Kary-20
Après notre petite escapade à Québec nous avons pris de nouveau le chemin pour le parc de Frontenac ou Madame y avait réservé plusieurs autres nuits. Nous y sommes arrivées juste un peu avant le souper. À ma grande surprise nous avions le même terrain que les jours précédents. Nous nous sommes fait un petit souper en amoureuse à lextérieur. Une petite bouchée, un petit baisé, une caresse, cétait très agréable. Puis
-Karine va dire à kary de se placer à genoux dans le VR dos au couloir qui mène à la chambre et nue bien entendu.
-Oui chérie jy vais immédiatement.
Je me suis levée, jai embrassé goulument Pénélope et je suis entré dans le VR. Je me suis dirigée vers la chambre, je me suis mise complètement nue pour ensuite magenouiller face à lespace salon cuisine. Aussitôt que mes genoux ont touchés le sol mon esprit a basculé en mode kary. Oui, jétais kary et jattendais lentré de Madame dans le VR. Je me préparais à la servir et à lui obéir comme la bonne chienne que je suis.
Quelques instants plus tard Madame a fait son apparition au salon et a commencé à faire des gestes qui mon surpris. Je navais même pas remarqué certaines particularités qui normalement ne se retrouvent pas dans un véhicule récréatif. Il faut que je vous dise. Lannée après le décès des parents de Pénélope, elle a fait modifier le VR pour quil soit plus manuvrable, entre autre en remplaçant lattache pour un véhicule par une plateforme pour son scooter. Mais la journée ou elle a su quelle avait prise possession dune soumise, moi en loccurrence, Elle avait fait faire plusieurs modification discrète pour le contrôle et le plaisir avec sa soumise. Cest dailleurs pour cela que le véhicule navait pas été accessible avant le début daoût.
De ma position je la voyais enlever une partie du plancher près du canapé. Cétait le même genre de trappe que dans le donjon chez Madame. Ensuite, elle ma demandé de mapprocher, et avec laide de différent morceau de bois tous bien taillés je me suis retrouvée la tête prisonnière sous le plancher du VR.
Jétais dans le noir total avec la tête sous le plancher. Jéprouvais de légers étourdissements à force davoir la tête en bas comme ça. Après le début des nouvelles je me souviens que Madame avait retiré ses pieds de ma croupe et que javais senti presquaussitôt quelque chose magacer lanus. Puis jai senti un objet entrer en moi.
-Dommage que Karine ne soit pas là, cela aurait été une belle soirée à la chandelle hi! Hi! Hi!.
Jai alors compris que Madame se servait de moi comme chandelier. Et cela ma été confirmé lorsque jai senti les premières gouttes de cires coulées le long de la chandelle plantée dans mon cul venir se refroidir contre mes fesses. Je suis resté assez longtemps en chandelier au service de ma Maîtresse. Et cest le lendemain que jai pris connaissance de toute la scène. Madame ma montré des photos de cette soirée. Elle avait placé sa caméra sur un trépied qui avait une prise de vu sur lensemble de la pièce, celle-ci prenait des clichés à toutes les minutes. Je my suis vu le corps sorti du plancher, les membres fixé au plancher, le cul bien relevé. Javais cette chandelle de planté dans le cul. Madame lisait tout simplement un bouquin assisté dune lampe dappoint dans cette ambiance feutré. La vue de ses images mon attendri, Madame semblait si détendue et sereine dans ce décor improbable. Je dois avouer que javais du style dans mon rôle de chandelier, cela était presque une uvre dart.
Dans ma relation avec Madame il y a souvent des moments comme cela ou tout est paisible, ou je ne dois rien faire, à part être là et attendre.
Bref, après la lecture de son chapitre, Madame ma libéré de mon rôle de chandelier et aussi de mes entraves. Jai pu sortir la tête de mon trou. Mais elle ma ordonné dentrer complètement sous le plancher et de me laisser seulement la tête dépasser. Elle a replacé les planches. Seulement ma tête dépassait, javais une vue sur le canapé du salon. Madame est venue sassoir devant moi et a inséré ses deux gros orteils dans ma bouche et ma demandé de les sucer. Je my suis appliqué avec intérêt. Ben oui, je me suis découvert un goût fétichiste pour les pieds de Madame. Jaime bien les lécher et les sucer. Lorsque je le fais je me sens chienne et très soumise, elle apprécie et ça me plait. De temps en temps elle aime bien écarter les pieds. Quand elle le fait je dois avoir un air vraiment ridicule. Ma bouche est toute étirée et je dois avoir lair dun clown. Cela semble bien faire rire Madame. Jai vénéré ses pieds tout au long du programme télé suivant. À la fin ma Maîtresse avait toutes les oreilles ratatinées comme si elle les avait faits trempée dans une bassine pendant de longues minutes. Jy avais mise tout mon cur et mon énergie, jétais exténuée. Madame ma ensuite fait descendre complètement dans la trappe sous le plancher et a refermé lissus.
-Bonne nuit kary
-Mais Madame jai une grosse envie de pipi.
-Ben alors, fait pipi cest tout.
-Mais
-À demain petite salope.
Je me trouvais sous le plancher dans cette cavité ou jai, en explorant avec mes mains, trouvé un petit matelas et un oreiller. Le reste du compartiment semblait fait en fibre de verre.
Je me souviens encore lorsque je me suis réveillé le lendemain. Ma joue était collée contre les parois du compartiment directement dans la flaque durine. Une sensation de dégout ma envahi immédiatement, puis en essayant de me relever un peu jai mis la main dans cette urine. Mon premier réflexe a été de porter à mon nez mes doigts souillés comme pour vérifier la nature de la substance. Oui cétait bien mon urine. Après le dégout est venu une sorte de plaisir indescriptible. Je me sentais bien dans cette situation dégradante. Cest Madame qui mavait placé dans cette situation et jéprouvais de la satisfaction à lui faire plaisir et à lui obéir. Jai de la difficulté à exprimer ce que je ressens dans à ce moment-là. Je ne sais pas comment mon esprit peut ressentir un plaisir à être dans des situations dégradantes ou douloureuses. Je ne peux pas lexpliquer, mais cest comme cela.
Puis des pas « à létage » mon sorti de mes réflexions. Madame ma délivré de mon cachot et ma ordonner daller faire ma toilette après que jai eu pris mon déjeuner quelle avait placé dans mes bols sur le plancher.
Durant le reste de la semaine Madame sest amusé avec moi tout en explorant le grand parc de Frontenac. Il y a eu aussi deux journée que madame a passé avec Karine. Cela a été des vacances merveilleuse, autant pour Karine que pour kary. Jaime par-dessus tout être kary pour Madame, mais je dois avouer que ma relation vanille avec Pénélope me satisfait beaucoup aussi.
Mais les vacances se sont terminé et est arrivé la peur terrible de mon retour au travail le lundi matin. Même si Madame mavait suggéré une explication à donner à mes collègues de travail jétais littéralement terrifiée de les affronter
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