Ma Belle-Soeur Me Fait Fantasmer
Ma sur nest pas ma sur, mais ma belle-sur. En réalité, cest tout comme car nos parents respectifs se sont mis ensemble alors que nous étions tous les deux très jeunes (elle avait 5 ans et moi 3 aujourdhui elle en a 20 et moi 18).
Elle est donc comme ma sur. Mais jinsiste sur le côté belle famille car depuis quelques semaines, jentretiens une relation toute autre avec elle.
Ca a commencé innocemment quand elle a quitté son copain et commencé à sortir en boite et à shabiller comme une femme. Alors quelle avait toujours été ma grande sur, je voyais ses formes et son corps au travers de ses vêtements moulants.
Cétait ma grande sur et jétais son petit frère mais elle mexcitait un peu sans que je me lavoue. Je lobservais discrètement le vendredi soir quand elle sortait, et jattendais son retour dans la nuit pour faire de même. Parfois, javais même la chance de la regarder ôter sa robe et la voir en sous-vêtements dans le couloir, nous pensant tous endormis. Elle sest déjà présentée à moi en sous-vêtements ; elle nest pas pudique avec son petit frère. Mais être voyeur rendait la chose interdite.
Une fois, je lai vue ôter sa robe par le haut et cest avec stupeur que je constatai quelle ne portait aucun sous-vêtement. Elle était nue sous sa robe et devant le miroir de la salle de bain, je lai vue se caresser les seins, porter sa main droite à son sexe et se masturber lentement.
Jétais énormément excité et je ne pouvais la quitter des yeux. Elle se regardait se masturber. Quand elle a arrêté, je me suis caché pour la laisser aller à sa chambre et jai continué à la mater par le trou de la serrure quand elle sest allongée sur son lit et quelle sy est masturbée jusquà la jouissance. Elle était magnifique, excitante et jai commencé à mimaginer la toucher et la lécher dans mes songes.
Jai éjaculé dans ma main. Mais ce faisant, jai bougé le pied et le parquet a grincé sous moi.
A partir de là, ce fut un grand changement, ma sur mexcitait tant que je fantasmais sur elle. Elle était dans toutes mes histoires de branlette avec ses gros seins, ses rondeurs, ses larges cuisses écartées et je mimaginais la prendre sur son lit ou pire, le lit de nos parents. Chaque soir, je prenais sa culotte dans le bac à linge sale, la sentais et passais la nuit avec.
Les jours qui ont suivi furent tendus, tant par lexcitation que par la crainte que ma sur ait des soupçons sur mon activité. Je me demandais même si elle navait pas pu voir des traces de mon sperme sur le sol devant sa porte.
Tendu car si ses propos ne trahissaient rien, javais limpression quelle essayait subtilement de maguicher. A moins que cette impression ne soit plus paranoïaque que réelle. Il me semblait quelle shabillait plus sexy en ma présence, quelle me frôlait volontairement avec sa poitrine
Un weekend où nos parents étaient absents, ma sur ma indiqué quelle inviterait un ami à la maison et que je ne devais pas les déranger. Jai tout de suite espérer que je pourrais les espionner faisant lamour.
Quand il est arrivé, jétais dans ma chambre. Ils sont allés dans la chambre de ma sur et ils discutaient. Peu après, jai entendu de légers gémissements. Je suis allé discrètement à la porte de ma sur pour regarder par la serrure.
Elle était sur le lit, adossée contre le mur, les cuisses largement écartées et son ami la doigtait vigoureusement. Elle avait les yeux fermés et respirait lourdement. Sa grosse poitrine montait et descendait au fil de sa respiration et des tremblements de plaisir de son corps.
Jentendais distinctement les bruits que produisaient les doigts dans son sexe. Je la voyais malaxer ses seins lourds. Je la voyais regarder dans la direction de la porte comme pour voir si jétais à la serrure. Je lentendais crier mon nom. Ce nétait pas mon imagination, elle criait, de sorte que je ne pouvais que lentendre ou que je sois, et cétait mon nom (même sil savère que son ami et moi partagions le même nom. Coïncidence ?).
