Isabelle Va Finir Par Se Venger De Son Mari - Épisode 7
Lorsque Isabelle entendit la sonnette, elle nétait pas très rassurée mais pas trop inquiète non plus. Ce soir du 13 août, elle était très loin de lorigine de ses aventures sexuelles. Tout était parti de limportante dette de jeu de son mari. Un peu contrainte elle avait accepté de donner de sa personne pour éviter des soucis financiers et autre. Mais, il y avait aussi une façon de se venger de son mari pour ça et pour son infidélité. Si lors du premier soir avec Jean-Joseph elle nen menait pas large, elle avait pris de lassurance avec les hommes - voir les épisodes précédents- mais pas au point de se présenter nue devant Jean-Joseph et Albert, à leur entrée chez Noël. Elle avait attrapé une robe de chambre de Noël et était venue dire bonjour aux arrivant dans la pièce de vie. Alors que Jean-Joseph faisait la bise à Isabelle, sans oublier de lui passer la main sous la robe de chambre et de lui tâter un sein. Albert discutait avec Bertrand, le mari.
-Alors, tu es venu voir comment ta femme sen sortait avec nous ?
-Je nai pas le choix.
-Ça va être Isabelle avec Noël le super-cochon, avec Jean-Joseph le canon de 45 et avec moi, lenculeur de madame.
Bertrand ne répondit rien sagita sur son fauteuil manifestement très mal à laise. Jean-Joseph avait lair très excité. Il avait ouvert sa braguette.
-Allez-y madame. Sortez mon gicleur. Il vous a servi deux fois déjà ; vous le connaissez et vous allez pouvoir vous servir. Ça fait dix jours quil veut se soulager. Autant vous dire quil a de la réserve en stock.
-Je vois que votre sexe est déjà raide, constata la jeune épouse en sortant le manche de lhomme.
-Goûtez ma sucette, sil vous plait.
-Enlevez votre pantalon et votre slip et allez vous assoir sur le canapé, je vais vous sucer.
Bertrand suivait la scène. Il regardait sa femme sinstaller à côté de Jean-Joseph qui finissait de se mettre à poils. Il la vit ouvrir grand la bouche et engloutir une bonne partie du bâton de lhomme qui grogna de plaisir.
-Tout le monde va être à poils, alors toi aussi. Tu seras plus à laise pour assister au travail que va faire ta femme pour toi et tes conneries.
-Bon, bon ! mais ça ne me plaît pas de me déshabiller devant vous.
Bertrand vit Noël sapprocher dIsabelle et lui enlever sa robe de chambre. Il linstalla mieux pour quil puisse lui bouffer la chatte sans la gêner dans son travail avec Jean-Joseph. Isabelle était maintenant à quatre pattes avec la tête de Noël entre ses jambes en dessous delle. Elle ferma les yeux et travailla la bite quelle avait en bouche. La langue de Noël lui caressait le clitoris et elle sentait une main -celle dAlbert- lui écarter les poils de la chatte et entrer dans son sexe. Elle pensa que ça y était, elle avait les trois hommes sur elle : « ils sont chauds-bouillants », se dit-elle. Elle constata que son diagnostic était le bon en les entendant parler.
-Je vais voir si ma queue reconnait la maison, commença Albert en avançant sa matraque. Isabelle, vous savez que je fais un bon 23 cm de longueur et 4,3 de diamètre. Alors quest-ce que vous en pensez ?...Alors ?
- Euh
Beuu
Ba..Éeu..éPP
on..DDgre
, essaya Isabelle.
-Cest mal poli de parler la bouche pleine. AH ! AH ! AH ! sesclaffa Jean-Joseph qui lui remplissait la bouche.
Albert était prêt à lenfilage. Isabelle sentit deux mains lui écarter les lobes fessiers.
- vraiment j'adore les chatte s et les culs poilus. Cest magnifique. Allez mon champion vas-y, régale-toi.
À ce moment Isabelle senti l'engin appuyer entre ses lèvres il s'introduit sans difficulté. Mais Albert souhaiter vivement lui enfiler sa queue en entier. Alors il appuya et gagna du terrain dans le ventre de la jeune femme et aussitôt il commença à ramoner ferme.
- j'aime bien aller au fond des choses. C'est là que ça serre le mieux.
- vous voyez, Isabelle, pourquoi notre ami Albert adore mettre son bâton dans des anus bien serrés, expliqua Noël qui avait arrêté de lui bouffer le clitoris. De son côté le mari tournait en rond près de la scène où son épouse se faisait travailler dur par ses compagnons de poker. Il était très tendu et très pâle ; il n'en pouvait plus et se tapait les mains sur la tête. Noël s'amusa à lui demander ce que ça faisait de voir sa chère épouse se faire mettre par 3 gaillards. Le mari tournait encore un peu plus en rond et Noël lui proposa de s'approcher.
- viens à voir comment l'arrière train de ta femme prends le gros morceau de notre ami Albert. Tu vois, cest ta faute si elle prend du lourd.
À ce moment, Bertrand, nen pouvant plus, essaya d'attr le mandrin dAlbert pour l'enlever de la chatte de sa femme. Les 3 hommes réagirent très vite. Ils attrapèrent le mari.
- On va être obligé de l'attacher sur une chaise. Et on va aussi le mettre à poils.
Les hommes avaient abandonné Isabelle pour s'occuper de son mari qui se laissait faire. Il nen menait pas large quand il s'est retrouvé attaché nu sur une chaise juste face au canapé sur lequel son épouse avait repris le matériel de Jean Joseph en bouche. Les trois lascars avaient le sabre au clair. Bertrand était ridicule avec sa virgule pendouillant au bas du ventre.
- Tu ne vois pas une différence entre toi et nous, ironisa Jean Joseph en pointant du doigt le sexe de Bertrand.
Le sien noir et trapu remplissait la bouche dIsabelle. Comment d'habitude il n'était pas pressé. Il savait que dans une vingtaine de minutes il allait envoyer une grosse bouillie bien épaisse. Isabelle le savait aussi et se disait quelle allait profiter du spectacle. Depuis peu elle s'était rendue compte quune belle bite lâchant son jus l'excitait beaucoup.
-Hé ! le mari, jai les couilles qui vont exploser si je ne lâche pas la sauce. Cest BON ! JE JOUIS !
Et Bertrand pu observer Albert sortir sa queue et envoyer plusieurs grosses giclées dans la raie dIsabelle.
-Alors, tu vois on soigne bien ta femme. Regarde bien ; Je dis que les poils du cul de ta femme sont bien assaisonnés au jus des couilles dAlbert.
Il ny a que Bertrand à ne pas rigoler de la réflexion ; même Isabelle eut un sourire.
Tout ça avait bien chauffé Jean-Joseph surtout que la jeune femme avait mis la main sur ses couilles.
Et elle fut surprise de la giclée qui la fit tousser. Puis elle sortit lengin et vit le canon de Jean-Joseph couler sur la main qui tenait encore le membre. « Belle giclée », se dit Isabelle qui sentit du chaud dans le bas du ventre.
Elle vit Noël revenir dans la pièce avec un pot de vaseline et petite une valise genre médical. « Ça promet ! » pensa Isabelle...
À suivre
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