Je M'Appellais Myosotis , Préambule.

Salut a tous , je me permets de partager avec vous une experience réelle que j'ai effectivement vécu, par conséquent , les prénoms ainsi que les lieux sont censurés et changés pour des raisons évidentes ; afin de n'embarrasser personne.

Tout cela a commencé en 2012 , une nuit , j'avais fait le rêve suivant : je me retrouvais sur la place d'un village dont le nom est: "BIP" , j'etais a une autre époque, au XVIIème siécle plus précisément.
Je voyais parfaitement le décor , a mes pieds, il n'y avait que des pavés de couleur grise mais pas un seul mètre carré n'etait fait en goudron. Juste devant moi se dressait une eglise faite de grandes pierres de couleur grise clair avec la croix du Christ bien intallée en haut du clochet, et du coté gauche comme du coté droit de cette batisse , il y avait 2 rangées de 3 commerces ,soit 6 au total. Il n'y avait pas d'écriture pour indiquer "cordonnier" , par exemple, mais juste une plaque faite en bois de la forme d'une chaussure faisant bien comprendre l'utilité de chaque commerce.

Au matin, j'etais amusée par ce rêve qui était d'une netteté extraordinaire au reveil , rarement j'ai pu me souvenir aussi parfaitement d'un simple rêve... mais je n'y ai pas prété attention plus que cela et j'ai commencé ma journée normalement, comme ci de rien n'etait....
A ma grande surprise, ce même rêve , s'etait répété à l'identique une bonne quinzaine de fois en l'espace d'un an et demi , et a force , cela ne m'amusait plus du tout , bon, ce n'est pas que ça commençait a m'inquieter, non...pas jusqu'a la non plus, mais j'etais un peu déroutée, je me demandais ou je suis allée pêcher un truc pareil et pourquoi ce même rêve revenait de façon aussi répétititve, environ quinze fois, quand même, c'est pas rien ...

Septembre 2014 , c'est la grande Braderie de "Bip" , il y avait les amis, et les amis des amis, on a tous fini la soirée chez "xxxxxx" . Nous etions tous en petits groupes dispachés chez lui et on discutait.

Pour la premiére fois j'ai rencontré "...." qui etait ami aussi avec "xxxxx". Il nous affirmait que c'était un passionné de l'interpratation de rêves, qu'il étudie cela depuis plus de 10 ans et ce de plusieurs façons (interpretation psychologique, esoterique, Grèce antique...)

Vous pensez bien, mes yeux se sont illuminés d'un coup et je me suis dit "vu sa connaissance en la matière, il pourra peut etre m'eclairer sur ces fameux rêves" .
Etant assez timide pour déballer ça oralement devant beaucoup de monde , je lui ai demandé de me suivre en retrait dans le couloir et je commence a lui raconter ce fameux rêve.
Aprés moultes explications de ma part, il me reponds casi du tac au tac sans reflechir :
"Te prends pas la tete plus longtemps, il ne s'agit que des souvenirs de vie anterieure, tu as de la chance, c'est trés rare de pouvoir s'en souvenir comme ça ,dans nos sociétés occidentales c'est un sujet refoulé, méprisé... "
Heu, oui... je vous avoue mes chers lecteurs, que j'etais tout de même preplexe par sa réponse, étant de culture Catholique, avec des origines Italienne et Polonaise impossible de faire autrement, la réincarnation ce n'est pas trop mon truc a la base; alors j'ai quand même eu du mal a le croire.
Le camarade surencherit ; "tu l'as dit toi même, aucun panneau ni calendrier ne mentionnait le nom du village ni même l'epoque, et tu le savais sans probleme, et comme je te cite "ça venait de trés loin, comme un souvenir mais sans vraiment en être un , j'ai la sensation que ça m'est familier, mais je ne connais pas" ...cherche pas plus, la réponse est deja en toi."

