La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°979)
Olivier au Château (Nouvelle saison, nouvelles aventures aux Château) - (suite) -
Olivier rougit et hésita mais Marie savait se faire obéir et gifla Olivier
Celui-ci comprit quelle était très sérieuse, il était très intimidé et sexécuta donc ne pouvant cacher un début dérection... Tout nu, nayant pas eu le temps de shabiller, il se mit à genou devant Marie marquant ainsi le début de sa soumission :
- Mais tu bandes, espèce de salope ! Une véritable lopette en chaleur ! Ca texcite hein !... Sache que ta faute est impardonnable, jai reçu des ordres stricts de la part de Monsieur le Marquis, comme tu tais comporté comme un chien souillant, tu vas vivre comme un chien, tu vas rester nu comme un vers, tu devras baisser la tête en toutes circonstances et surtout un chien obéit au Maître. Le Maître ici cest Monsieur le Marquis dEvans donc tu lui devras obéissance totale, tu vas devoir le démontrer tout de suite car je temmène le voir, je vais lui montrer ce que tu as fait de ses draps, espèce de porc...
Olivier comprit sa faute, il accepta son sort qui lexcitait tant, et savoura même son état de soumission. La gifle de Marie lui chauffait encore les joues. Nu et en érection, il quitta sa chambre tête baissée. Marie poursuivit :
- Sache quun chien loge dans un chenil, tu vas vite te rendre compte quici lobéissance est une règle dor. Mais pour linstant cest Monsieur le Marquis qui va te prendre en main, il tattend dans le petit salon, aller, à quatre pattes maintenant regarde ce que tu vas devoir porter : Un joli collier de chien, Monsieur le Marquis exige que toute personne se voyant qualifier de chien porte en permanence un collier montrant ainsi quelle est sa vraie place en ce Château.
Marie dun geste preste mit le collier à Olivier, celui-ci se trouvant à quatre pattes venait de perdre toute dignité mais il lavait bien cherché et même le souhaitait plus que tout car il savait pourquoi il avait voulu venir en ce Château et ce quil désirait vivre dorénavant, vivre cet état de soumission qui lexcitait tant
La rencontre avec Monsieur le Marquis dEvans se passa dans le petit salon, Olivier nu à quatre pattes fut présenté à Monsieur le Marquis.
- Bonjour Monsieur le Marquis, dit Marie : Ce petit porc à souiller vos draps cette nuit, je lai puni comme il se doit, cest donc maintenant un chien à dresser afin quil devienne digne de dormir dans le Chenil du Château...
Monsieur le Marquis dEvans sourit satisfait de voir que ce jeune Olivier avait rapidement compris que lobéissance était une vraie nécessité.
- Walter ma dit ton comportement dhier soir de la gare jusquà ton entrée dans Ma demeure. Et maintenant Marie me rapporte que tu as osé salir mes draps et je viens de te voir par la caméra de surveillance que tu tes de suite agenouillé à son ordre au lieu de te rebeller. Et aussi à la vue de ton érection évidente, ton besoin de soumission est donc une réalité certaine, tu ne peux le nier, salope !
Maintenant, si par malheur je me trompais, je te réitère une dernière fois, ce que Walter ta proposé avant dentrer au Château, à savoir que tu peux aller te rhabiller et quitter Mon Château là, tout de suite
On te paie le billet du retour sans souci. Je te donne 30 secondes pour choisir ta destinée
Après il te faudra te considérer comme Mon soumis à part entière et lobéissance la plus totale sera exigée
Un silence de plomb tomba après Ses mots. Olivier nhésita même pas une seule seconde et ne bougea pas dun poil, trop décidé de vivre ce qui lexcitait tant... Une fois les 30 secondes écoulées donc :
- Bien parfait, considère toi désormais comme Mon chien
Bien maintenant revenons à ta faute, sache que celle-ci, celle davoir souillé les draps est une grande faute, imagine si je faisais la même chose chez toi, tu comprends maintenant que tu seras puni pour cela, Marie na fait quappliquer mes règles de vie au sein de ce Château, mais il y en a dautres que tu vas rapidement découvrir, tout cela nest quun début
Il y a deux positions à prendre, la première cest de se tenir dorénavant à quatre pattes en toute circonstance. Et un chien qui doit montrer ses attributs doit se mettre à genoux jambes écartées et mains sur la tête, ça cest la deuxième position, tu as bien compris.
Olivier comprit ce que le Noble exigeait alors il se positionna à genoux jambes écartées et mains sur la tête. Dun regard hautain et Dominant, le Châtelain parcouru son corps, Olivier sentait cela et ne put sempêcher de trembler. Monsieur le Marquis appréciait cela, le moment où le chien se soumettait au regard du Maître provoquait toujours une réaction de crainte mais aussi de plaisir physique, Olivier se conformait en tout point à ce que lon peut attendre dun chien, craintif et bandant à la fois. Maintenant, le Noble allait pouvoir exploiter le potentiel à la soumission dOlivier et pour cela il était expert en la matière !
- Espèce de chien, sache que maintenant tu devras accomplir tout ce que je vais tordonner, en mon absence tu devras aussi obéissance totale à Marie et Walter, tu as compris, la lopette ?
- Oui, répondit Olivier sans hésiter malgré le sentiment craintif qui le parcourait
- Oui, qui ? reprit le Châtelain, sache que je suis le Maître de ces lieux et quen toute circonstance, tu dois me donner du Maître, donc jattends maintenant ?
- Oui Maître, répondit Olivier.
