Le Pailler Du Voisin
- Doù sors-tu cette poche de bonbons Mathilde ?
- Cest Fernand qui me la donnée
- Fernand ? le voisin ? et pourquoi ta-t-il donné ça ?
- Pour
ça ne te regarde pas Élise, tu memmerde !
- Je suis ta grande sur tu me dois obéissance et respect, bon, je vais le dire à maman
- Non ! attends
après déjeuner je vais faire des galipettes sous son hangar, hier il ma surprise sur les bottes de paille, dabord il ma grondée et puis dun coup il est devenu gentil
- Gentil comment ?
- Il ma dit que si je continuais à faire des culbutes il me donnerait des bonbons
- Habillée ainsi ? jai compris, il voulait voir ta petite culotte ce salaud
- Tu crois ?
- Évidement nigaude, il ne ta pas touchée jespère
- Non mais
- Mais quoi ?
- Si je suis plus gentille il men donnera dautres
- Daccord, jai compris, tu ne mets plus les pieds là-bas, je vais aller lui dire deux mots à ce pervers
- Parles-en plutôt à papa ?
- Réglons ça entre nous, fait-moi confiance
- Daccord
Remontée à bloc je vais sous ce fameux hangar espérant trouver le paysan, cette odeur dherbes séchées me rappelle subitement ma jeunesse lorsque je faisais moi aussi des cabrioles avec le fils de ce voisin
il sen est passé des choses interdites parmi ces bottes où nous étions invisibles
je ne peux résister a lenvie de my rouler à nouveau oubliant que je suis en robe
- Quelle jolie vue ! toi aussi Élise tu veux des confiseries ?
- QUOI ? oh pardon je me croyais seule Fernand
- Continue, ne toccupe pas de moi
- Je venais vous sermonner pour avoir donné des bonbons à ma petite sur
- Et alors ? ce nest pas un crime, je noserais jamais poser la main sur une gamine voyons
- Ahhhh ?
- Mais sur toi
mmmmuuuuuummmmmmm !
- Fernand !!
- Quoi ? si tu veux être compréhensive je peux me montrer généreux
très généreux
- Compréhensive ?? comment ?
- Tu ne dois plus porter de culotte petit bateau à dix-sept ans ?
- Bien sûr que non !
- Tu mets quoi ? tanga ? brésilien ? string ? shorty ?
- Vous vous y connaissez drôlement en culotte de femme
ce que je porte ne vous regarde pas
- Et si jagite ça ?
- Cinquante euros ?
- Cest un vrai ?
- Tout juste sorti du distributeur, écoute le doux froissement du papier
- Cinquante euros juste pour voir mon slip ?
- Affirmatif ? alors ?
- Beeeennnn
lancez moi le billet
voilà !
- Teu-teu-teu ! pas comme ça si vite, je nai rien vu, relève ta robe et assied toi sur cette botte de paille en écartant les genoux durant une minute
- Vous jurez de ne pas bouger ?
- Affirmatif
Cinquante euros ça ne se gagne pas facilement
après tout pourquoi cracher sur une somme qui me permettra de moffrir la petite jupe que jai vue en vitrine, je relève le bas de ma robe jusquà la taille et massied sur la paille rêche et piquante, puis lentement jécarte les genoux, au lieu de me faire honte ce geste provoque en moi une excitation inconnue au point de me faire mouiller
Le vieil homme écarquille les yeux et se met à genoux à un mètre de moi, il empoigne la bosse subitement apparue sur sa salopette
- Bondieu d'bondieu
ça cest de lentrecuisse, de nos jours ils fabriquent des culottes qui ne cachent plus grand-chose, je me trompe ou tes mouillée ?
- Je crois effectivement que cest mouillé
- Tu me fous la trique Élise, cinquante de plus et tu lôte ?
- Je
ouuiii ! mais restez où vous êtes et donnez-moi le billet
- Jouvre juste ma braguette afin quil respire
Je me relève et fais lentement glisser mon string sur mes cuisses, jamais ce bout de tissu qui quitte mon corps ne ma autant procuré de sensations érotiques, à sa demande je lui lance le vêtement odorant quil porte immédiatement a ses narines, en me rasseyant je remarque la verge quil tient dans une main .
- Tu sens bon petite, va-y caresse toi
je saurais me monter généreux
- Vous bandez Fernand
elle a lair grosse
- Je vais te la monter ya pas de raison, tu te touches le pipi et je me décalotte le poireau
- Si vous voulez...
Le paysan se relève et baisse les bretelles de sa salopette, sans slip dessous la trique bondit a lair libre et se balance un instant de haut en bas
il en profite pour faire deux pas dans ma direction sans que je ne proteste, le gland rougeoyant est à portée de main, une grosse goutte translucide émerge du méat, je ferme les yeux et menfonce un doigt dans le vagin craquelé, jimagine sa verge veinée a la place de mon index
- Élise ? regarde
- Fernand ! vous ne deviez pas vous approcher !
- Échangeons nos mains
astique moi la bite et je te doigte la fente
Au point où jen suis je ne réponds même pas, mes doigts se referment machinalement sur la hampe, ses doigts rugueux fouillent ma chatte, lhomme avance encore jusqu'à frotter son membre sur ma joue, je nai quà tourner la tête pour avaler le gland au relent douteux, je ne me rends même pas compte quil maide à mallonger tout en restant dans ma bouche
Seules mes jambes ouvertes pendent en dehors de la botte de paille, je pompe avec ardeur soudain un goût acre inonde ma bouche, je déglutis deux fois et laisse couler le reste de sperme dans mon cou
- Reste ainsi Élise
- Jai trop envie de ta queue pour partir ainsi ...
- Tu ne vas pas le regretter
lève les jambes
att mon zob et met le en face de ton trou a bite
- Allez-y baisez moi Fernand, je veux tout !
- Tu en auras même davantage
aaaaaaaaaahhhh que cest booooooooooooonnnnnnnnnnn Wooooouuuuuuhhhhhh !
- Oooooooohhhhhhhhhhoooooooouuuuuuuuuuiiiiiiiii !
Jamais je naurais pensé que cet homme âgé était aussi vert, mes petits copains sont des s de cur à côté de ce mâle en puissance, mes parois vaginales sont écartées, repoussées, frottées, pour mon plus grand plaisir qui se manifeste par des braillements quil étouffe avec ses lèvres, mon point G en constant frottement répercute les ondes bienfaitrices dun orgasme puissant qui me ravage le bas-ventre, instinctivement je noue mes jambes autour des reins de mon amant imprévu afin quil ne se retire pas au dernier moment pour éjaculer dans la paille
- Je jute dedans ? ah bon, comme tu veux, ça vient ma poulette
hhhhaaaaaaaaoooooooooouuuuuuuuuuu !! tu ne vas pas tomber en cloque au moins ?
- Jsais pas et jmen fous ! baise-moi encore Fernand
- Eh bé ? attend un peu que le vieux moteur redémarre !
- Bouffe moi le minou ça va le faire
- Jai pas autant baisé que depuis les années quatre-vingt ! mais
jy pense mon fils ne ta jamais tronchée ici ?
- Si plusieurs fois ! mais il nest pas si bien monté que toi
- Salope ! après je ne pouvais rien en faire tant il était crevé !
- Regarde Fernand cest redevenu dur, en levrette cette fois ?
- Pourquoi pas ? de toute façon tu y passeras den bien dautres positions ! ah, une précision, je ne paie pas pour baiser sinon tu serais une fille de joie
- Un ptit cadeau quand même ?
- Tu ne le regretteras pas, aller en position.
- Qui ça ?
- Ton cul Élise !
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