Gaëlle Et Régis - 2 Une Autre Fille Entre Dans La Danse
Gaëlle écrit :
Comme vous avez apprécié le récit de Régis, je vais essayer de ne pas vous décevoir. En ce qui concerne les tenues cuir et certains accessoires, ils arriveront. Mais nous essayons de respecter la chronologie de sa soumission. Or au début, nous nutilisions que des liens et le gode strapless. En relisant notre premier récit, je me rappelle comme ma volonté de ne pas lui faire de mal était présente bien que je ne me rendisse pas compte comme les bras attachés derrière le dos et tirés vers le haut pouvaient être douloureux. Heureusement, Régis sest accoutumé à cette souffrance et finit par men demander davantage. Enfin, rappelons que les jours où il nétait pas soumis, il avait droit à des rapports sexuels « normaux ». Il est vrai que dès sa première sodomie (et même avant), je lui ai interdit déjaculer. Ceci uniquement pour exacerber sa libido qui nen avait déjà pas besoin. Son sperme ne sécoulait que lors de mes saillies tous les trois jours. Je voulais un beau male bien viril mais soumis.
Puis, jai voulu que cela se sache. Régis devait être soumis et connu comme tel par tous. A cette fin, jai dabord fait entrer dans la confidence notre amie Isabelle et peu de temps après son mari Christophe.
Cela fait maintenant 20 jours que je lai sodomisé pour la première fois. Depuis lors, je le prive déjaculation classique et pratique sur lui au moins deux edgings par jour.
Nous sommes samedi soir et jai décidé de le soumettre. Je sens quil lattend afin de pouvoir émettre un peu de sperme car je lai rendu complètement dépendant. Il est devenu une vraie salope qui nattend quune chose, être tringlée par sa femme et, je ne boude pas mon plaisir, jaime cela. Il veille à la tenue de la maison et à son hygiène comme une pro qui attend son client.
Vers 18H00, je lui envoie un SMS. « Prépare-toi comme dhabitude ! » Par après, il ma avoué quà la lecture de celui-ci, sa queue sest dressée dans son pantalon.
Jai débuté comme dhabitude. Il mattendait, nu, sur le canapé. Je suis rentrée, lai inspecté, bandé les yeux, conduit dans la chambre, menotté les mains derrière le dos, attaché les chevilles fortement écartées afin quil me présente son cul bien ouvert, attaché les mains à un anneau au plafond afin de lui tirer les bras vers le haut, lubrifié et abandonné afin de laisser le plug le dilater.
A mon retour, une demi-heure plus tard, je lui ai déclaré : « Aujourdhui, je tenlève le bandeau. » Régis ma expliqué quil lavait regretté car il appréciait la dépendance que celui-ci induisait. Ne pouvant voir ce qui allait lui arriver, il se sentais encore plus soumis. Je lui enlève le plug et le pénètre confortablement. il ne reconnais pas mon gode-ceinture. « Vous avez changé quelque chose, Madame ? » « Oui. Je suis passé du 19cm au 25cm. Cela te plait-il ? » « Oui Madame. Je me sens encore plus soumis, dominé, vaincu. »
Je commence mes mouvements et quand il perde le contrôle, jordonne : « Entre ! » Il est dans la plus humiliante de positions et je fais entrer quelquun. Il regarde la personne contourner le lit. Il ne voit que sa taille. Cest une femme qui porte un gode-ceinture. Elle se place en face de lui, se saisit de ses cheveux et lui lève la tête rendant encore plus douloureuses les tractions exercées sur ses bras par ses liens. Isabelle. Cest Isabelle. Il reconnait sa collègue enseignant la chimie au collège. Il est pétrifié de honte quelle puisse le voire ainsi. Je choisis ce moment pour lui infliger des mouvements amples qui font apparaitre une longue perte de sperme qui balance au rythme de mes coups de boutoir.
« Mais quil est beau ainsi le Régis. Et il adore ça, être pris par le cul. Il en perd son sperme sans éjaculer. » Il est mortifié mais sais quil est complètement dominé. Il na aucune issue. Il doit accepter.
