Léo....
Léo
. !
Début juin, quelque part dans le sud de la France...
Paulo et moi avons décidé de prendre quelques jours dans une résidence de vacances. La chaleur est là mais pas encore les touristes, ce qui fait que, pour l'instant, nous sommes les seuls résidents. Au programme : "pool, sex and sun"
-Thi swimming pool, only for us, i have some ideas
me dit Paulo
- ???
-What do you think about a midnight bath ... ? »
Ce qui ne nous empêcha nullement de remettre le couvert deux heures plus tard dans la chambre. Paulo est... très sonore dans ses ébats. Moi, ça dépend. Finalement, on s'endort dans les bras l'un de l'autre, repus de plaisir.
Quelques heures plus tard, je suis réveillé par un bruit sourd que je n'identifie pas tout de suite. Ce sont des coups sourds portés à la tête du lit et qui viennent de la pièce d'à côté. Ça y est, j'ai compris. On a des voisins et ils ont l'air en pleine action. Cette idée commence à m'exciter un peu. Comme cela se prolonge, je décide de réveiller doucement Paulo pour qu'il en profite. Je sais comment faire... Je lui caresse doucement le ventre, les couilles, la bite... Ça ne rate jamais. Il émerge à moitié.
« -Listen !
Il a capté plus vite que moi.
-We have neighbourgs?
-Yes. I think, they are fucking, since a long time ! »
Du coup, ça l'excite aussi, surtout que les chocs deviennent plus forts et qu'on entend un petit râle de plaisir simultané. Seraient-ils sur le point de conclure ?
« -I always been troubled by such noises » me souffle Paulo.
Joignant le geste à la parole, il commence à m'entreprendre en levrette. Bientôt, de notre côté aussi, le lit vient à buter par à coups répétés. On dirait qu'on se parle à travers le mur ! Tout à coup, on entend un long cri rauque. Il a du jouir... Wouahhh ! Ce type est super endurant !
Ce cri sauvage a décuplé l'ardeur de Paulo qui me pilonne de plus en plus sauvagement.
Vivement demain que l'on découvre l'oiseau rare.
11 heures. Il fait déjà chaud. Nous lézardons depuis un moment sur le bord de la piscine déserte quand ils font leur entrée. Paulo dort à moitié, sanglé dans un superbe mini slip de bain rose, la main posée sur mon ventre, à la limité de l'élastique du slip de bain. Comme toujours, il est too sex ! Une à deux fois par jour, c'est un minimum. Je l'adore.
Ils nous font un petit signe de tête en guise de salut et s'installent de l'autre côté du bassin. Lui, grand, châtain, barbu avec une belle toison. Il porte un mini maillot de bain vermillon qui peine à contenir ce qui parait être un très bel engin, au repos (?). Elle, jolie brunette, sans une once de graisse, dans un joli deux pièces. Tous deux portent de larges lunettes de soleil. Ils ont l'air d'avoir la trentaine. Un beau couple, quoi.
Dès le début, j'ai l'impression qu'ils essaient de nous calculer. Il faut dire que la position de Paulo est sans équivoque possible. Dès lors, j'ai eu la sensation que leurs regards masqués par leurs lunettes, ne se détachaient plus de nous, comme fascinés. les livres qu'ils tenaient ne servant que de prétexte. Paulo se réveille et les scrute sans retenue.
- Joli morceau ! Il te plait ?
- This guy is
nice ! I dont say no !
- Salaud !
Paulo se relève et effectue un impeccable plongeon, sans une seule éclaboussure. Je le rejoins dans l'eau et on chahute un moment.
L'après midi, on se retrouve à nouveau au bord de la piscine. Ce ne fut qu'une longue suite de bains de soleil, de jeux dans l'eau, de lectures, de rigolades. Toujours, on se sentit observé. J'avais remarqué qu'à chaque fois que j'allais seul à l'eau, aussitôt, le mec y allait aussi. A chaque croisement, c'était force sourires.
« - You think he is bi ?
- I dont know
- Wait. We will make a test. I go to water, I leave and just after you go to pool, OK ?
-As you want... »
Ça ne rata pas. Pauloen fut sûrement un peu vexé et moi flatté. Du coup, il multiplia les gestes ostensibles de tendresse ! Ce soir là, je l'ai trouvé particulièrement déchainé et... sonore. Voulait-il leur envoyer un message, par delà le mur ?
