Je Vous En Supplie... Prenez-Moi Monsieur...
Alors que je rechargeais la table dhonneur de nouveaux plats damuse gueule, une femme passa si près quelle faillit emmener avec elle la nappe. Par pur réflexe mon regard se porta sur son fessier. Il était gainé dans un pantalon en stretch de couleur noire qui le mouler comme une seconde peau. Dessous, je navais aucune peine à imaginer sa raie sans doute moite. Tout cela me donner comme une bouffée de chaleur. Il métait impossible de mempêcher de le regarder. Avec le plus vif des intérêts, prenant pour ça le risque de me faire surprendre. À en être même submergé par une envie de le voir sans sa protection.
Et ce qui devait arriver, arriva. Se sentant observée, elle fit partir son regard à la rencontre du mien. Je gardais sans pudeur, mes yeux rivaient sur elle.
Je décernais une rougeur envahir ses joues. En même temps elle semblait en proie à des hésitations. Elle se mit à arpenter la salle tout en me jetant de vifs regards, sourcils froncés. Elle se retira sa veste. La toile de son chemisier était si légère, que je devinais les pointes de ses seins dessous. Très relevées. Une chaleur très connue, commençait à me chatouiller les couilles.
Elle nétait pas à proprement parler, un canon, mais elle dégageait quelque chose de troublant. Au fil des minutes, je décelais quelle me provoquait sciemment. À travers ses regards intéressés. Sachant parfaitement ce quelle faisait. Cette femme respirait le cul. Elle était dotée dun magnétisme sexuel hallucinant.
Dès lors lattitude de cette femme nétait pas pour me déplaire. Ajouté à son comportement faussement provocant, elle pouvait faire tourner la tête de nimporte quel homme.
Seulement, le fait-elle dans un but uniquement distrayant ou pour consommer du mâle ?
En ondulant du fessier, elle se déplaça jusquà une rangée de chaises à une vingtaine de pas de mon poste de travail. Me tournant le dos, elle posa sa veste sur le dossier et son sac sur le siège.
délibérément ou pas, elle fit tomber un mouchoir. Qui alla finir sa chute sur le parquet près de ses escarpins de couleurs noirs. Afin de sen saisir, elle se pencha doucement en prenant bien soin de garder les jambes tendues.
Putain ! Je ne sais pas ce qui ma retenu daller magenouiller derrière, et de lui manger le cul à travers la fine étoffe.
Une fois le mouchoir récupérait, elle se redressa, tout en faisant pivoter la tête vers ma direction, sassurant que javais bien assisté à sa petite exhibition. Sourire aux lèvres, elle referma son sac et savança jusquà moi.
- Bonjour madame, fis-je, reprenant ma fonction de serveur modèle. Je vous sers quelque chose.
- Oui sil vous plaît, un jus dorange.
Je pris la carafe et emplis un verre devant moi. Elle se tordait les doigts. Je songeai à son sexe sous son pantalon. Ma bite commençait à tendre le tissu de mon jean.
- Puis-je vous demandez où se trouvent les toilettes. Me lança-t-elle.
Je relevais mon regards pour apercevoir ses seins se soulevèrent. Elle me fixait avec intensité.
- Je mexcuse madame, mais il ny en a pas.
- Oh ! Mais cela est très ennuyeux ! Fit-elle, en se saisissant dun éclair au café, quelle porta à sa bouche.
- Oui, je sais bien madame.
Tout en mâchouillant la pâtisserie, elle me regarda par en dessous. Un silence passa. Alors, je compris. La coquine cherchait un moyen à misoler avec elle. La femme forçait le trait. Ce qui suivit méclaira.
- Soyez gentil monsieur. Il faut vraiment que vous me trouvez des toilettes.
Je respirai plus vite, ma pine salourdissait de plus en plus.
- Et vous, comment faites-vous ? Répliqua-t-elle en portant son verre de jus de fruit à ses lèvres, et den boire une gorgée pour faire passer la pâtisserie.
