais déjà connu pas mal de prétendants. Je glisser une main sur lintérieur de sa cuisse en lui disant quil pouvait me demander darrêter quand il le désirait, que rien nétait imposé. Sous ma paume, son sexe prenait vie. Je me rappelle lui avoir dit quil me tardait de le sucer et que sa compagnie métait très agréable.
Le moteur coupé, je sentis de nouveau sa gêne et lui répétais que rien nétait imposé. Son sexe roulait toujours sous mes doigts et je dégrafais son bermuda, rêvant depuis plusieurs heures de le prendre en bouche. Lui déboutonna sa chemise, je sus alors quil était prêt. À ma demande, il inclina son siège et le recula, jen fis de même avant de faire glisser son short. La grosse queue, presque noire tant elle avait doré au soleil, gisait sur sa cuisse, à demi molle, sublimée par la lumière bonde de cette fin de journée.
Loin de me jeter dessus, je glissais mes doigts entre ses poils, caressant sa poitrine et son ventre en lui disant quil avait un corps de rêve, ferme, musclé, très bien entretenu. Sa main se posa timidement sur mon dos comme je découvrais le volume de ses bourses en me penchant pour embrasser son sexe. Il sentait bon lhomme soigné, je men rappelle très bien. De ma main gauche, jattrapais la base de sa hampe épaisse pour lorienter vers mes lèvres. Ma langue se glissa alors entre le gland et le prépuce pour décrire quelques cercles autour du méat. Son goût salé électrisa mes papilles et un flot de salive inonda ma bouche. Comme je tirais la peau fripée en arrière sur sa hampe, il décalotta naturellement et mes lèvres glissaient sur son gros gland violet. Enfin, je suçais sa grosse quéquette.
Déjà grosse, elle remplissait amplement ma bouche impatiente. Son nud lisse avait une belle forme et ne souffrait daucun aspect disgracieux. Ses testicules fermes roulaient entre mes doigts cajoleurs pendant que sa hampe gonflait en déformant mes lèvres lorsque ma tête plongeait sur elle. Silencieux, lhomme semblait apprécier ma caresse et promenait sa main sur mon dos, nhésitant pas à aller de plus en plus bas. En quelques minutes, il bandait ferme, révélant sa vraie grandeur. Imposante au repos, il en avait une belle entre les jambes une fois bandée.
Je salivais en prenant un réel plaisir à découvrir sa chair intime, souhaitant quà terme il éjacule en proportion du volume de ses organes. Sa main glissait volontiers sous la ceinture de mon short, je décidais alors de lui laisser le loisir de découvrir mon corps. Reluquant sa robuste bite pointant vers le ciel, je retirais intégralement mes habits, il en profita pour se retrouver entièrement nu également. Profitant de cette pause, ses doigts attrapèrent mon paquet en me disant que mon corps lui plaisait beaucoup. Sans plus attendre, il se pencha et prit ma queue en bouche. Un homme sait dinstinct ce quil doit faire et mon membre glissait entre ses lèvres.
Il soccupa de longues minutes à me sucer, mavouant quil nimaginait pas que cela distendait autant la mâchoire, mais quil appréciait. Je retournais le pomper en y mettant toute mon âme et Guy devenait plus expansif, commentant volontiers ce quil ressentait et ce quil voyait. Ses yeux, comme ses mains dailleurs, pointaient vers mes fesses nues, lisses et bronzées. Il les écartait en me disant que javais un très beau cul, quil mavait bien observé quand jétais descendu me baigner ou pendant que nous discutions. Je linvitais à y plonger ses doigts, mimaginant que cela précipiterait sa jouissance...
Elle te plaît ma queue ? demandait-il, prenant de lassurance, ou voulant être rassuré.
Oui, elle est grande et bien épaisse, jadore. Jai hâte de goûter ton sperme !
Hummmmm... pas si vite ! Tes fesses me font envie !
Tu as des capotes ?
Non ! Mais jaimerais beaucoup essayer de te prendre.