La baise était violente. Ma sur, vulgaire à souhait, enjoignait son ami de la baiser toujours plus fort. Elle jouissait à gorge déployée tandis quelle se faisait prendre dans toutes les positions, toujours sa tête tournée vers la porte derrière laquelle je lépiais.
Plus je la voyais, plus je voulais être à la place de son ami et la baiser. Jétais tellement excité de la voir. Pour me dédouaner, je me rappelais que ce nétait que ma belle sur, mais ce lien mexcitait encore plus.
Je me suis à peine masturbé que jai éjaculé dans ma main. Je suis retourné dans ma chambre ; ils ont continué pendant une heure et je me suis encore masturbé 4 fois.
Il est parti après. Le lendemain matin, je me suis levé, la tête encore pleine de désir. En passant devant la chambre de ma sur, jai fait un peu de bruit et elle ma appelé. Je suis entré, elle était allongée sur le lit, avec seulement le drap la recouvrant.
Elle ma invité à masseoir sur le lit, ma demandé si javais bien dormi. Elle se doutait que javais tout entendu. Elle sest excusée pour le bruit mais elle a poursuivi en détaillant la nuit. Il lui arrivait dêtre impudique avec moi mais pas à ce point. Elle poursuivait en disant quune femme avait besoin de ça, que le sexe est bon, quelle aime les grosses queues
Je lécoutais, effaré, gêné, mais aussi excité. Le drap du lit épousait son corps et en dessous je pouvais deviner ses cuisses quelle bougeait sous le drap. Je voulais lui sauter dessus mais me retenais car cétait ma sur.
Elle ma fixé du regard et ne pouvant le soutenir, je me suis retourné pour partir. Avant darriver à la porte, ma sur ma interpelé. En me retournant je lai vue dans la même position, allongée sur le lit mais sans le drap et totalement nue, les jambes écartées et la vulve exposée.
Je suis resté interdit, immobile mais mon érection se voyait clairement au travers de mon pyjama. Je ne pouvais pas détourner mon regard des cuisses et de la chatte de ma sur.
- Approche-toi
Je me suis approché du lit.
- Mets-toi à quatre pattes sil te plait
Je me suis exécuté. Elle sest assise sur le bord du lit, les cuisses posées sur le matelas. Ma tête était à 30 centimètres de la vulve de ma belle-sur.
- Mon amant a été très brutal avec moi et jai besoin de douceur.
Elle a saisi ma tête et ma approché de sa vulve
- Lèche-moi délicatement
Jétais hypnotisé par elle et son sexe et sans réfléchir je me suis mis à lui lécher la chatte comme un petit chiot. Je lentendais respirer puis gémir tout en me caressant les cheveux.
- Oui comme ça, tout doucement.
Elle mouillait de plus en plus quand elle ma saisi la tête et ma véritablement plaqué contre sa chate et serrant ses cuisses contre ma tête. Je ne pouvais plus bouger mais je ne voulais pas bouger ; jétais trop bien entre ses cuisses à lui lécher la vulve. Ses désirs étaient des ordres.
Elle a joui une 1ère fois puis a relâché son étreinte. Toujours à quatre pattes entre ses jambes, je la voyais reprendre son souffle.
- Allonge-toi par terre et libère ta queue
Je me suis allongé et ai baissé mon pantalon aux genoux. Mons sexe était tendu à lextrême. Elle sest levée, a mis ses pieds de chaque côté de ma tête. Son sexe était audessus de mes yeux. Elle sest baissée en écartant les cuisses pour poser son sexe sur mon visage.
Elle sest assise sur mon visage et frottait son sexe dessus.
- Cest bon ! Tu me fais du bien ! Tu es un adorable petit-frère.
Javais du mal à respirer mais je men fichais, je voulais la lécher et la faire jouir.
Après quelques minutes, elle a joui et inondé mon visage. Elle était tremblante et sest littéralement assise sur ma tête. Jétais extatique. Elle sest penchée en avant et a délicatement caressé mon sexe du bout du doigt.
- Tu as été très gentil, maintenant je veux que tu éjacules pour moi.
Jai éjaculé immédiatement sans débander ensuite. Elle ma embrassé sur la bouche avec langue et est partie se doucher. Je suis retourné dans ma chambre toujours couvert de sa cyprine et de mon propre sperme tout en rêvant de recommencer.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!