- Puisquon nous avons fait connaissance, tu vas me montrer si tu es un chien qui sait obéir, justement
Viens à Mes Nobles pieds !
Olivier à quatre pattes sapprocha, quand il fut aux pieds de Monsieur le Marquis dEvans, tête toujours baissé il entendit celui-ci se lever de son fauteuil. Sa main se portait à sa braguette et lestement, il sortit son sexe, le gland violacée apparut alors, Olivier tête baissé entendait tout cela ce nest quà lordre du Maître quil leva sa tête.
- Maintenant petite pute, pour ta punition tu vas venir me sucer ou plutôt je vais prendre possession de ta bouche de salope, comme jaime le faire avec des lopettes comme toi
Le Noble approcha son gland du visage dOlivier, dans un premier temps de son majestueux sexe, il tapota le haut du visage du soumis puis lentement fit glisser son membre vers la bouche dOlivier tout en ordonnant !
- Ouvre ta bouche, salope et maintenant goûte mon Divin Vit
Olivier obéit tout en sentant lodeur du membre du Châtelain alors sa bouche souvrit et le Noble dun mouvement de reins franc et régulier enfonça son gros sexe déjà à demi bandé dans cette bouche bien accueillante, humide et chaude.
- Bien petite pute, tu as compris ce que jattends de toi maintenant, une obéissance complète. Ta sexualité mappartient maintenant, Les mots intimité, honte, pudeur, gêne sont à exclure de ton vocabulaire car tu nas plus droit à tout cela. Donc ta bouche et ton anus sont Ma propriété exclusive, dailleurs je ne tarderai pas à venir éprouver la souplesse de ton trou. As-tu été déjà sodomisé ?
- Non, Maitre.
- Tu seras donc un met de choix pour ma soirée de demain, mais afin que mes Invités comprennent à qui tu appartiens, Walter va faire graver sur le collier que tu portes Mes Initiales MDE.
Marie tira alors sur la laisse et comme un bon chien Olivier suivit le mouvement, Marie le conduisit alors dans un grand couloir feutré de moquettes et tapis amenant à une haute pièce organisée avec des cages au sol et autres cages suspendues par de lourdes chaines au plafond, Marie ouvrit lune delle posée sur la moquette et dun signe de la main indiqua à Olivier où il devait entrer. Marie referma alors la cage à clé.
- Walter va tamener ton repas que tu mangeras dans cette gamelle en quadrupédie, mais pour linstant je vais tenlever ton collier pour que Walter le grave aux Initiales de Monsieur le Marquis dEvans. Sache que cest un honneur que te fais le Maître. Tu verras quil sait récompenser les chiens bien obéissants.
Marie prenant bien soin de prendre le collier quitta la pièce, laissant Olivier tout seul maintenant. Walter entra un moment après, bruyamment :
- Aller le chien, tu vas me montrer comment tu manges dans une gamelle !
Walter ouvrit la cage et jeta dans la gamelle un gruau composé de pâtes et de morceaux de jambon, Olivier attendit puis docilement sapprocha, comme un chien, il flaira le contenu et commença son repas sous le regard de Walter, celui-ci samusait de le voir faire.
- Sache que suivant ton comportement, Monsieur le Marquis te récompensera, pour linstant je te ramène ton collier gravé de Ses Nobles Initiales, mais tu verras que tu pourras obtenir des anneaux dor, signe de ta soumission absolue au Maître
Mais pour linstant Monsieur le Marquis ma ordonné de te soumettre à mon fouet pour juger de ton endurance, il ne veut pas dun chien rétif à sa soirée de demain. Monsieur le Marquis est expert au maniement de la cravache car il est un cavalier émérite
Il attend de Ses soumis un comportement irréprochable sous le fouet, cest-à-dire dêtre positionné de dos, debout, jambes écartées, mains sur la tête et surtout de ne pas émettre le moindre son, le moindre gémissement ou cri lors de la séance. Seul le Maître peut tinviter à prendre la parole. De plus quand tu sentiras le fouet ou la cravache sur ton corps, tu ne devras pas bouger et de tenir bien en place, sache que Monsieur le Marquis récompense toujours les soumis qui se comportent correctement, voilà les règles à suivre. Mais pour linstant cest moi qui vais constater que tu as bien compris, alors debout, la salope, je vais te cravacher !
Olivier obéit, il se mit prestement debout, de dos et mains sur la tête.
Je vais te cravacher cinq fois, mes coups seront gradués en intensité pour voir comment tu te comportes
Premier coup, Walter lança la cravache. Le coup fut porté sur le bas du dos dOlivier, et comme lavait promis le Majordome les coups suivants furent plus fort. Olivier se pinça les lèvres à chaque coup mais il constata quil prenait du plaisir à être corrigé, un sentiment de fierté de donner satisfaction au Maître sempara de lui, oui un vrai plaisir qui venait couvrir la douleur de la cravache. Son plaisir nétait pas que mental car il ne pouvait cacher limportante et subite érection, il bandait vraiment fort
Il subit les cinq coups et Walter fut content du comportement dOlivier, Monsieur le Marquis pourrai le corriger devant ses Invités, samedi soir. Olivier supportait bien la douleur, un vrai soumis masochiste ce chien, pour bander tout en étant dans la douleur du fouet ! Les coups avaient laissé sur le dos dOlivier de fines stries qui avait rougies la peau à cet endroit, le soumis savait que ces marques étaient les signes de son obéissance et de sa soumission. Walter lui indiqua ensuite le programme du reste de la journée de ce samedi
(A suivre ...)
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