Je navais aucune protection et ne me voyais pas faire sans. Pourtant, il soccupait très bien de mon séant, y mettant aisément deux doigts tout en me masturbant de sa main libre. Sa verge était si longue quil en restait assez à sucer, même lorsquil se penchait sur moi. Monsieur semblait très endurant, quel que soit le rythme de ma fellation, il ne donnait aucun signe de faiblesse, continuant à plonger ses doigts en moi.
La lumière baissait, mes maxillaires souffraient et Guy ne jouissait toujours pas. Il adorait se faire sucer goulument, chose que sa femme lui refusait, le trouvant trop gros pour sa bouche. Ça, je le comprenais bien, puisque jen souffrais à force davoir la mienne grande ouverte. Il insistait pour que je cède à ses avances... ses arguments eurent raison de ma bonne conscience comme de ma mâchoire. Sa voiture était spacieuse et confortable, mais il insista pour que nous en sortions.
Il mavait vraiment chauffé et jétais presque impatient de laccueillir. Tous deux contre laile de son véhicule, penché sur sa queue, je la salivais abondamment en toisant le beau calibre bien rigide que jallais recevoir. Moi qui adore les hommes bien montés, je disposais dun morceau de choix, avec de belles bourses bien pendues que je sentais presque déjà balloter entre mes jambes. On ne croise pas ce genre de sexe à chaque rencontre ! Ses mains flattaient ma croupe et à cet instant, je ne saurais dire lequel de nous deux était le plus en manque. Après avoir étalé un peu de ma salive sur lanus, je me penchais sur le capot en tenant mes fesses offertes. Jétais prêt, il posa son beau gland directement sur mon mignon.
Va doucement, sil te plaît. Tu es vraiment très gros, tu sais ? Je ne fais pas ça tous les jours !
Si tu as mal, jarrête. Guide-moi, tu es le premier...
Alors, viens, prends-moi lentement. Ouiiii... appuie un peu plus.
Comme je poussais, son gland me perforait, me pénétrant pratiquement du premier coup. Attentif à mes consignes, il simmobilisa une poignée de secondes avant de remettre un peu de pression. Pourtant habitué, javais la sensation dêtre écartelé et distendu à chacune de ses poussées, mais ne comptais pas marrêter en si bon chemin. Après quelques minutes, je lui demandais de ressortir pour quil crache sur mon anus, ce qui lexcita. Puis il replanta son arme entre mes fesses, saisit mes hanches et reprit un long va-et-vient. Je pris confiance, il ne chercha pas à menculer bien droit, mais réalisait un vieux fantasme. Il me parlait, se souciait de mon état, de mon plaisir, ne senfonçant davantage en moi que si je ly invitais, et jappréciais véritablement ce moment.
La chaleur de lair, combinée à celle du capot moteur, faisait déjà perler mon front, mais une petite voix me disait que je navais pas fini de transpirer, avec Guy. Son gros calibre allait toujours plus avant et pourtant, lhomme couvrait mon dos de sa poitrine venue. Il ne donnait aucun coup de reins, mais jouait de son bassin comme un violoniste joue de son Stradivarus. Ma main gauche vint étreindre sa hanche en signe daccompagnement, dadhésion. Je lui répétais quil me sautait trop bien et que jadorais sentir sa grosse queue en moi. Lui mavouait trouver mon cul divin, quil nimaginait pas prendre autant de plaisir au cul dun mec.
Labsence de capote, normalement indispensable, rendait cet accouplement formidablement jouissif. Il coulissait en moi sans échauffement, sans heurts. Lorsquil posa son genou sur laile, que ses mains se placèrent juste sous mes aisselles, je compris quil allait me servir les derniers centimètres de sa verge interminable. Un court instant, jimaginais les douleurs que peuvent ressentir certaines femmes lorsque lon bute leur matrice et pense que son épouse pouvait peut-être souffrir de tant dendurance avec de telles mensurations ! Mais je me cambrais au maximum et lui demandais de me faire sentir ses couilles contre les miennes.