Je ne savais pas trop quoi répondre.
- Je ne pisse jamais...
Cela la fit bien rire. Puis elle prit le rôle dune petite môme rigolote, pour mieux me confesser :
- Cest que monsieur, je ne peux plus me retenir. Je fais faire pipi dans ma culotte
fit-elle, me surveillant du coin de lil tout en suçant du bout de la langue la crème pâtissière à larôme café qui séchappait du restant de léclair quelle tenait entre ses doigts.
Au fil des secondes, je nétais plus contre une petite escapade vite et bien fait, sans lendemain. Il fallait que je prenne une décision, et vite. Avant quelle se désespère et quitte les lieux, pour chercher une proie plus facile ailleurs. Je jetais un coup dil circulaire dans la salle pour m'informer du nombre de personnes restantes. Jen dénombrais une dizaine. Loin de se préoccuper de ce qui se tramer entre cette femme et moi.
- Venez, suivez-moi je vais vous conduire.
- Oh cest gentil. Je vous en remercie.
Je précédais la femme, pour la guider à travers les couloirs, jusqu'aux toilettes.
- Je compte sur vous pour rester dans les parages, jeune homme. Fit-elle avant de sengager dans le réduit. Je ne voudrais pas me faire réprimandé du fait que je nai rien à faire dans las parages.
- Non ! Madame, faites moi confiance. Vous ne risquez rien. Personne ne vient par ici.
- Ah oui ! Répondit-elle. Vous me réconfortez.
Son regard fixé au mien, sembua, avant de disparaître derrière la porte. Je mapprochai de cette dernière et collais mon oreille à la paroi. Je lentendais baisser son pantalon et sassoir sur la lunette. Je lécoutais faire pipi. À gros bouillant, jusquà ne plus être que goute à goute avant de se tarir. Puis plus rien. Comme si elle sétait endormi sur le trône. Sen suivit un froissements de vêtements. Ma première pensée fut quelle se rhabiller. Pour ne pas me faire surprendre derrière la porte, je méloignais de celle-ci, sans pour autant quitter la pièce.
- Cela vous intéresse ? Fit-elle.
Les hostilités étaient lancées. Javais chaud aux joues. Sans répondre, je me suis empressé de men saisir. Je lai scruté quelques instants. Cherchant lendroit où son sexe avait copulé avec le tissu. Je navais plus quà la portée à mon nez. Lhumant bruyamment, pour quelle mentende.
- Au lieu de vous excitez avec ma culotte, venez plus tôt me rejoindre.
Je poussai la porte et hormis lodeur âcre, je la découvrais assise nue sur le trône, jambes largement écartées. Ses vêtements pendaient sur la poignet de la fenêtre. Elle détenait des seins ronds, avec de belles auréoles sous ses tétons bandés. Malgré sa position assise, jai pu admiré son buisson pubien très long et très étroit montant verticalement vers le ventre et rompant sur les aines. Ses lèvres secrètes étaient légèrement saillantes comme deux langues roses gonflées. Ses cuisses étaient en revanche étonnamment puissantes, larges et musclées. Sa voix se fit tendre :
- Je vous excite, monsieur ?
- Oui, dis-je, la voix rauque.
Il men fallait pas plus pour misoler avec elle. Fermant la porte, la verrouillant ensuite.
Sans perdre une seconde, elle dégrafa ma ceinture, puis ouvrit mon pantalon et sortit mes parties sexuelles de mon slip. Ma queue était dur à mon faire mal. Elle sen empara et fit coulisser la peau dun geste quelle maîtrisait parfaitement.
- Vous voulez que je vous branle. Ou alors
préférez-vous que je vous suce.
- Je vous laisse choisir. Jaime tout
- Ou préférez-vous me la mettre
me baiser.
