La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°981)
Olivier au Château (Nouvelle saison, nouvelles aventures aux Château) - (suite l'épisode précédent N°980) -
Olivier sentait la noble semence couler sur ses cuisses, les Invités narquois remarquaient que son sexe bandait au zénith, car en effet cette humiliation dêtre pris en public avait été pour lui un moment dintenses excitations quil convenait maintenant de calmer. Une Domina avait pour spécialité de mater les chiens esclaves dont la nouille était trop souvent en érection, elle demanda à ce quon lui amène de la glace. On lui apporta alors un broc rempli de glace pilée. La Domina prit la parole devant lassemblée :
- Monsieur le Marquis, regardez cette salope mâle comme elle bande ! Je vais lui appliquer un traitement qui devrait rapidement lui rappeler quil na quune nouille comme sexe, car la glace que je vais lui appliquer va le ramener à la réalité de son état servile
Elle demanda à Marie de remplir un sac en plastique de glace pilée et den appliquer sur le pubis dOlivier, elle dit alors :
- Petite pute, tu vas rapidement débander et pour te calmer définitivement, jai dans mon sac une cage de chasteté qui devrait taller à merveille, je te conseille aussi de ne pas bouger quand Marie va te toucher, tu vois cette cravache, tu auras de violents coups sur ton cul de pute si tu bouges dun iota, compris ?
Olivier fit lerreur de ne rien dire et un coup sec de cravache tomba sur ses fesses
- Alors, petite salope, tu oublies les formules de politesse ?, tu te rappelles qui je suis ? Je suis une Domina quand je te parle, tu réponds oui Maîtresse ! Ok, salope ?
Et de nouveau, elle donna un coup marquant sa volonté de mater cet orgueilleux soumis. Oliver baissa la tête et rapidement balbutia un :
- Oui Maîtresse
- Voilà qui est mieux, dit lamie de Monsieur le Marquis, maintenant voyons si le froid aura de leffet sur toi.
Marie appliqua fortement le sac de glace sur le sexe dOlivier, la morsure du froid sur son corps agissait comme une brûlure.
- Cher Marquis, Cher ami, maintenant ce soumis va comprendre quil ne bandera que lorsquil en sera autorisé, vous vous souvenez de ce mâle soumis arrogant qui bandait sous nos coups comme un âne et quon a contraint pendant plus dun mois à porter une cage. Sa nouille à la fin était tout petit, il bandait mou même !...
Olivier compris que son sort était peut-être de perdre tout signe de virilité, de devenir une lopette mâle en devenir. Une chienne à dresser, à soumettre aux caprices des Maîtres et Dominas, une lopette obéissante aux ordres de Monsieur le Marquis dEvans. Mais la Domina continua son discours :
- Venez tous voir comment ce chien est appareillé ! Sexclama-t-elle à lassemblée !
A tour de rôle les membres présents sapprochèrent, les regards hautains et moqueurs de cette noble assemblée se posèrent sur les génitaux dOlivier.
Cest à ce moment-là quun ami du Noble sapprocha sexe en main :
- Aller, ma petite pute, tu vas voir que tout cela va te soulager, à genoux et viens sucer ma grosse queue majestueuse, montre-moi que tu aimes la bite, surtout celle des gens de ma position
Olivier obéit et cest à genou quil reçut en bouche ce sexe gonflé et tendu de désirs alors que le sien était recroquevillé, confiné et contraint dans la cage par obligation, mais il sappliquait à penser uniquement à la tâche quon lui réclamait. Il suça avec application, sa langue parcourant la veine du chibre, sa salive permettant au vit de sintroduire plus en avant dans la gorge. Sa bouche était la représentation dun vagin féminin, accueillante, chaude et humide ainsi il se donnait à fond dans le bût de procurer le maximum de plaisirs à lhomme Dominateur, Invité de Monsieur le Marquis.
Monsieur le Marquis avait le don pour révéler la vraie nature des individus, Olivier en était encore une fois le vivant exemple. Sa bouche était devenue un réservoir à foutre, maintenant il devait montrer sa résistance au fouet, à la suspension, puis à lempalement. Le Châtelain concluait toujours ses soirées par un godage imposé, le soumis était mis en suspension et petit à petit, on le faisait descendre sur un godemichet de belle taille et fixé à la verticale, les soumis entravés, navaient aucun moyen déchapper au gland du godemichet qui pointait fièrement vers le haut
. Pour linstant, cest par le fouet quOlivier allait être dressé, Le Maître sempara de celui de Walter et apostropha Olivier :
- Je vois que tu as apprécié de sucer les verges de mes amis, maintenant tu vas nous montrer ton potentiel à la résistance physique à la douleur. Un bon soumis doit être endurant, il montre ainsi son respect au Maître. Donc je vais te corriger avec ce fouet.
Et suite à un claquement de doigts du Maître, le soumis prit position montrant ainsi aux amis du Noble sa dévotion et obéissance envers le Maitre. Main sur la tête, bras et jambes écartées, nouille encagés, il était parfaitement en place afin de subir le fouet du Châtelain. Une chienne qui sassumait totalement, voilà ce quétait devenu Olivier maintenant face à cette assemblée qui ne perdait aucun détail de la scène. Le Maître des Lieux prit le temps, il sappliqua à faire danser son fouet devant les yeux dOlivier, avant de porter le premier coup, Oliver resta bien en place et machinalement se mit à compter les coups, un, deux, trois, quatre, et ainsi de suite. Les coups tombaient sur ses fesses, meurtrissant les chairs, il recevait les lanières du fouet en se mordant la lèvre inférieure. Ainsi une bonne dizaine de coups fut porté et les fesses du soumis plus que rougies étaient marquées de fortes traces mais le Châtelain avait su ne pas aller jusquau sang. Quand le Noble fut satisfait du comportement dOlivier, il sarrêta et un silence se fit entendre. Le seigneur pris le temps de ranger le fouet, sadressant à Véronique :
- Il est comme toi, endurant et heureux dêtre à ma disposition comme un bon petit chien, il va nous montrer maintenant comment il aime être enculé et écarté, quon le suspende !
Walter se saisit dOlivier
(A suivre
)
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