Grandeur Et Décadence

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je suis une jeune femme, la trentaine, plutôt bronzée et les cheveux courts, noirs. J'ai la poitrine menue quoique bien ronde. Elle me vaut d'ailleurs bien des compliments lorsque mes vêtements très légers - j'habite dans une contrée extrêmement chaude - laissent dévoiler mes courbe, parfois même un peu plus.
Bien que très fine, j'ai un derrière du tonnerre. Le genre de cul qui fait retourner tout le monde dans la rue, que ce soit d'excitation ou de jalousie.
Plutôt exhib, je passe le plus clair de mon temps nue lorsque je suis chez moi. Il n'est absolument pas rare que mes voisins me surprennent, dans ces cas là je fais mine de ne pas remarquer et j'en rajoute une couche en m'exposant encore plus. Cela rend ma voisine folle, mais je sais que son mari s'astique en me regardant assez souvent. J'adore me sentir épiée, me savoir source d'excitation "à mon insu" pour d'autres. Je sais même qu'il lui est déjà arrivé d'inviter ses potes à mater. Le petit vicieux.

Je possède deux esclaves, je les ai nappés, ils sont à moi. Ils sont constamment attachés aux poignets, aux chevilles et au cou, par des chaînes et des anneaux bien solides, et je profite d'eux. Je les suce, je les branle, je m'empale sur leurs gros membres. Je les ai choisis méticuleusement avant de les enlever. Allant jusqu'à les épier dans leurs vies privées. Je les ai choisis sportifs, ça c'est le cas de le dire : deux énormes mastodontes. Chacun de leurs muscles est parfaitement dessiné, et sacrément gros. Je ne suis pas très grande et j'adore l'idée que mes esclaves sont deux colosses, et moi une petite chose. Je les ai également inspectés sous la douche. Bien sûr : hors de question que je me choisisse des esclaves avec des petites bites. Ces deux-là sont, au contraire, incroyablement bien montés. Avec des bites respectives de vingt-deux et vingt-cinq centimètres, je peux vous dire que c'est le pied.


Je me suis débrouillée pour choisir deux gaillards qui n'avaient pas de familles, et peu d'amis. Personne ne se pose de questions, et je peux les garder pour moi tant que je veux.
Lorsque je veux me faire prendre, je laisse du mou sur leurs chaines, et je leur dis que s'ils s'occupent bien de moi, ils seront récompensés en conséquence. J'ai une télécommande, je n'ai qu'à appuyer sur un bouton pour lâcher le mou, et m'offrir à eux. Ils me font ma fête pour la récompense, un repas digne des plus grandes bacchanales, mais aussi parce que ça leur plaît. Soyons honnête, je suis leur seule source de plaisir sexuel, et je suis très bien foutue - dans tous les sens du terme. Si ça se trouve ils m'auraient même baisée s'ils m'avaient croisée dans la vrai vie. Mais c'est mieux ainsi, j'ai ce que je veux, quand je veux.
Parfois même, je les enfile avec un gode ceinture, et je leur inflige toutes sortes de châtiments corporels. J'ai une belle collection d'instruments, des pinces, des martinets, des cravaches, de véritables fouets, des bâillons... absolument tout.

Tous les jours, je les sors dans la partie sans vis-à-vis de mon jardin. Là, je les attache bien fermement, je les badigeonne d'huile afin qu'ils puissent bronzer. Il est hors de question que je m'envoie en l'air avec des blanc-becs tout palots. Caresser leurs musculatures luisantes et proéminentes est l'une des choses qui m'excite le plus. Souvent je m'enduis moi-même d'huile, et je me frotte le corps sur eux pour les badigeonner. Ça me trempe la chatte à tous les coups. Je pense que ça ne les laisse pas indifférents non plus car je sens leurs grosses bites se durcir à une vitesse record. Ensuite j'attise le feu en frottant un peu mon cul dessus, puis je m'envoie avec eux.
Aujourd'hui c'est comme ça que j'ai fait. Sauf qu'au lieu de m'envoyer avec eux, je les ai laissés là, les membres bandés à en faire mal, et je suis allée m'étaler tranquillement dans l'autre partie du jardin, offrant mon beau corps huilé à la merci du regard lubrique du voisin.
Imaginez un peu la frustration pour eux. Cela fait trois jours que je baise à droite à gauche, et eux sont là, les couilles pleines, dans l'incapacité même de se branler.

Lorsque j'ai considéré que j'avais assez pris le soleil, je retourne les voir :

" - Alors les gars, ça redescend pas tout ça ?"

Je me met à les narguer. Je les chauffe. Je veux qu'ils me mettent une branlée mémorable cette fois. Je caresse leurs bites, je passe de l'un à l'autre. Je passe mes mains sur leurs torses luisants, leur titillant les tétons et griffant leurs pectoraux. Je les embrasse tour à tour, je les caresse de toutes parts, tantôt les branlant, tantôt leur agrippant les fesses avec gourmandise. Je commence à me laisser aller, à me vautrer dans la débauche.
Soudain, un bruit sourd retentit. Un bruit de métal brisé. Je sursaute. J'ai à peine le temps de réaliser ce qu'il se passe que je vois l'un de mes deux colosses qui se rue sur moi, les bras tendus. Il m'att au cou et me soulève presque du sol pour coller son visage au mien.
C'est alors que je comprends avec horreur la situation. Je n'ai pas vérifié les chaînes depuis trop longtemps. L'un des deux a réussi à les briser, et je suis désormais à sa merci.
La scène a quelque chose de terrifiant, mais à la fois horriblement jouissif.
Il me considère un instant, prêt à exploser. Je sens dans son regard toute la haine accumulée depuis son enlèvement. La rage des mauvais traitements, la soif de vengeance.
Il me serre fort le cou, de plus en plus fort, je ne peux presque plus respirer.
Il me retourne, me prenant à la nuque, me cambre de force, et m'enfile une volée de claques sur le cul comme je n'en ai jamais vues. Il y met toute sa force, toute sa rage.
Lorsqu'il s'arrête je me retourne, moitié sanglotante, moitié résignée : je sais que je mérite très largement ce traitement. C'est comme si je redescendais sur Terre ou que je me réveillais après un doux rêve.