Le lendemain matin, au moment de rejoindre la piscine, je trouve un papier plié sous la porte.
Je suis Célia, votre voisine. Depuis notre arrivée, je vous ai observé. Je pense que vous êtes homos. Rassurez-vous, je n'ai rien contre l'homosexualité.
Je ne sais comment vous dire cela.
J'ai l'intuition profonde que mon ami, Léo, a des penchants homos, lui aussi. Peut-être est-il bi, au fond ?
Ma demande va vous paraitre totalement folle mais j'aimerais être sûre. Serait-il possible...?
Je ne veux surtout pas détruire votre couple, vous avez l'air si fusionnels.
Au cas où la réponse serait positive, serait-il possible, pour moi, d'apercevoir discrètement ? pour me rassurer...
Je pourrais prétexter des courses en ville. A vous, Célia.
Paulo me demande de lui traduire
« -Wouah ! Fuck ! Incredible !! » s'étonne Paulo
- Its clear ! She must be in love to give him such a
present
-May be, but its very risky for her.
- So, what do we do ?
-Come on ! Ive seen you were very agree with that !
Paulo, its clear for me ! We do together, or not. Now, if tou want to go alone
»
Touché, il m'embrasse.
« -For a first time, i twill be a party ! Good !
-So, you are OK ?
-If we are all together, OK
-We have to tell to her
-Wait ! I have my tee shirt with OK. She will understand »
Ils sont déjà là, à se bronzer. On leur fait un signe de tête qui peut signifier bonjour et oui à la fois.
On se met à l'eau, bientôt rejoint par Léo muni de superbes lunettes de natation. Tiens, aujourd'hui, on dirait qu'il a une préférence marquée pour la nage sous-marine et ses vues imprenables !
On remonte se rôtir au soleil. Bientôt, Célia range ses affaires et le laisse seul.
« -We have to test him ? me chuchote Paulo.
-Im sure you are an expert !
-Follow me ! »
Il replonge, je replonge. On chahute, on fait mine de lutter dans un corps à corps plutôt doux. Paulo me colle contre la bordure et m'embrasse fougueusement et longuement. N'y tenant plus, il a plongé et a multiplié les largeurs sous marines, très près de nous. A un moment, sa main vient même effleurer ma jambe.
On remonte et Paulo m'embrasse à nouveau en promenant sa main sur mon corps. Puis, on récupère nos affaires et repassons devant lui.
« - Ça vous dirait de venir boire un verre avec nous ?
- ... Pourquoi pas... Merci ! »
Nous voilà tous trois installés sur le canapé devant des apéros bien tassés. Paulo, moi au milieu et Léo. Tous trois en slips de bain.
« - Vous n'avez pas la télé ? demande Léo.
-No, we have just the radio
from the other side of the wall. Very good requency, rigole Paulo. Cela fait rire Léo.
- Je m'excuse si je vous ai réveillé.
-Same for us! »
Paulo a posé sa main sur l'intérieur de ma cuisse et joue avec la cordelette de mon maillot en tirant dessus pour entrebaîller mon slip.
« - Tiens, c'est marrant, à nous trois on fait pas mal de daux africains : rouge, jaune, vert ! " dis je en rigolant.
Je rapproche ma jambe gauche de la cuisse de Léo et la colle petit à petit. Loin de retirer sa jambe, je sens qu'il augmente la pression. Il est mûr.
« - Et si on allait prendre une douche ? "
Sans attendre la réponse, je me dirige vers la salle de bain, prenant soin de laisser la porte ouverte... On se glisse à l'aise à trois dans la grande douche italienne à l'énorme pomme de douche.