Plusieurs semaines aprés notre rencontre, je ne cessais de repenser a ces propos... et si il avait peut etre raison ? En étant plus curieuse que peureuse, j'ai reussi a chopper sur le Net une vidéo qui, apparement , nous aiderait a nous remémorer nos souvenir de vie passée en l'ecoutant et en se prétant serieusement au jeu, rien que ça...
! via une mise sous hypnose, une légère trance en somme, et voici donc ce que j'ai vu :

Je m'appellais a cette époque Myosotis et j'étais la "maitresse/favorite" du Comte qui règnait sur nous tous. J'etais pourtant mariée a un paysan mais bon...il n'a rien voulu savoir et trouvait toujours des coups fourrés pas possible pour m'en eloigner de lui au maximum tout en gardant une discrétion absolue car a cette époque , l'adultère etait fortement réprimé par le Clergé ,même en étant le Comte, il aurait pu avoir de sacrés problémes a ce niveau la.

Par une matinée d'un mois d'Octobre , je me rend seule au chateau car le Comte m'avait invitée pour passer la journée avec lui mais sans ma famille.
Je suis bientot arrivée a destination, j'emprunte un petit sentier bordé d'herbes sauvages m'arrivant au genoux, c'etait si étroit que seule une personne peut y passer a la fois, ou en file indienne si un groupe de personne l'emprunte.
Le Comte etait baissé pour se cacher dans la végétation et guettait mon arrivée sans faire de bruit.
Aprés l'avoir dépassé sans le savoir , ni l'avoir vu, il me suit de trés prés dans le plus grand silence puis, par surprise, il me prend par les hanches et me dit
"Je suis la" , il m'enlace dans ses bras pour me faire un calin en guise de bonjour.
Je lui réponds "Je suis mariée a Philippe" et me rétorque "Je ne veux plus jamais entendre ce nom"

Il me prend fermement la main pour que je le suive rapidement. On traverse le parc en marchant a toute allure, pour arriver dans une autre entrée du chateau. On traverse de longs couloirs dans une marche effrénée pour enfin se poser dans une piéce au rez de chaussé du chateau. Il me lache la main pour aller s'asseoir sur un curieux meuble qui est une combinaison de canapé/lit qui n'est ni tout a fait, l'un ni tout a fait l'autre. Il sort de son pantalon son penis deja en erection, il est superbement bien membré. Il veut que je me mette a genoux pour que personne ne puisse me voir par la fenetre de l'exterieur.
Il pousse ma tete vers son membre et me dit
"Desolé de le faire aussi crument mais tu as encore prononcé le nom de l'autre la...le seul prénom que tu devras dire sera ...XXXXXX ,le mien. "

Soudain, je vois un homme nous regarder par la fenetre, je le connais de vue, il travaille pour le Comte en exterieur , je lui coupe la parole pour le prevenir. Sans plus attendre, il se léve, remonte son pantalon et prends son épée qu'il avait laissé a coté de lui a même le sol, et sort. Je le vois s'avancer vers lui de la fenetre et sans se justifier ni quoi que ce soit d'autre, il sort furtivement son épée et lui enfonce sa lame d'un coup, sur un niveau precis de son corps: du bas de ses cotes ,du coté droit plus précisément,et le voyeur meurt instantanément en tombant par terre .
Comment je flippe... il l'a tué comme ça, d'un seul coup en quelques secondes... je me dit "mais il est vraiment malade ce mec, c'est pas possible !"

Je l'entends dire aux autres témoins de la scène :
"Que cela vous serve d'exemple. Je veux être discret quand je suis dans cette piéce" Il montrait de la main le salon d'ou il etait sorti a cause de mon signalement, puis il ajoute :
"Je n'aime pas les curieux, sachez le ... débarrassez moi de son corps, qu'il ne pourrisse pas là."
Quelques brefs instant plus tard , il revient vers moi, me demande de m'allonger et me prends sur le curieux "fauteuil" . La chose qui m'a le plus choquée, c'est qu'il venait juste de descendre un pauvre type et il me passe encore dessus normalement, comme ci de rien était , il venait de quelqu'un de sang froid, et n'en dégageait visiblement aucune émotion.
Aprés avoir fini ce qu'il avait a me faire, il me demande de rester allongée et part je ne sais ou.