Il me lâche et me lance :

" - Si tu bouges d'un centimètre, tu vas le regretter.
"

Je n'ai aucun mal à le croire. Il va chercher ma télécommande sur une table à quelques mètres, et appuie sans hésiter sur le bouton pour libérer son camarade. Il a dû observer la télécommande un paquet de fois le bougre.

Voilà donc mes deux athlètes qui s'approchent lentement de moi, terrifiée, en rigolant. Il y a de ça une heure, ils étaient mes esclaves, mes petites choses. Voilà que ce sont mes bourreaux, je suis à la merci de leur désir de vengeance. Je transpire, sans même savoir si c'est à cause de la chaleur ou de la crainte. Je me découvre, là, petite chose terrifiée, alors que je me croyais Grande Reine à la Cléopâtre. Je me découvre pudique, j'essaie vainement de cacher ma poitrine dont les tétons pointent sérieusement.
Ils m'attnt par les épaules, leurs mains en font le tour sans soucis. Ils me relèvent et me passent les chaînes. Elles sont serrées, je me rends compte du traitement que je leur infligeais. Me voilà prise à mon propre jeu, enchainée, collier au cou, esclave de ma propre folie lubrique.

Ils me font mettre à genoux, et collent leurs vit à mon visage.

" - Allez, comme d'habitude. Sauf que cette fois tu ne t'arrêteras pas à ton bon plaisir. C'est nous qui décidons."

Foutu pour foutu... je me lance dans une pipe endiablée. Il va falloir s'y faire, si je veux accéder au luxe désormais, je vais devoir obéir.
Les mains collées dans le dos, je fais reluire tout ça. Je gobe, je crache, je gobe, je crache. J'astique le gland avec ma langue, embrassant de temps à autre la peau brillante. Je plonge jusqu'à en avoir des hauts-le-coeur. La salive dégouline sur ma poitrine déjà luisante d'huile. Et je passe à l'autre, même scénario.
De temps en temps ils m'envoient d'énormes fessées. Je n'aurais peut-être pas dû les choisir aussi sportifs... Je sens mon cul rougeoyant, il me brûle.
Et ça continue, je suce l'un, je suce l'autre. Ça dure un moment, une heure peut-être. Eux ils font la discussion pendant ce temps.
Ils parlent de moi, ils jubilent à l'idée de se venger, de faire de moi leur chose, d'inverser les rôles. Ils ont l'air d'en avoir gros... dans tous les sens du terme.

L'un des deux ne peut plus se retenir, il m'att brutalement par le collier, me soulève et me plaque contre lui pour me prendre, sans délicatesse. En effet, ils sont d'une brutalité incroyable, ils me manipulent comme une vulgaire poupée de chiffon.
Mes tétons pointent contre son torse luisant, je ne peux pas dissimuler mon excitation, c'est physique. Ils rigolent, le premier colosse m'empale la chatte. L'autre ne tarde pas à se coller à mon dos, et à s'enfoncer dans mon cul.

Prise au piège entre deux torses musculeux, je trouve le moyen de mouiller comme pas possible. L'un m'encule, l'autre me baise par la chatte. Je sens à chaque va et viens leurs torses se coller, tantôt sur mon dos, tantôt à ma poitrine, m'écrasant à chaque fois.

Mon Dieu, quel jouissance ! Se faire foutre ainsi... Si j'avais su, j'aurais scié moi-même leurs chaînes, faisant mine d'être surprise après coup.
Ils viennent au même moment, me remplissant ainsi par devant comme par derrière. J'en viens à regretter de les avoir fait jeûner ainsi, quelle quantité ils me lâchent !
Ils me déposent au sol, haletante, souillée. Je tente de reprendre ma respiration et balbutie :

" - P... pitié... encore... je... je vous en supplie !"

Ils rigolent.

" - Quoi, t'en as pas eu assez ? Tu ferais mieux de te reposer car ça va être comme ça souvent désormais.
- P... par pitié, une bite !
- Bon, si tu insistes !"

Ils m'installent à genoux, le cul tendu. L'un enfile sa bite encore dégoulinante de sperme dans mon cul, et commence à me pilonner, tandis que l'autre saisit fouet et me lacère qui le dos, qui le cul, faisant bien attention d'épargner son acolyte.
Au moment de jouir, il se retire brusquement, me retourne brutalement, et commence à s'astiquer au dessus de ma poitrine. L'autre n'est pas en reste, et s'astique copieusement, lui aussi. Ils jouissent tour à tour sur mes seins, puis me prennent, et me déposent dans l'autre partie du jardin.

Je suis seule, nue, enchaînée, couverte de sperme d'huile solaire et de sueur, le corps luisant, haletante et encore pleine de désir. Ma vue est trouble, mais j'entrevois le voisin qui s'astique à la fenêtre... Sacré voisin.

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