Un Peu De Sport ?

Bonjour, bonsoir à tous, les noms des protagonistes sont changés pour une question d’anonymat. Merci de votre compréhension ;) .
Moi c’est Alexandre. J’ai 20 ans depuis peu et je n’ai plus de copine depuis peu. Je dois dire que ça ne me gêne pas. Je profite de la vie, vais voir certaines de mes amies pour passer l’après-midi et j’imagine que je n’ai pas besoin de préciser que ce n’est pas pour faire une partie de carte. D’ailleurs je ne me suis pas présenté physiquement, je suis de corpulence moyenne, environ 1m80 pour 70kg, une carrure assez sportive, brun aux yeux marron (Banal en soit) mais j’ai un atout d’après certaines de mes conquêtes… J’ai un sexe un peu au-dessus de la moyenne, un peu plus de 21cm de long pour près de 16cm de circonférence. Il est vrai qu’avec ce genre de mensuration, dès ma puberté j’étais assez gêné et plusieurs filles m’ont repoussé. Mais je ne suis pas ici pour parler de mes échecs.
Je travaille dans une grande surface et je m’entends bien avec la plupart de mes collègues mais l’une d’entre elles sort du lot… Julie ! Elle est même devenue une de mes amies les plus proches, a un tel point que l’on s’est inscrit à la salle de sport de la commune ensemble. Pas qu’elle est besoin de perdre du poids, mais pour se dépenser plutôt. Ah Julie, elle est magnifique ! 27 ans, un corps svelte, les cheveux mi- longs, châtain clairs, des yeux d’un bleu extraordinaire mais surtout… Une poitrine et des fesses parfaites ! Si je me souviens bien elle devait faire un 95D. En bref une fille magnifique et qui plus est avec qui je m’entends très bien ! Toujours le mot pour rire, et bien que souvent nos discutions dérivaient sur le sexe jamais je ne l’ai réellement désiré, je savais qu’elle était marié.
Pourtant… Un jour alors que nous allions à la salle de sport, tous les vestiaires étaient occupés sauf un. Au lieu de patienter comme n’importe qui, elle me proposa de faire vestiaire commun, après tout elle en avait vue d’autre ! Mais une fois tout en caleçon, j’ai senti son regard peser sur mon entrejambe.

« - Petit cochon ! S’exclama-t-elle. Tu bande !
- Non pourquoi ? Lui répondis-je.
- Arrête ce n’est pas possible d’en avoir une comme ça au repos… Me répliqua-t-elle tout en s’approchant pour saisir mon sexe à travers le tissu. Oh mon dieu... Même au repos elle est plus longue et plus grosse que celle de mon mari en érection… »
Elle me palpait le paquet avec insistance ! Je n’en revenais pas, et surtout, si je ne savais pas me contrôler, je me serais mis à bander d’un coup ! Mais je mis fin à ce manège en lui rétorquant qu’elle ne pouvait pas faire ça à son mari. S’en suivit une séance de sport tout à fait normal. Mais depuis cet instant je voyais bien que son regard avait changé. Alors évidement, le lendemain, comme nous avons tous les deux terminés notre journée dans la matinée et son mari étant encore en déplacement, nous sommes allé au sport. Mais une fois entré dans le vestiaire, elle me suis et me saute dessus pour m’embrasser en passant sa main dans mon pantalon. Je me dépêche alors de fermer la porte et sous l’effet de l’excitation je l’embrasse à mon tour tout en commençant à la déshabiller. Quelle ne fut pas sa surprise, lorsqu’une fois tous les deux en sous-vêtements elle vit mon sexe dépasser de 10 bon centimètres de mon caleçon tout en cachant mon nombril. Elle me poussa alors sur le banc avant de descendre mon caleçon afin de commencer une divine fellation. Bien qu’elle avait du mal à tout mettre en bouche ce hors d’œuvre était divin et me mis l’eau à la bouche pour la suite. Après un certain temps, comme je ne voulais pas rester à rien faire, je finis de la mettre nue et après quelques seconde d’admiration sur ses seins dont les tétons étaient déjà dur je les pris enfin en bouche suite à quoi je l’embrassais dans le cou et tout le long de son corps pour descendre vers son sexe parfaitement épilé. Je commençais par y rentrer quelques doigts tout en aspirant son clitoris. Elle gémissait en essayant de se retenir pour ne pas alerter les adhérents de la salle qui serait susceptible de passer par là. C’est au moment où je l’ai soulevé par les hanches et quand mon sexe était à l’orée du sien que nous entendîmes quelqu’un tenter d’ouvrir la porte. Cela nous stoppa brusquement, nous décidâmes alors de nous arrêter là et de faire notre séance quotidienne de sport. Une fois habillé et surtout une fois que j’eu vérifié que personne n’était dans le couloir, nous sommes sorti et avons constaté que nous avions perdu tout de même plus de trois quart d’heure dans ce vestiaire… Mais nous ne pouvions en rester là, donc après cette séance de sport, nous sommes retournés dans le vestiaire tous les deux où nous avons commencé à nous embrasser. Cette fois-ci, la séance de déshabillage fut bien plus rapide que la première fois. Trempé de sueur par le sport et en sachant quel effet allait nous donner cette partie de jambe en l’air, nous avons filé sous la douche. Certes elle était relativement étroite mais largement suffisant pour deux personnes qui s’apprêtais à baiser comme nous. Je la tournai face au mur, elle cambra son dos et écarta les jambes pour, qu’une fois à genoux, je puisse plus facilement avoir accès à son intimité. C’est alors un jeu qui s’installa entre son sexe, mes doigts et ma bouche. Je l’ai senti partir une fois lors de ce cunnilingus et c’est après cet orgasme que je me suis redressé et ai présenté ma bite à l’entrée de sa chatte. C’est alors qu’elle me dit :
« - Vas-y doucement s’il-te-plaît, je n’ai jamais connu un sexe aussi gros que ça… Même mes sex-toys sont moins imposant… »
Je répondis donc à sa demande par l’affirmative avant de m’insérer doucement en elle, plus j’allais au fond de sa chatte, plus elle gémissait fort. Une fois entièrement en elle, elle se mit à trembler et c’est un nouvel orgasme qui l’a terrassée. C’est avec une main devant sa bouche que j’essayais de calmer le jeu, pour qu’elle ne crie pas trop fort, ce qui ne m’empêchât pas pour autant de commencer mes vas et viens. Après un bon moment, je la retournais pour qu’elle passe ses jambes autours de ma taille afin de continuer tut en l’embrassant pour éviter que ses cris ne s’entendent trop. Quant à elle, pour calmer ses cris, elle lacera mon dos avec ses ongles jusqu’au sang. Après cinq ou six orgasmes de sa part je me suis retiré doucement, centimètres par centimètres tout en lui caressant les fesses, une fois calmé, elle desserra ses jambes pour sortir de la douche, c’est à ce moment que je lui proposai de finir chez moi, puisqu’après tout, moi je n’avais toujours pas joui.
À suivre…
C’était ma première histoire, tirée d’une de mes expériences. Soyez indulgents je ne suis pas très bon en écriture. J’accepte toutes les critiques constructives ;) .