« - On peut te frictionner ? »
Léo, qui n'attend que cela, accepte. Paulo s'occupe des ses cheveux pendant que je lui savonne doucement le dos. Paulo entreprend son torse. Doucement, on descend vers son slip. On a bien vu qu'il réagissait à nos caresses savonneuses. Son mini slip a pris du volume. On glisse légèrement nos doigts sous l'élastique. Ca l'électrise au point que sa bite surgit toute seule de son slip, fièrement dressée, terriblement longue et épaisse. Paulo fait mine de l'ignorer et s'agenouille pour lui frictionner les jambes. J'entreprends de lui savonner la bite. Léo a basculé la tête en arrière, les yeux clos, totalement consentant et offert. Je lui savonne longuement les couilles, la main dans son slip. Je lui demande s'il peut me savonner à son tour. Ses mains, un peu hésitantes, s'enhardissent très vite sous mon maillot. Il me malaxe les fesses, les couilles, la bite. Il a l'air tellement excité qu'il a un peu déjà perdu le contrôle de lui même.. On remet le jet pour se rincer à trois. Paulo s'est collé derrière lui et lui agace les tétons et le torse. Je me suis agenouillé et entreprends de m'occuper de sa bite. Paulo me fait signe avec deux doigts en ciseaux. J'ai compris qu'il voudrait qu'on lui taille sa touffe qu'il a super fournie.
« - Veux tu qu'on te taille ta touffe, Y'en a pour deux minutes. »
Il parait un peu hésitant Comment va t'il expliquer cela à Célia ? Pour le décider on entrebaille nos deux slips pour lui montrer qu'on est entièrement rasé.
« - Tu verras, c'est beaucoup mieux. On ressent beaucoup plus les caresses. »
Paulo a déjà entrepris de désépaissir sa touffe pendant que j'enduis sa bite et ses couilles de mousse à raser.
« - Wouaah ! C'est doux, la mousse ! souffle Léo.
- Quand on te le disait ! Essaie de ne pas bouger, s'il te plait. »
En quelques minutes, le voilà relooké.
« - Eh ! Elle parait plus longue !
- C'est parce qu'on a dégagé la base. Mais c'est qu'une question d'esthétique ! »
Maintenant, avec Paulo, on entreprend de s'occuper sérieusement de son dard. Tous deux agenouillés sous le jet tiède, Paulo lui suçote les couilles pendant que je mordille sa tige en remontant vers le gland. A deux, on lui malaxe les fesses en passant nos majeurs dans sa raie et en insistant sur sa rosette. Adossé au mur de la douche, il se cambre pour s'offrir du mieux possible à nos caresses, les yeux clos, la bouche légèrement entrouverte.. j'entreprends de le sucer lentement pendant que Paulo passe derrière pour lui agacer la rondelle de coups de langue. Il a une secousse nerveuse de surprise et de plaisir mêlés. Il a agrippé nos deux têtes par les cheveux et accentue sa pression. Je me mets à l'engloutir complètement. Quelle pièce ! Dans les 20 cm, à coup sûr! Il commence à gémir. J'entame mon va et vient. J'accélère un tout petit peu. Le but n'est pas de le faire jouir tout de suite, il y a encore beaucoup à lui faire découvrir. De temps en temps, il casse ses reins pour mieux s'offrir à la caresse de Paulo qui lui fait écarter les jambes et lui gobe les couilles parfaitement rasée, une à une, par dessous.
« - Aaah, c'est bon ! » râle-t-il.
A lui de nous rendre la pareille. On fait glisser nos maillots, on s'appuie côte à côte contre le mur et on attend sa bouche sur nos deux dards tendus. Il se lance et nous suce un peu maladroitement, à tour de rôle. Pas grave. C'est bon quand même. On l'encourage en empoignant sa tête. Au bout d'un moment, on le relève.
« - Vous avez raison, c'est plus agréable pour celui qui suce quand c'est complètement rasé. »
Je suis entrain de penser à Célia. J'espère qu'elle n'a rien perdu de tout cela. J'ai laissé la porte fenêtre qui donne sur la pelouse arrière, entrouverte.
Elle a surement pu se ménager un poste d'observation à travers la faible haie de troênes. On se sèche et je décide qu'on va s'installer sur le canapé clic clac ouvert, plus visible que la chambre pour Célia.
Paulo et moi nous agenouillons sur le canapé, face à face, bites dressées l'une contre l'autre, attendant la bouche de Léo qui ne se fait pas prier, bien au contraire. A tour de rôle, il nous suce. Il apprend vite. Au dessus de sa tête, Paulo et moi nous embrassons goulûment. Petit à petit, nous rapprochons nos ventres jusqu'à venir enserrer sa tête. Cela lui permet d'essayer d'engloutir nos deux glands à la fois. Ses mains nous malaxent le cul, vigoureusement.
Delicious !