Peu aprés, une dame qui travaille au chateau , me rapporte une grosse assiette creuse et me dit "c'est de la part du Comte" et repart tout de suite.
Je me suis assoupie en cette fin de matinée aprés avoir bien mangé, mais je le rejoint a sa demande à sa bibliothèque, dans les deux heures qui ont suivies cette pause.

Il était assis sur un fauteuil trés chic qui avait en plus l'air trés confortable et lisait tranquillement. Il pose son livre en me voyant entrer et me demande de me déshabiller completement. J'avais un peu attrappé froid, il voyait que je commençait a avoir la chair de poule, mais s'en fichait éperdument ... il voulait que je m'allonge sur le tapis qu'il y avait sur le sol.
Il commençait a me masturber avec un gros phallus artificiel , quand il entendait des petits gemissements , il continuait de plus belle, c'est quand j'avais vraiment jouit qu'il me disait :
"Tu m'appartiens "
"Tu seras a moi pour toujours ma petite Myosotis "
"Tu es a moi"
"Tu dois toujours m'obeir et ne jamais prononcer le mot NON "
"J'adore ta grosse poitrine "
Il posait sa tete sur mes seins, me suçait le bout des tétons et ne disait plus rien.

Plus tard dans l'aprés midi , je lui ai demandé de partir, mes petits me manquaient et je voulais les revoir ... mais il n'a pas voulu me laisser m'en aller, et voulait que je reste avec lui jusqu'a la tombée de la nuit.
Je ne pouvais m'en aller que lorsqu'il le decidait... je pense que l'on peu parler sans exageration de sequestration , mais comme il avait tout les pouvoirs sur moi, je ne pouvais même pas le menacer en lui hurlant dessus et d'appeller la police, puisque la "police" c'etait lui même...

Lorsque vint l'heure de diner , j'etais en face de lui, on dinait au chandelles , l'ambiance etait romantique certes, mais j'etais stressée de n'avoir aucune liberté, je n'etais pas vraiment a l'aise.
Il me demanda "quelquechose te préoccupe ?
Je réponds "Oui , je me demande si ma famille va bien , je ne les ai pas vu depuis ce matin"
Il y eu un silence , pesant pour moi , anodin pour lui.

Soudain, j'ai entendu mon mari m'appeller de l'exterieur , c'etait sa voix , je ne rêvais pas... toute contente, je me lève d'un coup et me precipite vers la sortie de ma prison dorée.
Le Comte est entré dans une colére franchement hysterique , il etait défiguré par la rage qui l'envahissait.
Il etait parti dans une direction opposée a la mienne pour prendre une sorte de cravache je pense , c'etait comme un genre de baton long, fin et flexible.
Comme il connaissait son chateau par coeur , il m'a facilement rattrappée avant que je sorte.

Il me retenait le bras trés fermement, il me serrait trés fort , j'avais super mal , j'ai cru qu'il allait me l'arracher, je criais de panique et de douleur.
Il finit par me le lacher en me poussant a terre, par reflexe je protegeait ma tête avec les mains.
Il commençait vraiment a devenir trés menaçant, il m'avais soulevé ma robe pour me donner deux gros coups de cravaches sur les fesses. Ces deux griffes ensanglantées faisait le même signe qu'une croix de "multiplication" sur mon derriére ...

A suivre...
Si vous le voulez bien mes chers amis lecteurs, je vous raconterai volontier la suite , car j'ai fait pas mal de séances de regression dont j'ai tout noté sur un cahier.
Il y aura plusieurs episodes ... a bientot.









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