Jémais un râle qui lui signale la fin prochaine de sa sodomie. Mais quand je me retire, Isabelle vient prendre place derrière lui et le prend à son tour. Je filme nos ébats. Isabelle se saisit de sa queue quelle branle vigoureusement. « Arrête Isabelle, Il ne peut pas éjaculer ! » « Mais il éjacule déjà. » « Non. Il perd du sperme. Ce nest pas pareil. Il ny a pas de jet. Il ne maitrise pas. Cest bien plus humiliant. » Isabelle reprend ses mouvements jusquà son orgasme. Nous le détachons. « A toi, Isabelle ! » « Lèche le sperme que tu as mis sur le drap ! Avale-le ! » Nous lenvoyons ensuite laver les godes et se laver le cul sous notre surveillance. Nous nous délectons de voir son sexe gouter partout. « Finalement, ce nest rien du tout un homme. 185cm, 90 kg de muscles et mis au pas par des petites bonnes femme de moins de 160 cm. » « Oui. Comme je te lai dit, il est expert en cunni. Tu veux en profiter ? » « Ouais. Je vais me coucher et prendre la pose. » « Allez ! Au boulot ! »
Il entreprend Isabelle. Je vois quil nest pas habitué au goût de sa chatte mais elle est fraîche. Il sapplique et trop rapidement elle jouit bruyamment et lempêche de lui pratiquer les douceurs post orgasmiques. « Tu devrais en profiter davantage. Regarde. Esclave ! Au boulot ! » Et, sous lil dIsabelle, je loblige à me de gratifier femme dun cunnilingus. Il a la langue endolorie lorsquenfin je laisse son orgasme exploser. Isabelle ne perd rien de mes dernières caresses bucco-génitales. « Maintenant, va faire le dîner ! ».
Connaissant mes désirs, il sen va, nu, dans sa cuisine. Nous le rejoignons rapidement.
Nouvelles messes basses. Je me rends à la cuisine et en reviens avec des glaçons que jai passé sous leau. « Face contre terre ! » Il obéit. Je lui pousse un glaçon dans le cul et laisse la place à Isabelle qui fait pareil. En quelques secondes son érection disparait complètement.
« Nous navons plus besoin de toi ! » Au moyen dune cordelette, je lui ligature les couilles, passe celle-ci dans un premier anneau que jai discrètement fixé à une poutre du plafond, tends la corde et la fixe par un nud à une second anneau placé sur un poteau vertical. Sous leffet de la traction, il plonge et met les mains au sol afin de diminuer celle-ci. Il a lai dun jouet rangé à la fin dune partie.
Je libère Régis et lui ordonne daller se coucher. « Puis-je me rendre aux toilettes, Madame ? » « Non ! Demain, après le petit déjeuner. » Je veux quil continue à perdre son sperme goutte à goutte.
Une fois couchés, je lai interrogé pour savoir comment il avait vécu sa séance. Je fus très surprise dapprendre que sil avait particulièrement apprécié le côté humiliant de celle-ci, il vivait comme un soulagement le fait que sa soumission soit maintenant connue hors de notre couple. Il me demanda dofficialiser davantage sont statut auprès de notre entourage.
Lensemble de nos amis se limitant à trois couples sans : Isabelle et Christophe, Anne et Marcel, Marie et Jean, je décidé dorganiser un déjeuner où ils pourraient constater le nouveau statut de Régis. La manière dont je projette la chose ne devrait pas les choquer, Anne et Marcel ayant déjà organisé une soirée de sexe en groupe sans échange.
La date fut fixée pour trois semaines plus tard.
Pendant ce temps, jinsistai auprès dIsabelle afin que dune part, elle utilise Régis pour son usage personnel et dautre part quelle informe leurs collègues de nos pratiques.
Grosse déception. Mis à part de légers étonnements, personne ne sest montré choqué. Au contraire, une certaine bienveillance voire protection sest installée envers lui.
Isabelle décida de pousser son avantage et de lui faire subir une séance hot and hard. Je lui donnai ma bénédiction. Celle-ci, filmée par huit caméras, fut visionnée lors du déjeuner.
Isabelle écrit :
Jai décidé de mettre Régis sous pression pendant la pause déjeuner et de massurer quil rentrerait en classe en perdant lentement son sperme dans son pantalon. Je lui fixai donc rendez-vous dans la réserve du laboratoire de chimie/physique. Une fois entré, je lui ordonne : « A poil ! » Il sexécute et en deux minutes il est complètement nu. Je lui installe immédiatement le Gag-Ball gonflable et lui menotte les mains derrière le dos. Un minimum de discrétion quand même. Je massieds et lui ordonne dapprocher. Je prends une bouteille dhuile pour bébé et lui en enduit les couilles. Je passe celles-ci, une à une dans lanneau de la cage de chasteté (modèle Little Flower L, tube 5,5 cm) dans laquelle je vais lenfermer. Puis, jy passe sa queue qui a déjà tendance à prendre de lampleur. Je lui décalotte le gland (très beau) et pose le tube que le fixe avec la serrure. Je jette la clé dans un récipient plein dacide. Il nen restera rien quand je le libérerai. Il proteste silencieusement. Jespère que Gaëlle se rappelle où elle a rangé la deuxième clé.
Si notre récit vous plait toujours et que vous désirez savoir ce que jai fait subir à Régis, faites-le nous savoir.
Nous vous remercions de vos réactions et commentaires à la suite de notre première histoire (Gaëlle et Régis - C'était un jeudi.)
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