En Avril, Découvre-Toi D'Un Fil...
Depuis le mois de mars et mon « dépucelage », ma relation avec Françoise sest un peu refroidie. Elle sent bien que je nai guère goûté sa plaisanterie de la dernière fois, même si javoue avoir pris mon pied (et pas quun peu). La méthode ne me plait pas.
On arrive donc au début du mois davril. Je reçois un message de Françoise me disant de me débrouiller pour prendre ma journée de jeudi, que je ne le regretterai pas. Quelle allait se faire pardonner. Je dois me rendre chez elle. Sans en parler à ma femme, ça ferait beaucoup
Je ne sais que faire, je la fais mariner un peu. Jai le droit après tout. Au fond de moi, je sais que je ne vais pas résister. Je jouis déjà tellement en temps normal avec elle
Alors si elle doit se faire pardonner
Sans rien en dire à ma femme, je prends donc ma journée de jeudi et je me rends chez Françoise après quelle a déposé sa fille à lécole.
Françoise ouvre la porte, elle est splendide. Profitant des premiers beaux jours, elle porte une robe longue et blanche, légère mais pas transparente cependant, avec un joli décolleté. Elle a déjà son sac en main.
_ Où va-t-on ?
_ Au parc. On prend ma voiture.
Le parc est à 5 minutes à pieds. Mais ce nest visiblement pas celui-là vers lequel nous nous dirigeons.
Le trajet se passe bien. Quand elle le peut, Françoise me caresse lentre-jambe qui est déjà tendu dans mon pantalon. Elle me laisse lui caresser les cuisses, remonter jusquà sa culo
non, elle nen porte pas ! Passée la découverte, elle minterdit, par jeu, dy revenir. « Sois sérieux, on va avoir un accident ! »
Nous arrivons enfin en milieu de matinée. Le parc est assez près pour ne pas prendre trop de temps pour en revenir, assez loin pour que nous ny croisions personne de connu. Elle a bien choisi le lieu.
Il fait beau. Il y a du soleil et il fait chaud. Mais pas trop. Le temps idéal quoi. Nous nous entrons dans le parc. Françoise semble savoir où elle va.
Elle sassoit, sallonge même. Je mallonge à côté et commence à la caresser. Elle me rend mes caresses, se tourne vers moi et membrasse. Elle membrasse comme jamais elle ne lavait fait avant. Un baiser passionné, fougueux, amoureux.
Profitant de ma surprise, elle roule sur le côté, sur moi, me chevauche. Alors quelle me domine, assise sur moi, sa longue chevelure tombant presque sur mon visage, elle murmure : « je suis désolée pour la dernière fois
Je sais que tu as pris ton pied mais je sais aussi que tu nes pas content de la méthode. Jai compris le message, je ne veux pas te perdre, je ne le referai plus sans ton accord. Et en attendant, aujourdhui, cest ton jour. Je vais moccuper de toi. »
Elle passe ses mains sous sa robe qui sétale tout autour delle, sur moi. Elle ouvre mon pantalon à labri des regards lointain et sort ma queue, raide, de mon boxer. Elle la branle tout doucement en regardant à droite et à gauche pour vérifier quil ny a pas de curieux. Elle se soulève alors, se tenant sur les genoux, et se décale un peu. Quand elle se rassoit, elle sempale sur mon sexe tendu.
Hors de question de faire de trop grands mouvements ici, les premiers voyeurs potentiels ne sont pas si loin que ça
Et il y a potentiellement des s.
Françoise commence donc à bouger tout doucement autour de mon membre. Mais surtout, elle contracte tous les muscles de son vagin pour menserrer la queue, la masser de lintérieur. Elle est experte dans ce domaine. Le plaisir que je ressens est exquis. Je commence à gémir, à pousser un râle de plaisir. Elle pose un doigt sur mes lèvres en disant « chut ». Elle ferme les yeux, tout à son propre plaisir.
Elle masse mon gland, ce qui lui procure visiblement bien des sensations à elle aussi. Elle est si belle quand elle jouit comme ça, la situation est si excitante
Je jouis en elle, fort, de larges jets de foutres inondant son vagin
Jai peur dêtre venu trop tôt mais je vois à son visage, je sens à ses contractions que ce nest pas le cas. Elle se force juste à retenir son orgasme pour rester plus discrète.
Nous restons comme cela quelques temps. Puis elle se lève, sa robe reprenant instantanément sa place, elle est prête. « Tu ferais bien de te rhabiller ! On va finir par te voir ! »
Je suis en effet la queue à lair, dégoulinante de sperme. Mon pantalon est de toute manière trempé de sa mouille. Je me rhabille précipitamment, un peu nimporte comment, et je me lève, cachant lénorme tache avec ma veste. Nous retournons à la voiture.
_ Cétait mon fantasme « le faire en extérieur », cest ça ?
_ Oui, ça ta plu ?
_ Aussi bien que je pouvais lespérer.
Nous montons en voiture. Je minstalle côté passager, même si je ne suis pas très à laise avec mes vêtements mouillés et remis en ordre à la hâte.
_ Tu as besoin de quelque chose ? Tu veux te rajuster ? Dit-elle en souriant.
_ Jaurais besoin de quelque chose pour me nettoyer
Tu nas pas du sopalin ou des lingettes ?
_ Attends, fais voir
Elle ouvre ma fermeture éclair et sort ma queue poisseuse.
_ Je nai rien pour lessuyer mais bon
Elle se penche vers moi et commence à me lécher la bite. Consciencieusement, elle me nettoie, avale mon sperme et ses propres fluides. Mon sexe est bientôt propre mais surtout dur à nouveau. Je jette des regards inquiets par la fenêtre de la voiture. Nous sommes sur le parking après tout
Désert mais tout de même
Me sentant bien dur, elle me suce, mon pompe, me branle. Je vois ici quelle ne cherche pas à se faire plaisir. Je la sens au contraire toute à la recherche de ma propre satisfaction. Et elle sait y faire.
Instinctivement, je prends sa tête dans mes mains, la colle contre mon bassin
Je la sens aspirer la moindre goutte de mon jus, lavaler sans rechigner. Ma queue ramollit déjà mais elle continue à me sucer, à me traire
jusquà la dernière goutte, laissant ma queue propre.
Elle la range dans mon pantalon, ferme ma braguette. « Alors ? Je me suis fait pardonnée ? »
Elle démarre. En sortant du parking, je remarque un type assis au volant de sa voiture. Il ne devait pas être loin de nous. Il me sourit et me fait un signe de la main.
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