Il variait de rythme, reculait, revenait poser son lourd paquet contre mon scrotum, tout cela en marrachant des râles de plaisir. Guy se révélait être un amant formidable, un Dieu de la bite disposant des clefs de ma jouissance. Sa sueur gouttait sur mon épaule et ruisselait de son pubis dans ma raie, provoquant les bruits caractéristiques dune partie de jambes en lair. Ma queue pendait contre laile tiède et maintenant poisseuse de sueur, mon amant menfilait de merveilleux coups de verge, mon rectum vibrait de toutes ses terminaisons nerveuses. Une énorme boule dénergie saccumulait sous ma vessie et je la sentis exploser de toutes parts. Je criais mon orgasme, les jambes tremblantes, le corps parcouru de frissons, lanus palpitant autour de cette puissante verge qui moffrait un véritable feu dartifice.
Je jouis magistralement, lâchant presque prise avec le monde environnant. Seuls les cris de mon amant me parvenaient de ce monde extérieur. Il jouissait à son tour ! Pour le monde intérieur, ses bourses plaquèrent les miennes, son ventre se décolla du bas de mon dos et son gland se mit à gonfler étrangement pour minséminer de longs jets de sperme. Je ressentis son éjaculation comme jamais auparavant, un peu comme lon ressent le vibreur dun téléphone portable dans sa poche. Guy déchargeait et cela me parut... long, bien plus long que mes amants prédédants. Pourtant, sa jouissance sajoutait à la mienne tant je la ressentis au plus profond de mon ventre.
Lorsquil simmobilisa, un silence que seuls nos souffles courts troublaient sinstalla, puis il se rallongea sur moi, comme éteint. Nos curs encore emballés mirent longtemps avant de retrouver leurs cycles standards. Après quelques minutes pendant lesquelles aucun de nous nosait parler, je sentais mon ventre se détendre, accompagné de drôle de gargouillis comme sa verge diminuait de volume. Ma poitrine glissait dans sa transpiration, Guy collait à mon dos, ma verge goutait encore les restes de mon plaisir physique. Quant au plaisir cérébral, jétais encore perché.
Dis-moi que je ne rêve pas, s'il te plaît ? parvins-je enfin à prononcer.
Tu ne rêves pas. dit-il en se redressant à peine.
Que cétait bon ! Ta queue en moi... wouaahh !
Ma main vint chercher le flanc de sa fesse pour la caresser respectueusement et le tenir en moi alors quil se redressait.
Reste encore en moi, jaime te sentir débander lentement. Tu as aimé me prendre ?
Jai adoré, mais je nai pas pu me retenir plus longtemps.
Tu plaisantes, jespère. Tu es hyper endurant ! Quel baiseur tu es. dis-je en serrant les fesses sur son membre. Tu mas fait jouir comme je nai plus joui depuis trèèès longtemps.
Il caressa mon dos en se disant flatté, massurant avoir énormément pris de plaisir et quil aimerait beaucoup remettre cela, si cétait possible. Je nen espérais pas plus. Puis, toujours avec délicatesse, il commença à se retirer ; mais je sentais une chaleur inhabituelle reculer en même temps. Lorsque, presque à regret tant jappréciais de le sentir en moi, il déboucha mon anus distendu par le puissant orgasme que je venais de vivre, une incroyable coulée de sperme quitta mon rectum, ruisselant sur mes cuisses et mes bourses. Guy mavait inséminé une quantité de foutre impensable, jusqualors inédite malgré le grand nombre de partenaires rencontrés. Je réalisais instantanément lorigine de létrange sensation perçue alors quà demi conscient, je trouvais cela presque exagéré. Javais derrière moi un phénomène, une perle rare.
Mais tu as déchargé un demi-litre ?
Jaurais dû te prévenir... dit-il dune voix penaude. Je suis assez... expansif.
Tu plaisantes ? Si tu jouis toujours autant, cest génial ! dis-je en maccroupissant devant son sexe pendant, mais pourtant encore long et large.
Tu sais, ce nest pas tous les jours sa fête !
