Il Faut Toujours Aider Son Prochain (Ou Sa Prochaine) !

Petite pause dans les récits de mes aventures avec Françoise pour vous raconter ce qui m’est arrivé aujourd’hui…

Comme il faisait beau, je suis allé au travail à pied. Je finissais tôt aujourd’hui. Sur le retour, dans une côté, je remarque un camion de livraison avec un livreur bien embêté avec ce qui semble être un énorme frigo à livrer.
La maîtresse de maison est là aussi et essaie d’aider mais en vain. A cause de la pente, il y a un escalier assez retors à franchir. Impossible de le faire seul et la dame est visiblement trop menue pour aider correctement le livreur.

J’allais passer mon chemin (après tout, j’ai bien d’autres chats à fouetter) quand le livreur m’a interpelé.
_ Hé ! Monsieur… Ça vous gênerait de nous donner un coup de main pour faire entrer le frigo chez la dame ?
_ Euh… C’est que je suis un peu pressé… Vous avez pas un collègue pour ça ?
_ Non, il est malade, je pensais pas avoir besoin de lui… C’est ce fichu escalier qui bloque tout. On en aura pas pour longtemps…
_ Bon, ok…
La dame me remercie et me débarrasse de mon sac. Le livreur prend position pour prendre le plus gros de la charge et je prends le reste. Madame nous aide en guidant le frigo. Au final, nous mettons bien 5 ou 10 minutes à faire passer ce fichu frigo. Mais ce n’est pas fini, il faut aussi sortir l’ancien. Cinq bonnes minutes de plus.
Vu la chaleur et les efforts fournis, nous sommes en sueur. Notre hôte nous propose alors un rafraichissement que j’accepte volontiers. Le livreur décline l’offre, il est en retard…
_ Installez-vous dans le fauteuil, j’arrive avec quelques boissons, vous l’avez bien mérité.
_ Je ne veux pas r, je vais juste boire un peu avant de reprendre ma route…
_ Pensez-vous ! Installez-vous et prenez votre temps.
Elle disparait dans la cuisine ce qui me laisse le temps d’observer le salon. Un peu en désordre, un peu bohème. Simple mais propre et vivant… Elle revient après un temps plus long que nécessaire, chargée d’un plateau sur lequel sont disposées différentes boissons, de la glace et des serviettes.

J’en profite pour la détailler un peu. Assez jeune (30-35 ans), blonde, je la devine un peu forte mais pas trop. Difficile à dire, elle porte une robe de chambre par-dessus ce qui semble être son pyjama. Malgré l’heure tardive, elle donne l’impression d’avoir été réveillée par le livreur.

Elle pose le plateau sur la table basse.
_ Je vous sers quoi ?
_ Une bière, ça ira très bien.
_ Tenez…
Elle me sert et se sert à boire également, un simple verre d’eau, mais reste debout à côté de la table basse, en face de moi…
_ Rien d’autre ? Après tous ces efforts, vous méritez autre chose qu’une simple bière, non ?
_ Non, non, merci… Je n’ai pas trop le temps et puis avec cette chaleur, je n’ai pas très faim…
_ Qui vous parlait de manger ?
En disant cela, elle s’approche de moi et fait tomber sa robe de chambre, révélant son pyjama : un simple ensemble short/t-shirt assez sexy sur elle et dévoilant un corps plus que bien fichu, bien plus joli que ce que ne laissait présager sa robe de chambre.
_ Euh… La proposition est plus que tentante mais je suis marié…
_ Zut… Et vous êtes fidèle ?
_ Jusqu’à preuve du contraire, oui. (Ce n’est pas vraiment un mensonge, pas vrai ?)
_ Vous pourriez au moins bénéficier de la jurisprudence Bill Clinton, non ?
_ C’est-à-dire ?
_ D’après son procès, se faire sucer n’est pas tromper.
_ Un peu hypocrite, non ?
_ Totalement… Mais légal !
Sur ces mots, elle s’agenouille à mes pieds et, profitant de ma stupeur, elle ouvre ma braguette et sort mon sexe encore mou (lui non plus n’a pas eu le temps de réaliser) et commence à l’embrasser et à le lécher.
Très vite, il prend du volume et elle commence à le branler doucement alors que je me débats faiblement pour sortir du fauteuil…
_ Allons… Juste une petite gâterie, ça ne vous fera pas de mal !
Quand elle commence à me sucer franchement, j’abandonne définitivement le combat et m’enfonce dans le fauteuil pour profiter des talents de… je ne connais même pas son nom !
Ma queue gonfle, durcit… La bougresse sait y faire et y prend beaucoup de plaisir. Je la vois se caresser la chatte, la mais sous le short de son pyjama…
Mon sexe n’a rien d’exceptionnel. En particulier, il n’est pas spécialement gros, loin de là… Par contre, je suis très endurant. Aussi jouit-elle avant moi, poussant de petits cris, s’arrêtant de me sucer mais tenant fermement mon membre dans sa main, l’écrasant presque…
_ Oh ! Et puis assez d’hypocrisie ! J’en veux plus et j’ai mal à la mâchoire de toute manière !
Elle prit alors un préservatif de sous les serviettes qui se trouvaient sur le plateau et me l’enfila prestement. Je ne pensais plus à ma débattre ou à la contredire depuis longtemps. Si jouir dans sa bouche ne m’aurait pas déplu, j’espérais bien pouvoir profiter de sa chatte au fond de moi…
Elle se releva alors, m’enjamba, écarta légèrement son short trempé et s’empala sur ma queue, commençant à me baiser sauvagement !
Je ne savais plus où donner de la tête. Ses seins, gros et fermes se dérobaient à moi derrière son t-shirt auquel ils imposaient un mouvement des plus excitants tandis que je n’avais qu’une envie : voir sa chatte que je n’avais qu’entre-aperçu au moment où elle avait écarté son short.
D’une main, je soulevais donc sur t-shirt et plongeait ma tête entre ses seins, respirant sa forte odeur de transpiration et de femme en chaleur… De l’autre, j’écartais son short et passait ma main dessous pour lui caresser la chatte que je devinais en ticket de métro. Je continuais ainsi à lui caresser le clito tout en lui léchant les seins, pinçant ses tétons entre mes lèvres… Le tout au rythme du claquement de ses fesses sur mes cuisses.
Ma résistance a des limites. Au bout de quelques minutes de ce traitement, alors qu’elle allait jouir à nouveau, je ne pus me retenir et j’éjaculai avec force. Mon premier jet déclencha chez elle son deuxième orgasme et je la sentis se contracter autour de mon vit, bloquant les jets suivants qui sortirent par vague, apportant à chaque fois, pour nous deux, un nouveau spasme de plaisirs.

Elle resta ainsi, contre moi, en sueur, pendant quelques minutes avant de se relever et de me libérer. Mon sexe était redevenu mou et gluant du sperme qui s’écoulait du préservatif. Elle retira celui-ci, se pencha pour me nettoyer de sa bouche… Peut-être espérait-elle que je me remette à bander mais j’étais trop épuisé pour cela… Je lui dis donc au revoir et repris mon chemin.

Il faudra que je pense à rentrer à pieds plus souvent…
Et que je pense à lui demander son nom tout de même…