Après un certain temps, Paulo se détache pour commencer à préparer Léo à la pénétration. Il enduit copieusement son majeur de gel et commence à essayer de le pénétrer pour le dilater. Il y va très lentement pour ne pas lui faire mal. A la tête chavirée de Léo, je comprends qu'il lui a passé un doigt. Il coulisse en tournant. J'entreprends de lui masser le dos, le ventre, tout en étant pompé par lui pour le détendre un peu plus. Maintenant, Paulo arrive à lui passer deux doigts. je me prépare alors en enfilant un préservatif que je lubrifie au maximum. Léo m'aide à l'enfiler, de plus en plus excité. Je passe derrière lui et promène ma tige tendue dans sa raie. De sa main, il me guide vers son trou, impatient
Je commence de légères poussées, du bout de mon gland.. Paulo est passé derrière moi pour me prendre par derrière, lui aussi. Je me cambre pour faciliter la venue de sa bite que je connais bien et que je désire tout autant à chaque fois. J'essaie toujours de forcer le passage de Léo qui s'offre du mieux qu'il peut, en levrette.. De sa main, il tire doucement sur ma bite. Il la veut entièrement en lui. Par contre, Paulo est déjà en moi, je le sens parfaitement bien au chaud dans mon ventre. Il a empoigné le bassin de Léo et nous tire l'un vers l'autre, doucement. Lui aussi sait que ce sera plus long pour Léo. Il n'est pas pressé, il est bien là où il est. Je sens mon gland qui a sa rondelle. Je m'arrête, attend et reprend lentement mon va et vient. Je lubrifie à nouveau ma tige et continue ma progression tant désirée par Léo. Il a l'air de s'impatienter.
« - Vas-y ! Défonce moi le cul ! Je t'en prie...
- Je risque de te faire mal, tu sais...
- Vas-y ! Vas-y !!! »
Après tout, s'il préfère comme ça... Je pousse le plus que je peux pour m'enfoncer en lui. Ca serre. Je vois ses poings se crisper mais je continue. Je me retire un peu et m'enfonce un peu plus loin, plus vite. Il en redemande. De ses deux mains, il me tire le bassin vers lui. Bientôt, je suis entièrement en lui. Avec Paulo, on commence un va et vient synchronisé dans mes entrailles. Il gémit de plus en plus. On accélère lentement la cadence... Parfois Paulo se désynchronise et je le sens me labourer. En rythme, on continue à le pilonner en puissance mais je ne sais pas si je vais réussir à jouir tant je sens ma bite serrée.. Par contre, Paulo s'emballe pour son propre compte. Il me mord le côté de la nuque en gémissant de plus en plus fort. Bientôt, il décharge un long jet brûlant dans mon ventre en criant de bonheur. Je me retire de Léo sans avoir joui.
C'est moi, maintenant, qui vais m'offrir à Léo. Je m'allonge sur le dos sur le bord du canapé, les jambes à l'extérieur. Paulo le prépare en lui enfilant un préservatif, copieusement lubrifié par ses soins, ce qui lui permet de tripoter la bite de Léo à profusion... Puis il le fait s'agenouiller sur le sol, le bassin près de mon trou. De sa main, il guide le doigt de Léo vers mon trou en l'aidant à passer un doigt. Très vite, Paulo passe un doigt, lui aussi. Puis je le vois guider la bite de Léo vers mon anus. Je sens son gland venir au contact et commencer sa tendre poussée. Je n'ai qu'une envie, c'est qu'il me pénètre, qu'il me bourre, qu'il me laboure de son énorme pénis. J'ai envie de le sentir vibrer en moi. Aidé par la main de Paulo, Léo commence à me pénétrer doucement en une poussée lente et continue. Sa progression est facilitée par tout le gel que Paulo lui a mis et le fait quil m'ait pénétré il n'y a pas si longtemps.
Je le sens me pénétrer de plus en plus profondément de son énorme pieu. Il avance, il s'enfonce, il me remplit. Je vois sur son visage qu'il a l'air d'apprécier énormément cette sensation nouvelle pour lui. Ca y est ! Il s'est empalé jusqu'à la garde. Je le ressens d'autant mieux que sa bite est nettement plus grosse que celle de Paulo qui est déjà très respectable ! Je sens ses couilles contre mon périnée. J'enserre sa taille de mes jambes pour le garder ainsi en moi. Ce n'est pas ce que Paulo avait imaginé car il lui tire doucement le bassin vers l'arrière, le faisant ressortir entièrement; créant aussitôt une sensation de manque. Puis, il le fait s'enfoncer complètement à nouveau un peu plus rapidement que la première fois et ainsi de nombreuses fois, de plus en plus vite. Délicieux !