Son gland encore renflé retenait toujours son prépuce lorsque je lenfournais entre mes lèvres. Je savourais ce sexe dépassant tous mes espoirs de drague, encore imprégné du goût de sa semence. Les genoux écartés, je sentais le frais pénétrer mon anus quelque peu fiévreux de ses assauts, duquel gouttait encore du sperme tant il me lavait ouvert et rempli. Je nettoyais ce sexe avec des mouvements amples et respectueux, un peu comme un cavalier flatte son cheval en sueur lorsquil vient de remporter une coupe. Bandée comme débandée, elle était tout aussi bonne et volumineuse. Ses doigts dans mes cheveux trempés de sueur, il se laissait faire docilement, soufflant même un peu quand je gobais ses belles couilles poilues.
Mon forfait terminé, nous nous sentions si bien, tous deux appuyés à sa voiture, dans le calme sécurisant de cette clairière et la fraîcheur relative de ce début de soirée. Notre suée séchait, nos organes se remettaient de leurs émotions et lambiance était au dialogue. Il voulait savoir, comprendre, comparer...Il mexpliquait se sentir libéré davoir osé franchir le pas après des mois, ou plutôt des années de questionnement. Je lui répondais comprendre ses envies secrètes ainsi que le poids de tels désirs. Mais il fallait également comprendre que Madame navait peut-être pas la capacité physiologique de gérer un organe de cette dimension ! Il acquiesçait, argumentant que de toute façon, le dialogue était difficile avec sa femme, quelle se braquait aisément et pouvait refroidir un régiment en quelques mots. Lui restait alors son jardin secret... et son poignet droit. Je réalisais à quel point ma copine me correspondait, même si ce soir, je craquais pour ce beau mec.
La pénombre sinstallait et pourtant, ni lun ni lautre nétions pressé de nous rhabiller. Jallais chercher une cigarette dans mon short et revins à côté de lui. Dieu quelle était bonne, cette clope ! de ma main libre, je saisis sa queue et la caressais tendrement.
Tu viendrais chez moi ? risquais-je, la tête pleine de projet pour mon nouvel ami.
Pourquoi pas. Jai confiance en toi. Mais...
Mais ?
Je me sens à laise avec toi. En fait, jaimerais bien essayer dautres choses avec toi.
Comme quoi ?
Comme inverser les rôles. Te sucer... que tu me prennes...
Tant que tu nas pas des lubies sadomasochistes ou lenvie de me travestir, aucun problème ! Et si lenvie de réitérer lexploit que tu viens de me faire vivre te reprend, je suis ton homme. Tu mas si bien pris !
Comment refuser ! conclut-il en passant sa main sur mes fesses.
Prêt à te recevoir quand tu le désires !
Deux doigts trouvèrent mon trou et y entrèrent sans trouver la moindre résistance. Je tirais sur ma cigarette en grognant de plaisir. Comme il persistait à me doigter, la laissais tomber pour me pencher sur sa queue. Je laspirais et commençais une fellation appuyée dans lespoir de le refaire bander. Sa main glissa hors de mon anus pour descendre saisir mes couilles à pleine main, les serrant fort. Lhomme était un chaud, remettre le couvert nétait pas insurmontable, pour lui.
Javalais cette queue qui rapidement gonflait en lui tenant également les couilles. Il sentait le stupre et mon nez dans ses poils, je mexcitais déjà à lidée den reprendre quelques bons coups. Je neus pas à le sucer longtemps pour quil bande assez. Avidement, je dirigeais son vît entre mes fesses en linvitant à sy introduire. Son sperme mavait si bien lubrifié quil me pénétra dun long trait continu.
Ooooohhhhh, ce que tu mencules bien ! feulais-je, mes mains prenant appui sur la voiture. Cest trop bon, remets-la-moi, s'il te plaît.
Docile, il ressortit entièrement pour repointer son gland contre ma petite porte, et poussa de nouveau jusquà venir buter contre mes fesses.
Je ne pensais pas que ce puisse être si bon, chuchota mon amant dans mon dos. Ta façon daimer ça me fait envie !
Alors, filons chez moi, nous serons mieux dans un lit.
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