- Comme madame voudra
Elle me masturba doucement, avant doffrir à ma verge ses lèvres. Je sentais son souffle chaud sur mes couilles. Je me laissais conduire, immobile. Elle fit tourner sa langue autour de mon gland tout en serrant mes couilles gonflées à pleines mains.
Puis pour mon plus grand désarroi, elle me recracha. Puis se leva, moffrant son dos. Elle se pencha, la tête en appui sur le réservoir du toilette. Son cul de jument tendu vers moi. Rond, ferme tendre. Avec laide de ses mains, elle sécarta ses sphères. Je fis connaissance avec son anus, quelle me létala, béant, luisant. La coquine avait pris le temps de ce la lubrifiée. Et tranquillement, me proposa :
- Monsieur
veut-il menculer...
Entendre des mots aussi crus dans la bouche de cette femme, fut un choc qui sur le coup, me stupéfia.
- Quattendez-vous ? Ça vous dégoûte ? Me lança-t-elle, en me prenant ma main, quelle posa sur son ventre, minvitant à la toucher. Jeffleurais la fente du bout de mes doigts. Tartinaient ses grosses lèvres de son propre jus. Les bourrelets de chair se ramollissaient, puis se lubrifièrent deux-mêmes. Jempaumais tout le con, malaxais les chairs, pinçais les grandes lèvres.
Elle se mit à dandiner de la croupe en laissant échapper des gémissements sourds. Jeffleurai lanneau de lanus. Avec le gel, il était encore plus doux, presque mou. Jy enfonçais mon pouce entièrement. Elle poussa un cri outragé. Ses fesses se crispèrent pour comme pour rejeter lintrus, puis se relâchèrent pour laccueillir.
Je crus que jallais éjaculer, tant la situation était excitante. Je me reculais un peu pour profiter de la toile. Tout en se touchant, elle fit pivoter sa tête dans ma direction, sinquiétant de mon inaction. Elle madressa un clin dil égrillard.
- Quen vous voulez
je mimpatiente
Cela me fit cabrer la queue. Que je pris dans la main et la posais sur sa rondelle. Elle me fixait toujours. Je lenfilai dune avancée de reins rageur. Elle couina. Je plantai mes doigts dans ses hanches, mon ventre claqua contre son cul. Jahanais. Je me mis à limer mécaniquement, comme un robot, dans un rythme lent. Elle gémissait, hoquetait, plaquait son cul contre mon ventre, venait furieusement à la rencontre de mes coups de bite. Elle s'ouvrait avec une facilité déconcertante.
Puis peu à peu, jaccélérais mes mouvements. La sodomisant de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ses gémissements mincitaient à continuer dans cette voie. Son petit trou était bouillant, soyeux. Elle mappartenait totalement. Elle ondulait, se cambrait, tortillait son postérieur. Cette femme était de la dynamite.
Je glissais ma main sous son ventre et y rencontrai la sienne, en pleine activité. Elle fut très vite agitée de petits spasmes, puis jouit. Elle sécroula sur le bidet, inerte, muette, livide et vidée. Ma verge fut expulsée hors de son nid douillé.
Son anus resta bien ouvert. D'un rouge foncé. Magnifique, bien écarquillé palpitant, luisant. Sans que jai eu besoin de guider ma queue et sest de nouveau ancré dans lanus de la femme. Chaque mouvement de ma verge faisait naître un frisson de plaisir qui se propageait en elle. Alors que mes couilles fessées ses fesses.
Cétait seulement quand je sentis que je ne pourrais plus pouvoir me retenir que jaccélérai brutalement les va-et-vient. Exactement au moment où il le fallait, puisque la femme fut comme saisie de convulsions. Sa bouche souvrit sur un long cri. Puis elle simmobilisa de nouveau sur le bidet, vaincue. Les yeux clos, paraissant sêtre endormie.
Elle me donna la culotte avant de quitter le réduit. Jétais excité à la pensée quelle se mouvait nue sous son pantalon. Un violent désir de me branler avec son slip me détournait de lenvie de retourner dans la salle
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