N'y tenant plu, Paulo veut lui aussi sa part de plaisir. Il vient s'allonger sur moi, offrant, lui aussi, son trou à Léo. Auparavant, Paulo s'est placé sur ma bite pour que je le dilate du mieux possible. Petit à petit, il s'enfonce sur ma tige et commence des mouvements de va-et-vient verticaux. Quand il se sent prêt, il vient présenter son cul à la queue de Léo. Maintenant, Léo va pouvoir commencer à nous fourrer alternativement. Vu la résistance du gars, cela nous promet une belle partie. Léo pénètre Paulo d'un coup sec, jusqu'au fond. Je vois le visage de mon amant se crisper puis se détendre rapidement. De son regard, il me rassure. Léo commence à le labourer lentement. De ne plus le sentir en moi, cela crée une légère frustration qui amène encore plus de plaisir quand il revient s'engloutir en moi. Maintenant, Léo passe de plus en plus facilement et aisément de l'un à l'autre. Paulo est radieux, collé à moi, bite contre bite, bouche contre bouche, défoncé par Léo. J'ai attrapé les couilles de Léo, les ai prises en coquille dans ma main et accompagne ses allers et retours dans le ventre de Paulo. Quand je suis trop affamé de son long pénis, je tire légèrement sur la base de sa tige pour le guider à nouveau vers moi. Je ressens alors la chaleur de son énorme pieu qui irradie dans tout mon ventre. Son endurance est incroyable. On a le trou en feu mais on en redemande encore et encore. Très vite, on est tous totalement en sueur. Léo alterne les séries lentes et les séries rapides, chez l'un, chez l'autre, en nous labourant puissamment.
Encore plus vite ! Cette fois, il pilonne à mort. Paulo s'est mis à crier, le visage chaviré de plaisir. J'ai du mal à agripper les fesses de Léo tant elles sont en sueur. Lui aussi pousse maintenant des râles rauques. Chez qui va-t-il choisir de jouir ? Le choisira-t-il vraiment ? Je vais l'aider à se finir.
Brutalement, je contracte plusieurs fois ma rondelle pour serrer au maximum sa bite. Je le sens tressaillir de tout son être. Paulo ne peut plus résister à l'absence et au vide. Il vient à nouveau s'empaler sur ma bite et se déchaîne dans un va et vient frénétique. Les doigts de Léo s'enfoncent dans mes flancs, encore quelques coups de boutoir et il jouit longuement dans un rugissement de plaisir en enserrant Paulo de ses bras. Moi aussi, je veux mon compte. Je pilonne Paulo de longues secousses furieuses et bientôt je décharge en une longue giclée.
Totalement exténués, on retombe tous les trois sur le canapé, en essayant de récupérer...
« - C'était la première fois ?
- Oui, merci les gars, c'était super bon ! Jaurais jamais cru que jaimerai autant ça ! Putain, quel pied !
- Mieux qu'avec les filles ?
- ...
-A lot of new experiences in a short time! » plaisante Paulo.
Une bonne douche. il est temps pour Léo de filer avant "le retour" de Célia.
Léo sort.
« - It was good ?
- YES ! And you ?
- Guess...
- I think He is gay and he doesnt know
-Youre sure ? He dont guess a little ?
- Now, i twill be the problem for Celia
»
L'après-midi, retour à la piscine. Je passe par les douches et c'est alors que la porte, que je ne ferme jamais, s'ouvre brutalement. Léo entre et fonce vers moi, plonge sa main dans mon slip de bain pour essayer de me branler tout en cherchant ma bouche pour m'embrasser. J'avoue que là, je n'ai pas apprécié du tout. J'ai eu un mal fou à lui faire retirer sa main. J'ai presque du me fâcher.
Avec Paulo, nous en avons longuement discuté aussitôt et avons décidé de plier bagages sans perdre de temps, laissant probablement Léo dans le désarroi mais aussi à ses réflexions...
Chacun sa route, chacun son chemin...
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